Archives par mot-clé : homme

Une contraception masculine innovante et naturelle

Deux jeunes esprits audacieux de l’école d’ingénieurs IMT Atlantique, Julie Simon et Éléonore Abadie, ont choisi de prendre une année sabbatique pour se plonger corps et âme dans un projet d’envergure. Leur vision pourrait bien transformer l’avenir de la contraception.

L’initiative a vu le jour suite à un cours sur la création de start-up, durant lequel les deux étudiantes ont été inspirées par un concept révolutionnaire : pourquoi la contraception masculine ne pourrait-elle pas être aussi efficace que celle féminine ?

Le fruit de leur réflexion s’est concrétisé sous la forme d’un dispositif novateur et naturel : un boxer réversible, non-hormonal et non-invasif. Le choix de ce vêtement découle de recherches approfondies, notamment les travaux du Dr. Mieusset du CHU de Toulouse, qui s’est dévoué pendant quatre décennies à explorer cette notion, bien qu’à travers la forme d’un slip.

L’idée repose sur la contraception thermique, expliquent-elles. En modérant la température testiculaire et en augmentant celle-ci de deux degrés, de 35°C à 37°C, la production de spermatozoïdes est inhibée. Cette méthode place le nombre de spermatozoïdes par millilitre en dessous du seuil contraceptif défini par l’OMS, soit 1 million.

Actuellement, les jeunes entrepreneures peaufinent les premiers prototypes en collaboration avec les CHU de Brest et de Nantes. Les essais préliminaires impliquent également la participation de leurs partenaires (« avec nos amis, qui acceptent de servir de volontaires cobayes », plaisantent-elles). Grâce à leur engagement et leur travail acharné, le projet s’est vu intégrer un incubateur spécial au sein du CHRU de Brest, ouvrant la voie à un essai clinique imminent.

Leur objectif est clair : obtenir une reconnaissance médicale et légale pour leur boxer, comblant ainsi le vide entre les pratiques artisanales de contraception existantes et l’absence de dispositif médical réglementé.

Encouragées par l’octroi d’une subvention de 10 000 € de la Fondation Le Roch-Mousquetaires pour l’entrepreneuriat, les deux entrepreneures ne relâchent pas leurs efforts. Leur prochaine étape cruciale se tiendra en mars, lorsqu’elles présenteront leur projet devant un comité au CHU de Brest. Entre-temps, elles demeurent à la recherche de partenaires médicaux pour soutenir leur cause audacieuse

Un homme de 56 ans contracte une hépatite E du rat

Un homme de 56 ans contracte une hépatite E du rat

Le 1er octobre 2018.

À Hong Kong, un homme de 56 ans a contracté une hépatite E du rat. C’est la première fois qu’une telle maladie est transmise à un humain.

Un habitant de Hong Kong contracte une hépatite E du rat

Dans l’ancienne colonie britannique Hong Kong, les rats sont de plus en plus nombreux. En cause : la chaleur et l’humidité qui facilitent leur prolifération. Et pour la première fois de l’histoire, une maladie qui n’est, théoriquement, développée que par les rongeurs, vient d’être transmise à un être humain.

L’Université de Hong Kong a récemment fait part de cette découverte inédite : un habitant a contracté une hépatite E du rat (HEV) dans des circonstances qui n’ont pas encore été élucidées. Selon les premières explications des chercheurs, le patient, âgé de 56 ans, aurait sans doute consommé des aliments infecté par des excréments de rats.

L’hépatite E du rat peut conduire à une défaillance hépatique

Cette maladie, une lointaine cousine des hépatites E humaines, se traduit par divers symptômes comme de la fièvre, des crises de jaunisse, des vomissements. Elle finit par se manifester par une défaillance hépatique, comme dans le cas de ce patient qui a dû subir une greffe de foie.

Nul ne sait quelles peuvent être les répercussions d’une telle découverte ni s’il s’agit là d’un simple cas isolé. Mais pour Hong Kong, cette annonce sonne comme un signal d’alarme, confirmé par les scientifiques qui ont fait cette découverte et qui affirment qu’il s’agit d’une découverte qui a « une signification majeure pour la santé publique ».

Gaëlle Latour

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Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Un homme de 88 ans a été opéré du coeur sous hypnose

Un homme de 88 ans a été opéré du coeur sous hypnose

Le 26 septembre 2018

Un homme âgé de 88 ans a été opéré du coeur à Lille pour la première fois, sans anesthésie lourde, mais sous hypnose. 

