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Voici ce qui se passe lorsque vous écoutez de la musique en travaillant !

Le 22/07/2016.

Il a été démontré que la musique, qui enrichit notre vie personnelle depuis la nuit des temps, peut également être bénéfique dans notre vie professionnelle. Ce qu’elle peut faire à notre cerveau est assez impressionnant.

Un meilleur apprentissage

Lorsque vous êtes au bureau, il est bon de se soulager avec un peu de musique. Elle a un effet assez impressionnant sur notre cerveau, mais doit être écoutée pendant des moments stratégiques. Lorsque nous effectuons diverses tâches en même temps, le cerveau doit analyser et se concentrer pour permettre l’apprentissage. Quand vous écoutez de la musique, il doit en plus traiter des informations auditives.

Le cerveau va très souvent associer les instructions de façon étrange ou même faire des erreurs, provoquant ainsi un mauvais apprentissage. Il est donc préférable, si vous apprenez verbalement ou visuellement, d’arrêter votre musique.

Dans un espace de travail bruyant, le cerveau va puiser de l’énergie pour gérer toutes les données qui arrivent. Cela augmente votre niveau de cortisol, de stress et diminue votre dopamine. Ces changements hormonaux entravent la fonction exécutive et votre productivité peut baisser. Dans ce cas, écouter de la musique peut s’avérer bénéfique, car elle va bloquer l’entrée excessive de données dans le cerveau et ainsi, vous permettra de rester calme.

Une productivité qui s’améliore

D’après diverses études, il a été prouvé qu’une personne qui écoute de la musique tout en effectuant des tâches répétitives, les effectue plus rapidement et avec moins d’erreurs. Cela est dû au fait que la musique libère vos neurotransmetteurs de bien-être (dopamine, sérotonine ou noradrénaline) et vous rend détendu et heureux. Ainsi, vous êtes plus productif et mieux concentré. La musique joue également un rôle dans vos relations sociales, car si vous vous sentez mieux, vous serez plus respectueux, plus patient et plus coopératif.

Le fait d’écouter une nouvelle musique libère de la dopamine et vous fera ressentir du plaisir. La musique peut donc impacter votre travail de manière significative. Elle impacte également votre vie personnelle et peut vous aider à changer d’humeur, juste avant de vous lancer dans un apprentissage.

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Pourquoi avons nous la chair de poule lorsque nous écoutons de la musique ?

Le 27 mai 2016.

Comment expliquer que certaines musiques nous déclenchent des frissons ? C’est ce qu’a tenté de comprendre une équipe de chercheurs de l’Eastern Washington University.

À quel moment la chair de poule est-elle déclenchée ?

Si les scientifiques ne savent pas encore pourquoi nous avons la chair de poule en écoutant de la musique, ils ont cherché à comprendre ce qui déclenchait ce phénomène, en étudiant la manière dont nous réagissons émotionnellement à des stimuli extérieurs auxquels nous ne nous attendons pas.

Pour cela, ils ont observé le comportement d’individus dans différentes situations : quand ils écoutent des musiques harmonieuses, quand le volume change soudainement, quand la musique s’arrête pour laisser place à un soliste… Ils ont ainsi constaté que le frisson pouvait apparaître quand les auditeurs étaient surpris de manière positive.

On se souvient de l’effet incroyable qu’avait déclenché la voix de Susan Boyle, lors de l’émission Britain’s Got Talent. C’est parce que le jury ne s’attendait pas à être sous le charme que l’émotion a été au rendez-vous.

Les hypothèses de certains scientifiques ?

L’explication d’un tel phénomène n’est pas encore aboutie. Certains scientifiques avancent que le phénomène de la chair de poule nous vient de nos ancêtres, qui étaient bien plus poilus que nous et qui se tenaient chaud grâce à cette pilosité. Exposer la peau à un changement de température provoquerait la chair de poule, comme un réflexe de nos poils pour nous protéger du froid.

Une hypothèse qui pourrait expliquer l’apparition de la chair de poule en cas de changement de température, mais qui n’apporte aucune explication en matière de surprise émotionnelle. Ce qui est certain, selon les chercheurs, c’est que les personnes qui ont la chair de poule en écoutant de la musique sont des personnes qui sont « ouvertes », c’est-à-dire prêtes à accueillir des expériences émotionnelles et à se laisser porter par elles. En bref, si on se laisse emporter par la musique, on a plus de chance d’avoir des frissons que si on l’écoute juste en fond sonore.

À lire aussi : Que se passe-t-il dans notre corps lorsque l’on écoute de la musique ?

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Que se passe-t-il dans notre corps lorsque l’on écoute de la musique ?

Le 25 Novembre 2015. La musique rythme notre quotidien. Que ce soit au réveil, sous la douche, en voiture, pendant une séance de sport, à l’apéro ou encore en soirée, elle est partout. En plus du plaisir auditif qu’elle nous procure, la musique que vous écoutez peut affecter votre manière d’agir et de penser !

