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Ce jeune homme de 20 ans risque de mourir, son meilleur ami l’aide à réaliser ses rêves (VIDEO)

Ce jeune homme de 20 ans risque de mourir, son meilleur ami l’aide à réaliser ses rêves (vidéo). Chris n’est âgé que de 20 ans, mais ses jours sont déjà comptés selon les médecins. 8 ans après avoir remporté une première bataille contre la leucémie, ce jeune américain a appris qu’il avait fait une rechute. Sauf que cette fois, et selon les dires de ses médecins, ses chances de survie sont beaucoup faibles. Sans greffe de moelle, ils estiment qu’il n’a plus qu’un an ou deux à vivre. Il faut dire que son patrimoine génétique rend les chances de trouver un donneur compatible très minces…

capture Youtube

En 2009, lorsque la maladie s’était déclarée une première fois, Dillon, son meilleur ami était là. Aujourd’hui il est toujours à ses côtés pour l’aider à traverser ce nouveau et peut-être ultime combat. Par amitié il carrément décidé d’abandonner ses études pour aider son ami d’enfance à concrétiser ses rêves avant de mourir.

Comment ? En lui demandant d’abord de dresser la liste des 50 choses qu’il aimerait accomplir. Puis il a lancé “One list, one life” un projet participatif pouvant être financés par les internautes.

Et quelques semaines seulement après le lancement de “One list, one life” Chris a déjà réalisé plusieurs de ses rêves : aider des SDF, piloter un avion, se faire tatouer et faire une énorme bataille d’oreillers avec des inconnus. “C’est fantastique de vraiment vivre sa vie” a t-il déclaré bien conscient.

Il a formulé bien d’autres souhaits comme aider une femme âgée à traverser la rue; visiter le Japon; apparaître dans un jeu vidéo; voir un match de baseball, démolir une maison et même trouver l’amour…

L’objectif, mais vous l’aurez compris c’est bien sûr d’aider Chris à réaliser ses rêves, mais pas que.

Par sa démarche Dillon veut aussi sensibiliser le public à l’histoire de son ami, trouver pourquoi pas un donneur de moelle compatible et récolter un maximum de fonds pour les challenges les plus onéreux. Et si aujourd’hui 126 de ses vœux ont pu être réalisés, aucun donneur n’a été trouvé.

News Santé

À Montréal, le corps médical résiste toujours à l’aide à mourir

« À Montréal, le corps médical continue de résister à l’aide à mourir », rapporte la journaliste Isabelle Paré dans Le Devoir. Elle est accordée au compte-gouttes.

Selon les derniers rapports déposés par les établissements de santé pour la seconde partie de l’année 2016, moins de patients ont pu recevoir l’aide à mourir dans les hôpitaux de Montréal que dans la région « 450 » et dans la région de Québec, toutes proportions gardées.

« Il s’est réalisé au total 57 procédures d’aide à mourir durant les six derniers mois de 2016 dans les huit CIUSSS, CISSS et centres hospitaliers universitaires (CHU) de Montréal, comparativement à 75 dans les régions de la Montérégie et de Laval combinées.

“Ça reste très, très fermé, notamment dans la région ouest de Montréal et dans les hôpitaux universitaires, où il y a de très fortes poches de résistance. Et là, on parle des demandes officielles, mais il y a aussi des gens qui se font décourager avant même de le demander officiellement”, affirme Me Jean-Pierre Ménard, avocat spécialisé en droit des patients.

L’été dernier, Le Devoir avait révélé que le CUSM avait adopté illégalement une politique sur les soins de fin de vie excluant d’emblée que l’aide à mourir soit administrée dans son unité de soins palliatifs. Le portrait n’a guère changé, rapporte la journaliste.

Seul le CHUM, qui a accédé à la demande de quinze patients, comparativement à six lors des six premiers mois d’application de la loi, semble avoir sensiblement amélioré l’accès.

Plus d’informations dans Le Devoir : À Montréal, le corps médical continue de résister à l’aide à mourir.

Aide à mourir : 6 ordres professionnels réclament le renvoi de la loi fédérale en appel (Québec)

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Des paraplégiques recouvrent une capacité de mouvement à l’aide de la réalité virtuelle

Des personnes paraplégiques depuis des années ont pu recouvrer des sensations et un contrôle partiel de leurs jambes grâce à un programme de rééducation cérébrale et physique faisant notamment appel à la réalité virtuelle.

Miguel Nicolelis, chercheur en neurosciences de l’université américaine Duke, et ses collègues, dont les travaux sont publiés dans la revue Scientific Reports, ont mené cette étude avec huit personnes paralysées des deux jambes depuis 3 à 13 ans.