Un octogénaire opéré de l’aorte sous hypnose 

Gérard Courtois, âgé de 88 ans, a été opéré du coeur sous hypnose, au CHU de Lille. L’intervention délicate, qui consistait à changer une valve aortique, nécessite en principe une lourde anesthésie locale ou générale, et l’utilisation notamment de morphine et d’anxiolytiques. Or, les patients âgés sont « plus sensibles aux effets secondaires » de ces médicaments, comme l’explique le professeur Arnaud Sudre, chef du service chirurgie interventionnelle au CHU de Lille, à nos confrères de France Bleu Nord, pouvant aller jusqu’à « entraîner une confusion neurologique ». 

Les médecins étaient prêts à injecter au patient à tout moment les anesthésiques habituels, au cas où l’hypnose ne fonctionne pas. « On est parti un peu dans l’inconnu pour être honnête. Finalement, l’intervention s’est déroulée comme d’habitude pour moi, les gestes étaient les mêmes. Et le patient va très bien », raconte le professeur Sudre au micro d’Europe 1. L’hypnose permet par ailleurs au patient de récupérer immédiatement, précise-t-il.

8 patients sur 10 seraient réceptifs à l’hypnose 

Selon les journalistes de France Bleu Nord, « 80% des patients peuvent être réceptifs à l’hypnose ». Et ce fut le cas pour Gérard Courtois, qui raconte que si c’était à refaire, il recommencerait ! Hélène Sergent, l’infirmière qui a pratiqué l’hypnose durant l’intervention, a pris le temps de discuter avec l’octogénaire pour lever ses appréhensions avant l’opération. « Je suis allée le voir la veille. Nous avons discuté de son environnement, de ses passions, ce qui m’a permis de l’amener dans un monde qu’il aimait », explique-t-elle.

Le patient était tellement détendu que pendant l’intervention, qui a duré une heure, il a raconté ses nombreux voyages avec son épouse, parlé de sa passion pour le jardinage et a même dormi sans s’en rendre compte. « En parlant de tout ça, on oublie totalement ce qu’il se passe, on est transféré ailleurs », confie-t-il, 2 jours après son opération. Une première dans ce CHU de Lille, qui devrait poursuivre l’hypnothérapie puisque « quatre infirmières de ce service de chirurgie interventionnelle du CHU vont être formées prochainement à l’hypnose » selon France Bleu Nord.

Aurélie Giraud

À lire aussi Pour quoi pouvez-vous faire de l’hypnose ?

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Un homme survit à 18 heures d'arrêt cardiaque

Un homme survit à 18 heures d'arrêt cardiaque

Un homme survit à 18 heures d’arrêt cardiaque

Le 6 avril 2018.

Cet homme a une chance inouïe et est devenu un cas d’école pour les médecins de Montpellier qui le suivent. Explications.

Un arrêt cardiaque particulier

L’histoire a eu lieu il y a presque un mois, le 12 mars, à Béziers et a été relatée dans les colonnes du Midi Libre. Un homme de 53 ans rentrait du domicile de son frère, mais sa femme ne le voyant pas arriver est partie à sa recherche. Trouvé inanimé mais sans trace de violences, la famille a pensé à un arrêt cardiaque

Les secours sont intervenus et ont massé le corps pendant 4h30. Le coeur ne repartait pas, pourquoi s’acharner ? Mais non, ce n’était pas fini car la température de l’homme était descendue de 37°C à 22°C. Et c’est cette hypothermie majeure qui a sans doute sauvé le Biterrois. Après les hommes, les machines ont pris le relais pour le masser sans interruption.

Une hypothermie salvatrice

« Les médecins ont jugé, à juste titre, que c’était peut-être l’hypothermie qui empêchait le cœur de repartir. Il fallait donc d’abord réchauffer la victime avant de conclure à l’échec des massages », rapporte le docteur Jonathan Charbit, chef du service réanimation au CHU Lapyeronie de Montpellier. En effet, après dix-huit heures de massage, le coeur est reparti timidement puis a pu battre normalement sans l’aide de machine.

« L’hypothermie avait sans doute protégé le cerveau et les organes vitaux. Il y avait des chances qu’il n’y ait pas de séquelles. C’est la grande particularité du dossier. Si son corps avait été à température ambiante, à 37 degrés, le pronostic n’aurait pas été le même », termine le médecin Aujourd’hui, l’homme se remet doucement et son cas permet aux médecins d’accéder à de nouvelles connaissances sur l’être humain.

