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Les blagues sexistes révèlent le manque de confiance en eux des hommes

Les blagues sexistes révèlent le manque de confiance en eux des hommes

Le 2 mai 2017.

L’humour machiste permettrait aux hommes qui n’ont pas confiance en eux de se cacher derrière le rempart de la masculinité. Une étude scientifique qui s’est intéressée au sujet vient de le prouver.

L’humour machiste permettrait aux hommes d’affirmer leur virilité

L’humour d’un homme révèlerait son degré d’estime de soi. C’est ce que suggèrent des scientifiques de la Western Carolina University, aux États-Unis, qui se sont intéressés aux blagues douteuses et répandues que sont celles qui concernent les femmes et les homosexuels.

Dans une enquête menée en ligne auprès de 387 hommes hétérosexuels, et révélée par le site Eurekalert, ces chercheurs ont tenté de déterminer le profil des hommes adeptes de ce type d’humour et sont parvenus à la conclusion selon laquelle les blagues machistes permettent aux hommes qui doutent de leur virilité de s’affirmer au sein de la communauté masculine.

L’humour est un bon révélateur de la conscience de soi

Pour établir cette conclusion, les participants ont été invités à répondre à des questions portant sur leur personnalité et sur leur faculté à discriminer, ou non, les femmes ou les homosexuels. Au cours de ce test, les hommes ont dû donner leur avis à plusieurs affirmations de type « les femmes cherchent à avoir plus de pouvoir en prenant le contrôle sur les hommes ».

En recoupant ces données, les auteurs de cette publication ont révélé que l’humour sexiste était un bon révélateur de la conscience de soi et de la confiance en eux des hommes. Pour Emma O’Connor, principale auteure de cette étude, « les hommes qui n’ont pas confiance en leur propre masculinité s’amuse de l’humour sexiste et homophobe parce qu’ils pensent que cela renvoie une image plus virile d’eux », peut-on lire sur le site Eurekalert.

Sybille Latour

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Une grande proportion de la population manque de potassium

La majorité des Américains ne consomme pas assez de potassium et trop de sodium (sel), selon une étude présentée aux sessions scienfitiques 2016 de l’American Heart Association. Ce qui est en concordance avec des études menées avec d’autres populations.

Le potassium est un électrolyte qui joue plusieurs rôles importants dans l’organisme. Il est nécessaire au bon fonctionnement du système nerveux, des muscles et du cœur.

Il aide à faire entrer les nutriments dans les cellules et à en faire sortir les déchets. Une alimentation riche en potassium aide à compenser certains des effets nocifs du sodium sur la pression artérielle.

Des chercheurs des U.S. Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et des National Institutes of Health (NIH) ont analysé les urines de 827 personnes âgées de 20 à 69 ans sélectionnées pour être statistiquement représentatives de la population.

L’apport quotidien en sodium était de 3 662 mg en moyenne. Près de 90 % consommaient plus que les 2 300 mg recommandés par le Guide alimentaire américain. L’apport était plus élevé pour les hommes que les femmes.

L’apport de potassium était de 2 202 mg en moyenne alors que l’apport adéquat est de 4 700 mg ou plus. Les femmes avaient tendance à avoir des niveaux plus bas que les hommes.

Une étude de l’Institut national de santé publique du Québec en 2009 montrait des apports insuffisants en potassium chez 9 Québécois sur 10.

Jusqu’à récemment, l’humain avait une alimentation riche en potassium, soulignait une étude dans la revue Physiologia Plantarum en 2008. Mais avec la consommation croissante d’aliments industriels combinée avec une diminution de la consommation de fruits et légumes, il y a eu une baisse importante de l’apport en potassium dans les pays les plus développés. L’apport moyen correspondrait à environ un tiers de celui atteint au cours de l’évolution.

Psychomédia avec sources : American Heart Association, Medline Plus, Physiol Plant..
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Pourquoi le manque de sommeil fait grossir

Le 8 novembre 2016.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs du King College de Londres, le manque de sommeil aurait des conséquences directes sur la prise de poids.

Moins de sommeil, plus de calories

Bien dormir pourrait prévenir l’obésité. C’est ce que suggèrent des chercheurs britanniques dans une étude publiée dans la revue European Journal of Clinical Nutrition. Selon ces travaux, les personnes qui dorment moins que les 7 à 8 heures recommandées par nuit consomment en moyenne 385 calories de plus le lendemain.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont passé au crible 11 études qui cherchaient à comprendre le lien qui existait entre le manque de sommeil et la prise de poids. Selon ces différentes études, faire de petites nuits pousse les participants à avoir plus d’appétit le lendemain, notamment pour des aliments plus riches en lipides qu’en protéines.

