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Chien chat : j’ai trouvé un animal perdu !

Les animaux perdus vont à la fourrière

30 000. C’est le nombre d’animaux qui se perdent chaque année. L’été est d’ailleurs une période propice à la perte d’animaux puisque la moitié se perd durant cette période. Comment gérer un animal trouvé seul ?

Animal perdu : quelles démarches ?

Avant toute décision, il faut s’assurer que l’animal est réellement perdu. Pour cela, il faut vérifier si le maître de l’animal n’est pas à proximité. L’animal porte-t-il une médaille ou un collier indiquant éventuellement les coordonnées du maitre ?

Autre moyen de trouver l’identité d’un animal trouvé, c’est de regarder s’il est tatoué ou s’il possède une puce (obligatoire depuis 2012).

  •  Si l’animal est tatoué, il faut contacter le fichier national d’identification des carnivores domestiques soit directement en ligne sur www.i-cad.fr soit par téléphone au 0 810 778 778 (numéro Azur).
  •  S’il porte une puce, il convient de l’amener auprès d’un vétérinaire qui pourra lire les informations de la puce.

Après identification et déclaration auprès de la société centrale canine ou du fichier national félin, le propriétaire de l’animal recevra un courrier pour l’informer sur la situation de son animal.

Chien ou chat perdu : qui doit gérer l’animal ?

Sans nouvelle du propriétaire, qui doit garder l’animal perdu ? La police municipale, la gendarmerie ou la permanence de mairie sont en en charge des animaux errants. Les vétérinaires ne garderont pas les chiens ou chats perdus. Les services de recueil contacteront enfin la fourrière.

La personne qui a trouvé l’animal peut faire une déclaration de garde auprès de la fourrière. En revanche, l’animal devra être restitué à son maître en cas de manifestation de ce dernier. 

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VIDEO. Laetitia Mendès : « J’ai subi une double mastectomie pour éviter un cancer du sein »

Elle n’a que 24 ans, en 2006, lorsqu’elle apprend qu’elle est porteuse d’une mutation génétique qui l’expose particulièrement au cancer du sein. Comme son arrière-grand-mère, sa grand-mère et sa mère avant elle. Alors Laetitia Mendès décide de se faire retirer les deux seins, préventivement.

« Je sens que, si je ne le fais pas, je suis condamnée, témoigne la jeune femme, qui raconte son choix dans le livre ‘Mon petit gène, ma seconde chance’. On m’annonce que j’ai plus de 80% de risques de déclarer un cancer du sein. »

Lorsque le dépistage tombe, elle apprend également qu’elle est enceinte. « Pour moi, cette poitrine, elle n’est pas nourricière, elle n’est pas en pleine santé. Ces seins, ils sont empoisonnés. »

Deux ans après la naissance de sa fille, en 2008, c’est l’opération. Commence un nouveau combat : celui de l’acceptation. « C’est une vraie mutilation, il nous manque quelque chose. » Il lui a fallu du temps pour accepter son nouveau corps. « J’ai dû me forcer à rester coquette. »

Laetitia Mendès a décidé de parler de son opération quand l’actrice Angelina Jolie a révélé sa double mastectomie, en 2013. « Cela m’a libérée. Si elle n’avait pas parlé, je n’aurais jamais réussi à le faire. J’avais honte. » Et la jeune femme de conclure : « Cette opération, je ne l’ai jamais regrettée. C’est la plus belle décision de ma vie. »

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J’ai eu l’enfance la plus bio qu’on puisse imaginer, sans vaccins. Et j’ai été malade tout le temps.

Je suis l’enfant d’une ayatollah du bio des années 1970. Je n’ai pas été vaccinée. Mon éducation a été gouvernée par des préceptes d’une draconienne salubrité: pas de sucre jusqu’à l’âge d’un an, lait maternel au-delà de la première année, légumes bio cultivés à la maison, lait cru, pas de GMS, pas d’additifs, pas d’aspartame. Ma mère avait recours à l’homéopathie, à l’aromathérapie, à l’ostéopathie; nous ingérions quotidiennement des suppléments de vitamine C et d’échinacea ainsi que de l’huile de foie de morue.