Maylis Choné

Lire aussi : 5 aliments pour protéger son cœur

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Ce jeune homme de 20 ans risque de mourir, son meilleur ami l’aide à réaliser ses rêves (VIDEO)

Ce jeune homme de 20 ans risque de mourir, son meilleur ami l’aide à réaliser ses rêves (vidéo). Chris n’est âgé que de 20 ans, mais ses jours sont déjà comptés selon les médecins. 8 ans après avoir remporté une première bataille contre la leucémie, ce jeune américain a appris qu’il avait fait une rechute. Sauf que cette fois, et selon les dires de ses médecins, ses chances de survie sont beaucoup faibles. Sans greffe de moelle, ils estiment qu’il n’a plus qu’un an ou deux à vivre. Il faut dire que son patrimoine génétique rend les chances de trouver un donneur compatible très minces…

capture Youtube

En 2009, lorsque la maladie s’était déclarée une première fois, Dillon, son meilleur ami était là. Aujourd’hui il est toujours à ses côtés pour l’aider à traverser ce nouveau et peut-être ultime combat. Par amitié il carrément décidé d’abandonner ses études pour aider son ami d’enfance à concrétiser ses rêves avant de mourir.

Comment ? En lui demandant d’abord de dresser la liste des 50 choses qu’il aimerait accomplir. Puis il a lancé “One list, one life” un projet participatif pouvant être financés par les internautes.

Et quelques semaines seulement après le lancement de “One list, one life” Chris a déjà réalisé plusieurs de ses rêves : aider des SDF, piloter un avion, se faire tatouer et faire une énorme bataille d’oreillers avec des inconnus. “C’est fantastique de vraiment vivre sa vie” a t-il déclaré bien conscient.

Il a formulé bien d’autres souhaits comme aider une femme âgée à traverser la rue; visiter le Japon; apparaître dans un jeu vidéo; voir un match de baseball, démolir une maison et même trouver l’amour…

L’objectif, mais vous l’aurez compris c’est bien sûr d’aider Chris à réaliser ses rêves, mais pas que.

Par sa démarche Dillon veut aussi sensibiliser le public à l’histoire de son ami, trouver pourquoi pas un donneur de moelle compatible et récolter un maximum de fonds pour les challenges les plus onéreux. Et si aujourd’hui 126 de ses vœux ont pu être réalisés, aucun donneur n’a été trouvé.

News Santé

Un homme transmet sciemment le virus du Sida à sa petite amie

Un homme transmet sciemment le virus du Sida à sa petite amie

Un homme de 36 ans a été mis en examen vendredi 4 août, à Paris, pour avoir transmis sciemment à sa petite amie le virus du Sida. Il aurait caché sa séropositivité par peur de la perdre.

L’homme est mis en examen pour avoir transmis le VIH à son ex-compagne

Nos confrères du Parisien ont rapporté cette histoire d’amour qui a viré au drame. La jeune femme apprend qu’elle est séropositive en 2016, après une analyse de sang effectuée dans un laboratoire de Rouen (Seine-Maritime). Elle demande alors des explications à son ex-compagnon parisien, qui lui avoue être porteur du virus du Sida depuis plus de 10 ans et qu’il lui a caché sa séropositivité. Celle-ci décide alors de porter plainte fin 2016.

L’homme a été convoqué mercredi dernier au commissariat à Paris, en raison de la localisation géographique du suspect, et a immédiatement reconnu les faits. Durant son interrogatoire, « Il soutient qu’il était tellement amoureux de cette jeune femme, explique une source proche de l’affaire, qu’il n’aurait pas osé lui avouer sa séropositivité, de peur de la perdre », peut-on lire dans les colonnes du Parisien.

L’homme était déjà connu des services de police

Convoqué par la police puis placé en garde à vue, l’homme, un ex-toxicomane, est déjà connu des services de police, pour faits de « violences, vol dans des voitures, cambriolage et infraction à la législation liée aux stupéfiants, commis entre 1987 et 2006 », peut-on lire aussi dans Le Parisien.

L’homme est également mis en examen pour « harcèlement » et « envois réitiérés de messages malveillants ». Selon lui, ce serait toujours l’amour porté à la jeune femme qui l’aurait conduit à envoyer ces nombreux messages après leur rupture. L’homme a été remis en liberté et placé sous contrôle judiciaire. L’enquête se poursuit, afin de déterminer s’il a contaminé volontairement d’autres personnes.

Aurélie Giraud

À lire aussi : Dépistage du VIH : analyse, examen et résultats

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Un homme remarche après 43 ans en fauteuil roulant à cause d’une erreur de diagnostic

Rufino Borrego, un Portugais aujourd’hui âgé de 61 ans, a passé 43 ans dans un fauteuil roulant suite à une erreur de diagnostic médical, rapporte le Jornal de Noticias.

