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Les jeunes aussi peuvent souffrir de douleurs articulaires

Le 7 octobre 2016.

Selon une enquête de l’Ifop pour l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), la fondation Arthritis et la Société française de rhumatologie, 1 jeune sur 3 souffre de douleurs articulaires.

1 Français sur 2 souffre de douleurs articulaires

Le 12 octobre se tiendra la journée mondiale contre les rhumatismes. Une occasion de faire le point sur un phénomène qui touche de plus en plus de personnes. Une étude menée par l’Ifop pour l’Inserm révèle en effet qu’un Français sur deux souffre de douleurs articulaires. Et trop peu nombreux sont ceux qui savent mettre des mots sur ces douleurs.

« La plupart d’entre eux n’associent pas leurs douleurs ostéo-articulaires avec la possibilité d’être soigné pour des rhumatismes », explique l’Inserm, dans un communiqué. Pourtant « les maladies articulaires sont des maladies dont l’impact sur la qualité de vie, le sommeil, mais aussi la mortalité est majeur. » La douleur articulaire est par ailleurs la cause principale d’arrêts maladie.

Les jeunes ne sont pas épargnés

Mais ce qui interpelle dans cette étude, c’est l’âge de plus en plus jeune des personnes qui souffrent de rhumatismes. Souvent associée aux grands-parents, une douleur articulaire « n’est pas forcément une problématique de personnes âgées », rappelle Lionel Comole, directeur de la fondation Arthritis. Selon l’étude de l’Ifop, 1 jeune sur 3, âgé de 18 à 24  ans, souffre de rhumatismes.

Et ces maux ne sont pas sans conséquences pour la santé. Saviez-vous, par exemple, que souffrir d’arthrose du genou augmente votre risque de mortalité cardiovasculaire de 50 % ? « Si on veut lutter contre la sédentarité, il ne faut plus considérer les rhumatismes comme bénins », explique Francis Berenbaum, président de la Société française de rhumatologie et chercheur à l’Inserm. « Il faut apprendre à préserver ses articulations comme on préserve son cœur ». Des traitements existent, demandez conseil à votre médecin.

Pour en savoir plus : Douleurs articulaires : ce qu’elles trahissent

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Sida : les jeunes sont encore mal informés

Le 1er avril 2016.

20 % des jeunes pensent que l’on peut attraper le Sida en embrassant une personne. Voilà ce qu’un sondage révèle sur la connaissance qu’ont les jeunes de 18 à 24 ans de la maladie qui concerne 150 000 personnes contaminées en France, et leurs proches.

 

14 % des jeunes pensent que la pilule protège du sida

 

Le sondage réalisé par l’Ifop en début d’année est inquiétant, car il montre à quel point les jeunes sont encore ignorants en matière de transmission du sida. Ainsi, 15 % des personnes interrogées, (sur un panel représentatif de 1 000 jeunes) pensent que le virus peut se transmettre en s’asseyant sur un siège de WC. De même, 20 % pensent qu’embrasser un séropositif peut contaminer (ce qui est néanmoins exceptionnellement possible en cas de lésions buccales chez la personne saine). Enfin, 13 % pensent que le sida peut s’attraper en buvant dans le même verre qu’un séropositif.

 

Le sida ne fait peur qu’à 76 % des jeunes

 

Plus embêtant encore : le sida ne fait plus peur ! 25 % des jeunes interrogés n’ont pas peur de la maladie, car « l’on n’en meurt plus, et qu’elle se soigne très bien ». Ainsi, près de 10 % des jeunes interrogés sont conscients d’avoir pris plusieurs fois des risques de contamination, et seul un jeune sur deux déclare avoir utilisé un préservatif lors de ses derniers rapports sexuels. Enfin, les tests de séropositivité ne sont pas entrés dans les moeurs : 45 % des jeunes ayant eu un rapport non protégé ont fait réaliser un test après…

À lire aussi : Les personnes à risque et les facteurs de risque du Sida/VIH

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Dépression de l’adolescent : 4 à 8 % de jeunes concernés

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Il y aurait près de 8 % des adolescents entre 12 et 18 ans qui souffriraient de dépression, un chiffre inquiétant qui a poussé la Haute autorité de Santé à publier ce mardi matin, des recommandations aux médecins pour améliorer l’identification de cette pathologie chez les adolescents et permettre ainsi une meilleure prise en charge.

