Le candidat vaccinal vise à prévenir l’HSV-2, le virus de l’herpès simplex qui cause l’herpès génital, et potentiellement l’HSV-1, qui cause l’herpès oral et peut entraîner de l’herpès génital.
C’est le premier résultat de la collaboration de recherche établie en 2018 entre l’Université de Pennsylvanie et BioNtech visant à développer des candidats vaccins à ARNm pour la prévention et le traitement de diverses maladies infectieuses.
L’Organisation mondiale de la santé estime le nombre de personnes âgées de 15 à 49 ans souffrant d’une infection à l’HSV-2 à environ 491 millions.
BioNTech prévoit d’inscrire 100 personnes âgées de 18 à 55 ans dans son essai de phase 1 du médicament, a ajouté l’entreprise.
L’entreprise basée à Mayence a indiqué dans un communiqué séparé qu’elle avançait sur deux candidats vaccins à ARNm contre le paludisme et la tuberculose, qu’elle prévoit de mettre en essai à la fin de 2022 ou au début de 2023.