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Petit guide contre le plomb dans l’eau du robinet

Au Québec, « le plomb a été utilisé pour les conduites d’eau jusqu’en 1975 et dans les soudures jusqu’en 1986 », indique un article du Devoir rédigé en collaboration avec l’Institut du journalisme d’enquête de l’Université Concordia.

« Jusqu’en 2014, les robinets et la quincaillerie pouvaient contenir jusqu’à 8 % de plomb. Les tuyaux en acier galvanisé peuvent aussi relâcher le plomb dans l’eau. »

« Faire analyser son eau dans un laboratoire agréé est le meilleur moyen d’en avoir le cœur net (…). Cela coûte entre 35 et 50 dollars. Le site du ministère de l’Environnement propose une liste de tous les laboratoires agréés de la province, par région. »

Vous pouvez aussi « examiner vos tuyaux et soudures apparentes. Le plomb est de couleur grise, n’attire pas d’aimant et peut être facilement égratigné avec un couteau ou une clé. Les égratignures auront l’air argentées plutôt que cuivrées. »

Comment réduire l’exposition au plomb en attendant le remplacement des tuyaux ?

  • « Un filtre à eau certifié pour le plomb peut réduire la présence du métal à des niveaux indétectables. Le filtre doit être certifié par NSF International selon la norme NSF / ANSI 53 ou NSF / ANSI 58. »

  • « Il est recommandé de faire couler l’eau du robinet de cuisine pendant plusieurs minutes avant de l’utiliser, en particulier au réveil ou au retour du travail ou des vacances. Toute période de stagnation de plus de 30 minutes fait remonter le niveau de plomb dans l’eau. »

  • « Utilisez toujours de l’eau froide pour boire et cuisiner. »

Plus d’information dans l’article du Devoir : Petit guide citoyen contre le plomb.

Pour plus d’informations sur le plomb et la santé, voyez les liens plus bas.

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Épisode psychotique : le choix d’un neuroleptique est avant tout guidé par les effets indésirables (revue Prescrire)

Chez les personnes atteintes de troubles psychotiques, « faute d’une recherche clinique suffisante, le choix d’un neuroleptique est avant tout guidé par les profils d’effets indésirables », estime la revue Prescrire dans son numéro avril.

« Les patients atteints de troubles psychotiques ont, à des degrés divers, des désordres de la pensée et de la perception de la réalité, des délires, des hallucinations. »

Des exemples de médicaments neuroleptiques (antipsychotiques) sont l’aripiprazole (Abilify), l’olanzapine (Zyprexa), la rispéridone (Risperdal) et la quétiapine (Xeroquel, Seroquel).

« Prescrire a recherché et analysé les données de l’évaluation qui ont comparé entre eux les différents neuroleptiques (dits aussi “antipsychotiques”) utilisés depuis les années 1960 pour soulager les troubles psychotiques.

Selon cette analyse, les données sont nombreuses mais insuffisantes en pratique de soins. On manque sérieusement d’éléments solides pour distinguer les substances selon leur efficacité. Les critères de jugement des essais ont le plus souvent été des scores sur des échelles symptomatiques standardisées, qui laissent beaucoup d’incertitudes, par exemple en termes d’insertion sociale ou de rétablissement à long terme. Les hypothèses liant efficacité et mécanismes d’action n’ont pas été confirmées dans la pratique clinique.

Faute de mieux, les décisions de soins sont prises en fonction des effets indésirables, dont la connaissance se construit lentement au fil des années ; et en fonction des expériences personnelles, avec toutes les limites et les biais que cela comporte, en particulier l’influence plus ou moins marquante de tel ou tel leader d’opinion.

Quel que soit le neuroleptique choisi, la mesure la plus utile pour limiter les effets indésirables des neuroleptiques est de limiter autant que possible la dose et la durée du traitement. »

« Prescrire appelle les pouvoirs publics à mettre professionnels de santé, chercheurs et patients en situation de relancer une recherche clinique pertinente, pour obtenir des réponses pratiques vraiment utiles. »

Pour plus d’informations sur les médicaments neuroleptiques ainsi que sur la schizophrénie et les troubles psychotiques, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Prescrire.
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Idées pour consommer plus de bons gras et moins de gras saturés (Guide alimentaire canadien)

Le type de gras est plus important pour la santé que la quantité totale, souligne le nouveau Guide alimentaire canadien publié en janvier 2019.

