Archives par mot-clé : internationale

La CIM-11, 11e révision de la « Classification internationale des maladies », officiellement adoptée

Lors de l’Assemblée mondiale de la santé 2019 de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la CIM-11, 11e révision de la Classification internationale des maladies (« Classification statistique internationale des maladies et des problèmes de santé connexes »), publiée en janvier 2018, a été adoptée.

Elle rentrera en vigueur le 1er janvier 2022.

La première édition de la classification internationale, connue sous le nom de Liste internationale des causes de décès, a été adoptée par l’Institut international de statistique en 1893.

L’OMS s’est vu confier la CIM à sa création en 1948 et a publié la 6e version, la CIM-6. La CIM-10 a été approuvée en 1990 et est utilisée par plus de 100 pays dans le monde.

Ayant exigé plus d’une décennie de travaux, la CIM-11 « représente une amélioration considérable par rapport à la CIM-10 », souligne l’OMS. Premièrement, elle a été mise à jour et reflète les progrès de la science et de la médecine. Deuxièmement, elle est entièrement électronique. Troisièmement, elle a été produite d’une manière transparente et collaborative.

Bien qu’elle entre en vigueur en janvier 2022, « compte tenu de l’ampleur de l’adaptation technique et technologique et de la formation nécessaires pour passer au nouveau système », « il est peu probable que le passage de la CIM-10 à la CIM-11 se fasse du jour au lendemain », souligne l’OMS.

« Il est ainsi peu probable que la CIM-11 remplace la CIM-10-CM aux États-Unis dans un proche avenir. Alors que l’OMS a initialement accepté l’utilisation de la CIM-10 en 1990, il a fallu des décennies aux États-Unis pour créer et mettre en œuvre sa version modifiée en 2015. »

En France, la CIM-10 a été appliquée à compter de 2000, indique Wikipédia.

La CIM-11 ne semble disponible pour l’instant qu’en anglais.

11e édition de la Classification internationale des maladies de l’OMS

Psychomédia avec sources : OMS, OMS.
Tous droits réservés

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Thème de la Journée internationale des droits des femmes 2019 au Québec

qu’il souhaite dorénavant appeler « Journée internationale des droits des femmes » (comme c’est déjà le cas dans certains pays tels que la France) afin de lui donner une perspective militante et féministe.

Le collectif est composé de la Fédération des femmes du Québec (FFQ), du comité condition féminine de la CSN, de la FTQ et de l’Intersyndicale des femmes.

Pour la journée 2019, il propose comme thème : « Le respect, ça se manifeste ! »

Nous nous unissons pour exiger RESPECT, peut-on lire au verso de l’affiche conçue par le Collectif :

  • « Parce que nous sommes plus nombreuses à subir la violence, à vivre dans la pauvreté, à travailler au salaire minimum, à être monoparentale, à gagner un salaire moindre malgré des compétences équivalentes ;

  • Parce que nous sommes plus nombreuses à assumer les tâches ménagères, à prendre soin d’un enfant ou d’un parent malade ;

  • Parce que nous sommes moins nombreuses dans les lieux de pouvoirs, qu’ils soient politiques, économiques ou culturels, et moins nombreuses dans les livres d’histoire ;

  • Parce que la plupart des vérités énoncées ci-haut touchent de façons encore plus criantes certaines d’entre nous qui sommes autochtones, racisées, handicapées, transgenres, en situation de pauvreté, etc. »

Le Collectif invite à utiliser le mot-clic #respect dans le cadre des actions et communications entourant le 8 mars ou simplement pour commenter l’actualité.

Dépliant de la journée : Le respect, Ça se manifeste !

La Journée internationale des femmes a été officialisée par les Nations unies en 1977.

Pour l’équité salariale : une question désormais interdite des entretiens d’embauche par Amazon, Google…, des villes et des États américains

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Fédération des femmes du Québec, APTS, Centrale des syndicats démocratiques (CSD).
Tous droits réservés

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Syndrome de fatigue chronique : importante conférence internationale à Montréal

Une importante conférence internationale sur le syndrome de fatigue chronique, aussi appelé encéphalomyélite myalgique, se tiendra à Montréal, au CHU Sainte-Justine, du 2 au 5 mai 2018.

