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5 astuces pour garder le moral en automne

5 astuces pour garder le moral en automne

Vendredi 8 novembre 2019

La transition vers les journées d’automne plus courtes et plus froides peut être un défi pour certains d’entre nous. Pour vous aider à affronter la nouvelle saison, voici cinq conseils de bien-être qui vous permettront d’éviter au mieux les baisses d’énergie et de booster votre corps. 

Renforcez votre système immunitaire

Pour entretenir son immunité à l’approche de l’hiver, vous pouvez commencer par boire davantage d’eau. Optez pour de l’eau tiède citronnée mais aussi des tisanes qui vont réchauffer le corps. Quand les températures sont basses, nos besoins en eau augmentent. Une bonne hydratation permet ainsi de compenser nos pertes énergétiques. Hydratez également votre peau qui peut être asséchée par les températures plus froides.

Envisagez de prendre de la vitamine D. La majeure partie de notre vitamine D provient du soleil. Par conséquent, notre consommation diminue lorsque le temps est froid. En novembre, c’est le moment de prendre des compléments de vitamine D car le corps ne peut plus synthétiser la vitamine naturellement. Si vous constatez que vous ne sortez pas beaucoup, un complément en vitamine D peut renforcer votre humeur et votre système immunitaire.

Restez en mouvement

Afin de renforcer un système immunitaire faible, pratiquez une activité physique. Même si la grisaille fait son apparition, n’arrêtez pas votre séance de running ou remplacez-la par une séance de gym en intérieur. Les sports aquatiques permettent aussi de renforcer l’organisme.

De plus, profitez de l’air frais. C’est l’occasion de faire de belles balades dans la forêt en famille. Une heure de marche par jour est l’idéal en cette saison pour s’oxygéner. 

Pratiquez la respiration abdominale

Pour évacuer les déchets qui encombrent le corps, il est essentiel de pratiquer la respiration abdominale. Nous sommes nombreux à respirer avec le thorax de façon courte et irrégulière. Pourtant, cela ne permet pas d’insuffler suffisamment d’oxygène dans les poumons. 

La respiration abdominale permet d’insuffler une plus grande quantité d’oxygène dans nos poumons. Cette respiration profonde permet également de se détendre. Lors de l’inspiration, le diaphragme descend et le ventre se gonfle. Les poumons vont se remplir pleinement en commençant par le bas. À l’expiration, les poumons se vident complètement. 

Dormez plus longtemps

À mesure que la lumière du jour devient plus courte et que l’obscurité des mois d’automne et d’hiver semble s’éterniser, vous remarquerez peut-être que vos habitudes de sommeil changent. La diminution de la lumière du jour en automne et en hiver influence le cycle veille-sommeil du corps.

L’automne et l’hiver sont des saisons durant lesquelles la nature ralentit. Tout comme elle, notre corps a besoin de se mettre en pause. Commencez par dormir plus longtemps et à vous coucher plus tôt. Prenez également davantage de temps pour vous reposer.

Mangez des aliments nutritifs

Dès qu’il fait plus froid, optez pour des plats chauds et variez les légumes. Choisissez des fruits et légumes de saison tels que les carottes, le céleri, la citrouille, le chou, le poireau mais aussi les poires, les pommes et les clémentines.  

Une alimentation variée et équilibrée vous permettra de faire le plein de vitamines afin d’affronter la saison et d’éviter les coups de fatigue. N’oubliez pas le petit-déjeuner qui permet de débuter la journée du bon pied.

Stéphanie Haerts

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Seniors : adopter un chien permet de garder un cœur en bonne santé

Seniors : adopter un chien permet de garder un cœur en bonne santé

Lundi 13 mai 2019

Une étude vient de montrer qu’avoir un chien réduirait nettement le risque de mortalité cardio-vasculaire. Par conséquent, la Fédération française de cardiologie conseille aux personnes âgées d’adopter un compagnon à quatre pattes.

