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Deux livrets en ligne de recettes bonnes pour la santé et l’environnement (Ademe)

L’Agence française de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (Ademe) a publié en ligne deux livrets de recettes « très abordables » à base de légumes et de légumineuses.

En France, souligne l’Ademe, l’alimentation est responsable de 25 % des émissions de gaz à effet de serre.

« Il est possible d’élaborer des menus bons pour la santé et bons pour l’environnement en rééquilibrant les apports de protéines animales et végétale. »

« En effet, la production de viande génère davantage de gaz à effet de serre que la production d’autres produits animaux (lait, œufs), et plus que la production des végétaux. De manière générale, elle a des impacts environnementaux plus élevés : les produits animaux cumulent en effet les impacts liés à la production de leurs aliments et à ceux propres à l’élevage. »

« Diversifier son alimentation, manger des produits de saison en évitant les produits transportés par avion ou sur de longues distances et en mangeant moins de produits d’origine animale, vous permet d’agir pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. »

Le livret Recettes des 4 saisons à base de légumes et légumineuses, mis en ligne en 2018, « propose 40 recettes à base de légumes et de légumineuses différents en fonction des saisons pour vous aider dans cette démarche. »

Le Livret de recettes, mis en ligne en 2017, propose des recettes végétariennes, principalement avec des légumineuses, qui sont « simples, parfois étonnantes, délicieuses et avec “zéro déchets” ».

Pour plus d’informations sur la cuisine et l’alimentation, voyez les liens plus bas.

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TDAH : nouveau cours en ligne accessible à tous et gratuit (Université Laval)

L’université Laval (Québec) offre un nouveau cour en ligne (MOOC [1]), intitulé « Le point sur le TDAH : comprendre, soutenir et accompagner les jeunes », principalement destiné aux parents et au personnel scolaire œuvrant auprès de jeunes âgés de 5 à 17 ans présentant un trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDAH).

La formation se déroulera du 23 septembre au 11 novembre 2019. Elle requiert 2 à 3 heures par semaine. L’inscription se poursuit jusqu’au 21 octobre 2019.

« Cette formation propose un tour d’horizon du TDAH fondé sur la littérature scientifique récente afin de permettre aux participants et participantes de mieux comprendre le TDAH, ses symptômes et ses manifestations. Elle explore diverses approches d’intervention et stratégies susceptibles d’aider les parents et le personnel scolaire à mieux soutenir leurs enfants et élèves dans leur développement et leurs apprentissages, tant à la maison qu’à l’école.  »

Les participants inscrits reçoivent gratuitement le numéro spécial sur le TDAH de la revue numérique « La foucade ».

Plus d’informations sur le site de l’Université Laval : Le point sur le TDAH : comprendre, soutenir et accompagner les jeunes.

Pour plus d’informations sur le TDAH, voyez les liens plus bas.

(1) « (Massive open online course) »

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Bientôt en ligne : les 9 éditions du Dictionnaire de l’Académie française depuis 1694 (voyez l’évolution du mot femme)

L’Académie française met son Dictionnaire à la disposition du public grâce à un portail web en accès libre et gratuit.

L’Académie édite des dictionnaires depuis 1694. La plateforme donne pour l’heure accès à la 9e édition en voie d’achèvement et à la 8e édition. Mais avant la fin de l’année s’ajouteront les sept précédentes.

Avant la fin 2019, il sera possible de circuler d’une édition à l’autre à partir de la définition d’un mot.

« L’Académie a été créée par Richelieu, sous Louis XIII en 1635. Il a donc fallu 59 ans pour établir le premier dictionnaire », rapporte France Inter.

France Inter a testé la plateforme de consultation en avant-première avec le mot « femme ».

Selon la définition de la 1re édition en 1694, la femme est la « femelle de l’homme ». À la 6e édition, en 1832, elle est toujours « la femelle de l’homme », mais apparait l’expression « compagne de l’homme ».

Dans la 8e édition (1932-1935), la définition est devenue « être humain du sexe féminin, la compagne de l’homme ».

Dans l’édition actuelle de 2019, la femme n’est plus ni la femelle ni la compagne de l’homme, elle est un « être humain défini par ses caractères sexuels, qui lui permettent de concevoir et de mettre au monde des enfants. »

Psychomédia avec sources : Académie française, France Inter.
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Doctolib se met à la consultation en ligne

Doctolib se met à la consultation en ligne

Le 14 janvier 2019

Doctolib, plateforme de rendez-vous en ligne se lance dans la téléconsultation. On vous dit tout sur cette nouveauté qui devrait changer la vie des patients, en particulier ceux qui habitent dans des déserts médicaux.

