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Frédéric Saldmann livre quelques conseils pour vivre plus longtemps

Il suscite la colère des médecins depuis des semaines.

Le projet de loi santé de Marisol Touraine vient d’être adopté à l’Assemblée nationale, ce mardi 14 avril. « J’apprécie beaucoup les paquets de tabac sans publicité et non mentholés, car la menthe fait rentrer les jeunes dans le tabagisme », rapporte le docteur Frédéric Saldmann, sur le plateau de France 3. Le médecin est très connu du grand public. Et pour cause, son premier livre a été un véritable succès.

Il revient désormais avec un nouvel ouvrage, intitulé « Prenez votre santé en main ». Dans ce livre, il insiste sur la force du mental.« La force de la croyance arrive à provoquer un signal dans l’organisme pour produire des médicaments naturels pour se soigner, pour guérir, c’est formidable ».

Le cardiologue donne également quelques astuces afin de vivre plus longtemps. « Le matin si vous gargarisez avec de l’eau gazeuse ou un peu salée, c’est 40% d’infections ORL, respiratoires en moins », assure le médecin.

Mais ce n’est pas tout. Toujours dans son livre, il insiste aussi sur les bienfaits de la pomme, qui possède de nombreuses vertus, comme…l’augmentation de la libido chez la femme.

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Les hommes de petite taille vivent plus longtemps

Une étude publiée dans la revue Plos One accrédite l’hypothèse selon laquelle les hommes de petite taille vivent plus longtemps que les autres. L’étude se base sur une cohorte de 8.000 Américains résidants d’Hawaii, d’ascendance japonaise, suivis pendant 40 ans dans le cadre d’un programme de recherche de santé, le Kuakini Honolulu Heart Program, détaille NBC News.

Une corrélation positive a été trouvée entre la taille et toutes les causes de mortalité, notamment toutes les morts provoquées par un cancer non relié au tabac. Cette corrélation a été observée sur tout le spectre des tailles étudiées, de sorte que plus les hommes étaient grands, plus leur espérance de vie était réduite.

Source: Shorter Men Live Longer […] – Plos One

Les chercheurs attribuent cette inégalité de longévité à la présence d’un gène spécifique associé à des taux plus faibles d’insuline dans le sang et qu’on trouve chez les individus moins sujets à des cancers. Un gène qui joue un role dans la longévité dans le règne animal (souris, mouches) mais qui a été pour la première fois associé à l’espérance de vie chez l’homme.

En 2013, Arte diffusait un documentaire, «Secrets de longévité», sur l’étude menée pendant 22 ans par le docteur Jaime Guevara sur une population de petite taille, 1 mètre 20 en moyenne, d’une vallée du Sud de l’Equateur, épargnée par le cancer et le diabète. Comme CNN l’expliquait en 2011, il n’y a eu qu’un cas de cancer en 22 ans sur les 99 Equatoriens suivis. S’ils ne mouraient pas d’accident ou de maladie liée à l’alcoolisme, ces hommes et ces femmes vivaient plus longtemps que le reste de la population et même que les membres de leur famille de taille moyenne.

Plusieurs populations de petite taille ont fait l’objet de recherches similaires, mais les chercheurs hésitent à généraliser ces résultats à l’ensemble de la population. Tout comme à trancher sur l’opportunité d’un traitement d’hormone de croissance, dont les effets de croissance ou anti-âge peuvent être contrebalancés par les risques de cancer ou de diabète.

Reste que cette publication sonne comme une revanche biologique pour l’homme de petite taille, plus habitué aux études se penchant sur le handicap social que constitue sa particularité. Le sociologue Nicolas Herpin a ainsi montré à partir des données de l’Insee de 2001, que les hommes de petite taille étaient moins fréquemment en couple que les plus grands.  Par aileurs «la taille élevée est un atout économique pour l’homme. À diplôme constant, les hommes de taille élevée font une meilleure carrière professionnelle car leur sont confiées davantage de responsabilités d’encadrement», écrit le sociologue. La grande taille étant perçue comme un signal d’autorité dans les postes d’encadrement. 

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Pourquoi les graisses saturées ne représentent pas forcément le danger pour notre santé qu’on a longtemps redouté

Une nouvelle étude publiée lundi dans la très sérieuse revue Annals of Internal Medicine n’est pas parvenue à établir de lien entre consommation de graisses saturées et problèmes cardiaques. L’équipe du Dr Rajiv Chowdhury de l’université de Cambridge met en revanche en garde contre les graisses hydrogénées.

Plus des trois quarts  des patients  consultant pour cette pathologie sont demandeurs  de conseils d’alimentation spécifiques à la prévention des MCV.