Le chien réduit nettement le risque de mortalité cardio-vasculaire des seniors

Nos amis les bêtes sont bénéfiques pour la santé et une étude suédoise vient de nouveau confirmer ce constat. Vivre avec un chien réduirait nettement le risque de mortalité cardio-vasculaire. Une nouvelle sur les bienfaits que peut apporter le meilleur ami de l’homme et sur laquelle la Fédération française de cardiologie (FFC) a décidé de communiquer 

« Oh my dog »! Tel est le nom de cette campagne qui a débuté le dimanche 12 mai 2019 et se clôturera le 4 juin 2019. Son objectif ? Inciter les seniors à adopter un chien. Selon l’étude danoise le meilleur ami de l’homme réduirait de 36% le risque de mortalité cardio-vasculaire : un chiffre non négligeable.

Avec un chien les personnes âgées sont moins sédentaires et moins isolées

Vous vous demandez pourquoi avoir un chien réduirait autant le risque de mortalité cardio-vasculaire ? La réponse est simple : quand on a un chien, on est obligé de le sortir quotidiennement et donc d’être moins sédentaire. C’est une manière comme une autre de pratiquer une activité physique. Par ailleurs, « de récentes études ont montré que les personnes seules ou privées de relations sociales sont deux fois plus susceptibles que les autres de développer des pathologies graves, comme les maladies cardio-vasculaires » affirme la FFC. Or, « avec un chien, vous prenez soin de votre cœur en luttant contre l’isolement social ».

Vous comprenez donc pourquoi cette campagne de sensibilisation concerne les chiens. Il va de soi qu’un chat, par exemple, ne nécessite pas d’être sorti en laisse et donc ne permet pas de réduire la mortalité cardio-vasculaire. Alors rendez-vous à la SPA pour adopter votre nouveau compagnon !

Perrine Deurot-Bien

À lire aussi : Maladies de l’appareil circulatoire

 

 

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Pourquoi vous devez garder les dents de lait de vos enfants ?

Pourquoi vous devez garder les dents de lait de vos enfants ?

Le 17 octobre 2017.

Selon une équipe de chercheurs de l’Imperial College de Londres, conserver les dents de lait de ses enfants pourrait un jour leur sauver la vie.

Les dents de lait sont riches en cellules souches

Les parents ne gardent pas toujours les dents de lait de leurs enfants et ils ont tort. C’est en tout cas ce qu’avance Sara Rankin, biologiste à l’Imperial College de Londres, dans un entretien pour BBC News. Selon ses travaux, on trouverait des cellules souches dans les dents de laits qui permettraient de guérir de maladies graves et même de certains cancers. Jusqu’à présent, on allait chercher les cellules souches dans l’embryon ou dans le sang du cordon ombilical.

Les cellules souches sont très précieuses car elles possèdent deux propriétés, « celle de s’auto-renouveler indéfiniment, offrant un stock illimité de matériel, et celle de pouvoir donner naissance à plusieurs types cellulaires », explique l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Et grâce à la thérapie cellulaire, on peut greffer des cellules saines afin de restaurer la fonction d’un tissu ou d’un organe.

Les recherches sur les cellules souches avancent

Selon Sara Rankin, « recycler » les dents de lait de son enfant pour conserver ses cellules souches pourrait donc s’avérer très utile en cas de leucémie (cancer du sang), par exemple. Il faut toutefois souligner que la conservation des cellules souches à des fins thérapeutiques est interdite en France mais qu’elle est autorisée en Suisse. Dans ce pays, il existe des banques de stockage de cellules souches.

Certains chercheurs avancent que l’on n’a pas encore exploré la totalité des capacités des cellules souches. Peut-être pourraient-elles être utilisées un jour pour soigner la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson ou encore le diabète. Il faut noter toutefois que pour extraire les cellules souches des dents de lait, il faudrait les arracher avant qu’elles ne tombent pour retirer les cellules souches rapidement et les stocker à moins de 190°.

Marine Rondot

À lire aussi : Un aveugle retrouve partiellement la vue grâce à une autogreffe  de cellules de peau

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Peut-on garder les yeux ouverts tout en éternuant ?