La téléconsultation pour pallier les déserts médicaux

Lorsqu’ils ont besoin de prendre un rendez-vous médical, les Français ont souvent l’habitude de se rendre sur Doctolib qui permet de réserver sa date et son horaire en ligne. Un outil très pratique et qui continue d’évoluer. Désormais, il est possible, via cette plateforme, d’avoir accès à une consultation en ligne.

Une nouveauté qui sera particulièrement appréciée par les malades qui ne peuvent pas se déplacer ou bien ceux qui habitent à la campagne ou dans un désert médical. Concernant le coût de la téléconsultation, le patient n’aura pas besoin de payer plus cher qu’une consultation classique : 25 € pour un généraliste, 30 € pour un spécialiste. Elles seront aussi remboursées de la même manière.

Même tarifs et remboursement que les consultations classiques

Du côté des médecins, ce service de téléconsultation leur coûtera 79 € par mois. Ils devront bien évidemment se doter de l’équipement adéquat afin d’avoir une excellente visibilité lors de la téléconsultation. Ils recevront pour cela une aide de 350 € de la part de l’Assurance maladie.

Concernant les patients, s’ils ne disposent pas de connexion à Internet, ils pourront en obtenir une dans une pharmacie. Ils devront néanmoins avoir déjà rencontré physiquement le médecin avant d’effectuer leur première téléconsultation. Si, pour l’instant, ce système ne concerne quasiment que l’Île-de-France, ce dernier devrait s’étendre rapidement. Objectif du gouvernement : atteindre 500.000 téléconsultations en 2019.

À lire aussi Tout ce que vous devez savoir sur la télémedecine

 

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

« Implants mammaires : Danger sous la peau » : reportage de l’émission Enquête (vidéo en ligne)

L’émission Enquête a présenté, le 29 novembre, un reportage intitulé « Implants mammaires : Danger sous la peau ». La vidéo du reportage est en ligne sur le site de Radio-Canada.

Au cours des dernières années, peut-on lire dans la présentation, « des milliers de femmes ont fait retirer leurs implants à cause de problèmes divers ».

« De nouvelles études, indique le reportage, ont démontré que les implants de silicone sont associés au développement de maladies auto-immunes ainsi qu’à une forme rare de cancer. La maladie des implants fait l’objet d’une controverse. »

L’enquête menée par l’émission, en collaboration avec le Consortium international des journalistes d’investigation (International Consortium of Investigative Journalists – ICIJ), Radio-Canada, CBC et le Toronto Star, révèle que « Santé Canada a approuvé la mise sur le marché des nouveaux implants sans disposer de données sur les effets à long terme et a permis aux manufacturiers de ne pas rapporter adéquatement les incidents indésirables liés aux implants mammaires pendant des années ».

Le reportage peut être visionné sur le sur le site de Radio-Canada : Implants mammaires : Danger sous la peau

Pour plus d’informations sur les implants mammaires et la santé, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Radio-Canada.
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87 additifs alimentaires sur 329 sont à éviter : base de données en ligne d’UFC-Que Choisir

 ».

L’association a passé en revue les études publiées par les instances scientifiques reconnues : l’Agence Européenne de Sécurité des Aliments (AESA), l’Organisation Mondiale de la Santé, ainsi que le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC).

Un quart des additifs à risque

Sur les 329 additifs analysés, 87 sont jugés à éviter ou peu recommandables, soit plus du quart.

Parmi ceux-ci, l’association cite :

  • les nitrates et nitrites (E249, E250, E251, E252), des conservateurs très présents dans les charcuteries, sont associés à un risque accru de cancer du côlon ;

  • les caramels élaborés au moyen d’ammoniaque ou de sulfite d’ammonium (E150c, E150d), utilisés dans une grande variété d’aliments, peuvent contenir des substances immunotoxiques à forte dose et suspectées d’être cancérigènes ;

  • les colorants azoïques (E102, E104, E110, E122, E124, E129), souvent présents dans les confiseries, pourraient contribuer à l’hyperactivité chez l’enfant.

Ces additifs sont massivement utilisés dans les produits alimentaires.

Dans des produits de même famille, ils peuvent cependant varier considérablement. Parmi les produits qui font mauvaise figure, UFC-Que Choisir cite les exemples suivants :

  • sur les 7 colorants trouvés dans les bonbons Jelly Belly, pas moins de 4 sont à éviter.