J’ai beaucoup vécu au grand air; j’ai grandi près d’une ferme dans le Lake District, en Angleterre. Je me déplaçais à pied, faisais du sport et de la danse deux fois par semaine, et buvais beaucoup d’eau. Les boissons gazeuses m’étaient interdites, même mon jus de fruit frais était coupé avec de l’eau pour protéger mes dents et j’aurais tout donné pour avoir, de temps en temps, comme les autres enfants, un morceau de pain blanc du magasin et des biscuits dans ma boîte à déjeuner plutôt que des fruits.

Nous mangions de la viande (locale et bio) peut-être une ou deux fois par semaine et mon père et ma mère cuisinaient tout eux-mêmes –je n’ai à ce jour encore jamais goûté de crispy pancake Findus, et les frites au four étaient réservées aux soirs où Papa et Maman avaient des invités et que nous avions droit à une «gâterie».

L’apparente salubrité de mon style de vie ne m’a pas empêchée de contracter la rougeole, les oreillons, la rubéole, un type de méningite virale, la scarlatine, la coqueluche, une angine par an et la varicelle. Lorsque j’avais une vingtaine d’années, on m’a trouvé des lésions précancéreuses dues au papillomavirus et avant qu’elles ne soient retirées, j’ai passé six mois de ma vie à me demander comment j’allais annoncer à mes enfants de moins de 7 ans que Maman allait peut-être avoir un cancer.

Par conséquent, les craintes des militants anti-vaccins qui clament que nous nous faisons «stériliser l’immunité naturelle» ne marchent pas avec moi. Comment, malgré mon enfance idyllique et mon alimentation incroyablement saine, ai-je pu tomber sans arrêt et si atrocement malade?

J’ai avalé tellement d’antibiotiques…

Ma mère aurait fichu la honte à la plupart de mes amis écolos d’aujourd’hui. Elle ne buvait pas, ne fumait pas, ne se droguait pas, et il n’était pas question de regarder ce que nous voulions à la télévision, de porter des chaussures en plastique ni rien de ce genre. Elle vivait une santé alternative. Et vous savez quoi? Je suis heureuse qu’elle nous ait imposé une si bonne alimentation. Je suis ravie qu’elle se soit souciée de nous à ce point.

Mais cela ne m’a pas empêchée de contracter des maladies infantiles.

Mes deux enfants vaccinés, en revanche, sont rarement malades et ont dû prendre des antibiotiques au maximum deux fois dans leur vie. Pas comme leur mère. J’ai eu tellement de maladies nécessitant un traitement aux antibiotiques que j’ai développé une résistance, ce qui m’a conduit à 21 ans à être hospitalisée pour une amygdalite purulente résistante à la pénicilline –vous savez, cette maladie de jadis qui aurait causé la mort de la reine Elisabeth I et qui a été quasiment éradiquée grâce aux antibiotiques.

Mes enfants n’ont contracté d’autre maladie infantile que la varicelle, qu’ils ont tous les deux eue alors que je les allaitais encore. Eux aussi ont bénéficié d’une alimentation saine, avec des légumes bio cultivés à la maison, etc. Je n’ai pas été aussi stricte que ma mère, mais ils sont tous les deux en meilleure santé que je l’ai jamais été.

J’en suis venue à m’interroger sur les allégations selon lesquelles les complications des maladies infantiles sont extrêmement rares et les «dégâts» causés par les vaccins monnaie courante. Si c’est vrai, j’ai du mal à comprendre pourquoi je connais une foule de gens qui ont souffert de complications à la suite de maladies infantiles évitables et personne qui ait pâti de complications à la suite de vaccins. J’ai des amis que la rougeole a rendus sourds. Un de mes amis est malvoyant parce qu’il a contracté la rubéole dans le ventre de sa mère. Mon ex a eu une pneumonie varicelleuse. Le frère d’une de mes connaissances est mort à la suite d’une méningite.