Il présente plusieurs idées pour consommer plus de bons gras et moins de gras saturés.

Choisissez des aliments contenant de bons gras

  • Essayez différents types de poissons gras, comme :

    • la truite
    • le hareng
    • le saumon
    • le maquereau
  • Lorsque vous préparez des aliments, utilisez des huiles saines, comme celles :

    • de lin
    • d’olive
    • de soja
    • de maïs
    • de canola
    • d’arachide
    • de carthame
    • de tournesol
  • Mangez de petites quantités de noix comme collation.

  • Essayez des beurres de noix, comme le beurre d’arachide, d’amande ou de noix de Grenoble.

  • Essayez des graines de citrouille ou de tournesol. Faites-les griller pour les manger en collation ou ajoutez-les aux salades.

  • Préparez votre propre vinaigrette avec de l’huile de canola, d’olive ou de lin. Ajoutez du vinaigre balsamique, du vin de riz ou d’autres vinaigres. Aromatisez de jus de citron, de moutarde sèche ou de Dijon, d’ail et d’herbes.

Limitez la quantité d’aliments qui contiennent des gras saturés

  • Limitez la quantité d’aliments contenant des gras saturés, comme :

    • la crème
    • les viandes grasses
    • les viandes transformées
    • certains desserts et produits de boulangerie
    • la plupart des aliments frits, comme les frites
    • le lait de coco ou la crème de coco en conserve
    • certains desserts glacés comme la crème glacée
    • les fromages et les aliments contenant beaucoup de fromage
  • Lorsque vous préparez des aliments, essayez de limiter la quantité d’huiles et de gras saturées, comme :

    • le ghee
    • le beurre
    • le saindoux
    • l’huile de palme
    • la margarine dure
    • l’huile de noix de coco
  • Choisissez des coupes de viande maigres et de la volaille sans la peau. Retirez le plus de gras possible. Égouttez le gras de la viande hachée cuite.

    Les coupes de viande maigres ou extra maigres peuvent inclure :

    • les longes de porc
    • les poitrines de poulet
    • les biftecks ou rôtis de surlonge
    • la volaille hachée maigre
    • les rôtis d’intérieur et d’extérieur de ronde
    • le gibier comme :

      • le cerf
      • le bison
      • l’orignal
      • le caribou
  • Certains aliments transformés sont faits d’ingrédients à forte teneur en gras saturés. Lisez les étiquettes des aliments pour comparer les produits. Choisissez ceux qui contiennent peu ou pas de gras saturés ajoutés.

Remplacez les gras saturés par de bons gras

Essayez ces solutions pour remplacer les gras saturés par de bons gras :

  • Sur vos rôties, remplacez le fromage à la crème par du beurre de noix.
    Sur le pain ou les petits pains, remplacez le beurre par de l’huile d’olive aromatisée au vinaigre balsamique.

  • Pour la trempette, essayez de faire votre propre houmous ou tzatziki pour remplacer les trempettes aux épinards ou aux artichauts.

  • Lorsque vous cuisinez, remplacez le shortening, le saindoux ou la margarine dure par des huiles saines comme les huiles de canola, d’olive et de soja.

« Choisir des aliments contenant surtout de bons gras peut permettre de diminuer les risques de maladies du cœur », souligne le guide.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Guide alimentaire canadien.
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Dévoilement du nouveau Guide alimentaire canadien : les principaux changements

Santé Canada a dévoilé, le 22 janvier 2019, le nouveau Guide alimentaire canadien. Il s’agit de la 8e version depuis 1942 et la dernière révision datait de 2007.

