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La synergologie, qui interprète le langage du corps, est-elle une discipline scientifique ?

La synergologie est, selon le site officiel de la discipline, une « discipline scientifique de lecture du langage corporel » fondée par le français Philippe Truchet en 1996. Elle attiserait de plus en plus l’intérêt au Québec, « notamment chez des avocats, des juges et des policiers », selon des sources rapportées par les auteurs d’une analyse parue dans la Revue de psychoéducation.

Mais, elle ne respecte pas les principes fondamentaux de la démarche scientifique, expliquent Vincent Denault, Pierrich Plusquellec et Serge Larivée de l’Université de Montréal ainsi que Dany Plouffe de l’Université McGill. Il s’agit d’une pseudoscience.

Par exemple, des partisans affirment avoir « validé » – en marge de la science – plusieurs centaines de gestes, qui constituent un « Lexique corporel », auxquels une signification peut être donnée. Toutefois, à la connaissance des auteurs, la fidélité et la validité de ce lexique n’ont pas été démontrées, ce qui est pourtant « un passage obligé pour quiconque prétend avoir une approche scientifique. »

Les auteurs mettent en évidence « diverses stratégies utilisées par des tenants de la synergologie pour convaincre et faire taire les critiques : l’appel à l’autorité, le raisonnement circulaire, le défaut de lien avec d’autres disciplines scientifiques, l’utilisation d’anecdotes et de témoignages informels, et l’absence d’évaluation par les pairs. La liste n’aurait pas été complète sans y ajouter le détournement du vocabulaire scientifique. »

Plusieurs exemples illustrent les allégations et les pratiques de la synergologie.

De quoi s’inquiéter « notamment parce que des juges, des procureurs et des policiers – et d’autres professionnels en position d’autorité – ont eu recours à des tenants de la synergologie et pourraient s’appuyer sur des concepts pour le moins incertains, sinon carrément contraires au consensus scientifique ».

David Mallett interprète à son tour l’effet beach waves

Pour ensoleiller notre quotidien alors que l’été est encore bien lointain, David Mallett nous propose Australian Salt Spray, son astuce pour réaliser en un tour de main un look « beach waves ».

Ce produit de styling capillaire reproduit en effet parfaitement l’effet « soleil, vent et eau de mer » sur le cheveu.

Il façonne les boucles à l’aspect désordonné et apporte tonicité et volume naturel au cheveu, créant ainsi ce style « retour de plage » à la fois nonchalant et millimétré si prisé depuis l’été 2014.

Le secret de l’Australian Salt Spray ? Le sel de Murray River, jusqu’alors apanage des grands chefs des restaurants étoilés.

Récolté dans la région de New South Wales, ce sel doux, sans additif ni conservateur, rejoint la composition de la nouvelle création David Mallett et confère aux cheveux ses effets bénéfiques grâce à sa teneur élevée en magnésium et en calcium.

Australian Salt Spray améliore ainsi la texture du cheveu sans l’alourdir, ni le rendre collant ou sec, tout en lui donnant un mouvement naturel pour un look retour de vacances idéal pour égayer la saison actuelle.

Il suffit pour cela d’agiter plusieurs fois le flacon pour activer les principes actifs, d’appliquer trois à six pulvérisations sur cheveux mouillés ou secs, puis de mettre en forme avec les doigts avant de laisser sécher naturellement ou au sèche-cheveux.

Pour augmenter cet effet et adopter le look « retour de plage », on applique une grande quantité sur les cheveux avant de les ébouriffer puis on laisse sécher à l’air libre.

Enfin, pour un effet ondulé, on utilise le sèche-cheveux et on tortille les mèches pour former des boucles.

(Australian Salt Spray, David Mallett. Disponible au salon David Mallet, 14 rue Notre-Dame des Victoire 75002 Paris, dans une sélection de boutiques et sur www.shop.david-mallett.com. Spray 150ml, ppi : 30 €)


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