  • les nouilles « Yum-Yum saveur poulet grillé » comptent 14 additifs dans leur formule, dont 2 sont à éviter et 5 sont peu recommandables.

  • quant aux 14 additifs dénombrés dans les chewing-gums « Airwaves chloro-menthol », un est à éviter et 3 sont peu recommandables.

L’UFC-Que Choisir :

  • demande aux autorités européennes de mettre en œuvre une évaluation réellement indépendante de la dangerosité des additifs, à partir d’études financées par un fonds abondé par les fabricants ;

  • appelle le législateur à interdire les 87 additifs reconnus à risque par ses experts, sur la base d’études scientifiques.

Consultation (facile) de la base de données de Que Choisir (par ordre alphabétique du code européen ou par recherches avec filtres) : Évaluation Additifs alimentaires – Guide portant sur 329 additifs.

Pour plus d’informations sur les additifs alimentaires, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : UFC-Que Choisir.
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Jeu en ligne de formation « Sauve une vie » (gratuit)

Le Centre Hospitalier du Luxembourg (CHL), en partenariat avec le CHU de Liège (Belgique), lance une plateforme en ligne d’apprentissage « des gestes qui sauvent une vie ». L’objectif est de lutter contre la passivité de réaction.

Ce nouveau site se base sur un « serious game », un jeu d’apprentissage.

« Après l’énorme succès que la plateforme a connu en Belgique (plusieurs milliers de personnes formées en un an), le CHL a souhaité s’associer avec le CHU de Liège en vue d’adapter cet outil pédagogique pour le Luxembourg. »

Un film interactif dédié aux gestes de premiers secours explique de manière simple les gestes cardiaques et apprend à les maîtriser. Il intègre l’explication du bon usage du défibrillateur.

Le site s’adresse à tous, mais aussi aux entreprises qui peuvent le proposer à leur personnel, éventuellement en prélude à d’autres formations aux gestes qui sauvent ; aux écoles, aux clubs de sports, etc.

Dr Romain Nati, Directeur général du CHL, souligne l’importance de ce nouvel outil : « Nous sommes tous responsables. Devant une personne en détresse vitale, nous nous devons de réagir et de tout faire pour la sauver ».

L’outil fait partie intégrante d’une campagne en interne visant l’ensemble du personnel autour des compétences de prise en charge de la réanimation cardio-pulmonaire. L’objectif pour 2019 est que 100 % du personnel soit formé aux gestes qui sauvent une vie.

« Face à une situation vitale, le temps est compté ».

« Sauve une Vie » gratuit en ligne.

Pour plus d’informations sur les gestes qui sauvent, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Centre Hospitalier du Luxembourg.
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Allergies : les pollens de graminées seront toujours en première ligne !

allergies

cenczi/Pixabay

Allergies aux pollens, ça continue. Ne vous fiez surtout pas aux conditions météo actuelles ! Si les nombreuses averses orageuses nous offrent quelques courts moments de répits, les concentrations de pollens seront fortes à la moindre éclaircie. Et tout comme les semaines précédentes, ce sont les graminées qui seront en première ligne. Le risque allergique associé à ces pollens sera majoritairement élevé à très élevé sur la quasi totalité des régions.

Mais les pollens de graminées ne seront pas les seuls à gêner les allergiques. Sur la côte méditerranéenne, il faudra aussi compter sur les pollens d’olivier,  de pariétaires et de chêne, avec un risque d’allergie moyen.

Pour le reste pas grand chose à signaler cette semaine. Pollens de plantains, d’oseille et d’urticacées seront bien présents mais avec un risque allergique généralement faible.

Et comme on se plaît à le répéter chaque semaine, les allergiques ne doivent pas oublier leurs traitements pour respirer correctement.

N’oubliez pas que le Réseau National de Surveillance Aérobiologique vous offre la possibilité de recevoir chaque semaine par e-mail les prévisions du risque allergique des départements de votre choix. Pour cela vous pouvez vous inscrire en cliquant ici

Suivez vos symptômes d’allergies en remplissant le questionnaire journalier sur www.pollendiary.com

Source : Bulletin Allergo Pollinique – Réseau National de Surveillance

Réduire les symptômes d’une allergie aux pollens

Pour réduire les symptômes d’une allergie aux pollens, le Ministère de la Santé recommande d’éviter de fréquenter des lieux infestés ou de pratiquer des activités de plein-air lorsque les concentrations de l’air en pollens sont élevées. D’autres recommandations peuvent être formulées comme d’éviter de tondre la pelouse ou de ramasser des végétaux (feuilles…), de protéger ses yeux avec des lunettes de soleil, de se changer et de se doucher régulièrement, d’éviter le contact avec d’autres irritants pouvant amplifier les symptômes d’allergies tels que la fumée de tabac.