C’est d’ailleurs un phénomène croissant. Pour autant il est fréquent d’entendre :

« Je sais d’accord je vais éviter le gras mais après ? »

C’est logique car la majorité d’entre nous se sentent coupable  de  manger du gras. Les plus informés sur la foi de ce qu’ils lisent évitent plus particulièrement les graisses saturées. Les patients sont au départ persuadés que l’essentiel est de manger maigre. C’est, on va le découvrir, infondé. Mais ces comportements conduisent aussi  à de grossières erreurs par substitution. Par exemple si on mange le même nombre de calories mais que l’on substitue le gras par des sucres (sucrés ou non sucrés comme les amidons) ou bien par d’autres graisses n’ayant pas un profil d’acides gras plus approprié (remplacement de l’huile d palme par l’huile de coco encore plus riche en acides gras saturés ou bien par de l’huile d e tournesol trop riche en acides gras polyinsaturés oméga 6).

Ce qu’il faut souligner c’est qu’on dispose aujourd’hui d’éléments concordants permettant d’affirmer que  la consommation de gras n’est pas un facteur prédictif de la survenue de maladies cardiovasculaires.

Alors pourquoi les scientifiques ont-ils vilipendé le gras dans le passé ?

Les liens entre alimentation et maladies sont complexes et très difficiles à analyser. Les corrélations ne sont pas des preuves de liens de causalité. Par ailleurs le gras ingéré ne se retrouve pas dans le sang mais est traité dans le foie et le cholestérol des LDL comme les triglycérides (…)lire la suite sur Atlantico

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Rester assis trop longtemps est mauvais pour le cœur

Passer plus de cinq heures par jour assis devant un écran ou un livre augmente de 34 % le risque d’insuffisance cardiaque.

Quelle que soit l’activité physique au travail, plus on passe de temps assis à la maison, plus le cœur s’altère et plus le risque d’insuffisance cardiaque augmente. C’est ce qu’indique une étude de grande envergure publiée ce mois-ci dans la revue internationale Circulation Heart Failure. Le Pr Deborah Rohm Young et ses collègues du département de recherche du géant américain de l’assurance, Kaiser Permanente, suivent depuis une dizaine d’années un groupe de plus de 84.000 hommes, âgés de 45 à 69 ans et vivant en Californie.

C’est la première fois, pour une étude de ce type, que l’on prend le critère de l’insuffisance cardiaque. Cette faiblesse du cœur est notamment responsable d’essoufflement à l’effort et induit un véritable cercle vicieux lorsqu’elle s’installe, car plus on est essoufflé à l’effort et moins l’on a tendance à faire des efforts ; or moins l’on fait d’effort, plus le muscle cardiaque s’affaiblit et plus l’insuffisance cardiaque s’aggrave.

«C’est intéressant d’avoir choisi cette maladie, estime le Pr Jacques Blacher, du Centre de diagnostic et de thérapeutique de l’Hôtel-Dieu (Paris), car il s’agit d’une maladie grave et relativement fréquente. D’ailleurs, dans cette étude, il y avait environ 0,5 % de risque de survenue d’une poussée d’insuffisance cardiaque tous les ans alors que la population était relativement jeune: 58 ans d’âge moyen.» Autre point fort de l’étude californienne, «sa durée et son ampleur», s’enthousiasme le Dr Dylan Thompson, chercheur à l’université de Bath (Angleterre), spécialiste des effets de l’activité physique et sportive sur la santé. «C’est sans nul doute l’une des plus grandes études menées sur le sujet et elle conforte l’idée que l’activité physique et le comportement sédentaire ont des effets distincts sur la santé», ajoute le chercheur anglais.

Il y a tout juste un an, il avait montré (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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Rester sexuellement actif permet de vivre mieux et plus longtemps

Il est des études médicales qui sont plus agréables que d’autres à rapporter. Ainsi en est-il de ce travail écossais dont on ne résiste pas à donner d’emblée la conclusion chiffrée: les couples qui ont des rapports sexuels trois fois par semaine gagnent entre quatre et sept ans par rapport à ceux qui ont une sexualité moins active. Conclusion plus générale, à méditer: «La sexualité ne devrait pas être l’apanage des plus jeunes» et la société devrait avoir une attitude plus favorable à l’activité sexuelle chez les personnes âgées en raison des nombreux bénéfices qu’elle peut apporter.

Ce travail a été présenté par le Dr David Weeks, chef honoraire du département de psychologie du Royal Edinburgh Hospital, lors de la conférence annuelle consacrée à la psychologie des personnes âgées de la British Psychological Society, organisée à Colchester (Essex) au début du mois de juillet.  

Il s’agit là d’un travail on ne peut plus pragmatique mené auprès de 3.500 volontaires. L’auteur s’est intéressé à établir la synthèse de tous les bénéfices biologiques et corporels associés à une sexualité concrètement active. Et ces bénéfices sont plus nombreux encore que ce que l’on pourrait croire: exercice en aérobie, impact positif sur les fonctions cardiovasculaires ainsi que sur la réactivité du système immunitaire et aide au maintien du poids (en stimulant l’activité de certains enzymes dans les tissus graisseux).

