Archives par mot-clé : longtemps

Alzheimer : l’âge auquel apparaissent des atrophies cérébrales longtemps avant les symptômes

En quoi les modifications cérébrales associées à la maladie d’Alzheimer diffèrent-elles de celles observées au cours du vieillissement ?

Pour répondre à cette question, des chercheurs du CNRS, de l’École pratique des hautes études (EPHE) et de l’université de Valence (Espagne) ont analysé plus de 4 000 IRM de personnes en santé et de personnes atteintes de la maladie.

A partir d’IRM de 2944 personnes en santé, âgées de quelques mois à 94 ans, ils ont élaboré un modèle « normal » de l’évolution cérébrale moyenne, qu’ils ont comparé à un modèle pathologique moyen, établi à partir des IRM de 1385 personnes ayant la maladie et de 1877 témoins jeunes.

Leurs travaux, publiés en mars dans la revue Scientific Reports, montrent une atrophie précoce, vers 40 ans, de l’amygdale et de l’hippocampe chez les personnes qui seront atteintes de la maladie.

Pour plus d’informations sur la maladie d’Alzheimer, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : CNRS.
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Ces petits gestes qui permettent de vivre plus longtemps

Ces petits gestes qui permettent de vivre plus longtemps

Le 2 mai 2018.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de la T.H. Chan School of Public Health de Harvard, aux États-Unis, certaines habitudes permettraient de vivre plus longtemps. On vous dit tout.

Prendre de bonnes habitudes

Augmenter son espérance de vie de 10 ans, c’est possible. Pour cela, il faut dès à présent adopter des comportements sains. C’est ce qui ressort d’une étude menée par des chercheurs américains et publiée sur le site Circulation. Selon ces travaux, il suffirait de manger sainement, de pratiquer une activité physique régulièrement, de maintenir un indice de masse corporelle bas, de ne pas fumer et de ne pas trop boire.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont épluché les données de santé de près de 80.000 femmes et 50.000 hommes pendant une trentaine d’années. Ils ont ainsi pu constater que les personnes qui ne fumaient pas, qui avaient un indice de masse corporelle peu élevé (18,5-24,9 kg/m²) et qui faisaient au moins 30 minutes quotidiennes d’exercice physique par jour, augmentaient significativement leur espérance de vie.

Une consommation d’alcool raisonnable

Ces résultats sont conformes aux recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Mais qu’entendent les chercheurs par « consommation d’alcool modérée » ? Selon leurs travaux, il ne faudrait pas boire plus de 15 centilitres de vin par jour si on est une femme (soit l’équivalent d’un verre), et pas plus de 30 centilitres si on est un homme. Ces bonnes habitudes permettraient d’éviter les maladies cardiovasculaires et certains cancers.

« Les politiques publiques devraient donc insister davantage sur la promotion d’une alimentation, de logements et d’un environnement social sains, afin d’encourager un régime et des modes de vie sains », a commenté le professeur Frank Hu qui a dirigé ces travaux. Selon lui, les Américains peinent à mettre en place ces bonnes habitudes. Les États-Unis restent le pays où l’espérance de vie (79,3 ans) est la plus faible en comparaison avec les autres pays à hauts revenus.

Marine Rondot

À lire aussi : Comment vivre mieux et plus longtemps en bonne santé ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Espérance de vie : les couche-tard vivent moins longtemps

Le sommeil et ses conséquences sur notre espérance de vie. On le dit souvent, l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt. On peut donc dire qu’il n’appartient donc pas vraiment à ceux qui se couchent tard ! Une étude publiée la semaine dernière suggère d’ailleurs que les couche-tard ont une espérance de vie par rapport aux autres.

Pour info cette étude a été réalisée à partir d’une base de données publique  et menée par des chercheurs de l’Université de Surrey (Grande-Bretagne) et de celle de Northwestern (Etats-Unis). Ils se sont basés sur les habitudes de sommeil de 500 000 personnes âgées de 38 à 73 ans qui ont été suivies pendant 6 ans et demi.

Ces personnes ont été classées en 4 catégories : couche-tôt; personne plutôt du matin; personne plutôt du soir; couche-tard.

