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Liraglutide ou Saxenda, pour maigrir

Le liraglutide (Saxenda), un médicament injectable de la classe des agonistes du GLP-1, a d’abord été autorisé, au début des années 2010, sous le nom commercial Victoza pour le traitement du diabète de type 2, rappelle la revue. Il l’a ensuite été, sous le nom de Saxenda, chez les patients adultes obèses.

« Dans les essais cliniques, la perte de poids a été généralement peu importante, les patients ont repris une partie du poids perdu à l’arrêt du médicament et il n’a pas été démontré d’effet bénéfique sur les complications cliniques de l’obésité. »

« Puis, l’autorisation a été étendue aux adolescents obèses. L’évaluation chez eux montre les mêmes effets sur le poids que chez les adultes. Et aux effets indésirables déjà connus, parfois graves », s’ajoute le signal de problèmes de santé mentale.

Dans un second article portant spécifiquement sur l’utilisation du liraglutide chez les adolescents, la revue estime que « ses effets indésirables disproportionnés justifient d’écarter ce médicament » chez eux.

L’autorisation de mise sur le marché du liraglutide chez les adolescents « repose sur un seul essai comparatif, versus placebo, chez environ 250 adolescents, pesant en moyenne 100 kg avec un indice de masse corporelle (IMC) moyen de 35,6. » (CALCUL rapide de votre IMC et votre poids idéal)

« Après environ 1 an de traitement, l’IMC a été réduit d’environ 1,6 dans le groupe liraglutide par rapport au placebo, soit une différence moyenne de poids de 5 kg. Après l’arrêt du traitement, l’effet du liraglutide s’est estompé. Un effet du liraglutide sur les complications cliniques liées à l’obésité n’est pas démontré. »

« Le liraglutide expose notamment à des effets indésirables digestifs (nausées, vomissements, diarrhées, obstructions intestinales), des hypoglycémies, des pancréatites, des lithiases biliaires, des insuffisances rénales, des tachycardies ainsi qu’à des réactions au site d’injection. Il est tératogène chez l’Animal. Une augmentation du risque d’avortement spontané a été mise en évidence avec le liraglutide au cours des essais chez les adultes. »

De plus, chez les adolescents, certains risques sont mal cernés, notamment sur la santé mentale.

« Depuis des années, la quête d’une substance qui résoudrait “par miracle” le problème de l’obésité continue. Le liraglutide s’ajoute à une longue liste de médicaments (diurétiques, hormones thyroïdiennes, amphétaminiques, dérivé cannabinoïde, antiépileptique, inhibiteur de lipases intestinales, etc.), certains ayant été utilisés hors autorisation de mise sur le marché, ou autorisés temporairement puis retirés du marché car plus dangereux qu’utiles. »

« La réduction du poids des personnes atteintes d’obésité repose avant tout sur une prise en charge globale, comportant des mesures diététiques adaptées, de l’exercice physique régulier, et un soutien personnalisé. Aucun médicament n’a d’efficacité démontrée pour réduire les complications cliniques de l’obésité à court terme (diabète, troubles articulaires) et à long terme (notamment accidents cardiovasculaires et arthroses). »

Un autre médicament de la même famille des agonistes du GLP-1 qui est promu pour la perte de poids est le sémaglutide (Ozempic).

Dormir fait maigrir

Dormir fait maigrir, rapporte l’association française de défense des consommateurs UFC-Que Choisir, relayant une étude publiée en février 2022 dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Internal Medicine.

Des études ont déjà montré que le manque de sommeil favorise la prise de poids.  Moins dormir perturbe le métabolisme (c’est-à-dire la façon dont on brûle les calories) et pousse à manger davantage, résume l’association.

Les chercheurs ont mené cette étude afin de vérifier si l’inverse se produit : si une augmentation du temps de sommeil entraîne une diminution des calories consommées.Esra Tasali et ses collègues (1) des universités de Chicago et du Wisconsin-Madison (États-Unis) ont recruté 80 personnes en surpoids (IMC entre 25 et 29) qui dormaient moins de 6,5 heures par nuit.