La conférence réunira 250 chercheurs et professionnels de la santé de diverses disciplines « afin d’élaborer un programme de recherche international pour cette maladie invalidante, pour laquelle il n’existe pas de cause connue ou de traitement efficace ».

Cette conférence intervient à un moment où la recherche sur cette maladie n’a jamais été aussi effervescente. Le domaine reçoit de plus grands financements publics et privés, plusieurs initiatives visent à coordonner les efforts de recherche et le domaine attire de plus en plus de chercheurs de grande renommée dont plusieurs seront présents.

Les National Institutes of Health (NIH) américains, notamment, ont augmenté les budgets de recherche sur cette maladie, initié des programmes de recherche internes et financer la création d’un consortium de trois centres de recherche.

Plusieurs pistes de recherche sur les causes et les mécanismes pathologiques de la maladie semblent prometteuses et, bien qu’elles ciblent des mécanismes différents, des hypothèses englobant ces différents mécanismes se dessinent. Il est crucial, soulignent les experts, de coordonner et de bien orienter les efforts afin d’arriver le plus rapidement à une compréhension de la maladie et à des traitements.

Les conférences et animations se dérouleront en anglais. Un système de traduction simultanée en français sera offert pour certaines séances.

Lors de la deuxième journée, des séances sont destinées aux patients.

Informations et inscription : Montréal 2018 Conférence sur l’EM/SFC

Programme de la conférence : Conférence collaborative canadienne sur l’EM/SFC

Pour plus d’informations sur le syndrome de fatigue chronique (SFC), voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : ME/CFS Canadian Collaborative Team Conference.
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

C’est la journée Internationale de l’épilepsie

France Epilepsie

France Epilepsie

En ce lundi 9 février 2015 se déroule la journée Internationale de l’épilepsie. Le slogan retenu cette année est « L’épilepsie, c’est bien plus que des crises !».

Avec plus de 50 millions de personnes atteintes d’épilepsie dans le monde, 600000 personnes en France, et de plus en plus de cas chaque année, l’épilepsie, appelée « maladie honteuse » reste une maladie méconnue du grand public. Malgré des traitements existants pour l’ensemble des malades, environ 200.000 patients (30%) se trouvent dans des situations extrêmement lourdes d’échec thérapeutique, ne trouvant pas de traitements efficaces. La thérapie par stimulation du nerf vague (SNV) peut apporter une réponse efficace pour ces cas précis. C’est dans ce contexte et à la veille de la journée internationale de l’épilepsie qu’Epilepsie France, souhaitait apporter aux Français un éclairage sur la maladie, les idées reçues, et sur les différentes prises en charge.

L’épilepsie, qu’est-ce qu’est ?

« L’épilepsie est une affection chronique du cerveau qui touche toutes les populations du monde. Elle se caractérise par des crises récurrentes se manifestant par de brefs épisodes de tremblements involontaires touchant une partie du corps (crises partielles) ou l’ensemble du corps (crises généralisées). Ces crises résultent de décharges électriques excessives dans un groupe de cellules cérébrales. » (Definition selon l’Organisation Mondiale de la Santé)

L’épilepsie en chiffres

– Plus de 50 millions de personnes souffrent d’épilepsie dans le monde
– Environ 2,4 millions de nouveaux sujets sont signalés chaque année dans le monde.
– 600 000 épileptiques en France, dont la moitié à moins de 20 ans, et dans 75 % des cas, la maladie s’est installée avant 18 ans.
– L’incidence de l’épilepsie se situe autour de 50 nouveaux cas pour 100 000 habitants dans les pays développés (chiffre de l’OMS)
– Plus de 5 % de la population est susceptible de faire un jour une crise