La dépression chez l’adolescent est complexe parce qu’il n’existe pas de symptôme spécifique de cette maladie dans cette période de vie. On peut déceler des difficultés dans l’expression des sentiments, mais la frontière est difficile à établir pour les jeunes car elle s’exprime de façon différente par rapport aux adultes. Pourtant, il ne faut pas la prendre à la légère puisqu’un tiers des adolescents dépressifs feraient une tentative de suicide.

Selon la HAS, quelques symptômes permettent de définir une dépression à cet âge fragile de la vie. Dans les recommandations adressées aux médecins, l’autorité de santé vient ainsi d’expliquer que la dépression chez le jeune se caractérise par l’apparition de 5 symptômes au moins, dont deux principaux : l’irritabilité (humeur dépressive) et la perte d’intérêt (ou de plaisir). Ces signes, doivent durer au moins 15 jours, peuvent être associés au désinvestissement scolaire, aux troubles du sommeil, au ralentissement psychomoteur ou encore aux sensations de malaise.

Lorsque les parents constatent que leur enfant ne va pas bien, il convient de l’emmener chez le médecin généraliste ou le pédiatre, qui rencontre l’adolescent avec les parents avant un entretien en face à face. L’attention et l’écoute apportée sont importante, il faut plutôt privilégier, au moins au cours de la première rencontre, le côté relationnel sans tout de suite donner un médicament.

Il faudra préférer un suivi psychothérapeutique, qui s’il est inefficace après 4 à 8 semaines, pourra être suivi d’une prise en charge médicamenteuse (avec un suivi régulier). L’hospitalisation ne sera envisagée que dans des situations très difficiles comme un cas de refus total de soins chez les adolescents souffrants de dépressions sévères, s’il n y a aucun étayage familial, un isolement social ou encore une situation de précarité affective.

Si les causes de dépression sont multiples, il y a certains facteurs qui sont positifs et empêchent l’entrée dans la dépression comme une bonne estime de soi, la confiance dans ses capacités d’adaptation, l’optimisme, la qualité du soutien familial, la possibilité pour le jeune de se ressourcer auprès dans les relations amicales ou encore la pratique sportive récréative.

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VIDEO. Les plus de 60 ans de plus en plus jeunes

Tatiana est un top modèle spécial: elle a plus de 60 ans. « Je ne prends aucun médicament« , assure-t-elle au micro de France 3. En la voyant vêtue de la dernière mode on comprend que bien vieillir, rester jeune, c’est un travail qui commence par le look. Ce que confirme Isabelle Thomas, conseillère en look pour seniors. « Beaucoup de femmes ne veulent pas ressembler à leur mère. La mode a changé, elle a évolué, nous sommes plus dynamiques.« 

Serge Guérin est sociologue spécialiste des séniors. Il soulève un paradoxe propre à notre société. « Notre espérance de vie n’a jamais été si longue, mais en même temps la pression pour rester jeune n’a jamais été si forte. » Désormais, notre âge biologique coïncide de moins en moins avec notre âge chronologique. Aujourd’hui, les seniors représentent 15 millions d’habitants. D’ici 2030, ils seront 20 millions. Une nouvelle société commence.