Symptômes de l’allergie pollinique

L’allergie est une réaction d’hypersensibilité initiée par une réaction immunitaire spécifique à une substance étrangère à l’organisme humain et appelée « allergène ». Il existe différents types d’allergènes (acariens, dans certains aliments, moisissures…). Certains pollens peuvent entraîner des réactions allergiques appelées « pollinoses » au niveau des zones de contact : muqueuses respiratoires et oculaires. Plus rarement, ils peuvent être responsables de réactions cutanées, telles que l’eczéma ou l’urticaire. L’allergie respiratoire se présente sous deux formes principales : la rhinite allergique et l’asthme allergique.

– La rhinite allergique

Dans le cas des pollens, la rhinite est dite saisonnière, on parle aussi de « rhume des foins », bien que cette appellation ne fasse référence qu’à la rhinite par allergie au pollen de graminées.

La rhinite allergique résulte d’une inflammation des voies aériennes supérieures (nez, rhinopharynx et larynx) qui provoque une congestion nasale obstructive et sécrétante qui peut atteindre différents niveaux de sévérité (faible, modérée et sévère). Les voies lacrymales et la conjonctive peuvent être atteintes de manière associée à la rhinite. Il s’agit alors de rhino-conjonctivite allergique, qui se traduit par des symptômes de démangeaisons des yeux, rougeur conjonctivale, larmoiement, paupières enflées et collées. Ces manifestations peuvent être intenses, répétées et donner lieu à des conjonctivites fréquentes. La rhinite allergique est par ailleurs un facteur de risque important de survenue de l’asthme, elle le précède souvent, contribuant aussi au contrôle insuffisant de l’asthme.

– L’asthme allergique

L’asthme allergique est une maladie inflammatoire des bronches (gonflement de la paroi des conduits aériens), conséquence de l’inhalation des allergènes en suspension dans l’air inhalé. Cette inflammation induit aussi une augmentation de la sensibilité des voies aériennes à d’autres stimuli. Cette maladie chronique se manifeste par des troubles respiratoires (dyspnée), avec une respiration sifflante (à l’expiration), un sentiment d’oppression thoracique, des épisodes récidivants de toux, un essoufflement après un effort, parfois une fatigue anormale brutale, une pâleur. Différents stades de l’asthme de gravité variable peuvent être identifiés, d’intermittent à persistant sévère. L’asthme est une maladie potentiellement mortelle.

Les études épidémiologiques montrent que les deux affections -rhinite allergique et asthme allergique- coexistent souvent chez un même individu. Au moins 80% des asthmatiques souffrent également de rhino-conjonctivite allergique, tandis qu’environ 20% des patients ayant une rhinite allergique sont également asthmatique. La rhinite allergique multiplie le risque d’apparition de l’asthme d’un facteur 4 environ.

Source : Ministère de la Santé

Le saviez-vous

Vous souffrez d’asthme ou d’allergies ? Alors préférez vivre à la ferme ! Selon une très sérieuse étude, dont les résultats ont été publiés il y a quelques mois dans la revue spécialisée « Science », les enfants vivant dans cet environnement seraient davantage protégés contre l’asthme et les allergies respiratoires.

L’un des auteurs de l’étude, le professeur Bart Lambrecht, a déclaré à ce sujet «A ce stade, nous avons mis en évidence un lien entre la poussière dans les fermes et la protection contre l’asthme et les allergies».

Puis d’expliquer comment ils sont arrivés à cette conclusion «Pour ce faire, nous avons exposé des souris à de la poussière prélevée dans des fermes en Allemagne et en Suisse. Les tests ont ensuite révélé que ces souris étaient totalement protégées contre l’allergie aux acariens, le cas d’allergie le plus courant chez les humains».

Les scientifiques ont aussi analysé les données de santé de près de 2000 personnes ayant grandi ou pas dans une ferme. Verdict : une grande majorité de celles ayant vécu dans une ferme n’étaient pas enclins aux allergies ou à l’asthme.

Et les les autres alors ? Ils souffraient d’une carence en protéine A20. Cette étude a aussi permis de révéler que cette protéine permettait de «rendre la muqueuse des voies respiratoires moins réactive aux allergènes comme les acariens». Et c’est l’inhalation régulière des poussières présentes dans les fermes qui permettrait justement à cette protéine d’être produite naturellement par le corps humain

News Santé

Le « Carnet Santé Québec », dossier médical en ligne, devient accessible à tous

À compter du 22 mai, les Québécois auront accès à leur Carnet santé Québec en ligne, a annoncé, le 18 mai, le ministre de la Santé.