Manque de sommeil, facteur d’obésité

« La principale cause de l’obésité est un déséquilibre entre les apports et les dépenses caloriques » , explique au Telegraph Gerda K. Pot, qui a participé aux travaux. « Cette étude s’ajoute aux preuves déjà accumulées prouvant que le manque de sommeil participe à ce déséquilibre. Nos résultats montrent que le manque de sommeil est le troisième facteur de prise de poids après le régime alimentaire et l’exercice. »

Mais comment expliquer ce phénomène ? Tout serait une question de dérèglement hormonal selon les chercheurs. La nuit, le corps produit une hormone, la leptine, qui donne un sentiment de satiété. C’est ce qui explique que nous ne nous réveillons pas la nuit pour manger. Plus la nuit est courte, moins cette hormone est sécrétée et plus le taux de ghréline, une hormone qui stimule l’appétit, augmente. Ce n’est pas plus compliqué que cela.

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Effets du manque de sommeil sur l’apport et la dépense de calories

Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans l’European Journal of Clinical Nutrition (EJCN), ont analysé les études portant sur l’effet du manque de sommeil sur l’apport et la dépense de calories le jour suivant.

Haya Al Khatib et Gerda Pot du King’s College London ont, avec leurs collègues, combiné les données de 11 études, impliquant un total de 172 participants. Ils étaient assignés au hasard à une privation partielle de sommeil (durée de sommeil entre 3 1/2 et 5 1/2 heures) ou une nuit de sommeil complète (entre 7 et 12 heures au lit).

Le lendemain d’une nuit de privation de sommeil, les participants consommaient en moyenne 385 calories supplémentaires, soit l’équivalent de 4 1/2 tranches de pain.

Le manque de sommeil n’avait toutefois pas d’effet sur la dépense d’énergie dans les 24 heures suivantes. Les calories de surplus peuvent ainsi entraîner une prise de poids.

Ils avaient aussi tendance à consommer plus de matières grasses et moins de protéines. La consommation de glucides demeurait inchangée.

Une petite étude précédente avec 26 personnes a montré que la privation partielle de sommeil augmentait l’activation de régions cérébrales associées à la récompense quand les participants étaient exposés à la nourriture. Une plus grande motivation pour la nourriture pourrait ainsi être une explication pour l’augmentation de la consommation alimentaire. D’autres explications possibles incluent une perturbation de l’horloge interne du corps affectant la régulation de la leptine (l’hormone de satiété) et de la ghréline (hormone de la faim).

Ces résultats suggèrent que le sommeil serait un troisième facteur potentiel à cibler, en plus de l’alimentation et de l’exercice, soulignent les chercheurs.

Psychomédia avec sources : King’s College London, EJCN.
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Le manque de vitamine D favorise les fortes dépressions

Mercredi 26 octobre 2016.

On savait déjà que la dépression saisonnière, qui frappe entre 5  et 10 % de la population en Occident, était due à un manque de vitamine D. Vitamine D qui est en très grande partie synthétisée par le corps humain, essentiellement lors de l’exposition du corps, ou même seulement du visage, au soleil. Or en automne et en hiver, quand survient la dépression saisonnière, le soleil manque…

La carence en vitamine D associée à la dépression

Une nouvelle étude dévoilée lors d’un congrès de psychologie à Milan amplifie encore l’impact supposé du manque de vitamine D sur le mental. L’étude portant sur plus de 200 patients suivis pour des troubles psychologiques, dont les données de santé ont été comparées à un groupe témoin, a montré que la carence en vitamine D était décelée de manière systématique chez ces patients dépressifs.

Indépendamment de la concentration de vitamine C dans les prélévements sanguins, l’étude a recensé également la durée d’exposition au soleil des patient suivis. Et là encore, une corrélation évidente entre la durée d’exposition, et les symptômes dépressifs, a été établie. 

Qui de la dépression ou de la carence en vitamine D est responsable ? 