L’arc-en-ciel qui représentait 4 groupes alimentaires depuis 1992 est désormais remplacé par une assiette illustrant la place que devraient prendre les fruits et légumes, les grains entiers et les protéines.

Le nouveau guide ne recommande plus de nombres de portions quotidiennes des différents groupes alimentaires mais plutôt des proportions.

Les fruits et légumes devraient occuper la moitié de l’assiette, tandis que les aliments contenant des grains entiers et les aliments protéinés devraient en occuper chacun un quart.

Les produits laitiers ne constituent plus un groupe alimentaire mais font désormais partie, parmi plusieurs autres aliments, de la catégorie des aliments protéinés, parmi lesquels il est recommandé de privilégier ceux d’origine végétale (légumineuses, noix, graines, tofu, boissons de soya) par rapport à ceux d’origine animale (lait, œufs, viande).

Le guide recommande de choisir des aliments qui contiennent surtout de bons gras plutôt que des aliments contenant surtout des gras saturés. Pour cela, il fait plusieurs suggestions d’aliments à choisir, d’aliments à limiter et de petites habitudes à modifier.

Il recommande aussi de limiter les aliments hautement transformés et de cuisiner plus souvent. Il fournit des conseils pour cuisiner et des informations sur les méthodes de cuisson saines.

Sur le site du Gouvernement du Canada : Guide alimentaire canadien

La même journée, le 22 janvier, sont parues les nouvelles recommandations alimentaires françaises qui comportent de grandes différences avec les recommandations canadiennes. Elles continuent notamment de recommander deux produits laitiers par jour.

Pour plus d’informations sur l’alimentation, les guides alimentaires internationaux et le Guide alimentaire canadien, voyez les liens plus bas.

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Nouveau Guide alimentaire canadien : les produits laitiers ne sont plus nécessaires pour la santé

Le nouveau Guide alimentaire canadien, qui devait paraître au début de l’année 2018, est attendu pour « début 2019 ».

« Une version préliminaire laisse présager de grands bouleversements », rapporte Radio-Canada. Notamment, les groupes alimentaires « lait et substituts » et « viandes et substituts » ont disparu au profit d’une catégorie d’« aliments protéinés ».

Le nouveau guide, dont La Presse et Radio-Canada, ont pris connaissance de documents préliminaires, contient trois catégories (plutôt que les 4 de l’arc-en-ciel) : les « aliments à grains entiers », les « légumes et les fruits » et les « aliments protéinés ».

Dans cette catégorie, le lait figure parmi 8 aliments (dont les noix, les légumineuses, le tofu, les œufs…) sans que des portions quotidiennes soient associées, les recommandations chiffrées pour chaque groupe alimentaire ayant disparu du guide.

Les produits protéinés d’origine végétale tels que les légumineuses et la consommation d’eau aux repas (même pour les jeunes) sont mis de l’avant, rapporte La Presse.

Alors que la version actuelle du Guide, mise à jour de 2007, recommande entre 2 et 4 portions de produits laitiers (yogourt, fromage, lait) par jour, en fonction des différents groupes d’âge.

Les documents consultés contiennent 150 messages destinés à différents publics, rapporte La Presse.

« Ces “messages” insistent à répétition sur la pertinence des noix et des crudités pour les collations.

“Les graines et les noix rôties à sec sans sel ni huile ajoutés sont parfaites pour une collation riche en protéines”, recommande par exemple l’agence fédérale. “Ayez des collations saines à portée de main, comme des légumes ou des fruits prédécoupés”, continue-t-elle. »

« C’est assez surprenant. Avant, il y avait presque toujours un yogourt ou un fromage comme collation [suggérée] », a expliqué Catherine Lefebvre, nutritionniste et auteure. Sur les 150 « messages » testés, seulement quatre encouragent la consommation de produits laitiers.

« Le nouveau guide continuerait de recommander aux Canadiens de consommer du lait, du yogourt et du fromage à légère teneur en gras et en sel », a indiqué Hasan Hutchinson, directeur général du bureau de la politique et de la promotion de la nutrition de Santé Canada, rapporte La Presse canadienne. « Le guide fera aussi mention des viandes moins grasses, de la volaille et d’autres produits d’origine animale qui sont bons pour la santé. Cependant, il y aura un accent sur les aliments d’origine végétale ».