Au terme de l’étude, et alors que 10.000 individus du panel ont perdu la vie durant cette vaste période, les scientifiques en sont arrivés au constat suivant : les couche-tard ont un risque de décès 10% plus élevé que les autre catégories.

Bien plus exposées aux maladies cardiovasculaires et à des pathologies métaboliques comme le diabète, ces personnes seraient également davantage exposées à des troubles psychologiques, neurologiques, gastro-intestinaux et respiratoires. Elles auraient aussi beaucoup plus tendance que les autres à fumer, à boire, à prendre de la drogue et à abuser de caféine.

«C’est un problème de santé publique qui ne peut plus être ignoré» a déclaré Malcolm von Schantz, professeur de chronobiologie à l’Université de Surrey et principal auteur de l’étude.

« Je pense qu’il est primordial que les personnes qui se couchent tard se rendent compte des risques qu’elles prennent (…) Si on associe au manque de sommeil d’autres mauvaises habitudes, comme une alimentation trop grasse ou un manque d’activité physique, les risques peuvent se multiplier.  » a mis en garde » Kristen Knutson, professeur de neurologie à l’université de Northwestern et co-auteur de cette étude.

>>> A lire aussi : Les jeunes manquent de sommeil

News Santé

De petites améliorations à l’alimentation au cours des années font vivre plus longtemps

Apporter de petites améliorations à alimentation au cours des années fait vivre plus longtemps, selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine.

Mercedes Sotos-Prieto et Frank Hu de l’Université Harvard ont, avec leurs collègues, analysé des données concernant 74 000 personnes suivies pendant douze ans (1986-1998) et leurs risques de décéder lors des douze années suivantes (1998-2010).

L’étude montre que même de petites améliorations à alimentation au cours des années telles que consommer plus de fruits, légumes, légumineuses et poissons, et moins de viande rouge, viandes transformées et boissons sucrées, diminue les risques de mortalité de toute cause et de mortalité cardiovasculaire. Inversement, même de petites détériorations augmentent le risque.

La qualité de l’alimentation était mesurée selon les modèles du régime méditerranéen, du régime DASH (pour Dietary Approaches to Stop Hypertension) et du « 2010 Alternate Healthy Eating Index ». Les aliments qui contribuaient le plus à une amélioration étaient les céréales complètes, les fruits, les légumes, le poisson et les oméga-3.

Une augmentation de 20 % de la qualité du régime alimentaire — qui peut être obtenu, par exemple, en remplaçant une portion quotidienne de viande rouge ou de charcuterie par des noix (fruits à coque) ou des légumineuses — était liée à une réduction de 8 à 17 % du risque de mortalité. Une détérioration de la qualité était liée à une augmentation de 6 à 12 % du risque.

Parmi les participants ayant maintenu l’alimentation la plus saine, la réduction du risque de mortalité de toutes causes variait de 9 à 14 % comparativement à ceux ayant l’alimentation la moins saine.

Prioriser vos achats bio : 12 fruits et légumes ayant le plus de pesticides et 15 en ayant le moins

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Harvard TC Chan.
Tous droits réservés.

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Les yaourts sont encore bons longtemps après la date de péremption

Le yaourt peut être consommé plusieurs jours après le dépassement de la date limite de consommation (DLC), selon des tests menés par le magazine « 60 Millions de consommateurs » sur une soixantaine de yaourts de six catégories (nature fermes, nature brassés, fruits en morceaux, fruits mixés, aromatisés, laits fermentés).

Les fabricants fixent la DLC à 30 jours maximum de la date de fabrication. Cela signifie qu’au-delà, il faudrait en principe éviter de les consommer.

Le magazine a mené ses analyses à la date limite de consommation (DLC) et jusqu’à 3 semaines après celle-ci. Elles prenaient en compte la flore bactérienne et le pH (indice de l’acidité).

Selon un décret de 1988, un yaourt doit contenir au moins 10 millions de bactéries lactiques (Lactobacillus bulgaricus et Streptococcus thermophilus ) par gramme, pendant toute sa durée de commercialisation. De plus, il fallait vérifier l’absence de bactéries potentiellement pathogènes.