Retrouvez cet article sur Francetv info

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VIDEO. Santé : la 3D déconseillée aux plus jeunes enfants

Les films en 3D, c’est un spectacle dont raffolent les enfants. Mais selon une étude de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES), cette technologie aurait des effets négatifs sur la vision des enfants de moins de 6 ans, leur système visuel n’était pas encore adapté à y être confronté. Elle pourrait provoquer fatigue visuelle, maux de tête, mal de dos ou encore vertiges. Les technologies 3D créent en effet « une contrainte sur le système visuel. Cette contrainte notamment chez les enfants, pourrait induire des effets à long terme sur leur capacité à acquérir une bonne vision, une vision correcte plus tard à l’âge adulte », a estimé Olivier Merckel, de l’ANSES, au micro de France 3.

De leur côté, les ophtalmologistes sont moins alarmistes et n’ont à ce jour constaté aucune pathologie spécifiquement liée à la 3D. Ils reconnaissent que la 3D nécessite un effort particulier de la vision, un effort qui peut entraîner des céphalées, « une impression de fatigue, une impression d’œil qui pique, mais ça, on l’observe avec n’importe quelle activité soutenue devant n’importe quel média », a déclaré le professeur Gilles Renard, directeur scientifique de la Société française d’ophtalmologie.

Les télévisions et consoles de jeux en relief sont appelées à se multiplier dans les foyers. Il convient surtout de rester vigilant et de ne pas trop y exposer les plus jeunes.

Retrouvez cet article sur Francetv info

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S’injecter le sang des jeunes pour ne pas vieillir: non, ceci n’est pas un film d’horreur

Inverser le processus de vieillissement semble depuis longtemps relever de la science-fiction. Trois études publiées ce dimanche 4 mai suggèrent désormais que ce problème pourrait en fait avoir une solution relativement simple: le sang des jeunes.

Cela ressemble au début d’un film de série B, mais ces études ont découvert qu’injecter du sang de jeunes souris dans des individus plus âgés peut changer certains effets du vieillissement.

Et les bénéfices sont conséquents: «des perfusions de sang jeune renversent des défaillances liées à l’âge en ce qui concerne la mémoire, l’apprentissage, les fonctions cérébrales, la force musculaire, et l’endurance», détaille le Guardian.

Les souris plus âgées ont paru se recharger de façon soudaine à partir du moment où elles ont reçu du sang neuf, et étaient par exemple capables de parcourir des labyrinthes beaucoup plus rapidement. La question de la durée des effets positifs reste posée dans la mesure où aucune des études ne s’est penchée sur ce problème, mais il semblerait qu’elle pourrait atteindre quelques semaines.

 «Leur fourrure a meilleure allure, elles font mieux leur toilette, elles semblent tout faire mieux», a affirmé Tony Wyss-Coray, le scientifique en charge de mener l’une des études, à USA Today. Et d’ajouter:

 «C’est pour nous une telle surprise, que quelque chose de si simple ait des effets spectactulaires sur tous les tissus du corps que nous avons examinés.»

Et le processus inverse est également vrai: du sang plus vieux fait vieillir prématurément les jeunes souris.

Deux des études ont été réalisées par le Stem Cell Institute d’Harvard, quand la troisième est le fruit d’un effort conjoint des chercheurs des universités de Stanford et de Californie, à San Francisco.

Les scientifiques pensent que la clé de ce rajeunissement est une protéine spécifique -une protéine que l’on peut aussi trouver dans le sang humain. Les cherhceurs espèrent obtenir l’autorisation d’effectuer des tests cliniques sur des humains dans les prochaines années, détaille le Los Angeles Times. 

 «Nous pensons que, au moins en principe, il y aura un moyen de renverser certains effets du vieilissement avec une seule protéine», dit de son côté Lee Rubin, un professeur spécialiste des cellules souches et de la biologie régénérative à Harvard.

Les chercheurs en charge du projet sont pleinement conscients que leurs découvertes peuvent évoquer des images de Dracula et de vampires. «Vous ne pouvez pas boire le sang, a plaisanté Tony Wyss-Coray auprès de NBC. Mais sérieusement, si vous voulez essayer cela sur des humains, vous devriez avoir une transfusion. Et vous ne pouvez pas faire ça chez vous.»