Un virage vers les aliments végétaux, rapporte La Presse canadienne, « pourrait aider les Canadiens à consommer des produits plus riches en fibres, à moins manger de viande rouge et à remplacer des aliments contenant des gras saturés par d’autres avec des gras insaturés. »

Cette baisse de statut des produits laitiers représente une mauvaise nouvelle pour les producteurs laitiers déjà affectés par les concessions accordées dans les récents accords commerciaux.

Santé Canada a fait savoir que les documents consultés par les médias ne sont pas les documents finaux. On ne s’attend toutefois pas, à ce stade, à de grands changements.

« Le Guide alimentaire a vu le jour en 1942. Il visait alors à prévenir les déficits nutritionnels en période de rationnement alimentaire, pendant la guerre. Il a été révisé en 1961, en 1977, en 1982, en 1992, puis en 2007 », rapporte Radio-Canada.

Pour plus d’informations sur l’alimentation et le Guide alimentaire canadien, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Radio-Canada, La Presse, La Presse canadienne (Métro).
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Alzheimer : les médicaments, inefficaces, n’ont pas leur place (guide parcours de soin, HAS)

La Haute Autorité de Santé (HAS) a publié, le 25 mai, un guide pour la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et d’autres démences.

« A ce jour, il n’existe pas de traitement permettant de guérir la maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée, qui évoluent sur plusieurs années avant de conduire à une perte d’autonomie totale. »

« Les soins de proximité sont en première ligne, car 8 patients sur 10 vivent leur maladie à domicile. »

Un diagnostic « dès les premiers signes », souligne la HAS, permet « de mettre en place un parcours de soins et d’accompagnement adapté, avec des interventions visant le maintien d’une autonomie fonctionnelle des personnes, leur bien-être ainsi que le soutien de l’entourage dans son rôle d’aidant ».

Le diagnostic précoce permet à la personne malade « de choisir une personne de confiance, de participer aux décisions qui concernent sa santé ou son mode de vie et d’exprimer sa volonté avant que les troubles cognitifs ne soient trop sévères. »

« Le médecin généraliste, qui aura documenté un déclin cognitif, va orienter la personne vers un spécialiste d’une consultation mémoire afin de confirmer le diagnostic, déterminer la maladie en cause et réaliser un bilan neuropsychologique et fonctionnel approfondi.

Cette analyse globale est nécessaire à la mise en œuvre d’un parcours de soins et d’accompagnement adapté à la personne, à son entourage et à son mode de vie. Plusieurs expertises dans le champ du handicap neurologique peuvent être mobilisées, en fonction du stade de la maladie, au domicile comme en institution, avec comme objectif le maintien d’une autonomie fonctionnelle et sociale de la personne. Il est essentiel de maintenir une activité motrice par des exercices physiques adaptés et de corriger tout déficit sensoriel dès le début de la maladie. »

Médicaments

En ce qui concerne les médicaments, la HAS rappelle son évaluation de 2016 selon laquelle le service médical rendu des quatre médicaments utilisés est insuffisant.

« L’efficacité des médicaments du traitement symptomatique de la maladie d’Alzheimer est, au mieux, modeste. Elle est établie uniquement à court terme, essentiellement sur les troubles cognitifs, dans des études cliniques versus placebo dont la pertinence clinique et la transposabilité en vie réelle ne sont pas assurées.

Les données accumulées depuis la commercialisation des médicaments confirment le risque de survenue d’effets indésirables (troubles digestifs, cardiovasculaires ou neuropsychiatriques pour les plus notables) potentiellement graves, pouvant altérer la qualité de vie. En outre, dans une population âgée, souvent polypathologique et polymédiquée, il existe un risque supplémentaire d’effets indésirables graves du fait d’interactions médicamenteuses.