À la moitié d’entre elles, ils ont prodigué des conseils personnalisés pour augmenter la durée de leur nuit. Il pouvait s’agir par exemple d’une réduction du temps d’écran avant le coucher.

Au bout de 2 semaines, les personnes ainsi accompagnées dormaient effectivement 1 h 10 de plus par nuit ! Pendant ce temps, leurs apports énergétiques ont décru de 270 kcal par jour par rapport au groupe contrôle qui, lui, n’avait pas reçu de conseils et avait continué sur le rythme de nuits écourtées. Ces 270 kcal représentent plus de 10 % des apports énergétiques journaliers communément conseillés.

Ils ont ainsi perdu 500 g en deux semaines alors que le groupe de comparaison a pris 400 g. Dans l’hypothèse où un tel rythme se maintiendrait – ce qui n’est pas certain – cela représenterait une perte de 12 kg en 3 ans.

Le sommeil est également lié au risque de dépression, rappelle l’association, soulignant qu’une thérapie comportementale et cognitive pour améliorer le sommeil réduisait le risque de dépression. Là encore, le sommeil semble avoir un effet thérapeutique là où les médicaments échouent souvent.

Maigrir : 6 façons faciles d’utiliser la pleine conscience

Depuis quelques années, des recherches en psychologie suggèrent que la pratique de la pleine conscience peut aider à perdre du poids.

Voici six façons de manger avec pleine conscience, proposée par Susan Albers, psychologue clinicienne à la Cleveland Clinic et auteure de plusieurs livres sur le sujet.

  1. Ne pas manger jusqu’à se sentir plein

    La pleine conscience aide à manger jusqu’à ne plus avoir faim et se sentir satisfait plutôt que jusqu’à se sentir plein. Il y a une grande différence. Au moment où l’on se sent plein, ce qui est un sentiment physique lourd, il est souvent trop tard, on a trop mangé.

    Se demander « Suis-je satisfait ? » plutôt que « plein », représente un changement de langage pour plusieurs. La satisfaction est de nature plus mentale et physique.

    Les personnes qui suivent des régimes ou se restreignent depuis des années peuvent avoir de la difficulté à reconnaître les signaux de la faim. La pleine conscience aide à réapprendre.

  2. Ralentir

    Ce n’est pas facile. Nous faisons souvent beaucoup de choses à la hâte. Répondre à la faim et manger ne fait pas exception. La pleine conscience aide à se dire de « ralentir » ou d’essayer de suivre son rythme.

    Ralentir permet notamment de mieux choisir ce que l’on mange et d’arrêter lorsque rassasié ou satisfait.

  3. Choisir ce que l’on mange

    La pleine conscience aide à goûter, à choisir des aliments que l’on aime et à adapter les aliments selon ses goûts particuliers.

  4. Être indulgent et flexible

    Lorsqu’il arrive de trop manger, la pleine conscience aide à ne pas obséder et se culpabiliser. Une stratégie peut être d’ajuster ce que l’on mange au prochain repas ou à la prochaine collation.

  5. Évaluer la faim avant de manger

    Prendre le temps de se demander « Ai-je vraiment faim ? » permet d’éviter de manger pour d’autres raisons telles que le besoin de faire une pause, de relaxer, etc.

    Plutôt que de déplorer d’avoir « encore » faim, la psychologue suggère d’observer celle-ci avec curiosité. Quel besoin représente-t-elle ? Quelle est son intensité ? Elle suggère de prendre une pause pour répondre de façon délibérée (plutôt que de simplement attraper quelque chose à se mettre sous la dent) et de faire la distinction entre ce que l’on veut et ce dont on a besoin. On peut avoir le goût de biscuits ou de croustilles alors que le besoin est une collation pour apporter de l’énergie.