Daniel Politi
Traduit et adapté par A.F.


A votre santé! – Slate.fr

Films porno : les jeunes hommes complexent sur la taille de leur pénis

Un tiers des hommes de moins de 25 ans ont été complexés par la taille de leur sexe en regardant un film X. Une tendance largement influencée par la consommation croissante de pornographie en ligne.

Alors que la deuxième édition du concours du plus petit pénis se tiendra à New York le 14 juin prochain, l’institut de sondages Ifop publie une étude selon laquelle les sexes surdimensionnés des films X auraient un effet anxiogène sur les jeunes hommes. Près d’un Français sur deux a déjà visionné un film porno. Résultat : de plus en plus de jeunes filles optent pour l’épilation intégrale, et les jeunes hommes se posent des questions sur la taille de leur sexe. Plus d’un tiers (34%) des moins de 25 ans admet avoir été complexé sur la taille de son pénis en regardant un film pour adulte.

Un phénomène de masse

Environ 61% des jeunes hommes sont également convaincus que la taille du pénis joue un rôle essentiel dans le plaisir féminin, alors que la majorité des hommes (56%) et des femmes (63%) pensent l’inverse. Les films X influencent de plus en plus le comportement de la nouvelle génération. Près de 60% des moins de 25 ans, garçons et filles confondus, ont déjà reproduit une position vue dans un film pornographique.

« La consommation de pornographie en ligne est devenue un phénomène de masse dont l’impact sur la sexualité des Français ne se limite pas qu’au visionnage passif d’images pornographiques », observe l’Ifop. En effet, près de 11% des Français avouent avoir filmé leurs ébats pour pimenter leur vie de couple, face à 6% en 2009.

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Perturbateurs endocriniens : les jeunes pas assez informés

Phtalates, bisphenol A, parabènes… les jeunes réclament plus de transparence sur la présence de ces perturbateurs endocriniens, potentiellement nocifs pour la fertilité, dans les produits qu’ils consomment.

Près de 60% des jeunes (18-35 ans) s’estiment mal informés sur les perturbateurs endocriniens, ces substances chimiques présentes dans nombre de produits de la vie courante selon les résultats d’un questionnaire en ligne lancé par Générations Cobayes, qui a récolté plus de 35 000 réponses.

Elaboré en partenariat avec le Réseau Environnement Santé (RES) et l’institut Notéo, ce questionnaire a permis de recenser les gestes du quotidien des jeunes et de mesurer leur niveau d’information au sujet des parabènes, phtalates et bisphénol A. Ainsi 58% des 18-35, même s’ils en ont entendu parler, ne savent pas ce qu’est le bisphénol A. Pourtant ce perturbateur endocrinien (qui peut affecter notre système hormonal) reste présent dans certains revêtements intérieurs des boîtes de conserves et des canettes, dans les tickets de caisse… Il a d’ailleurs été interdit dans la fabrication des biberons et le sera dans les contenants alimentaires à partir de 2015.

Côté phtalates, que l’on retrouve notamment dans les matières plastiques et les plastiques et la cosmétique, 70% des jeunes ignorent de quoi il s’agit. Le niveau de méconnaissance est cependant moindre concernant les parabènes (56%). Surtout dans la tranche la plus âgée, précise Damien Hansens, coordinateur national de la campagne « protège tes hormones ». Ce qui est assez logique puisque la mention « sans parabènes » est bien présente aujourd’hui sur le packaging des produits notamment en cosméto. Rappelons que près de 23% des produits d’hygiène et de beauté en contiennent encore ! Sans parler des autres perturbateurs endocriniens que l’on peut retrouver dans 40% des produits de cette gamme. »

Les lubrifiants en ligne de mire

Plus de transparence sur les objets du quotidien. C’est ce que réclame Générations Cobayes aux industriels et aux politiques. « Nous voulons désormais attirer l’attention sur les préservatifs, les lubrifiants et autres produits intimes dont la (…) Lire la suite sur Topsanté