Chose inédite, l’étude envisage que les dépressifs, en carence de vitamine D, puissent pour des raisons obscures fuir le soleil et la lumière, alors même que l’exposition au soleil et à la lumière pourrait justement leur être bénéfique et les aider à sortir de cet été. Pour l’instant, il n’est pas possible de savoir si c’est la dépression qui éloigne du soleil et de la possibilité de synthétiser de la vitamine D, ou si c’est la carence en vitamine D qui provoque la dépression.

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Manque de sommeil : les capacités influencées différemment dans le temps par 2 systèmes

Différentes régions du cerveau ne sont pas affectées de la même façon par le manque de sommeil, montre une étude publiée dans la revue Science.

Cette étude précise comment le cycle sommeil/veille est contrôlé par deux systèmes différents : les rythmes circadiens (ou horloge biologique) et l’homéostat du sommeil qui concerne le temps passé éveillé et la dette de sommeil.

Derk-Jan Dijk et ses collègues des universités de Liège et de Surrey ont mené cette étude avec 33 participants éveillés pendant 42 heures consécutives. Pour chaque participant, des images cérébrales ont été prises 13 fois au cours de cette période et après une nuit de sommeil.

L’effet du manque de sommeil était plus marqué lorsque les participants effectuaient des tâches simples, par exemple de temps de réaction, que des tâches complexes faisant appel à la mémoire.

L’activité de nombreuses régions, en particulier celles du cortex frontal qui est le siège de processus cognitifs de haut niveau (raisonnement, planification…) diminuait progressivement en fonction de la durée de veille, témoignant de l’accumulation du besoin de sommeil (et de leur régulation par l’homéostat du sommeil). Leur niveau d’activation était restauré après le sommeil.

Alors que l’activité de plusieurs autres régions, en particulier des régions sous-corticales, suivait un rythme circadien de 24 heures dont le timing, « de façon surprenante », était spécifique à chaque région et variait d’une à l’autre.

Certaines régions présentaient un pattern qui était une combinaison d’un effet rythmique et d’une baisse associée au temps éveillé.

Au cours d’une période de privation de sommeil, la performance ne se détériore pas linéairement avec le temps éveillé, soulignent les chercheurs. Elle a tendance à être moins affectée au cours de la journée, à se détériorer plus rapidement au cours de la nuit biologique, puis à s’améliorer légèrement le lendemain.

Cette étude confirme que la performance est à tout moment la résultante de deux effets principaux : la dette de sommeil et l’horloge circadienne, souligne le Pierre Maquet de l’Université de Liège, coauteur.

Psychomédia avec sources : University of Surrey, Université de Liège, Science.
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Alzheimer et démence : le manque de vitamine D lié à un déclin cognitif plus rapide

L’insuffisance en vitamine D chez les personnes âgées est fortement corrélée avec un déclin cognitif accéléré et une diminution des performances dans des domaines tels que la mémoire qui sont associés à la maladie d’Alzheimer et à la démence, selon une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Neurology.

Joshua Miller et Charles DeCarli ont, avec leurs collègues des universités de Californie (Davis) et Rutgers, mené cette étude avec 400 personnes qui ont été suivies pendant 5 ans.

50 % étaient d’origine caucasienne et 50 %, africaine-américaine ou hispanique. La moyenne d’âge était de 76 ans et les participants avaient une cognition normale, un déficit cognitif léger ou une démence.

Au début de l’étude, 26 % des participants présentaient une déficience en vitamine D et 35 %, une insuffisance. Parmi les Caucasiens, 54 % avaient de faibles niveaux comparativement à 70 % des Africains-Américains et des Hispaniques.

Les participants qui avaient une déficience en vitamine D ont connu un déclin cognitif 2 à 3 fois plus rapide en ce qui concerne la mémoire épisodique et la fonction exécutive que ceux qui avaient des niveaux adéquats. En 2 ans, ils ont connu un déclin aussi important que ceux ayant des niveaux adéquats en 5 ans.

L’exposition de la peau aux rayons du soleil est la principale source de vitamine D. Les personnes à la peau plus foncée sont plus à risque d’avoir de faibles taux de vitamine D à cause de la plus forte concentration en mélanine de leur peau qui protège contre le cancer de la peau, mais inhibe aussi la synthèse de la vitamine D.

L’alimentation est une autre source de vitamine D. La vitamine D alimentaire est obtenue notamment grâce à la consommation de produits laitiers.

Dans une prochaine étape, les chercheurs vérifieront si des compléments de vitamine D peuvent réduire le déclin cognitif.