Ces avancées ont été obtenues après un entraînement d’un an avec une interface cerveau-machine. Les participants devaient s’imaginer en train de marcher à l’aide d’un avatar virtuel. Ce qui aurait permis de faire réapparaître leur représentation cérébrale de leurs jambes.

La rééducation a probablement réactivé des nerfs de la moelle épinière qui avaient survécu au traumatisme à l’origine de la paraplégie, explique le chercheur. « Il peut s’agir d’un petit nombre de fibres nerveuses résiduelles, mais suffisantes pour véhiculer des signaux de la zone du cortex moteur du cerveau à la moelle épinière ».

« La rééducation a combiné une immersion intensive dans la réalité virtuelle, renforcée par des signaux visuels et tactiles (donnant la sensation de toucher le sol) reçus par le patient, et des exercices physiques, notamment sur tapis roulant », rapporte l’AFP. Le programme faisait aussi appel à des exosquelettes, qui sont des structures de soutien du corps pour la marche activée par la pensée. »

Au bout d’un an, les sensations et le contrôle musculaire de quatre patients s’étaient suffisamment améliorés pour que le niveau de leur paralysie soit requalifié de paraplégie totale à partielle. Au bout de 20 mois, ce nombre est passé à sept. La plupart des patients ont également bénéficié d’une amélioration du contrôle de leur vessie et du fonctionnement de leur intestin.

Les meilleurs résultats ont été enregistrés chez deux femmes, paralysées depuis plus de 10 ans et sans aucune sensation dans la partie inférieure de leur corps. Une vidéo montre l’une d’entre elles bouger volontairement ses jambes, soutenues par une sorte de harnais. Une de ces patientes peut maintenant s’asseoir et conduire. L’une d’elles a aussi pu, sentir son bébé et les contractions lors de son accouchement.

Des patients masculins ont également fait état d’une amélioration de leur sexualité. « Certains d’entre eux ont recouvré la possibilité d’avoir des rapports sexuels, des érections », dit le docteur Nicolelis.

Psychomédia avec sources : Duke University, Scientific Reports, Le Monde (avec AFP).
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L’aide médicale à mourir peut demeurer en vigueur au Québec

La Cour d’appel du Québec a donné raison, le 22 décembre, au gouvernement du Québec et a infirmé le jugement de la Cour supérieure qui avait suspendu, le 1er décembre, l’application de la Loi concernant les soins de fin de vie.

La Cour supérieure avait statué que cette loi était en conflit avec le Code criminel fédéral. Dans l’attente du jugement de la Cour d’appel, la loi est entrée en vigueur le 10 décembre comme prévu.

Selon la Cour d’appel, le juge de la Cour supérieure a erronément appliqué la doctrine légale selon laquelle les lois fédérales ont préséance sur les lois provinciales.

Pour que les lois fédérales aient préséance, a tranché la Cour d’appel, il faut qu’elles soient valides. Or, en février 2015, les articles du Code criminel qui interdisaient l’aide médicale à mourir ont été déclarés inconstitutionnels et ont été invalidés par la Cour suprême du Canada.

Cette dernière a toutefois suspendu temporairement la déclaration d’invalidité pour un an, jusqu’au 6 février 2016, afin de permettre au Parlement fédéral de modifier sa loi.

Selon la Cour d’appel, cette suspension visait justement « à permettre au Parlement et aux législatures provinciales qui le souhaitent de légiférer dans les meilleurs délais à l’égard de l’aide médicale à mourir dans leurs sphères de compétences respectives », écrit la Cour.

« La Loi concernant les soins de fin de vie est une législation portant sur la santé qui relève de la compétence législative du Québec », écrivent les trois juges de la Cour d’appel.

Le jugement de la Cour supérieure avait fait suite à une demande d’injonction provisoire sur le motif que les articles du Code criminel demeuraient en vigueur jusqu’à ce que le gouvernement fédéral ait modifié sa loi. Le jugement de la Cour d’appel porte sur ce motif de la prépondérance des lois fédérales. La validité constitutionnelle de la loi peut continuer à être contestée devant la Cour supérieure pour d’autres motifs, souligne la Cour d’appel dans son jugement.

Psychomédia avec source : La presse Canadienne (Le Devoir).
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VIDEO. Copé, Le Pen et Mélenchon s’affrontent en direct sur l’aide médicale d’Etat

Invités à débattre des élections européennes du 25 mai, sur le plateau de l’émission « Des paroles et des actes », sur France 2, jeudi 22 mai, des représentants des six principaux partis français ont parfois débordé sur des sujets français. Sur la question de l’immigration, le président de l’UMP, Jean-François Copé, a ainsi appelé à « supprimer l’aide médicale d’Etat », une mesure qui permet un accès aux soins pour les étrangers en situation irrégulière.