Au regard de l’absence de pertinence clinique de l’efficacité de ces médicaments et des risques de survenue d’effets indésirables, la HAS considère donc que ces médicaments n’ont plus de place dans la stratégie thérapeutique. »

Ce guide s’inscrit dans le cadre du Plan maladie neurodégénérative 2014-2019.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : HAS, .
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Livre « Le Guide de la rénovation HEUREUSE »

« Le Guide de la rénovation heureuse » (Éditions Trécarré, mars 2018) du journaliste Jean-Benoît Nadeau et de l’architecte Paul Bernier, n’est pas un manuel de bricolage.

Il « prépare plutôt à maîtriser le projet de rénovation — petit, moyen ou grand – dans son ensemble », à « bien planifier et réussir ses rénos sans y perdre sa santé, sa chemise ou son couple ! »

« Tout y est » afin de « planifier et de mener à bien cette entreprise dans la joie et l’harmonie » : « de l’idée au plan, en passant par le financement, l’embauche de l’entrepreneur, la surveillance de chantier et le dépannage en cas de problème. »

En plus de son métier de journaliste, Jean-Benoît Nadeau a effectué une dizaine de projets de rénovation chez lui, rapporte Le Devoir. Il a rédigé le livre qu’il aurait aimé avoir entre les mains lors de ces rénovations.

« Remarquez que je ne parle pas de rénovation joyeuse », écrivait-il en 2016 dans l’Actualité. « Chaque réno est unique par son ampleur et sa nature, mais toutes viennent avec des imprévus, de la saleté, des contraintes budgétaires, des choix douloureux à faire… et toutes constituent une grande épreuve dans la vie d’un couple ! Je dis rénovation heureuse parce que j’ai toujours su éviter le malheur suprême : le chantier-qui-ne-finit-jamais ! Un de mes amis a passé 10 ans dans des travaux qui devaient à l’origine durer trois mois. »

Plus des trois quarts du livre sont consacrés aux étapes préalables aux travaux en tant que tels. « La planification, ce n’est pas juste le plan, c’est toute une série de questions auxquelles il faut répondre soi-même », précise le journaliste.

« En étant architecte, et en faisant beaucoup de projets résidentiels, je m’apercevais que je faisais toujours les mêmes mises en garde et que les clients avaient toujours les mêmes étonnements, autant concernant les délais que le coût des choses », a expliqué Paul Bernier au Devoir. « Avec le livre, les gens voient à l’avance le chemin qu’ils vont parcourir ».

« Un projet réussi suppose que l’on ait passé autant de temps à le préparer qu’à l’exécuter », explique-t-il. « Le chantier lui-même ne représente qu’un quart du temps total », estime-t-il.

Les auteurs constatent que beaucoup de clients ont une impression de facilité. Les émissions de téléréalité pourraient y contribuer.

« Il y a une sorte de pensée magique qui existe partout dans la population et, en fait, soit on en est terrifié, soit on a des idées complètement irréalistes. Les gens ont peur de la rénovation, mais dès qu’ils décident d’en faire, ils tombent dans la pensée magique, peut-être par manque de compétences, peut-être par désir que ça aille le plus vite possible, puis ils sont surpris que ça prenne plus de temps et que ça coûte plus cher, surtout quand c’est mal planifié », lance M. Nadeau.

Le livre présente notamment une série de renseignements légaux. « Ces avis sont très difficiles à rassembler parce qu’ils relèvent d’informations de différents organismes, de la Régie du bâtiment, de la Commission de la construction ou encore de l’Office de la protection du consommateur, tout est éparpillé et nous avons été les premiers à rassembler ça dans un livre », explique Jean-Benoît Nadeau.

Psychomédia avec sources : Éditions Trécarré, Le Devoir.
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Voitures autonomes : quels choix automatiques en cas d’accident inévitable ? Un guide gouvernemental allemand

En cas d’accident inévitable quels choix doit faire une voiture autonome ? Le gouvernement allemand vient de publier un guide éthique pour les véhicules autonomes et connectés, le premier au monde, selon les auteurs.