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Les jeunes médecins encouragés à s’installer dans les déserts médicaux

Les jeunes médecins encouragés à s’installer dans les déserts médicaux

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Les mesures concernant l’incitation des jeunes médecins en France à s’installer dans les déserts médicaux prises dans le cadre du Pacte Territoire-Santé fin décembre viennent d’être publiés au Journal officiel. Un salaire minimum garanti de 3640 euros et une allocation de 1200 euros par mois pour les jeunes étudiants contre l’engagement à s’installer dans les territoires isolés seront-elles suffisantes pour lutter contre les déserts médicaux ?

La première mesure vise à proposer à 200 jeunes médecins généralistes en 2013 non encore installés ou installés depuis moins d’un an qui accepteraient d’ouvrir un cabinet médical dans les déserts médicaux des contrats de praticiens territoriaux de médecine générale (PTMG).

Dans le cadre de ce contrat, les jeunes médecins se verraient garantir un revenu net mensuel de 3640 euros pendant 2 ans sous forme de complément de revenus tirés des activités de soins. A cette garantie seront également adjoint des avantages en matière de protection sociale (rémunération versée pendant 3 mois en cas d’arrêt maladie ou pendant toute la durée du congé maternité).

Les jeunes médecins encouragés à s'installer dans les territoires isolés

En contrepartie, rappelle la Ministre de la santé, les bénéficiaires devront notamment s’engager à respecter les tarifs opposables mais également participer à la permanence des soins ambulatoires.

L’autre mesure phare pour lutter contre les déserts médicaux est le renforcement des contrats d’engagement de service public (CESP). Ce dispositif ouvre droit à percevoir une allocation mensuelle brute de 1200 euros pendant les études contre l’engagement du jeune médecin ou dentiste à exercer dans les territoires identifiés comme fragiles.

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Les jeunes, en bonne santé… apparente

Les 15-30 ans se déclarent plutôt en bonne santé… même s’ils sont de plus en plus nombreux à fumer et à consommer de l’alcool, surtout lors de fêtes. Sans oublier qu’ils sautent fréquemment le petit-déjeuner et dorment de moins en moins… C’est en substance les principaux constats tirés du Baromètre Santé Jeunes 2010 publié ce mercredi.

« Comment va la France de demain ? » Pour répondre à cette question, l’Institut national de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES) réalise depuis quelques années des baromètres Santé, centrés notamment sur les 15-30 ans. Et cela auprès d’un panel représentatif de la population française. L’occasion de « dresser un portrait de la jeunesse et de sa santé dans toute sa diversité », comme le souligne cet institut qui dépend du ministère de la Santé.

Une impression de bonne santé. Globalement, 96% des interrogés se déclarent en « bonne santé ». Ils sont également 48% à se dire en « excellente santé ». Cette perception tend toutefois à diminuer avec l’avancée en âge. La proportion passe par exemple de 59% chez les 15-19 ans à 38% parmi les 26-30 ans.

Le dentiste boudé… Huit jeunes sur dix ont également déclaré avoir consulté leur médecin généraliste au moins une fois dans l’année. Une proportion encourageante… relativisée par les auteurs de ce Baromètre : « il est probable qu’une partie de ces visites s’explique par un motif administratif : certificat d’aptitude au sport, certificat de vaccination… » En revanche, la visite annuelle chez le dentiste est effectuée par seulement un jeune sur deux.

Pas envie d’arrêter de fumer… En matière de produits psychoactifs, les 15-30 s’estiment « plutôt bien informés » notamment sur les risques. Ils sont pourtant plus nombreux à fumer (44% de fumeurs dont 36% de fumeurs réguliers). « Après 10 ans de diminution régulière entre 2005 et 2010, la consommation de tabac est repartie à la hausse », souligne l’INPES. Ils apparaissent également peu concernés par des perspectives de (…) Lire la suite sur destinationsante.com

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