Une Journée de sensibilisation….
…Pour lutter contre les idées reçues, « L’épilepsie, c’est bien plus que des crises ! »

La Journée Européenne de l’Epilepsie vise à sensibiliser le grand public sur la réalité de cette maladie, les traite- ments pour les patients, mais aussi les avancées médicales récentes. Pour les Français, l’épilepsie rime avec : cris, convulsions, bave, perte de connaissance… Pour autant, l’épilepsie ne se réduit pas à ces quelques symptômes. La plupart d’entre eux confondent l’épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire : la crise, et seulement 20 % savent qu’elle traduit un dysfonctionnement neurologique. L’épilepsie est encore perçue comme l’une des dernières maladies honteuses. A la complexité de cette pathologie s’ajoutent des préjugés qui perturbent la vie des patients et de leurs familles. Ces patients font face à de nombreuses difficultés pour aller travailler, être scolarisé, être accepté socialement ou tout simplement oser sortir de chez soi. Une maladie synonyme d’angoisse pour les malades craignant la survenue d’une crise. N’importe quand. N’importe où. Et au-delà du retentissement physique, la crainte de l’exclusion, l’épilepsie est devenue une véritable maladie sociale qui tend à marginaliser ceux qui en sont victimes, de l’école et jusqu’à la fin de leur vie. Pourtant, les traitements ont progressé et la majorité des patients peut aujourd’hui mener une vie normale.

Une Journée de sensibilisation….
….Pour informer le grand public sur les traitements

« Pour réduire la fréquence et l’intensité des crises, et permettre aux maladies de vivre le mieux possible avec leur maladie, de nombreux traitements médicamenteux existent », rappelle l’association. Si le traitement s’avère efficace, il permettra alors de contrôler les crises et stabiliser la maladie pour 70 % des épilepsies. Mais parfois ces médicaments n’ont pas l’effet escompté : les crises persistent et/ou les effets secondaires deviennent intolérables (léthargie, changement pondéral, état suicidaire ou dépressif, difficultés d’apprentissage, etc…).

« Dans ce cas, il faudra considérer d’autres options. », indique l’association. La chirurgie de l’épilepsie peut s’avérer curative pour des types de crises spécifiques. Cependant, tous les patients ne peuvent être candidats à un traitement chirurgical et le recours à la chirurgie est limité en raison de la nature invasive et irréversible de la chirurgie.

Le régime cétogène est souvent efficace à court ou moyen terme chez les enfants présentant des types de crises spécifiques mais est susceptible d’entraîner des complications gastriques à court terme et des complications cardiovasculaires à long terme. Le régime est mal toléré et peu d’enfants continuent à l’observer après quelques années.

Le régime Atkins modifié est utilisé à la fois chez les adultes et chez les enfants. Il est considéré comme moins restrictif que le régime cétogène tout en présentant des taux d’efficacité similaires.

La chirurgie de l’épilepsiepeut s’avérer curative pour des types de crises spécifiques. Cependant, tous les patients ne peuvent être candidats à un traitement chirurgical et le recours à la chirurgie est limité en raison de la nature invasive et irréversible de la chirurgie.

La stimulation cérébrale profonde (SCP) repose sur la stimulation de certaines zones du cerveau grâce à une électrode placée dans la profondeur du cerveau. Au cours de l’intervention chirurgicale pratiquée pour la pose des électrodes, aucune région du cerveau n’est retirée. Procédure relativement invasive, présentant de graves effets secondaires potentiels, elle peut entraîner des complications à plus long terme, comme la dépression et des problèmes de mémoire. Cette option thérapeutique est en phase expérimentale en France.