Bien que cette étude ne prouve pas que le lien constaté soit de cause à effet, les auteurs estiment qu’avec d’autres, elle suggère qu’il y a assez d’évidence d’ores et déjà pour recommander aux personnes dans la soixantaine de discuter avec leur médecin de la pertinence de prendre un complément de vitamine D tous les jours.

Psychomédia avec source : UC Davis.
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Des piscines changées en ‘bouillon de culture’ par le manque d’hygiène des baigneurs

Selon une enquête menée par le Parisien, l’hygiène des piscines françaises laisserait de plus en plus à désirer. Faute à des nageurs qui ne se lavent pas toujours avant d’aller piquer une tête.

« Les Français vont à la piscine pour se laver et c’est une catastrophe ! », explique Bernard Boullé-Giammatteï, responsable du réseau piscines de la Ville de Paris. Alors que le mercure a bien monté, laissant place à des températures caniculaires, les piscines ont été prises d’assaut par les Français en quête de fraicheur. Seulement voilà, aussi bleue et claire qu’elle puisse paraitre, l’eau des 16.000 piscines françaises n’est pas si digne de confiance qu’on aimerait le croire.

C’est ce que révèle une enquête publiée le lundi 5 août dans le journal Le Parisien qui a de quoi doucher les envies d’aller piquer une tête à la piscine. Doucher, oui car c’est bel et bien de là que vient le problème : beaucoup de baigneurs ne se lavent pas avant d’aller nager, constituant ainsi la « principale source de contamination et de risque microbiologique », selon une note publiée par l’Agence nationale chargée de la sécurité sanitaire (Anses).

En effet, « les déchets organiques des baigneurs forment un véritable bouillon de culture avec son lot de désagréments : otites, rhinites, conjonctivites, gastro-entérite », écrit le Parisien. Même les crèmes, maquillages et la sueur représentent un risque car ceux-ci réagissent avec le chlore présent dans les piscines, formant une molécule volatile appelée trichloramine, qualifiée de toxique par l’Anses. Si elle peut paraitre rassurante, l’odeur des piscines qui est en fait celle de la trichloramine, serait donc loin de prouver que la piscine est propre.

Se savonner avant d’aller plonger

Pourtant, il ne serait pas si difficile de remonter l’hygiène des piscines françaises : il suffirait que tous les baigneurs prennent l’habitude de se passer au savon (…)

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Grossesse : le manque de sommeil peut affecter le bébé

Souffrir d’insomnies pendant la grossesse peut provoquer des naissances prématurées et affecter le système immunitaire du bébé.

Kate Middleton a-t-elle bien dormi lorsqu’elle était enceinte ? C’est une question primordiale pour la santé du Royal Baby (dont on ne connaît toujours pas le prénom) ! En effet, une étude menée par les chercheurs de l’Université de Pittsburgh, aux Etats-Unis, vient de montrer qu’un mauvais sommeil pendant la grossesse pouvait avoir des répercussions sur les défenses immunitaires du bébé et ralentir sa croissance in-utéro. Si vous dormez mal, vous risquez de donner naissance à un bébé de faible poids (avec ses 3,800 kg, le royal baby n’a pas de souci à se faire !) qui aura du mal à se défendre lorsqu’il rencontrera les premiers virus.

Mener à bien une grossesse pendant 9 mois n’est chose aisée ! On savait déjà que prendre des antidépresseurs en étant enceinte est mauvais pour le cœur du bébé, que manger de la junk food nuit aussi au nouveau-né, que boire du café tous les jours a un impact sur le poids du bébé… Et on ne vous parle pas des méfaits du tabac !

Cette fois, on apprend que souffrir d’insomnies pendant la grossesse augmente notre production de cytokines. Ces molécules essentielles au bon fonctionnement du système immunitaire ont la fâcheuse habitude de se retourner contre les cellules saines lorsqu’elles sont trop nombreuses. Un excès de cytokines chez la femme enceinte peut également affaiblir ses tissus, interrompre la circulation placentaire et provoquer une naissance prématurée.

« Les résultats de cette étude montrent qu’il est important de déceler les éventuels troubles du sommeil chez la femme enceinte dès le premier trimestre de grossesse, notamment chez les futures mamans qui souffrent de dépression car elles sont encore plus à risque. Il est possible de traiter l’insomnie et d’éviter ainsi de faire courir des risques au bébé » insiste le Dr Michèle Okun, qui a dirigé cette étude.

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