Les gens qui appartiennent au tiers le plus riche de la population connaissent plusieurs années de vie Continuer la lecture de Longévité « en santé » : grande différence selon la richesse
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Toute activité physique semble améliorer la longévité
Cumuler 30 minutes d’activité physique légère (jardinage, promenade…) par jour permettrait aux hommes âgés de diminuer leur risque de mortalité de 17 % comparativement à ceux qui sont sédentaires, selon une étude publiée dans la revue British Journal of Sports Medicine.
Barbara Jefferis de l’University College London et ses collègues ont mené cette étude avec 1181 hommes, âgés en moyenne de 78 ans, qui ont porté un appareil mesurant la quantité et l’intensité de l’exercice physique pendant sept jours.
Les participants ont ensuite été suivis pendant cinq ans en moyenne, au cours desquels 194 d’entre eux sont décédés.
Une demi-heure d’activité légère par jour diminuait le risque de mortalité de 17 % ; une heure diminuait le risque de 33 %.
Les directives britanniques et américaines ne mentionnent aucun avantage d’une activité d’intensité légère », souligne la chercheure, alors que toutes les activités aussi modestes soient-elle, sont bénéfiques.
Les recommandations britanniques actuelles préconisent au moins 150 minutes par semaine d’activité physique modérée à vigoureuse durant des périodes d’au moins 10 minutes.
Dans la présente étude, seulement 16 % des participants faisaient de l’exercice d’intensité légère à modérée pendant 10 minutes. Mais 66 % accumulaient 150 minutes par semaine avec des périodes inférieures à 10 minutes.
Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.
Psychomédia avec sources : British Journal of Sports Medicine, .
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L’impact du surpoids et de l’obésité sur la longévité quantifié dans une grande étude
Une grande étude publiée dans la revue médicale The Lancet, à laquelle ont participé plus de 500 chercheurs provenant de plus 300 institutions, quantifie l’impact du surpoids et de l’obésité sur la longévité.
L’objectif était de résoudre la confusion amenée par certaines études récentes qui ont suggéré un avantage du surpoids pour la longévité.
Les chercheurs ont analysé 239 études concernant 3,9 millions de personnes qui ne fumaient pas et n’avaient pas de maladie chronique au début de l’étude, rapportent Emanuele Di Angelantonio et Frank Hu des universités de Cambridge et Harvard.
Le risque de décès prématuré augmentait « régulièrement et fortement
» avec le niveau d’obésité, indique l’étude. En moyenne, les gens en surpoids perdaient un an d’espérance de vie, les personnes modérément obèses perdaient 3 ans et les celles ayant une obésité sévère, environ 10 ans.
L’effet du surpoids ou de l’obésité sur l’espérance de vie était trois fois plus grand chez les hommes que chez les femmes. Alors que le risque de mourir avant 70 ans était de 19 % pour les hommes et de 11 % pour les femmes ayant un IMC normal, il grimpait à 29,5 % pour les hommes et 14,6 % pour les femmes modérément obèses (IMC de 30 à 34,9).
Pour chaque 5 unités d’indice de masse corporelle au-dessus de 25, le risque de décès prématuré augmentait de 31 %.
Les risques de maladie coronaire, d’accident vasculaire cérébral, de maladie respiratoire et de cancer étaient augmentés.
Psychomédia avec source : Harvard T.H. Chan School of Public Health.
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L’activité sexuelle, source de santé et de longévité… même chez les mouches
Publiée dans Science, une étude expérimentale américaine montre que chez la mouche drosophile, la frustration sexuelle entraîne stress, problèmes de santé et raccourcissement de la durée de vie.
Des chercheurs de l’Université du Michigan se sont penchés sur la libido de la mouche drosophile (Drosophila melanogaster) et plus particulièrement sur les effets de la frustration sexuelle. Pour cela, ils ont employé trois techniques différentes. La première a consisté à placer des mâles génétiquement modifiés pour produire des phéromones femelles parmi des mâles ‘intacts’.
Le but était que ces derniers aient le sentiment d’être dans un environnement sexuellement riche sans toutefois avoir l’accès à des femelles. La deuxième technique a consisté à manipuler chez ces mouches les neurones spécifiques responsables de la perception des phéromones. Enfin, la troisième a consisté à manipuler dans le cerveau de ces insectes, les zones liées à la récompense sexuelle (zones qui sécrètent un groupe de composés associés à l’anxiété ainsi qu’à la libido).
Au cours des trois expériences, les chercheurs ont observé le comportement et l’état de santé des mouches. Ils ont ainsi observé chez les mâles sexuellement frustrés une baisse rapide des réserves de graisse et de la résistance à la famine, un stress accru et une durée de vie plus courte. Des effets négatifs partiellement renversés chez les individus auxquels les chercheurs permettaient (enfin) de copuler.