Les yaourts demeurent de bonne qualité 3 semaines après la DLC. Le pH varie très peu et se situe aux alentours de 4,3 à 4,4 en moyenne durant toute l’étude.

Surtout, la qualité microbiologique reste très bonne : la quasi-totalité des produits reste très largement au-dessus de la valeur réglementaire concernant les bactéries lactiques. Et aucune souche pathogène n’a été retrouvée.

Les yaourts contenant du sucre ou des fruits ne sont pas plus exposés au développement de bactéries indésirables que les yaourts nature.

Cette étude ne vaut que pour les yaourts (pas pour les desserts lactés tels que mousses ou crèmes au chocolat, liégeois, etc.) et à condition qu’ils aient été conservés au frais.

« De plus, il faut toujours respecter les règles de prudence : éviter de manger un yaourt qui semble altéré, avec un opercule gonflé, une mauvaise odeur ou des traces de moisissure par exemple. »

Les aliments qui peuvent ou pas être consommés après leur date de péremption (« 60 Millions de consommateurs »)

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Avoir des enfants permet de vivre plus longtemps

Avoir des enfants permet de vivre plus longtemps

Le 14 mars 2017.

Selon une étude publiée dans la revue médicale Journal of Epidemiology & Community Health, avoir des enfants, même un seul, augmente l’espérance de vie, notamment celle des hommes.

L’espérance de vie des parents est supérieure de près d’un an et demi

Vous hésitez encore à vous lancer dans la grande aventure de la paternité ? Cette étude risque de vous intéresser. Des chercheurs suédois viennent en effet de révéler que le fait d’avoir des enfants permettaient aux parents de vivre plus longtemps. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont étudié le cas de près de 1,4 million de Suédois nés entre 1911 et 1925.

Ils ont ainsi pu observer qu’à 60 ans, l’espérance de vie des personnes qui avaient au moins un enfant était supérieure de près d’un an et demi par rapport à celles qui n’avaient aucun enfant. Ils ont par ailleurs noté que cet écart était un peu plus important chez les hommes (1,8 an en moyenne) que chez les femmes (1,5 an en moyenne). Mais comment expliquer un tel phénomène ? Les parents ne sont-ils pas plus épuisés que les personnes sans enfant et donc plus à même de tomber malade ?

Les parents ont-ils un mode de vie plus sain ?

Selon les auteurs de ces travaux, les parents vivent plus longtemps parce qu’ils peuvent compter sur les bons soins de leurs enfants pour leurs vieux jours. Mais ce n’est pas tout. Avoir des enfants conduirait les parents à avoir des modes de vie plus sains : moins de sorties, plus de sport, une alimentation plus équilibrée, des nuits plus longues (passé un certain âge)…

En règle générale, les femmes vivent plus longtemps que les hommes. Sur le panel de personnes observées par les chercheurs, l’espérance de vie des femmes qui ont eu des enfants était de 24,6 ans, à 60 ans, contre 20,2 ans pour les pères de famille. Quant aux femmes sans enfant, leur espérance de vie atteignait les 23,1 ans, à 60 ans, contre 18,4 chez les hommes.

Marine Rondot.

Vous aimerez aussi : Comment vivre mieux et plus longtemps ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Plus personne ne pourra vivre aussi longtemps que Jeanne Calment

Le 7 octobre 2016.

Selon une étude menée une équipe de chercheurs de l’Albert Einstein College of Medicine, à New York, l’espérance de vie maximum a certes augmenté au long du XXe siècle, mais la durée maximale de la vie humaine pourrait déjà avoir été atteinte.

La durée maximale de la vie n’augmentera pas

Le record de la vie la plus longue revient à une Française, la très célèbre Jeanne Calment, qui est morte le 4 août 1997,à l’âge de 122 ans. Mais selon les chercheurs Xiao Dong, Brandon Milholland et Jan Vijg, plus personne ne pourra vivre aussi longtemps sur terre.

« Démographes et biologistes ont fait valoir qu’il n’y avait aucune raison de penser que l’espérance de vie maximum arrêterait de progresser », a fait savoir Jan Vijg, dans la revue scientifique britannique Nature. « Mais notre étude démontre que cet âge maximum a déjà été atteint et que ce pic l’a été dans les années 1990. ».