  6. Se défaire de certaines habitudes

    En reconnaissant ses habitudes telles que faire du multitâches en mangeant ou grignoter lorsque l’on est stressé ou anxieux, il est possible de consacrer plus d’énergie et d’attention à ces comportements en particulier. Parfois, il s’agit de changer la façon dont on mange plus que ce que l’on mange, souligne l’auteure.

Pour plus d’informations sur les façons de perdre du poids, sur la psychologie et la perte de poids et sur la pleine conscience, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Doctor Albers, Psychology Today.
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Voici pourquoi le sport fait maigrir du ventre

Voici pourquoi le sport fait maigrir du ventre

4 janvier 2019.

Vous en avez assez de ces petits bourrelets sur le ventre ? Bonne nouvelle : en vous mettant sérieusement au sport, vous allez les faire disparaître, c’est désormais prouvé scientifiquement.

Le sport fait maigrir, c’est désormais prouvé scientifiquement

Des chercheurs danois ont découvert qu’une molécule appelée « IL-6 » contribuait à faire fondre la graisse abdominale, lorsque l’on fait du sport régulièrement pendant plusieurs semaines d’affilée. Cette molécule était déjà connue pour son rôle de régulation du métabolisme. Mais les chercheurs danois sont allés plus loin. 

En utilisant une autre molécule, connue pour son rôle inhibiteur de l’IL-6, ils ont en effet prouvé que sa neutralisation avait un effet incontestable sur la réduction de la masse de graisse abdominale. En faisait faire du sport à deux groupes de volontaires, dont l’un absorbant une molécule neutralisant l’IL-6, ils ont prouvé son effet.

225 grammes perdus grâce à l’effet combiné du sport et de l’IL-6

Le groupe témoin a perdu en moyenne 225 grammes de masse abdominale, quand le groupe dont l’IL-6 a été neutralisé n’avait rien perdu du tout ! Les chercheurs ont même constaté que la neutralisation de l’IL-6 faisait grimper le mauvais cholésterol dans le sang.

Cette nouvelle preuve scientifique des bienfaits du sport et du rôle de l’IL-6, devrait permettre d’imaginer dans les prochaines années de nouvelles thérapies, tant pour traiter le surpoids que pour réguler le cholésterol. 

À lire aussi : Comprendre la graisse abdominale chez la femme

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De + en + difficile de maigrir : autres causes que l’alimentation et l’exercice, montre une étude

Il est plus difficile pour les Millénials et la génération Y de maintenir un poids santé que ça ne l’était pour leurs parents, selon une étude publiée dans la revue Obesity Research & Clinical Pratice (ORCP). Et cela, même pour une alimentation similaire en ce qui concerne les calories et l’apport en macronutriments (glucides, lipides, protéines, fibres) et pour un niveau d’activité similaire.

« Si vous avez 40 ans aujourd’hui, vous devez manger moins et faire plus de sport pour rester mince que si vous aviez 40 ans en 1971 », dit Jennifer Kuk de l’université de York (Canada).

Avec ses collègues, elle a analysé le comportement alimentaire de 36 400 personnes entre 1971 et 2008 et l’activité physique de 14 419 personnes entre 1988 et 2006.

Entre 1971 et 2008, l’indice de masse corporelle (IMC), l’apport total en calories et l’apport en glucides (sucre, féculents tels que farines…) ont augmenté de 10 à 14 %, alors que les apports en gras et en protéines ont diminué de 5 à 9 %. Entre 1988 et 2005, la fréquence de l’activité physique durant les temps de loisir a augmenté de 47 à 120 %.

Mais, pour une quantité donnée de calories et d’apport en macronutriments, les gens avaient 10 % plus de poids en 2008 qu’en 1971, note Ruth Brown, coauteure. Et, pour une même quantité d’activité physique de loisir, le poids était 5 % plus élevé (soit environ 2,3 points d’IMC) en 1988 qu’en 2006.

