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Grippe : forte augmentation de l’activité, 8 régions particulièrement concernées

Comme l’avaient prévu les médecins du réseau Sentinelles/Inserm la semaine dernière, la grippe s’étend peu à peu à toute la France. Ainsi, et pour la semaine du 11 au 17/12/17, on note une activité grippale en forte augmentation en métropole selon Santé publique France.

Sur l’ensemble de la France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a ainsi été estimé à 193 cas pour 100 000 habitants.

whitesessions/Pixabay

Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Ile-de-France (300 cas pour 100 000 habitants, Bretagne (296 cas pour 100 000 habitants) et Provence-Alpes-Côte d’Azur (252 cas pour 100 000 habitants) mais toutes les régions ou presque sont concernées. On note une forte hausse en Normandie, Centre-Val-de-Loire, Grand-Est et Auvergne-Rhône-Alpes. Seule la Corse semble pour le moment épargnée.

Mais attention… Selon les modèles de prévision reposant sur les données historiques et sur les délivrances de médicaments, l’incidence des cas de syndromes grippaux devrait continuer d’augmenter et confirmer le démarrage de l’épidémie de grippe dans les prochaines semaines.

Grippe : quelques gestes de prévention

Il existe des gestes simples et efficaces pour limiter la transmission du virus. Passons-les maintenant en revue

– Se laver les mains régulièrement avec de l’eau et du savon ou utiliser une solution hydroalcoolique
– Se couvrir la bouche dès que l’on tousse, éternue (dans sa manche ou dans un mouchoir à usage unique) et transmettre ce réflexe aux enfants
– Porter un masque et limiter les contacts
– Se moucher dans des mouchoirs à usage unique et les jeter
– Éviter de serrer les mains, d’embrasser, de partager ses effets personnels (couverts, verre, brosse à dent, serviette de toilette, etc.), éviter les lieux très fréquentés (centres commerciaux, transports en commun) et éviter si possible d’y emmener les nourrissons et les enfants
– Penser à aérer son logement chaque jour pour en renouveler l’air.

La prévention passe aussi par le vaccin ! C’est même la meilleure façon de se protéger de la grippe et de ses complications.

Le vaccin contre la grippe sera t-il efficace cette année ?

Le vaccin contre la grippe sera t-il efficace cette année ? Une question que vous êtes nombreux à vous poser surtout après que des virologues américains aient évoqué le risque d’une saison 2017-2018 quelque peu difficile en raison de la mutation de la souche H3N2.

Ainsi et selon une étude de l’Académie américaine des sciences (PNAS), l’efficacité du vaccin contre la grippe a été particulièrement limitée l’an dernier puisqu’il n’aurait protégé en moyenne que 20% à 30% des personnes vaccinées.

Et c’est justement en raison de cette mutation de la souche H3N2 que son efficacité s’en est trouvée réduite. Le nouveau vaccin étant similaire à celui de la saison précédente, les scientifiques américains craignent donc une nouvelle saison difficile si toutefois elle est de nouveau dominée par le virus H3N2. Notez qu’ils recommandent malgré tout la vaccination, notamment des personnes à risques.

Scott Hensley, professeur à la faculté de médecine Perelman de l’université de Pennsylvanie et principal auteur de l’étude, a précisé que si le vaccin 2016 avait bien été « actualisé » pour y inclure la nouvelle version de cette protéine mutante, cela s’était avéré infructueux. En cause selon lui, le mode de production des vaccins, les virus étant cultivés dans des oeufs de poules.

Selon lui il est nécessaire d’investir dans de nouvelles technologies qui vont permettre d’accroître la production de vaccins contre la grippe ne dépendant pas des œufs. En attendant il recommande tout de même la vaccination car « même une protection limitée contre les virus H3N2 vaut mieux que rien ».

News Santé

L’activité physique pourra être prescrite par les médecins

L’activité physique pourra être prescrite par les médecins

Le 3 janvier 2017.

A partir du 1er mars 2017, les médecins pourront prescrire une activité physique aux patients souffrant d’affections de longue durée.