Peut-on garder les yeux ouverts tout en éternuant ?

Le 23 décembre 2016.

Bien que cette action soit difficile, il serait néanmoins possible d’éternuer tout en gardant les yeux ouverts.

L’éternuement, un réflexe qui agit sur de nombreux muscles du corps

Il est d’usage de dire qu’il est impossible de fermer les yeux lorsqu’on éternue. Et pourtant, la science n’est pas aussi catégorique sur le sujet. Deux scientifiques américains viennent récemment de déclarer que, bien que ce reflexe soit difficile à contrer, il serait possible d’ouvrir les yeux tout en éternuant.

L’éternuement est un réflexe de protection qui nous permet de protéger notre organisme des particules étrangères en les éliminant grâce à l’évacuation d’une bouffée d’air. Mais les éternuements sont bien plus qu’une simple expulsion d’air. Lorsque le cerveau commande un éternuement, il agit également sur de nombreux muscles, de l’œsophage aux sphincters, et notamment sur les muscles qui contrôlent les paupières.

Certaines personnes sont davantage capables de fermes les yeux en éternuant

« En fermant les yeux, l’organisme se protège également de corps étrangers qui pourraient entrer par les yeux », explique le Dr David Huston, chercheur au Texas A & M college de Houston, aux États-Unis.

Selon ce dernier, ce réflexe peut toutefois être contré et certaines personnes auraient davantage de facilités que d’autres pour garder les yeux ouverts en éternuant.

Pour en savoir plus : Pourquoi éternue-t-on ?

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Alzheimer : certains malades pourraient garder une excellente mémoire

Le 16 novembre 2016.

S’il est classique de penser qu’une maladie d’Alzheimer se traduit inévitablement par une perte de mémoire, cette récente étude pourrait bien éclairer d’un jour nouveau les véritables symptômes de cette maladie neurodégénérative.

Des patients atteints d’Alzheimer, sans aucun symptôme

La maladie d’Alzheimer n’est pas toujours associée à une perte de mémoire. Alors que cette maladie neurodégénérative se caractérise souvent par une perte progressive des souvenirs et de la mémoire proche, une récente étude, menée sur un petit panel de participants, suggère que certaines maladies d’Alzheimer pourraient passer inaperçu.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les cerveaux de huit personnes âgées et décédées qui, jusqu’au dernier jour de leur vie, avaient montré des signes de parfaite capacité cognitive. Or trois des cerveaux analysés ont pourtant montré les signes classiques du développement de la maladie d’Alzheimer que sont les plaques de protéines amyloïdes et l’enchevêtrement neurofibrillaire.

Exercer son cerveau pour contourner la maladie d’Alzheimer ?

« Certains facteurs pourraient protéger le cerveau et les souvenirs de la maladie d’Alzheimer », s’est étonné le Dr Changiz Geula, de l’université Northwestern, qui a dirigé cette étude. Les causes exactes de ce phénomène n’ont pas encore été découvertes et des études complémentaires devront désormais les déterminer. Les chercheurs estiment également nécessaire de mener cette expérience sur un échantillon plus large pour obtenir des données plus précises.

Les scientifiques émettent cependant plusieurs hypothèses. La première suggère que si une personne exerce son cerveau tout au long de sa vie, et particulièrement lorsqu’elle est âgée, elle pourrait se fabriquer une forme de « réserve cognitive » qui la protégerait du déclin. L’autre hypothèse, plus mystérieuse, suggère qu’un élément, encore inconnu, présent dans le cerveau de ces patients, permettrait d’annuler les effets des plaques amyloïdes et des enchevêtrements neurofibrillaire.

À lire aussi : Savez-vous réduire votre risque d’Alzheimer ?

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3 raisons pour ne pas garder trop longtemps un maillot de bain mouillé !

Alors oui, c’est la fin de l’été, mais il reste une poignée de chanceux qui vont encore profiter du soleil et du bord de la piscine encore durant quelques semaines. Alors pour eux, voici 3 raisons sanitaires de ne surtout pas garder trop longtemps sont maillot de bain mouillé sur eux !