Evidemment, on ne peut baser ses décisions sur des preuves anecdotiques. Mais quand les faits et les arguments scientifiques preuves à l’appui ne suffisent pas à influencer quelqu’un, c’est le dernier recours. Après tout, les anecdotes sont l’argument de prédilection des anti-vaccins: «C’est mon expérience personnelle», disent-ils. Eh bien mon expérience personnelle m’incite à nous vacciner, mes enfants et moi-même. Je me suis récemment fait immuniser contre la grippe et j’ai fait le rappel de la coqueluche pour protéger mon fils in utero. Mon immunité naturelle –j’ai eu la coqueluche à 5 ans– n’aurait pas suffi à le protéger après sa naissance.

Vous pensez que votre enfant peut résister aux maladies mais pas au vaccin?

Je comprends jusqu’à un certain point la façon de penser des parents opposés aux vaccins. Dans les années 1990, jeune mère de 19 ans effrayée par le monde dans lequel je mettais mes enfants, j’ai étudié l’homéopathie, la phytothérapie et l’aromathérapie; je croyais aux anges, à la sorcellerie, aux voyants, aux cercles de culture, aux extraterrestres de Nazca, à de gigantesques marins roux qui auraient communiqué leurs connaissances aux Aztèques, aux Incas et aux Egyptiens, et je pensais que le Saint-Esprit m’avait accordé un genre de pouvoir de guérison. Je me faisais lire l’aura au prix du caviar et je filtrais le fluor de mon eau. Je choisissais de vivre des épisodes d’une vie antérieure plutôt que de prendre des antidépresseurs. Je suivais les conseils quotidiens des cartes de tarot. Je faisais pousser mes légumes et je fabriquais mes propres remèdes à base de plantes.

J’étais tellement atteinte que je me suis littéralement écroulée. Il m’a fallu reprendre le contrôle de ces pensées paranoïaques et des craintes que m’inspirait le monde qui m’entourait et devenir capable de pensée critique objective pour aller mieux. C’est quand j’ai arrêté de sucer de petites boules de sucre à tout bout de champ et que j’ai commencé à voir des professionnels de la médecine que je me suis mise à m’épanouir physiquement et mentalement.

Si vous estimez que le système immunitaire de votre enfant est assez costaud pour se battre contre des maladies que les vaccins pourraient éviter, alors il l’est assez pour se défendre contre les minuscules doses d’agents pathogènes inactivés ou atténués présents dans les vaccins.

Mais tout le monde autour de vous n’a pas cette force, tout le monde n’a pas le choix, tout le monde ne peut pas se défendre contre ces maladies, et tout le monde ne peut pas être vacciné. Si vous avez un enfant en bonne santé, alors il pourra supporter la vaccination et protéger les enfants en mauvaise santé qui, eux, ne la supporteraient pas.

J’aimerais demander aux anti-vaccination de traiter leurs enfants avec compassion et de faire preuve d’un sens des responsabilités envers leur entourage. J’aimerais leur demander de ne pas éduquer leurs enfants pour qu’ils ne pensent qu’à eux-mêmes et se méfient du monde et des gens qui les entourent (et qu’ils leur apprennent à aimer les gens atteints de troubles du spectre autistique ou de tout autre handicap soi-disant associé aux vaccins –et à ne pas les étiqueter comme tarés).

Ces maladies ne sont pas des parties de plaisir

Mais surtout, je veux que les anti-vaccins comprennent qu’exposer sciemment son enfant à la maladie est cruel. Même sans complications, ces maladies ne sont pas précisément une partie de plaisir. Je ne sais pas pour vous, mais moi ça ne m’amuse pas de voir des enfants souffrir, serait-ce d’un rhume ou d’une égratignure au genou. Si vous n’avez jamais eu ces maladies, vous ne pouvez pas savoir à quel point elles sont horribles. Moi je le sais.

Douleurs, inconfort, difficultés à respirer, à manger ou à avaler, fièvre et cauchemars, démangeaisons sur tout le corps au point que le contact des draps devient insupportable, une telle perte de poids qu’il n’est plus possible de marcher droit, une diarrhée qui vous laisse prostrée sur le sol de la salle de bains, les jours de congé sans solde pris par les parents, la quarantaine, pas d’école, pas de fêtes, l’inquiétude, les nuits sans sommeil, la sueur, les larmes, le sang, les visites aux urgences à minuit, tout ce temps passé, seule, dans la salle d’attente du médecin où personne ne veut s’asseoir à côté de vous parce que les gens sont effrayés, à juste titre, par les boutons constellant votre visage.