Selon lui, « de nouveaux progrès dans la lutte contre les maladies infectieuses et chroniques pourraient encore augmenter l’espérance de vie moyenne de la population mais pas la durée maximale de la vie. »

Plus de centenaires, mais personne n’atteint les 122 ans

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs se sont penchés sur l’âge maximal dans plus de 40 pays. En France, par exemple, le nombre de personnes toujours vivantes après 75 ans est passé de plus de 950 000 au début du précédent siècle, à 1,6 million en 1949 et à près de 6 millions en 2016. Sur cette période, le nombre de centenaires est passé de 100 à plus de 20 000.

Mais en comparaison avec les autres pays, les chercheurs ont pu constater que l’âge maximum avait augmenté rapidement entre 1970 et 1990, avant d’atteindre un plateau en 1995. Après cette date, l’âge maximum au décès a commencé à baisser doucement. Aujourd’hui, la probabilité qu’une personne dépasse les 125 ans serait de moins de un pour 10 000.

Vous aimerez aussi : Comment vivre mieux et plus longtemps ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

3 raisons pour ne pas garder trop longtemps un maillot de bain mouillé !

Alors oui, c’est la fin de l’été, mais il reste une poignée de chanceux qui vont encore profiter du soleil et du bord de la piscine encore durant quelques semaines. Alors pour eux, voici 3 raisons sanitaires de ne surtout pas garder trop longtemps sont maillot de bain mouillé sur eux !

#1 Maillot de bain mouillé = nid à bactéries

Chaleur, humidité et zone sombre : c’est le combo-gagnant pour la prolifération de bactéries. C’est exactement ce que représente un maillot de bain mouillé pour nos petites bactéries ! Le maillot de bain se transforme alors en véritable éponge à microbe et bactéries, tout droit sorties de la piscine ou de la mer.

Et bien sûr, en sortant de l’eau, ces bactéries restent entre le maillot et notre peau et notamment nos parties génitales. Des bactéries qui apportent un déséquilibre et par conséquent pouvant provoquer diverses maladies ou infections.

Les signes avant-coureurs d’une telle maladie ou infection ? Irritation, brulure, douleur en faisant pipi, etc. Bref, il convient alors de consulter rapidement un médecin qui prescrira un traitement adapté.

#2 Gare à la mycose !

Les champignons évoluent dans les endroits humides et bien la mycose étant une sorte de champignon, elle peut réellement apparaitre à cause du port d’un maillot mouillé.

Les signes avant-coureurs de la mycose : brûlures, irritations, démangeaisons ou pertes grumeleuses. Encore une fois, consulter un médecin en cas de symptômes.

#3 Risques d’eczéma marginé, une autre sorte de mycose

Si un maillot de bain mouillé entre en contact avec un champignon nommé dermatophyte, les zones sensibles de la peau peuvent être atteintes. Cette dernières subit alors des éruptions rouges circulaires qui démangent. Il s’agit d’une sorte de mycose dont les symptômes sont des plaques rouges et squameuses, qui démangent.

Encore une fois, à l’apparition de ces marques, la consultation d’un médecin est nécessaire afin que ce dernier prescrive des antifongiques.

Relativisons le maillot mouillé !

Attention à ne pas tomber dans la psychose, porter d’un maillot de bain humide n’implique pas automatiquement ces 3 effets indésirables.  La sensibilité à ces infections dépend de plusieurs critères, notamment de l’état de santé général de chaque individu.

Source : huffingtonpost.fr

Lire pour vivre plus longtemps ?

Le 8 août 2016.

Lire au moins 3h30 par semaine serait un bon moyen de préserver son cerveau des maladies dégénératives. Une étude américaine prouve même que les lecteurs assidus gagnent considérablement en espérance de vie.

La lecture prolonge l’espérance de vie

La lecture est une activité en perte de vitesse chez les Français. Mais elle pourrait bien retrouver de nouveaux adeptes, lorsqu’ils auront pris connaissance de cette nouvelle étude. Selon les recherches de l’Université américaine de Yale, la lecture serait en effet responsable d’une plus longue espérance de vie.