#1 Maillot de bain mouillé = nid à bactéries

Chaleur, humidité et zone sombre : c’est le combo-gagnant pour la prolifération de bactéries. C’est exactement ce que représente un maillot de bain mouillé pour nos petites bactéries ! Le maillot de bain se transforme alors en véritable éponge à microbe et bactéries, tout droit sorties de la piscine ou de la mer.

Et bien sûr, en sortant de l’eau, ces bactéries restent entre le maillot et notre peau et notamment nos parties génitales. Des bactéries qui apportent un déséquilibre et par conséquent pouvant provoquer diverses maladies ou infections.

Les signes avant-coureurs d’une telle maladie ou infection ? Irritation, brulure, douleur en faisant pipi, etc. Bref, il convient alors de consulter rapidement un médecin qui prescrira un traitement adapté.

#2 Gare à la mycose !

Les champignons évoluent dans les endroits humides et bien la mycose étant une sorte de champignon, elle peut réellement apparaitre à cause du port d’un maillot mouillé.

Les signes avant-coureurs de la mycose : brûlures, irritations, démangeaisons ou pertes grumeleuses. Encore une fois, consulter un médecin en cas de symptômes.

#3 Risques d’eczéma marginé, une autre sorte de mycose

Si un maillot de bain mouillé entre en contact avec un champignon nommé dermatophyte, les zones sensibles de la peau peuvent être atteintes. Cette dernières subit alors des éruptions rouges circulaires qui démangent. Il s’agit d’une sorte de mycose dont les symptômes sont des plaques rouges et squameuses, qui démangent.

Encore une fois, à l’apparition de ces marques, la consultation d’un médecin est nécessaire afin que ce dernier prescrive des antifongiques.

Relativisons le maillot mouillé !

Attention à ne pas tomber dans la psychose, porter d’un maillot de bain humide n’implique pas automatiquement ces 3 effets indésirables.  La sensibilité à ces infections dépend de plusieurs critères, notamment de l’état de santé général de chaque individu.

Source : huffingtonpost.fr

Maladies chroniques : l’importance de garder un lien social

Une étude menée chez 121 personnes âgées de plus de 70 ans a mis en évidence l’importance du maintien d’une vie sociale active en cas de maladie grave. Un conseil valable également pour les personnes en couple.

En cas de diagnostic d’une maladie chronique, suspendre ses activités sociales ne fait qu’empirer les choses, même lorsqu’on est en couple. Ce sont les conclusions d’une étude menée par les chercheurs de l’université canadienne Concordia, à Montréal, et publiée par la revue scientifique Health Psychology.

Les scientifiques ont analysé l’évolution du sentiment de solitude chez 121 septuagénaires, entre 2004 et 2012. Résultat : la maladie chronique contribue à l’isolement social, même chez les personnes en couple depuis plus de 50 ans. Les malades ont tendance à culpabiliser au lieu d’aborder leur situation d’une façon positive.

Combler le vide

« En vieillissant, la qualité de nos liens sociaux influe sur notre capacité à surmonter les conséquences d’une maladie grave. Le fait d’avoir un partenaire de vie pourrait ne pas suffire », explique l’auteur principal de ces recherches, Meaghan Barlow. « Le diagnostic d’une maladie chronique ne devrait pas limiter votre vie sociale, dans la mesure du possible. »

Afin de réduire le stress généré par le diagnostic d’une maladie grave et limiter les symptômes de dépression, elle conseille de rester socialement actif. « En trouvant des moyens d’interagir avec différentes personnes, les malades risquent moins de s’en vouloir pour leur état de santé et de s’en remettre à leur partenaire pour combler le vide qu’ils ressentent », note la chercheuse, citée par l’Agence QMI.