Et ce n’est pas tout: élimination des toxines via la sudation-transpiration avec accélération du renouvellement des tissus cutanés, sans oublier la régulation des troubles de l’humeur (par l’intermédiaire de l’hormone sexuelle ocytocine –qui serait par ailleurs impliquée dans la fidélité) et la réduction des épisodes de stress négatif (par l’intermédiaire de la libération des endorphines). Et cette liste n’est pas close. Des recherches en cours suggèrent notamment également qu’une sexualité active pourrait permettre d’augmenter les niveaux de testostérone.

Deux orgasmes masculins par semaine

Fort de près de quarante années de pratique clinique et de recherches, le Dr Weeks a rappelé que de précédentes études avaient déjà suggéré que la sexualité était de nature à augmenter l’espérance de vie. C’est notamment le cas d’une étude galloise de 1997 concernant les facteurs de risque cardiovasculaire: elle concluait à des taux de mortalité inférieurs de 50% chez les hommes ayant (en moyenne) un minimum de deux orgasmes hebdomadaires.

En 2011 une étude présentée à Boston dans le cadre du 64e congrès scientifique de la Société américaine de gérontologie avait établi qu’une activité sexuelle régulière constituait un facteur prédictif de qualité de vie pour les vieux couples. Elle avait aussi conclu à une corrélation entre la fréquence de cette activité chez les couples mariés depuis de longues années et la maintient du plaisir à vivre ensemble.

Présentant ce travail, le Pr. Adrienne Jackson (Université de Floride) soulignait l’importance d’en finir avec les idées reçues sur le caractère normal de la réduction et de la disparition de toute forme d’activité sexuelle avec l’âge ou les années de mariage. Selon elle, une sexualité épanouie chez les personnes âgées pourrait participer à l’équilibre et à la bonne santé de cette partie la population. C’est là un sujet de la plus haute importance compte tenu du vieillissement constant de la population. C’est aussi une révolution: celle qui consisterait à considérer la sexualité comme une forme de thérapeutique.

Relations sexuelles plus agréables

«La satisfaction sexuelle contribue à la qualité de la vie, et ce de manière au moins aussi importante que l’engagement spirituel ou religieux; des attitudes plus positives à l’égard du sexe chez les personnes âgées devraient être vigoureusement encouragées, résume pour sa part le Dr Weeks. Quand les gens envisagent leur vieillissement, ils le font fréquemment à l’aide de stéréotypes négatifs liés à l’âge. Un tel état d’esprit suscite des sentiments irrationnels et a pour conséquences de rendre les relations sexuelles moins agréables pour les deux partenaires.»

Ceci est d’autant plus regrettable que l’on sait donc désormais que le maintien d’une sexualité active chez les personnes âgées est un facteur prédictif de bonne santé et de bien-être.

A ceux qui poseraient encore la question de savoir quelle peut bien être la «fonction» d’une sexualité active une fois passé l’âge de la reproduction, le Dr Weeks fournit une réponse à la fois simple, documentée et pleine de promesses: donner et prendre du plaisir en permettant de mieux vieillir. C’est là un message positif en même temps qu’un argument de poids pour lutter contre les discriminations qui touchent les personnes âgées: «La sexualité n’est pas l’apanage des plus jeunes et elle ne devrait pas l’être.»

J.-Y.N

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Du soleil pour vivre plus longtemps

Une nouvelle étude prétend que l’exposition au soleil améliorerait la santé en général, en plus de possiblement jouer un rôle positif sur l’espérance de vie.

Les chercheurs de l’Université d’Édimbourg ont démontré que lorsque notre peau est exposée aux rayons du soleil, un composé est libéré dans nos vaisseaux sanguins, contribuant à abaisser la pression artérielle.

Selon eux, les avantages de la réduction de la pression artérielle l’emportent de loin sur le risque de développer un cancer de la peau.

«Nous pensons que les avantages de la lumière du soleil pour la santé du cœur l’emportent sur le risque de cancer de la peau. Le travail que nous avons accompli fournit un mécanisme qui pourrait expliquer ce phénomène et également pourquoi les suppléments alimentaires de vitamine D à eux seuls ne peuvent pas compenser le manque de soleil», a expliqué le Dr Richard Weller, conférencier principal en dermatologie à l’Université d’Édimbourg

«Nous envisageons maintenant d’examiner les risques relatifs de maladies cardiaques et le cancer de la peau chez les personnes qui ont reçu différentes expositions solaires. Si cela confirme que la lumière du soleil réduit le taux de mortalité, toutes causes confondues, nous devrons reconsidérer nos conseils sur l’exposition au soleil.»

15 minutes d’exercice par jour suffisent pour vivre plus longtemps

Une étude montre qu’une séance de sport quotidienne de quinze minutes à peine suffit à réduire les risques de cancer et à rallonger l’espérance de vie, rapporte la chaîne de télévision américaine ABC. Des chercheurs taiwanais ont suivi plus de 400.000 personnes sur une période de douze ans, chacune …
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