Cette prise de position a suscité des cris de joie de la présidente du Front national, Marine Le Pen, qui lui a lancé : « Pendant les élections, vous êtes toujours d’accord avec nous ! » Entrant dans le débat, le chef de file du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, a mis en garde les deux responsables favorables à cette mesure. « Si vous supprimez l’aide médicale à toute personne, vous favorisez le fait que les microbes se répandent, car les microbes ne sont pas au courant de qui a une carte d’identité », leur a-t-il dit.

Retrouvez cet article sur Francetv info

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La polio est de retour, avec l’aide de la CIA, des terroristes et des dictateurs

La quasi-éradication de la polio est l’un des grands succès de santé publique, au cours de ces dernières décennies. Grâce à des campagnes de vaccinations communes, le nombre de cas est passé de 350.000 en 1998 à 187 en 2012.

Aujourd’hui, cependant, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) met en garde d’un possible retour de cette maladie.

Fin avril, 68 cas de polio avaient été rapportés dans le monde. Il n’y en avait que 24, l’année dernière, à la même époque:

«L’agence décrit les éruptions de polio qui se déroulent actuellement dans au moins dix pays, en Asie, en Afrique et au Moyen-Orient comme un « évènement extraordinaire » qui requiert une réponse internationale coordonnée. Elle a identifié que le Pakistan, la Syrie et le Cameroun ont laissé le virus passer leurs frontières, et elle recommande que l’on requiert que les citoyens de ces trois pays obtiennent un certificat prouvant qu’ils ont été vaccinés contre la polio avant de voyager à l’étranger.»

La maladie a également été identifiée au Nigéria, en Ethiopie, en Somalie et au Kenya. Elle s’est propagée du Cameroun à la Guinée Equatoriale et de la Syrie à l’Irak.

La polio a fait son retour en Syrie pour la première fois depuis 1999. L’absence d’un système de santé et le déplacement de la plupart de la population a fortement diminué le taux d’immunisation des Syriens.

Le Cameroun dispose d’infrastructures de santé publique, mais les facteurs principaux de la réapparition de la maladie sont la peur des vaccins et les troubles causés par les réfugiés qui fuient la violence du Nigéria voisin et de la République Centrafricaine.

Au Pakistan, les efforts pour combattre la polio ont été entravés par les Talibans qui ciblent les personnes qui amènent ces vaccins dans le nord-ouest du pays. Plus de trente de ces travailleurs ont été tués au cours des deux dernières années. Il y a quelques semaines, Salma Farooqi, qui administrait ces vaccins, a été torturée puis tuée après avoir été enlevée à son domicile, à Peshawar.

Selon les Talibans, les vaccinations sont un complot occidental pour stériliser les enfants musulmans ou une couverture pour les espions. Malheureusement, la CIA a donné du crédit à la dernière rumeur en organisant une fausse campagne de vaccination pour récupérer des preuves qu’Oussama ben Laden était bien présent dans le complexe fortifié d’Abbottabad.

L’avertissement de l’OMS est un bon rappel d’une chose qui semble évidente. Les vaccins ne marchent que s’ils sont administrés. Quand on considère les immenses risques que ces personnes prennent pour immuniser ces enfants dans les zones de guerre les plus dangereuses du monde, les régimes dictatoriaux, ou les Etats en déliquescence, le fait que certaines maladies évitables, comme la rougeole, fassent leur retour aux Etats-Unis –en partie parce que certains organes de presse effraient les parents– est exaspérant.

Joshua Keating

Traduit par Grégor Brandy

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A votre santé! – Slate.fr

Cancer : un rein partiellement retiré par le nombril à l’aide d’un robot

1ère mondiale aux Hospices Civils de Lyon : le 29 mars 2013, l’équipe d’urologie et de chirurgie de la transplantation de l’Hôpital Edouard Herriot, dirigée par le Pr Xavier Martin, a retiré la partie cancéreuse du rein d’un patient de 46 ans en passant par son nombril,. L’intervention a été réalisée avec le tout nouveau robot chirurgical acquis par le CHU de Lyon début janvier.

Une fois la tumeur prélevée, le rein a été suturé et réparé. Plus technique qu’une ablation totale du rein, la néphrectomie partielle permet une préservation maximale de la fonction rénale du patient qui conserve ses 2 reins. Le patient est sorti de l’hôpital avec un simple pansement sur le nombril.