D’autres facteurs liés au mode de vie et à l’environnement semblent influencer le poids. Des facteurs potentiels sont notamment la consommation de médicaments, les polluants (pesticides, perturbateurs endocriniens…), les horaires de repas, les bactéries intestinales, et même l’exposition à la lumière pendant le sommeil…

Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour identifier ces facteurs et déterminer les mécanismes par lesquels ils affectent le métabolisme et le poids, concluent les chercheurs.

Psychomédia avec sources : ORCP, York University.
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Santé: prendre les escaliers au lieu de l’escalator ou l’ascenseur va-t-il me faire maigrir?

«Pour perdre une taille de pantalon et vivre jusqu’à 110 ans, ne prenez plus l’ascenseur, montez les escaliers!» De Doctissimo au maire de New York, dont la dernière trouvaille pour lutter contre l’obésité consiste à promouvoir la montée d’escaliers dans la ville par le biais d’un design urbain adapté, l’injonction fait florès.

Mais qu’en est-il vraiment? Monter les escaliers deux ou trois fois par jour a-t-il un impact réellement significatif sur votre santé, ou seulement, comme le suggère le site américain Gawker, des conséquences très marginales?

Ce n’est pas en prenant les escaliers dans le métro que vous perdrez vraiment du poids, désolée. Mais monter les escaliers est un excellent moyen de lutter contre la sédentarité, et ainsi d’éviter des risques de diabètes, d’hypertension artérielles, de stress et… oui, d’obésité. 

Pour ce qui est de votre silhouette, les défenseurs de la montée des marches ne manquent pas d’arguments: les escaliers, c’est gratuit, accessible à tous, et très efficace. Mais regardons de plus près cet article du site australien weightloss, qui vante les mérites des escaliers pour vous aider à perdre du poids.

Il recommande des montées d’escaliers d’environ dix minutes, en vous arrêtant pour marcher à chaque étage, et en faisant des mouvements d’aérobic. Sérieusement, vous vous voyez faire des mouvements d’aérobic dans les escaliers du métro? Ou faire les cent pas en prenant de grandes respirations à chaque palier de votre immeuble? La montée d’escaliers recommandée ici est quasiment une discipline sportive à part entière, et non la simple bonne résolution d’arrêter l’escalator pour vous rendre au travail.

Un kilo par an?

Ne rêvez pas: cette bonne résolution, à elle seule, ne vous fera pas mincir, du moins pas significativement, et l’article de Gawker n’a pas tort en affirmant qu’en ne changeant rien à vos autres habitudes, la dépense de calories provoquée par l’ascension quotidienne des escaliers du métro vous fera perdre au mieux un kilo par an.

Compter avec exactitude les calories dépensées dans une activité physique donnée est très complexe: plusieurs facteurs entrent en compte, comme le poids de la personne, son état physique, le rythme auquel est pratiquée l’activité, etc. Néanmoins, on peut  envisager une moyenne de 7 kcal à 10 kcal (en diététique, on continue à parler de «calorie» pour désigner en réalité une «grande calorie», en réalité 1.000 «petites calories», soit 1kcal) dépensées pour un étage monté en trente secondes. A ce rythme il vous faudrait donc monter entre 35 et 50 étages pour éliminer ne serait-ce que votre poulet-crudités du déjeuner. Dans ce cas me direz-vous, mieux vaux faire une demi-heure de vélo elliptique dans une salle de gym –personnellement (moi = fille de 60 kg), au bout de trente minutes, la gentille machine m’indique à peu près 300 calories éliminées.

Sauf que Gawker se trompe de combat. Une vie saine, c’est légèrement plus complexe que l’équilibre des calories ingérées et dépensées.

Les médecins nutritionnistes distinguent de plus en plus l’activité physique, ce que les profanes appelleraient le «vrai» sport, de la lutte contre la sédentarité, c’est-à-dire toutes ces petites choses qui nous permettent de ne pas rester immobiles. En effet, les évolutions récentes de notre mode de vie, telles que la diminution des tâches manuelles, les transports de masse, les ascenseurs et autres escalators (nous y voilà), ont considérablement réduit nos occasions de bouger. Or, être assis toute la journée augmente les risques d’obésité, de diabète, de maladies cardiaques, et favorise certains cancers, même pour les sportifs. Choisir de prendre les escaliers, et plus généralement de se déplacer à pied, est un bon moyen de lutter contre ce problème.