La frustration sexuelle, un problème de santé
« Nos résultats nous permettent de mieux comprendre comment la perception sensorielle et l’état physiologique sont intégrés dans le cerveau pour affecter la santé à long terme et la durée de vie », explique Scott D. Pletcher, du Département de génétique moléculaire et de physiologie intégrative de l’Université du Michigan, auteur principal de l’étude.
« La génétique et la neurobiologie de pointe utilisées dans cette recherche nous (…)
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Faites l’amour trois fois par semaine pour paraître plus jeune
Pour vous sentir et sembler plus jeune, faites l’amour trois fois par semaine ! Adopter ce rythme permettrait en effet de paraître sept à douze ans de moins que son âge, selon les résultats d’une étude menée par le Pr David Weeks, neuropsychologue de l’Hôpital Royal d’Édimbourg, et son équipe. Pour parvenir à cette conclusion, il a fallu observer pendant dix ans 3 500 hommes et femmes âgés de 20 à 104 ans, originaires d’Amérique et d’Europe.
Si faire l’amour plus souvent que ses voisins rend heureux, coucher trois fois par semaine rend donc plus jeune. Mais attention, dépasser ce rythme hebdomadaire n’apporterait aucun bénéfice supplémentaire. Rien ne sert donc de programmer des ébats tous les soirs. Autre précision : le Pr Weeks précise que changer régulièrement de partenaire ou être infidèle ne contribue pas au rajeunissement apparent… Au contraire.
Les nombreux bienfaits du sexe
L’étude démontre également qu’une vie sexuelle intense comporte de nombreux autres bienfaits sur l’organisme.
Ainsi, les hommes qui éjaculent plus de vingt fois par mois voient leur risque de cancer de la prostate réduit d’un tiers par rapport à ceux qui le font moins de huit fois par mois, selon une étude publiée en 2004 dans le Journal of The American Medical Association. Quant aux femmes, une stimulation régulière de leurs seins et de leurs mamelons aiderait à diminuer le risque de cancer du sein, d’après une étude du Pr Murrel, de l’université d’Adélaïde (Australie), publiée en 1995.
La sexualité jouerait également un rôle déterminant dans « la régulation des émotions et le maintien du bien-être psychologique », notamment chez les individus épanouis dans leur couple, selon une étude de 2012, réalisée par le psychologue Tsachi Ein-Dor et son collègue de l’École de psychologie du Centre interdisciplinaire d’Herzliya en Israël.
Et si vous pensez ne pas pouvoir tenir le rythme d’une bonne nuit de sexe trois fois par semaine, le Pr Weeks et son équipe recensent d’autres manière de préserver la jeunesse de notre corps et de notre esprit. Parmi ceux-ci : « avoir des activités sociales avec des personnes de tous âges, être marié ou en couple avec une personne plus jeune, et, pour les femmes, prendre un traitement hormonal de la ménopause le cas échéant ».
Du soleil pour vivre plus longtemps
Une nouvelle étude prétend que l’exposition au soleil améliorerait la santé en général, en plus de possiblement jouer un rôle positif sur l’espérance de vie.
Les chercheurs de l’Université d’Édimbourg ont démontré que lorsque notre peau est exposée aux rayons du soleil, un composé est libéré dans nos vaisseaux sanguins, contribuant à abaisser la pression artérielle.
Selon eux, les avantages de la réduction de la pression artérielle l’emportent de loin sur le risque de développer un cancer de la peau.
«Nous pensons que les avantages de la lumière du soleil pour la santé du cœur l’emportent sur le risque de cancer de la peau. Le travail que nous avons accompli fournit un mécanisme qui pourrait expliquer ce phénomène et également pourquoi les suppléments alimentaires de vitamine D à eux seuls ne peuvent pas compenser le manque de soleil», a expliqué le Dr Richard Weller, conférencier principal en dermatologie à l’Université d’Édimbourg
«Nous envisageons maintenant d’examiner les risques relatifs de maladies cardiaques et le cancer de la peau chez les personnes qui ont reçu différentes expositions solaires. Si cela confirme que la lumière du soleil réduit le taux de mortalité, toutes causes confondues, nous devrons reconsidérer nos conseils sur l’exposition au soleil.»
Les rapports sexuels favorisent la longévité
Le Dr Frédéric Saldmann a récemment publié un livre qui démontre que les rapports sexuels permettent de favoriser notre longévité, cet acte ayant des effets bénéfiques sur notre organisme.
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