À l’âge de 13 ans, il a reçu un diagnostic de dystrophie musculaire incurable avec le pronostic qu’il ne pourrait plus jamais marcher. En 2010, un neurologue lui a plutôt diagnostiqué une myasthénie congénitale, une maladie très rare qui peut être guérie avec un médicament utilisé contre l’asthme. Après un an de traitement, il a pu recommencer à marcher.

Il existe différents types de syndromes myasthéniques congénitaux. Ces troubles, d’origine génétique, sont caractérisés par un dysfonctionnement de la transmission entre le système nerveux et les muscles. Ils se manifestent par une faiblesse musculaire localisée ou généralisée et accentuée à l’effort.

Les erreurs de diagnostic sont les erreurs médicales les plus fréquentes, rapportait un rapport de l’Institute of Medicine américain en 2015.

Psychomédia avec source : Daily Mail.
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Les pesticides des fruits et légumes affectent la qualité du sperme

Selon une étude scientifique publiée dans la revue spécialisée « Human Reproduction » Continuer la lecture de Les pesticides des fruits et légumes affectent la qualité du sperme

Un aide-soignant agressé à Bordeaux par un homme refusant que sa femme soit auscultée par un homme

Un

aide-soignant du CHU de Bordeaux a porté plainte pour « violences » après avoir été agressé, le 9 août, par un homme qui refusait que son épouse enceinte soit examinée par un soignant masculin. Le CHU a lui aussi déposé plainte, au titre de personne morale, en soutien de son employé.

L’altercation est survenue aux urgences de la maternité, lorsque l’aide-soignant s’est interposé entre un collègue et l’homme en colère. Ce dernier était venu avec son épouse voilée pour un examen, mais refusait qu’elle soit auscultée par du personnel médical masculin, selon plusieurs sources, confirmant une information du quotiden Sud Ouest. L’aide-soignant a reçu des coups de poing à la face, puis le couple aurait quitté l’établissement.

Un motif religieux ?

L’éventuelle invocation par le mari d’un motif religieux le jour des faits, pour refuser que son épouse soit auscultée par un homme, reste à établir. Selon le chef du service de gynécologie-obstétrique du CHU, Dominique Dallay, cité dans Sud Ouest, les demandes de prise en charge de femmes par uniquement du personnel médical féminin sont « un sujet récurrent dans les maternités ». Et ce « pour différents types de raisons, pas uniquement religieuses », a précisé l’établissement à l’AFP.

L’hôpital « respecte toutes les croyances et s’efforce de répondre aux souhaits des patients », mais « n’en a pas toujours les moyens », en fonction du personnel disponible, notamment lors d’un week-end, notamment en période de vacances, où il peut arriver que seul un médecin homme se trouve de garde, selon le CHU.

Retrouvez cet article sur Francetv info

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USA : un homme infecté par un virus transmis par une tique décède

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Un américain d’une cinquantaine d’année est décédé des suites d’une infection liée à un nouveau virus véhiculé par une tique. Telle est l’annonce qu’ont fait les autorités sanitaires américaines ce vendredi. En bonne santé, l’homme avait été contaminé au printemps dernier dans l’État du Kansas.

La tique fait à nouveau parler d’elle. Généralement inoffensive, ce petit insecte peut cependant transmettre un virus (s’il en est porteur) qui conduit au développement d’une autre maladie potentiellement dangereuse, la maladie de Lyme. Conduisant à une infection chronique, cette pathologie se distingue par la formation d’érythèmes (plaques rouges) pouvant atteindre tous les organes, d’où sa dangerosité.

Retour sur les faits : les jours précédant son décès, le cinquantenaire avait été mordu à de multiples reprises par des tiques. Sur son épaule, les médecins qui l’ont soigné au Kansas ont retrouvé un parasite gonflé de sang. Après avoir été mordu, l’homme a rapidement été pris par des maux de tête accompagnés de fièvre et son état de santé s’est dégradé. Les fonctions rénales ont été gravement atteintes, et le patient ne pouvait plus respirer, entraînant son décès onze jours après.

Les analyses pour déceler un grand nombre de maladies infectieuses s’étant montrées négatives, un échantillon de sang a été envoyé dans un laboratoire du Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) pour des résultats supplémentaires. Grâce à une technologie moléculaire avancée de détection (AMD), les scientifiques ont pu identifier un nouveau virus, qu’ils ont nommé « Bourbon ». Ils ont également pu mettre en évidence qu’il appartenait à la famille des thogotovirus, virus qui n’avait jusqu’à présent conduit à l’apparition de symptômes que pour 8 personnes infectées sans jamais provoquer de décès.

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