Une prise en charge personnalisée et progressive

Selon un décret paru samedi 31 décembre 2016 au Journal officiel, les médecins pourront dès le mois de mars prochain prescrire à certains de leurs patients de faire du sport. L’activité physique devra être prescrite « en accord avec le patient » et sera « adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical » de celui-ci, précise le décret.

Les patients qui se verront prescrire des cours de sport devront par ailleurs souffrir d’affections de longue durée, comme les cancers, le diabète de type 1 et le diabète de type 2, la mucoviscidose ou encore la sclérose en plaques. « La prise en charge des patients est personnalisée et progressive en termes de forme, d’intensité et de durée de l’exercice », peut-on lire encore dans ce décret, souhaité par la députée Valérie Fourneyron, ancienne ministre des Sports.

Réduire les facteurs de risque

L’activité physique pourra être conduite pourra être un professionnel de santé, comme un kinésithérapeute, ou par un professeur de sport qualifié pour accompagner des patients. Il est toutefois précisé qu’en cas de limitations fonctionnelles sévères, seuls les professionnels de santé pourront accompagner les patients.

Le décret précise enfin que cette activité physique qui sera prescrite aura « pour but » de permettre au patient d’adopter « un mode de vie physiquement actif sur une base régulière », afin de « réduire les facteurs de risque et les limitations fonctionnelles liés à l’affection de longue durée ». Chez les patients atteints de mucoviscidose, par exemple, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande la pratique d’une activité physique régulière tout au long de la vie.

Pour en savoir plus : Les bienfaits du sport…

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

L’activité sexuelle, source de santé et de longévité… même chez les mouches

Publiée dans Science, une étude expérimentale américaine montre que chez la mouche drosophile, la frustration sexuelle entraîne stress, problèmes de santé et raccourcissement de la durée de vie.

Des chercheurs de l’Université du Michigan se sont penchés sur la libido de la mouche drosophile (Drosophila melanogaster) et plus particulièrement sur les effets de la frustration sexuelle. Pour cela, ils ont employé trois techniques différentes. La première a consisté à placer des mâles génétiquement modifiés pour produire des phéromones femelles parmi des mâles ‘intacts’.

Le but était que ces derniers aient le sentiment d’être dans un environnement sexuellement riche sans toutefois avoir l’accès à des femelles. La deuxième technique a consisté à manipuler chez ces mouches les neurones spécifiques responsables de la perception des phéromones. Enfin, la troisième a consisté à manipuler dans le cerveau de ces insectes, les zones liées à la récompense sexuelle (zones qui sécrètent un groupe de composés associés à l’anxiété ainsi qu’à la libido).

Au cours des trois expériences, les chercheurs ont observé le comportement et l’état de santé des mouches. Ils ont ainsi observé chez les mâles sexuellement frustrés une baisse rapide des réserves de graisse et de la résistance à la famine, un stress accru et une durée de vie plus courte. Des effets négatifs partiellement renversés chez les individus auxquels les chercheurs permettaient (enfin) de copuler.

La frustration sexuelle, un problème de santé

« Nos résultats nous permettent de mieux comprendre comment la perception sensorielle et l’état physiologique sont intégrés dans le cerveau pour affecter la santé à long terme et la durée de vie », explique Scott D. Pletcher, du Département de génétique moléculaire et de physiologie intégrative de l’Université du Michigan, auteur principal de l’étude.

« La génétique et la neurobiologie de pointe utilisées dans cette recherche nous (…)

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L’activité physique modifierait l’activité des gènes des cellules adipeuses

L’activité physique modifierait l’activité des gènes des cellules adipeuses

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Pratiquer une activité physique régulière pendant six mois modifierait favorablement l’expression des gènes dans les cellules adipeuses du corps, permettant ainsi de diminuer les risques de diabète, d’obésité et de mortalité, selon une étude suédoise publiée en ligne sur le site internet de la revue PLoS Genetics.

Faire du sport modifie l’activité des gènes des cellules adipeuses qui jouent un rôle important dans l’apparition de certaines pathologies (obésité, diabète, …).
Pour parvenir à cette conclusion, Charlotte Ling et ses collaborateurs de l’Université de Lund en Suède ont mené une vaste étude sur une trentaine d’hommes ayant près de 40 ans. Lire la suite

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