Les personnes intéressés pourront commencer leur processus d’inscription le 22 mai. Elles devront d’abord s’inscrire sur le site dédié. Un code de sécurité leur sera ensuite transmis par la poste. Il suffira ensuite de continuer le processus d’inscription en ligne.

« Grâce à un service d’authentification sécuritaire », les usagers pourront :

  • consulter leur liste de médicaments reçus en pharmacie ;
  • consulter leurs résultats de prélèvement ;
  • consulter leurs rapports d’imagerie médicale ;
  • s’inscrire au Guichet d’accès à un médecin de famille et modifier leur inscription au besoin ;
  • prendre rendez-vous en ligne avec un médecin de famille à l’aide du service Rendez-vous santé Québec.

Au fil du temps, d’autres services s’ajouteront, notamment :

  • à partir de septembre 2018 : le montant payé au médecin lorsqu’il est payé à l’acte ;

  • en décembre 2018 : sous réserve de changements législatifs, l’évolution des demandes pour une intervention chirurgicale ;

  • à la conclusion d’un prochain appel d’offres lancé en juin : la Bibliothèque Santé, qui donnera des renseignements scientifiques sur les maladies, les symptômes, les traitements, la prévention, les périodes de convalescence, etc.

Il y aura un délai de 30 jours avant que des résultats d’imagerie médicale, par exemple, deviennent accessibles. « Nous ne voulons pas que le citoyen ou la citoyenne apprenne sur un courriel, sur un carnet santé, un diagnostic de cancer. Un diagnostic de cancer, c’est une mauvaise nouvelle qui doit être annoncée dans un environnement qui est approprié et c’est dans la relation médecin-patient », a expliqué le ministre. Ce délai de 30 jours est toutefois appelé à être réduit, a-t-il précisé.

Pour les jeunes âgés de 14 à 18 ans moins un jour, l’inscription devra se faire par téléphone. Car il semble que légalement, si le code de sécurité était transmis par la poste, les parents auraient le droit d’ouvrir le courrier, a expliqué le ministre.

Le site sera hébergé par la Régie de l’assurance-maladie du Québec, habituée à traiter des données confidentielles.

Lors de projets pilotes à Laval et Québec, 20 000 personnes ont déjà utilisé le système au cours des derniers mois.

Pour s’inscrire, portail du Carnet Santé Québec.

Psychomédia avec sources : Bureau du ministre de la Santé, La Presse canadienne (Le Devoir).
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Lancement du dossier médical en ligne accessible par les patients au Québec

Le Gouvernement du Québec a annoncé, le 11 décembre, le lancement du « Carnet santé Québec », un service en ligne qui permettra aux usagers du réseau de la santé et des services sociaux d’accéder en tout temps à leurs renseignements de santé.

Il « sera rendu disponible à une partie de la population, avant son déploiement dans l’ensemble du Québec au printemps 2018. »

« Ainsi, les résidents de Laval inscrits auprès d’un médecin de famille dans une clinique médicale de Laval, de même que les personnes inscrites auprès d’un médecin de famille de la super-clinique de Québec, MAclinique Lebourgneuf, pourront avoir accès à Carnet santé Québec, et ce, à compter du 5 janvier 2018. »

« Gratuit, simple à utiliser, fiable et sécuritaire, Carnet santé Québec a été conçu pour vous aider à prendre votre santé en main. Il regroupera vos informations de santé en un seul endroit, accessible de partout, en tout temps, à partir de votre cellulaire, de votre tablette ou de votre ordinateur. »

« Vous pourrez y effectuer les actions suivantes :

  • Consulter votre liste de médicaments reçus en pharmacie ;

  • Consulter vos résultats de prélèvement ;

  • Consulter vos résultats d’examens d’imagerie médicale ;

  • Prendre rendez-vous en ligne avec un médecin de famille à l’aide du service Rendez-vous santé Québec, l’annuler au besoin et voir l’historique de vos rendez-vous ;

  • Vous inscrire au Guichet d’accès à un médecin de famille et modifier votre inscription, au besoin. »

Le service sera offert dans l’ensemble du Québec au printemps 2018. Au fil du temps, d’autres services se grefferont à ceux qui sont déjà disponibles, selon les priorités établies et les besoins des utilisateurs.

Site Carnet santé Québec

Psychomédia avec source : Cabinet du ministre de la Santé.
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