« Le patient peut améliorer sa qualité de vie si toutes les pistes thérapeutiques lui sont proposées. Il existe à l’heure actuelle de nombreuses options qui s’avèrent, en fonction des cas, plus ou moins performantes. Par exemple, pour certains cas de patients « pharmacorésistants » ou certaines formes d’épilepsie, la stimulation par le nerf vague peut s’avérer une bonne alternative et améliorer considérablement la qualité de vie du patient ». Leila Ahddar, Présidente d’Epilepsie France

La stimulation du nerf vague : une option thérapeutique innovante qui fait ses preuves

30% des épileptiques chez qui les crises ne sont pas contrôlées par les médicaments ou pour qui les effets secon- daires sont intolérables sont dits « pharmaco – résistants ». Pour ces patients le taux de réussite diminue pour chaque nouveau médicament essayé. La Ligue internationale contre l’Épilepsie estime qu’un patient souffre « d’épilepsie pharmaco – résistante » après au moins deux échecs de traitement bien conduits contre les crises d’épilepsie.

Cette forme d’épilepsie grave résiste à tous traitements médicamenteux. Au plan individuel, cette forme d’épilep- sie constitue un handicap important aux conséquences socio – professionnelles souvent majeures. Les patients pharmaco résistants subissent une charge économique et sociale importante, les crises non contrôlées étant asso- ciées à de nombreux effets préjudiciables.

La thérapie par stimulation du nerf vague (SNV) a été introduite il y a plus de 20 ans et est devenue une option thérapeutique reconnue devant être prise en compte par les médecins et les patients.

Aujourd’hui environ 2 600 patients bénéficient de la SNV depuis ces dix dernières années. Plusieurs études dé- montrent qu’environ 50 % des patients atteignent une réduction de la fréquence de leurs crises de plus de 50 %, une amélioration de leur qualité de vie, ainsi que l’humeur, la cognition et la concentration. Les effets secondaires les plus communs sont l’enrouement, la toux, l’essoufflement et les maux de gorge. Généralement, ces effets secondaires sont directement liés à la stimulation et ils diminuent avec le temps. Les « bons » candidats pour la thérapie sont les patients atteints d’épilepsie pharmaco résistante qui ne peuvent avoir recours à la chirurgie. Les patients qui ont subi un traitement chirurgical, mais qui continuent à subir des crises obtiennent également de bons résultats en matière de réduction des crises grâce à la thérapie par SNV.

Le traitement consiste à implanter un petit dispositif ressemblant à un stimulateur cardiaque dans la poitrine et à le connecter à un mince câble électrique, qui est mis en place pour stimuler le nerf vague gauche au niveau du cou. Outre une stimulation intermittente programmée, les patients disposent également d’un aimant leur permettant de provoquer une stimulation magnétique sur demande, dans le but de stopper ou de diminuer l’intensité des crises et améliorer la phase postcritique.


News Santé

Reconnaissance scientifique internationale de l’efficacité thérapeutique du dispositif médical Cefaly®

Reconnaissance scientifique internationale de l’efficacité thérapeutique du dispositif médical Cefaly®, une innovation technologique mise au point par la firme liégeoise Cefaly Technology dans le traitement de la migraine.

Liège, Belgique, le 13 janvier 2014. Le Cefaly®  est une innovation technologique issue de la recherche menée et mise au point en 2009 par la Société liégeoise Cefaly Technology (anciennement Stx-Med) fondée en 2004 par M. Pierre Rigaux, Docteur en Médecine (Université de Liège) et M. Pierre-Yves Muller, Docteur en physique (Université de Genève).

Le Cefaly® est le premier appareil de neurostimulation externe au monde pour le traitement et la prévention des migraines et des céphalées. Son efficacité thérapeutique est aujourd’hui pleinement reconnue  par la communauté scientifique internationale.

Une première publication des résultats de l’étude PREMICE dans la revue NEUROLOGY (Journal Officiel de l’Académie Américaine de Neurologie) avait déjà reconnu en mars 2013 l’efficacité et la sécurité du dispositif médical CEFALY® dans le traitement de la migraine.

C’est aujourd’hui au tour de la prestigieuse revue scientifique de référence  « JOURNAL of HEADACHE and PAIN »  de publier à son tour les résultats positifs d’une étude clinique menée sur 2313 patients et de confirmer l’excellente efficacité et sécurité de l’appareil médical CEFALY® dans le traitement de la migraine**.