Ceux d’entre vous qui ont échappé aux maladies infantiles sans être vaccinés ont eu de la chance. Mais vous n’y seriez pas parvenus sans nous, les pro-vaccins. Lorsque le taux de vaccination commencera à baisser, le déclin de l’immunité de groupe rendra vos enfants vulnérables. Plus vous ferez de convertis, et moins cette chance se présentera.

Amy Parker

Amy Parker est la mère de deux adolescents et d’un nouveau-né. Elle enseigne la musique et les arts en Angleterre, sur la côte du district de Fylde.

Traduit par Bérangère Viennot

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S.O.S. beauté : en été, j’ai la peau qui brille !

S.O.S. beauté : en été, j'ai la peau qui brille !Le soleil et la chaleur peuvent être fatals pour notre matité. Dès que le thermomètre dépasse les 20 °C, notre peau semble vouloir faire de la concurrence à un ver luisant ! Lorsque la peau commence à bronzer, elle prend aussi le réflexe de s'épaissir pour se préserver des U.V. et devient alors plus grasse que d'habitude. Et si le make-up glowy donne un teint radieux, l'excès de brillance, lui, le rend désastreux. On vous délivre nos conseils pour arborer une mine parfaitement fraîche même en pleine canicule.



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Sodomie : « j’ai peur d’avoir mal »

Sodomie :

La sodomie peut susciter quelques appréhensions chez certaines femmes qui n’ont jamais essayé. Comment faire si son compagnon a envie d’essayer ? Y a -t-il des précautions à prendre ? Les conseils de la sexologue Catherine Solano.

Marine, 35 ans, en couple : « Mon compagnon est attiré par la sodomie. J’ai envie de lui faire plaisir mais j’hésite, car j’appréhende un peu. Avez-vous des conseils ? Y a-t-il des précautions à prendre ? » L’avis du médecin-sexologue Catherine Solano :Même si l’on en entend parler assez souvent, la sodomie est une pratique minoritaire. Si environ 33 % des couples l’ont testée au moins une fois, seuls 5 % s’y livrent de temps en temps ou régulièrement. Je vous conseille de commencer par demander à votre partenaire ce qui le motive. Est-ce un fantasme ? Une simple curiosité ? En a-t-il entendu parler de manière positive ? Imagine-t-il ressentir des sensations très différentes ? Pense-t-il vous donner un plaisir supérieur ? Le but de cette question est de lui montrer que vous entendez son envie et que vous cherchez à le comprendre. Au-delà du choix («  le faire ou ne pas le faire  »), se sentir écouté par l’autre est très important dans un couple. À votre tour, expliquez vos doutes, ce que vous craignez ou ce qui vous rebute. Avez-vous peur d’avoir mal ? Le contact avec une zone d’excrétion vous paraît-il rebutant ? Ces échanges de points de vue permettront de vous rapprocher, même si vous n’êtes pas en accord sur le sujet. Il ne faut jamais se forcer, même pour faire plaisir à quelqu’un que l’on aime, car cela risque de provoquer un blocage durable.

Auparavant, il est important de prodiguer pendant plusieurs minutes des caresses et des contacts très doux. De cette façon, votre corps se sentira en confiance. En effet, l’anus a un réflexe de serrement s’il est approché par l’extérieur. Quand votre partenaire prend contact avec cette zone, elle se contracte. S’il insiste sans chercher (…) Lire la suite sur TopSante.com

J’ai testé le  » modelage découverte  » dans le noir

photoOn connaissait le restaurant  » Dans le noir « , voici désormais le spa. Dans ce lieu unique, qui a ouvert ses portes à Paris en avril dernier, les esthéticiennes sont handicapées visuelles. Elles nous font pénétrer et nous guident dans leur univers. Privée de la vue, on redécouvre comme elles nos autres sens, particulièrement le toucher. Sensations inédites garanties !



