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Jouez avec cette simulation interactive et voyez l’importance de la vaccination pour l’« immunité collective »

Une simulation interactive facile d’utilisation, présentée sur le site Complexity Explorables, illustre comment différents niveaux de vaccination dans une population protègent non seulement l’individu mais la collectivité.

Elle permet de visualiser ce que signifie le terme « immunité collective ».

Modifiez la transmissibilité d’une maladie et le niveau de vaccination pour visualiser l’impact sur la propagation d’une maladie.

La langue (anglais) n’est pas un obstacle pour l’utilisation facile et la compréhensibilité de la simulation.

Voyez l’application sur le site Complexity Explorables.

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L’importance du sommeil pour avoir une bonne mémoire

Le 15 novembre 2016.

Les études sont nombreuses qui ont mis en lumière l’importance du sommeil pour avoir une bonne mémoire, notamment pour les personnes âgées. Le manque de sommeil peut en effet entraîner des pertes de mémoire.

Le cerveau travaille pendant la nuit

Il existe un lien indéniable entre la qualité du sommeil et la qualité de la mémoire. Ce constat est encore plus clair chez les personnes âgées. De nombreuses études ont en effet montré que quand on est jeune, on dort d’un sommeil profond, d’un sommeil réparateur excellent pour la mémoire. Chez les personnes âgées, le manque de sommeil est souvent à l’origine des manques de mémoire.

Mais comment l’expliquer ? « Constamment sollicitée, la mémoire enregistre la multitude d’informations que nous percevons durant la journée », explique Géraldine Rauchs, responsable du groupe « Sommeil, cerveau et mémoire », à Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), dans les colonnes du Figaro. « Pour consolider les souvenirs, le cerveau doit effectuer un tri de ces informations en stockant les éléments importants tout en oubliant les détails. »

Lien entre la maladie d’Alzheimer et le manque de sommeil

Pendant la nuit, la mémoire ancre les informations récoltées toute la journée. Avant un examen, il est donc bon de relire les cours avant de s’endormir. Réviser toute la nuit est en revanche contre-productif. Avec la fatigue, la mémoire ne fera plus le tri entre les informations importantes à retenir et celles qui n’ont aucun intérêt. Du coup, pour se souvenir d’une information, le cerveau devra redoubler d’efforts.

Selon Géraldine Rauchs, il existe un lien entre la qualité du sommeil et la formation des plaques amyloïdes, caractéristiques de la maladie d’Alzheimer. Un lien qu’il serait important de prendre en compte dans l’accompagnement des patients souffrant de démence ou de perte de mémoire.

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Risque cardiaque : l’importance du sport après 65 ans

Le 29 août 2016.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’université de Oulu, en Finlande, faire du sport, même de manière modérée, après 65 ans, réduirait de moitié le risque de décès de cause cardiovasculaire.

Une activité physique même modérée

Des chercheurs finlandais ont cherché à trouver quel lien il existait entre l’activité physique, les maladies cardiaques et les décès des personnes âgées. Pour cela, ils ont suivi près de 2 500 personnes âgées de 65 à 74 ans, de 2001 à fin 2013. Pendant ces 12 années, les personnes participantes à l’expérimentation devaient décrire leur activité physique et leurs habitudes de vie.

Sur ces 2 500 personnes, 197 personnes sont décédées à la suite de troubles ou d’accidents cardiovasculaires et 416 ont été victimes d’un événement cardiaque plus ou moins grave. Ce que les chercheurs ont en revanche pu constater, c’est que l’activité physique modérée réduisait le risque d’accident cardiovasculaire de plus de 30 %. Plus l’activité physique était importante, plus le risque était réduit.

Une réduction du risque de décès de cause cardiovasculaire

Par ailleurs, la pratique d’une activité physique de loisirs modérée et élevée était associée à une réduction du risque de décès de cause cardiovasculaire, respectivement de 54 % et 66 %.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les personnes âgées de 65 ans ou plus devraient pratiquer au moins 150 minutes d’activité d’endurance d’intensité modérée ou au moins 75 minutes d’activité d’endurance d’intensité soutenue, par semaine. L’activité d’endurance devrait être pratiquée par périodes d’au moins 10 minutes.

Si nous savons combien est nécessaire une activité physique régulière, nous ne pensons pas toujours que cette activité ne doit pas se réduire avec l’âge. La sédentarité fait beaucoup de dégâts, notamment chez les personnes âgées.

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Maladies chroniques : l’importance de garder un lien social

Une étude menée chez 121 personnes âgées de plus de 70 ans a mis en évidence l’importance du maintien d’une vie sociale active en cas de maladie grave. Un conseil valable également pour les personnes en couple.

En cas de diagnostic d’une maladie chronique, suspendre ses activités sociales ne fait qu’empirer les choses, même lorsqu’on est en couple. Ce sont les conclusions d’une étude menée par les chercheurs de l’université canadienne Concordia, à Montréal, et publiée par la revue scientifique Health Psychology.

Les scientifiques ont analysé l’évolution du sentiment de solitude chez 121 septuagénaires, entre 2004 et 2012. Résultat : la maladie chronique contribue à l’isolement social, même chez les personnes en couple depuis plus de 50 ans. Les malades ont tendance à culpabiliser au lieu d’aborder leur situation d’une façon positive.

Combler le vide

« En vieillissant, la qualité de nos liens sociaux influe sur notre capacité à surmonter les conséquences d’une maladie grave. Le fait d’avoir un partenaire de vie pourrait ne pas suffire », explique l’auteur principal de ces recherches, Meaghan Barlow. « Le diagnostic d’une maladie chronique ne devrait pas limiter votre vie sociale, dans la mesure du possible. »

Afin de réduire le stress généré par le diagnostic d’une maladie grave et limiter les symptômes de dépression, elle conseille de rester socialement actif. « En trouvant des moyens d’interagir avec différentes personnes, les malades risquent moins de s’en vouloir pour leur état de santé et de s’en remettre à leur partenaire pour combler le vide qu’ils ressentent », note la chercheuse, citée par l’Agence QMI.

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