« Cette étude menée sur un grand nombre de personnes  (2313 patients) confirme ce que nous annoncions depuis le lancement du produit en 2009, à savoir que notre dispositif médical pouvait engendrer une amélioration significative, sans médicaments ni contre-indications pour les patients, dans le traitement de la  migraines. » déclare le Dr Pierre Rigaux, co-fondateur de Cefaly Technology. Les médicaments antimigraineux, ajoute-t-il, ne sont que modérément efficaces, souvent mal tolérés et leur utilisation excessive est un facteur essentiel d’aggravation et d’évolution vers une forme chronique. Après deux mois de traitement avec notre dispositif, l’étude a révélé que 54,4% des patients décrivaient une amélioration très significative. Et si on écarte les patients qui n’ont pas ou peu utilisé l’appareil et que l’on conserve les utilisateurs réguliers, le pourcentage des patients avec une amélioration très significative est même de 81%. »

Des effets secondaires, tous mineurs et totalement réversibles, sont rapportés par seulement 4,3% des patients, précise l’étude qui souligne le rapport efficacité/sécurité excellent observé.

Cefaly® apparaît aujourd’hui comme un moyen de choix pour traiter une majorité de patients migraineux. 

« La neurostimulation crânienne est une technique utilisée depuis plusieurs années en neurologie, mais qui était appliquée au moyen de neuro-stimulateurs implantables (type pacemaker). Cefaly® est le premier appareil de neurostimulation crânienne externe au monde et les progrès technologiques du Cefaly® en font un dispositif médical simple d’utilisation, léger, économique et confortable, qui procure aux patients migraineux un moyen de traitement efficace non-médicamenteux et non-invasif. »  ajoute Pierre-Yves Muller, co-fondateur de la société liégeoise basée à Herstal.

La technologie mise au point par la société liégeoise a d’emblée, et dès 2009, rencontré un vif succès lors de sa présentation dans les congrès scientifiques et expositions médicales dans le monde. Le Cefaly® est aujourd’hui déjà distribué dans une trentaine de pays. La société Cefaly®  Technology, basée à Herstal, occupe une dizaine de personnes et affiche une croissance en 2013 de quelque 16 % avec un chiffre d’affaires de 2,5 M€ (600.000€ en 2009).

(*)http://www.neurology.org/ content/early/2013/02/06/WNL. 0b013e3182825055.abstract

(**)http://www. thejournalofheadacheandpain. com/content/14/1/95

A propos du Cefaly : Le Cefaly® , protégé par une série de brevets, a le marquage CE Médical et est certifié ISO Médical. Une électrode autocollante est placée sur le front et l’appareil vient se placer sur cette électrode dans la position d’une paire de lunettes. Des impulsions très précises sont transmises au travers de l’électrode aux terminaisons nerveuses de la branche supérieure du nerf trijumeau.

En Europe, le Cefaly est proposé en location essai pour 49 € tout compris durant 40 jours. En cas d’achat le montant de la location est déduit du prix d’achat, soit 295€ – 49€ = 246€.

A propos de Cefaly Technology sa : Cefaly Technology (ex-STX-Med) est spécialisée dans la recherche et l’innovation utiles à l’être humain dans le domaine de l’électronique et de la bioélectronique. Une équipe pointue d’ingénieurs et de médecins exploite les résultats de la recherche médicale pour réaliser des produits électroniques qui améliorent la santé et le bien-être des personnes. La société est située en Belgique dans le Parc Scientifique de Liège et dans la ZI des Hauts-Sarts à Herstal. L’entreprise conduit de nombreux projets en collaboration étroite avec des Centres de Recherche et des Universités. En septembre 2013, Cefaly Technology (STX-Med) a été la seule entreprise européenne retenue pour participer au grand projet de recherche européen sur la migraine EUROHEADPAIN financé par l’Union Européenne, aux côtés de onze centres de recherche académiques de dix pays différents.

Source/Référence © 2014 Cefaly Technology


News Santé