Il suffirait en fait de 3h30 de lecture hebdomadaire pour que les premiers effets de cette activité se fassent ressentir sur la santé. Pour parvenir à ces conclusions, ces scientifiques ont interrogé 3 635 personnes âgées de 50 ans et plus. Ces participants ont été répartis en trois groupes : les lecteurs assidus qui affirment lire plus de 3h30 par semaine, les lecteurs moyens qui lisent jusqu’à 3h30 par jour et ceux qui ne lisent pas ou très peu.

La lecture pour réduire le risque de maladies dégénératives

Les chercheurs ont remarqué que les personnes qui ne lisaient pas avaient 23 % de risques supplémentaires de mourir prématurément par rapport aux lecteurs assidus, contre 17 % par rapport aux lecteurs moyens. « Les gens qui déclarent lire peu, même une demi-heure par jour, avaient un avantage significatif de survie par rapport à ceux qui ne lisent pas », note ainsi le Pr Becca Levy, auteur de cette étude, pour le Daily Mail.

Cette nette différence n’a pas été totalement expliquée par les chercheurs, qui estiment cependant que, comme l’activité physique protège la santé physique, la lecture protègerait la santé mentale. Ainsi, la lecture serait un bon moyen de ralentir le déclin cognitif et de préserver la mémoire, permettant ainsi de réduire le risque de développer une maladie dégénérative.

À lire aussi : Faire la lecture à son enfant, un gage de succès

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Les femmes restent longtemps sur les sites pornos

Les femmes regardent des films pornos et souvent plus longtemps que les hommes, selon les résultats d’une sondage international réalisé par les sites de pornographie en ligne Pornhub et Redtube.

Les femmes sont des hommes comme les autres. Elles aussi, les coquines matent des films pornographiques. Mais savez-vous ce qu’elles aiment et recherchent ?

Grâce à un sondage réalisé par les sites de pornographie en ligne Pornhub et Redtube, on apprend qu’un visiteur sur 4 est une femme et que ces amatrices de pornographies sont plus gourmandes que les hommes. En effet, leurs visites durent en moyenne 48 secondes de plus que celles des hommes, soit 10 minutes et 10 secondes contre 9 minutes 22. En France, précisément, les femmes se promènent sur ces sites 10 minutes et 4 secondes, contre 9 minutes et 21 secondes pour les consommateurs masculins.

Nous savons maintenant que la France garde un public majoritairement masculin avec 76% d’hommes pour 24% de femmes qui se connectent à des sites pornographiques. Au Philippines et au Brésil, 35% de femmes regardent ces sites pour 65% d’hommes. Les niveaux les plus faibles ont été observés en Allemagne et au Japon avec 17% de femmes pour 83% d’hommes.

Les goûts des femmes

Une récente étude française réalisée par l’Ifop nous en apprenait plus sur les goûts des femmes en pornographie. Elle nous révélait que les femmes sont sensibles au réalisme des scènes de sexe (35%), à la qualité du scénario (37%) et l’aspect naturel du physique des acteurs (40%). Ce pourquoi 78% d’entre elles déplorent que dans la majorité des films soient montrées des pratiques très éloignées de la réalité (78%) ou uniquement des fantasmes trop masculins (71%).

Trois femmes sur quatre (72%) jugent en revanche les films porno « très dégradants pour l’image de la femme », pour 50% des hommes. Et, 57% d’entre elles les trouvent trop violents (contre 41% des hommes).

Mais contrairement aux hommes, seules 18% d’entre elles regardent un film X régulièrement ou de temps en temps, contre 63% des hommes. Parmi elles, plus d’un tiers (36%) n’ont pas encore eu de rapport sexuel et 17% ont moins de 25 ans.

A lire (…) Lire la suite sur Topsanté

Les personnes bisexuelles seraient en moins bonne santé que les autres
L’iPhone pourra bientôt traquer votre vie sexuelle
Sexo : quelle est la position qui procure le plus de plaisir ?
Les traitements à base de testostérone sont efficaces pour lutter contre l’andropause
Sexo : 5 questions tabou sur les films pornos

News Santé | Actualités & informations – Yahoo Actualités FR