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J’ai testé le Shiatsu lumière visage

> Kesako ? Ce soin visage bluffant combine l’art du shiatsu aux bienfaits de la luminothérapie et de la lithothérapie. L’objectif ? Stimuler les cellules responsables de la régénérescence des fibres élastiques de l’épiderme pour donner de l’éclat à la peau, en gommant au passage taches et rides. > Comment ça s’est passé ? Etape 1. : Du Shiatsu pour débloquer les tensions du visage Lorsque j’ai entendu parler du Shiatsu lumière visage, j’ai sauté dans le premier TGV pour aller le tester. Direction l’Ile-de-Ré qui reste actuellement le seul endroit où l’on peut découvrir ce soin d’exception. Arrivée sur place, je troque mon jean/basket pour la tenue de combat de toute beauty baroudeuse qui se respecte : un… peignoir moelleux ! La thérapeute m’invite à m’allonger sur la table de relaxation et à fermer les yeux. Elle démaquille brièvement visage et cou, et me pose deux cercles de coton humide sur les yeux. Je suis plongée dans l’obscurité. Avec ses pouces, elle s’acharne sur le haut de mon cràne, s’attarde sur mes arcades sourcilières, le coin de mes narines, et mes maxillaires. C’est une véritable immersion dans l’univers du shiatsu où la digipression est reine. L’idée qui taraude cette thérapeute : titiller mon Qi (ni voyez rien de vulgaire, il ne s’agit que d’énergie vitale) pour libérer mes tensions et relancer le processus de production de collagène de mes gentilles petites cellules. J’avoue, c’est limite jouissif ! Et je manque par deux fois de sombrer dans les bras de Morphée. > Etape 2. : Des pierres pour doper l’éclat de la peau Après ce traitement de choc, place à l’insolite : l’utilisation des pierres pour un nouveau modelage visage. Elle commence avec du quartz rose poli. La sensation est étrange et j’ai un doute : est-ce réellement une pierre polie ou un sérum glacé qu’elle m’applique ? Je me laisse aller tout en me remémorant les vertus attribuées au quartz rose surnommé également pierre de l’amour universel et de la créativité (pas moins, pas plus !). Elle relancerait la circulation sanguine, abaisserait la tension artérielle et aiderait à résorber plus rapidement une ecchymose. Ce modelage dure une dizaine de minutes. Ma peau est totalement refroidie. La praticienne troque ensuite le quartz rose pour un cristal de roche transparent qu’elle dépose à des endroits stratégiques du visage (patte d’oie, rides du lion…). Elle y fait traverser un rayon de lumière blanche. L’idée : traiter en profondeur rides ou taches. Même si cela n’a strictement rien à voir, la technique me fait penser à un traitement au laser. Et à chaque passage cristal de roche+rayon lumineux, j’ai la sensation que la thérapeute  » brûle  » la peau. Je m’imagine déjà rouge tomate, obligée de me tartiner généreusement le visage d’une crème ultra grasse pour réparer les dégàts. Il n’en sera rien ! Dix minutes après, je saute de la table pour scruter mon visage dans la glace. Je suis définitivement pàle. Aucune rougeur à l’horizon, et pourtant… je suis comme  » brûler  » de l’intérieur. Côté résultat, la promesse est tenue dès le lendemain matin. Mon visage est réellement plus lumineux. C’est sûr, l’association du shiatsu et des pierres a exfolié les couches superficielles de mon épiderme et stimulé la régénérescence de mes cellules pour trois semaines d’éclat…. Après, il faut y retourner ! > A qui conseille-t-on ce soin ? Aux baroudeuses de la beauté – pas froussardes – aimant les soins qui invitent aux ressentis extra-sensoriels. Il ne sera ainsi pas impossible de visualiser une palette de couleurs pendant l’application cristal de roche+rayons lumineux. Si c’est le cas, n’hésitez pas à les noter et à rechercher leur signification plus tard. Vous pourriez au-delà du simple soin du visage, en apprendre davantage sur vous ! > Infos pratiques : Relais Thalasso Ile de Ré, de Sainte Marie-de-Ré. Le shiatsu lumière visage de 35 minutes coûte 65 E. Une version longue de 90 minutes existe si vous avez 1/ la capacité de supporter la sensation de brûlure pendant plus de 10 min. 2/ vous êtes prête à débourser 105 E
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