Rédigé par la commission de l’éthique du ministère des Transports et des Infrastructures numériques, il édicte 20 principes ou règles.

Voici quelques-uns de ces principes :

  • D’abord, la conduite partiellement ou complètement automatisée vise à améliorer la sécurité pour tous les usagers de la route ; un autre but est d’augmenter les opportunités de mobilité ; les développements technologiques obéissent au principe de l’autonomie personnelle, ce qui signifie que les gens ont une liberté d’action.

  • La protection des personnes a préséance sur toutes les autres considérations utilitariennes ; l’octroi de licences à des systèmes automatisés n’est pas justifiable à moins de promettre une diminution du préjudice par rapport à la conduite humaine.

  • Dans des situations dangereuses qui s’avèrent inévitables, la protection de la vie humaine représente la priorité ; ainsi le système doit être programmé pour accepter de heurter un animal ou la propriété si cela peut éviter de blesser un humain.

  • En cas de situation d’accident inévitable, toute distinction entre des individus selon des caractéristiques personnelles (âge, sexe, condition physique ou mentale…) est strictement interdite.

Rapport de l’Ethics Commission : Automated and connected driving.

Voitures autonomes programmées pour sauver le plus de vies ou celle du conducteur ?

Pour plus d’informations sur les voitures autonomes et les questions éthiques, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : L’OBS
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Nouveau guide alimentaire canadien : moins de viande et de lait

Le nouveau Guide alimentaire canadien est prévu pour le début de l’année 2018. Santé Canada a déjà exposé les principes directeurs et les principales recommandations, lesquels ont fait l’objet d’une consultation.

Selon ceux-ci, le Guide recommandera notamment moins de viande et de lait, à la grande inquiétude de l’industrie.

Le guide recommande en effet :

  • la « consommation régulière de légumes, de fruits, de grains entiers et d’aliments riches en protéines, surtout en protéines d’origine végétale » ;

  • l’inclusion d’aliments qui contiennent surtout des lipides insaturés plutôt que des lipides saturés (que contient le lait, ndlr) ;

  • la consommation régulière d’eau.

Par ailleurs, le Guide recommande :

Parmi les données probantes à la base des principes directeurs et des recommandations, Santé Canada cite notamment qu’une association est établie entre une consommation accrue de viande rouge (bœuf, porc, agneau et chèvre) et une augmentation du risque de cancer colorectal.

Pour la première fois, le processus de révision du guide a exclu l’industrie des discussions et les études financées par des intérêts liés à l’industrie ne sont pas utilisées, a indiqué Santé Canada.

Aux États-Unis, un nouveau guide alimentaire a été lancé en janvier 2016.

Légumineuses, viande… : voici 7 changements dans les recommandations françaises

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Gouvernement du Canada, bis
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Vacances avec ou sans votre animal : le guide et l’appli de « 30 Millions d’Amis » (France)

Le guide « Vacances pas Bêtes 2017 » et l’appli « 30 Millions – Vacances » de la fondation 30 Millions d’Amis fournissent une multitude d’infos et de conseils pour organiser ses vacances en compagnie ou pas de son animal.

Ils contiennent notamment un annuaire des lieux d’hébergements acceptant les animaux et labellisés Gîtes de France®, une carte des plages « animaux friendly », un répertoire des adresses de pensions ou des pet-sitter, grâce à un partenariat avec Le Petit Futé®.

Le réseau « Entraide » sur 30millionsdamis.fr met aussi en relation gratuitement les maîtres d’animaux et ceux qui proposent des solutions de garde.

Le guide fournit notamment des informations sur les mesures de prévention en matière de santé, l’organisation matérielle, la réglementation sur l’identification par tatouage ou puce électronique, le voyage hors France (passeport), la sécurité et le bien-être de l’animal (habitude et rythme)…

La fondation vise notamment à lutter contre l’abandon des animaux, qui représente un véritable fléau lors de la saison estivale.

Téléchargez le guide ou l’application sur Android ou iOS.

Pour d’autres informations sur les chiens et les chats, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : 30 Millions d’Amis.
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