Ça met de bonne humeur

Écouter de la musique a un effet positif sur notre cerveau et peut nous remonter le moral en moins de deux. Lorsque nous écoutons un morceau qui nous plaît, notre cerveau libère de la dopamine, qui améliore notre bonheur. En revanche, ça fonctionne uniquement si vous avez l’envie d’être heureux. Quelqu’un de « triste » ou « dépressif » ne ressentira pas forcément de changement dans son humeur.

On travaille mieux

Les gens qui travaillent en musique seraient plus enclins à mieux travailler du fait qu’ils effectueraient leurs tâches avec plus d’entrain. On appelle cela « l’effet Mozart » depuis une étude réalisée en 1993. Cependant, comme l’affirme une étude canadienne depuis, que l’effet de la musique sur le travail ne dépend pas du genre musical écouté. Un individu qui ne supporte pas la musique classique ne travaillera pas mieux en écoutant une symphonie de Mozart. Le mieux étant d’écouter un genre musical que vous aimez.

Les souvenirs reviennent

Qui n’a jamais associé une musique à un événement marquant de sa vie ? La musique peut avoir un lien fort avec la mémoire et la formation de souvenir. Écouter les mêmes morceaux souvent, aide à entraîner la mémoire (se souvenir du rythme et des paroles). En libérant de la dopamine dans la zone du cerveau reliée à la sensation de « récompense », elle faciliterait la formation d’association et donc de souvenirs.

On fait du sport plus longtemps

En plus de faire passer le temps plus rapidement, écouter de la musique lors de la pratique d’une activité physique aurait un effet bénéfique sur l’organisme, notamment au niveau de l’endurance et de la motivation. Le docteur Jeannette Bicknell explique à Yahoo Santé que « la musique peut nous aider à travailler plus longtemps en augmentant la capacité physique et l’amélioration de la performance ». Une playlist bien choisie pour un entraînement pourrait pousser le coeur à battre 180 fois par minute !

Écouter de la musique, c’est donc bon pour le moral, mais aussi pour le corps ! Il serait dommage de s’en priver !

 

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Sclérose en plaques : pourquoi les symptômes peuvent-ils s’améliorer lorsque les jours raccourcissent

Les symptômes de la sclérose en plaques semblent souvent s’améliorer en hiver et empirer en été. Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Cell, ont trouvé une explication qui pourrait conduire à une meilleure compréhension de la maladie et à des traitements plus ciblés.

« Nous savons que pour la sclérose en plaques et la plupart des maladies auto-immunes, des facteurs génétiques et environnementaux jouent un rôle important, mais dans la dernière décennie, la plus grande partie des recherches a porté uniquement sur le côté génétique de l’équation », souligne Francisco Quintana du Brigham and Women’s Hospital.

Avec ses collègues, il a mené cette étude avec 139 personnes atteintes de la forme rémittente de la maladie.

Durant l’automne et l’hiver, elles connaissaient une amélioration de leurs symptômes, un phénomène qui a été observé dans des études antérieures.

L’équipe a exploré une variété de facteurs environnementaux qui ont déjà été proposés comme possiblement liés aux symptômes de la maladie, dont les niveaux de vitamine D, les rayons ultra-violets et les infections des voies respiratoires supérieures.

Mais le facteur qui était associé de façon consistante à la sévérité des symptômes et à la saisonnalité des rechutes était la mélatonine dont les niveaux varient avec la longueur du jour. Pendant les jours les plus longs du printemps et de l’été, les niveaux sont plus faibles et pendant les jours courts de l’automne et l’hiver, ils sont plus élevés.

Partant de ce constat, les chercheurs ont utilisé un modèle de souris et des cellules humaines pour étudier les effets de la mélatonine sur certains types de cellules connues pour jouer un rôle dans la réponse immunitaire qui conduit aux symptômes de la maladie.

La mélatonine affectait les rôles de deux types de cellules importantes dans la progression de la maladie : les lymphocytes T pathogènes qui attaquent directement et détruisent les cellules des tissus et les lymphocytes T régulateurs, qui sont censés réguler les lymphocytes T pathogènes. (Voyez : Système immunitaire : très bon livre illustré en ligne pour s’initier.)

La mélatonine a un effet protecteur, résume le chercheur. Elle atténue la réponse immunitaire et aide à empêcher l’action des cellules T pathogènes.

Bien que la mélatonine soit disponible en vente libre, elle présente des inconvénients importants, dont une somnolence indésirable, souligne le chercheur. L’objectif de l’équipe est de clarifier les mécanismes moléculaires qui sous-tendent le rôle de la mélatonine dans le but de développer des médicaments ciblés qui sont sûrs et efficaces avec des effets secondaires minimes.

« Une extrême prudence devrait être exercée », insiste-t-il, « nos données ne montrent pas que la mélatonine ou ses analogues sont efficaces dans le traitement de la SEP ».

L’équipe travaille actuellement à la préparation d’un essai clinique pilote pour étudier les effets du ciblage de la signalisation de la mélatonine chez les personnes atteintes de la maladie et identifier des mécanismes d’action supplémentaires.

Psychomédia avec sources : Harvard medical School, Cell.
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