Retrouvez cet article sur Topsanté

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Répondre à l’agressivité réduirait le stress
Pour mieux se souvenir, il suffirait de fermer les yeux
La méditation préserverait la jeunesse du cerveau
Solitude : 5 millions de Français en souffrent


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Les transports en commun meilleurs pour garder la ligne que la voiture

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Selon une étude de la London School of Hygiene & Tropical Medicine et de l’University College, les personnes qui utilisent les différents moyens de transport en commun auraient un indice de masse corporelle et un taux de graisse plus bas que les automobilistes.

Pour parvenir à ces résultats, les chercheurs ont analysé les données (Indice de masse corporelle et taux de graisse) de 7534 personnes qui avaient préalablement participé à l’étude « Understanding Society, the United Kingdom Household Longitudinal » constituant un panel représentatif de la population britannique.

Premier constat : sur les 7.534 sujets étudiés, 76 % des hommes et 72 % des femmes se rendaient au travail en véhicule motorisé personnel, alors que 14 % des hommes et 17 % des femmes marchaient ou allaient travailler en vélo. Dix % des participants ont quant à eux indiqué utiliser les transports en commun quotidiennement.

Le bénéfice de l’utilisation d’autres modes de transport que la voiture apparaît clairement dans les résultats puisque les hommes qui utilisaient ces autres moyens avaient un IMC moyen 1 % plus bas que les conducteurs (différence d’environ 3 kg), tandis que les femmes avaient un IMC de 0,7 % plus bas (2,5 kg de moins par personne). Les mêmes résultats ont été observés au niveau de la masse graisseuse.

Certains facteurs comme les différences socio-économiques, d’âge, d’alimentation et le degré d’activité physique sur le lieu de travail ont été pris en compte dans l’étude.

Si on peut admettre les limites de cette étude qui ne s’est pas concentrée uniquement sur les usagers des transports en commun, qui ne représentaient qu’un petit pourcentage du panel, les bienfaits des autres moyens de transport que la voiture apparaissent ici toutefois clairement.

Les transports en commun pour garder la ligne ?

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5 ingrédients pour garder la ligne

Cinq ingrédients s’avèrent absolument incontournables pour garder la ligne. Vous en possédez déjà au moins trois ? Bravo ! Sinon, faites vite ces quelques courses pour rectifier le tir.

Parce que sa théine augmente le métabolisme de base (on brûle plus de calories, même au repos). Que ses tannins freinent l’assimilation des graisses. Que ses catéchines (des polyphénols spécifiques) modifient la répartition corporelle des graisses et luttent contre leur accumulation au niveau du ventre. Et que son EGCG (épigallo-catéchine-gallate) renforce l’efficacité des hormones contrôlant l’appétit. De 3 à 4 tasses par jour, entre les repas (sans sucre, bien sûr).A lire aussi:Minceur : comment choisir votre thé vert?Quelle différence entre le thé vert et le thé noir?Recettes légères et détox au thé

Son acide acétique ralentit la digestion et équilibre le taux de sucre dans le sang. Quelques cuillerées à café de vinaigre réduisent jusqu’à 30% ce taux après un repas ! Or, moins de sucre dans le sang, c’est moins de graisses dans les capitons.(Source : « Programme brûle-graisses en 30 jours », Anne Dufour et Carole Garnier, éd. Leduc.S.)A lire aussi:Le vinaigre facilite la digestionAdoptez le citron et le vinaigre

En paillettes, il s’incorpore aux fromages blancs, potages, pains… Grâce à sa remarquable teneur en fibres solubles, il favorise la satiété et capte une partie des graisses alimentaires pour les éliminer naturellement. La bonne dose : 1 cuillerée à soupe par repas.A lire aussi:Astuces minceur : pour retrouver la ligneMaigrir avec le régime DukanLe son d’avoine, un super allié minceur

Grâce à un flavonoïde, le HCMP, qui facilite le travail de l’insuline, la cannelle aide à réguler la glycémie et à limiter les pulsions sucrées. Sa saveur douce permet de l’utiliser à la place du sucre pour adoucir (sans calorie) compotes et fromages blancs. Et elle va aussi très bien avec le porc, les plats mijotés orientaux…A lire aussi:Ventre plat: le placard (…) Lire la suite sur TopSante.com