Ainsi, un médecin du sport explique prescrire à certains de ses patients âgés des montées d’escaliers sur ordonnance: ils montent autant d’étages qu’ils peuvent, descendent par l’ascenceur pour ne pas s’abîmer les genoux, et montent à nouveau quelques étages. Le but n’est pas de leur faire perdre du poids mais d’améliorer leur condition physique, et de leur redonner de la masse musculaire. 

Monter les escaliers s’inscrit donc dans une hygiène de vie globale recommandée par les médecins pour préserver, non pas votre ligne, mais tout simplement votre santé. C’est dans cette perspective que l’artiste italo-américain Remo Saraceni a réalisé son «Piano Stairs», un escalier transformé en piano géant, installé dans le métro de Rennes en février 2013.

Le but de la démarche: augmenter l’activité physique tout en renforçant le lien social dans la communauté. 

En outre, pas besoin d’habiter au sixième étage pour gravir dans la journée un nombre significatif de marches: si vous êtes citadin,même en vivant et en travaillant au rez-de-chaussée, si vous renoncez complètement aux escalators, vous pourrez facilement monter dix étages dans la même journée sans vous en rendre compte. Pour vous encourager, un informaticien américain a inventé le Fitbit, sorte de podomètre de luxe qui en plus de vos pas, vous indique le nombre d’étages montés dans la journées. Les résultats sont souvent surprenants! Certes, pour 99,95 euros, on s’attendrait à ce que Fitbit nous fasse aussi des blagues personnalisées, ce qui n’est pas le cas pour l’instant. Pour ceux qui peuvent se le permettre, il s’agit néanmoins d’un instrument intéressant. 

Par ailleurs, pour les obsédés du tour de taille, prendre les escaliers présente quand même quelques avantages.

  • Premier point: de toutes les activités physiques non sportives, monter les escaliers est la plus coûteuse en énergie, et elle l’est d’autant plus que votre poids est élevé. Allez, vous en perdrez quand même un peu, des calories. 
  • Deuxième point: les activités physiques non sportives permettent de réduire la nervosité, et donc le grignotage. Ainsi, une étude de l’université d’Exeter a montré que des accros au chocolat en situation de stress professionnel grignotaient deux fois plus si elles avaient passé le dernier quart d’heure assises, que si elles avaient marché durant quinze minutes.
  • Troisième point: si monter les escaliers ne fait pas nécessairement perdre du poids, cela contribue faire à augmenter la proportion de masse musculaire sur la corpulence totale. Autrement dit, à résultat égal sur la balance, votre corps aura néanmoins perdu en graisse et gagné en muscle.

L’idée est donc d’arrêter de compter les calories dépensées et les grammes perdus, pour adopter une approche plus globale, qui met l’accent sur la lutte contre la sédentarité. Une lutte du quotidien nécessaire mais qui ne remplace par ailleurs en aucun cas une activité sportive ponctuelle. En effet, compte tenu du degré de sédentarité auquel nous conduit notre mode de vie, la cumulation de micro-activités physiques au quotidien et d’une pratique sportive plus intense une ou deux fois par semaine est loin d’être excessive. 

Margaux Leridon

L’explication remercie le Docteur Dominique-Adèle Cassuto, médecin nutritionniste à Paris et auteur de Qu’est-ce qu’on mange? L’alimentation des ados de A à Z, le Docteur Dominique Lanzmann-Petithory, gérontologue, nutritionniste et médecin du sport à l’hôpital Emile-Roux dans le Val-de-Marne, auteur de La Diététique de la longévité, le Docteur Alain Thomas, médecin du sport à Toulouse, et Boris, coach sportif chez Neoness à Paris. 

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