« Cette nouvelle approche chirurgicale robotique à travers l’ombilic présente plusieurs avantages pour le patient », explique le Dr Sébastien Crouzet qui a réalisé l’intervention. « Un avantage esthétique évident : une fois refermée, la cicatrice est largement enfouie dans le nombril offrant une chirurgie quasiment sans cicatrice visible. Elle semble également diminuer les douleurs post opératoires et accélérer la convalescence, du fait de la petite taille de la cicatrice et de l’absence de lésion des muscles de la paroi abdominale. »

Mise en place des trocarts dans la gaine plastique (Single Site) à travers le nombril sous contrôle caméra - HCL

Mise en place des trocarts dans la gaine plastique (Single Site) à travers le nombril sous contrôle caméra – HCL

La technique

Une incision unique de 3 centimètres au niveau de l’ombilic (nombril) permet d’insérer une gaine plastique. Cette gaine possède plusieurs orifices permettant l’introduction d’un système robotique (une caméra et jusqu’à 3 instruments). Le chirurgien est installé sur une console de contrôle d’où il bénéficie d’une vision 3D à l’intérieur du patient grâce au système Haute Définition du robot. Les mouvements du chirurgien sur cette console sont reproduits par le robot à l’intérieur du corps du patient.

Après dissection, la partie cancéreuse du rein cancer est placée dans un sac d’extraction et retirée par l’incision au niveau du nombril. Aucune autre incision abdominale et aucun autre trocart ne sont nécessaires.
L’équipe est fortement impliquée dans le développement des nouvelles techniques mini invasives. Elle a notamment réalisé le premier prélèvement en Europe d’un rein par le nombril chez un donneur vivant en vue d’une greffe, en février 2010.

Avec le robot chirurgical de 2ème génération, les HCL investissent dans la chirurgie de demain

En 2003, les HCL faisaient partie des premiers CHU à acquérir le robot chirurgical Da Vinci. 10 ans plus tard, devenus Centre de référence pour la chirurgie robot-assistée, ils s’équipent du nouveau robot Da Vinci de deuxième génération : un effort financier de 2,5 M € consenti par les HCL pour accompagner la forte augmentation d’activité constatée ces 2 dernières années, et investir ainsi dans « la chirurgie de demain ». Par rapport au robot de 1ère génération, le nouvel équipement offre plusieurs avancées :

– Vision en 3D en haute définition pour une meilleure qualité d’analyse et de précision.
– 4 bras robotisés au contact du patient (1 de plus que l’ancien robot) : 1 pour l’optique et jusqu’à 3 pour les instruments.
– Double console permettant la formation des jeunes chirurgiens ou le travail simultané de 2 experts.
– Embarquement de nouvelles technologies utilisées jusqu’ici uniquement en chirurgie ouverte (laser, ultrasons…)

Le Centre de chirurgie robotique des HCL est à la fois un centre de formation et un centre d’innovation technique pour le patient.

La conduite accompagnée pour former les chirurgiens de demain : La double console fait du nouvel équipement un formidable outil d’apprentissage : le chirurgien senior, installé sur la console-maître, et l’apprenti, installé sur la consoleélève, reçoivent la même image. Les gestes de l’élève sont ainsi réalisés sous le contrôle en temps réel du chirurgien expérimenté, qui peut reprendre la main tout moment, selon le principe de la conduite accompagnée. Cet esprit de formation correspond aux missions du Centre Hospitalo-Universitaire qui offre une formation diplômante depuis plusieurs années

Le travail « à 4 mains » sur le même champ opératoire

La double console permet de faire intervenir deux experts pour un meilleur geste opératoire, plus court, moins traumatisant, ouvrant la voie vers de nouvelles opérations.

Un plateau technique partagé

Certains établissements hospitaliers font l’objet d’une convention d’accès au robot avec les HCL : St Luc-St Joseph, cliniques mutualistes, centres hospitaliers de Villefranche, Bourgoin-Jallieu, Vienne, Givors. Les praticiens, formés par nos seniors à la chirurgie robotique, viennent opérer leurs patients au Centre-Hospitalier Lyon-Sud. Ces conventions permettent aux patients provenant d’autres établissements d’accéder aux techniques de chirurgie robotisée.

Les HCL et le robot chirurgical : une activité ponctuée d’innovations techniques

Mars 2013 : Le Dr Sébastien Crouzet, urologue, réalise pour la première fois au monde l’ablation partielle d’un rein tumoral à travers le nombril
Début 2013 : Les praticiens des HCL réalisent la 1000ème intervention au robot chirurgical
2012 : Les HCL acquièrent le robot chirurgical Da Vinci 2ème génération, qui permet une chirurgie toujours moins invasive
2010 : Le robot chirurgical est transféré au Centre Hospitalier Lyon-Sud
2008 : Le Dr Philippe Céruse, ORL, réalise pour la 1ère fois en France une chirurgie du larynx au robot chirurgical
2003 : Les HCL acquièrent le robot chirurgical Da Vinci

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