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Dormir avec son animal, bon ou mauvais pour la santé ?

Le 01 décembre 2015. Selon une étude réalisée dans une clinique du sommeil en Arizona, les professionnels du sommeil devraient plus souvent demander à leurs patients s’ils dorment avec leur animal de compagnie. Une question soulevée, rarement posée et peu étudiée ! Et pourtant, les poils de l’animal, ses bruits, ses  mouvements peuvent grandement perturber le sommeil.

Ce ne serait pas le cas pour tous les patients, mais pour la plupart, la présence de leur animal de compagnie pourrait gêner leur sommeil et en altérer sa qualité. C’est ce que révèle cette étude américaine publiée fin octobre 2015.

Sur 150 patients interrogés, 64 personnes ont déclaré posséder un ou plusieurs animaux de compagnie. Et plus de la moitié d’entre eux, ont révélé leur ouvrir la porte de leur chambre la nuit.

Si 31 personnes ont déclaré ressentir leur présence comme bénéfique, 15 avouent tout de même qu’ils sont un élément perturbateur.

En réalité, si cette étude mérite d’être approfondie pour en tirer des conclusions plus précises, les professionnels de santé qui l’ont dirigée pensent que cette question devrait être systématiquement posée aux personnes souffrant de troubles du sommeil. Peu de médecins évoqueraient avec leur patient cette probabilité que leurs troubles soient liés à la présence de leur animal dans leur chambre, voire dans leur lit.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Dormez-vous avec votre animal de compagnie ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Rester assis trop longtemps est mauvais pour le cœur

Passer plus de cinq heures par jour assis devant un écran ou un livre augmente de 34 % le risque d’insuffisance cardiaque.

Quelle que soit l’activité physique au travail, plus on passe de temps assis à la maison, plus le cœur s’altère et plus le risque d’insuffisance cardiaque augmente. C’est ce qu’indique une étude de grande envergure publiée ce mois-ci dans la revue internationale Circulation Heart Failure. Le Pr Deborah Rohm Young et ses collègues du département de recherche du géant américain de l’assurance, Kaiser Permanente, suivent depuis une dizaine d’années un groupe de plus de 84.000 hommes, âgés de 45 à 69 ans et vivant en Californie.

C’est la première fois, pour une étude de ce type, que l’on prend le critère de l’insuffisance cardiaque. Cette faiblesse du cœur est notamment responsable d’essoufflement à l’effort et induit un véritable cercle vicieux lorsqu’elle s’installe, car plus on est essoufflé à l’effort et moins l’on a tendance à faire des efforts ; or moins l’on fait d’effort, plus le muscle cardiaque s’affaiblit et plus l’insuffisance cardiaque s’aggrave.

«C’est intéressant d’avoir choisi cette maladie, estime le Pr Jacques Blacher, du Centre de diagnostic et de thérapeutique de l’Hôtel-Dieu (Paris), car il s’agit d’une maladie grave et relativement fréquente. D’ailleurs, dans cette étude, il y avait environ 0,5 % de risque de survenue d’une poussée d’insuffisance cardiaque tous les ans alors que la population était relativement jeune: 58 ans d’âge moyen.» Autre point fort de l’étude californienne, «sa durée et son ampleur», s’enthousiasme le Dr Dylan Thompson, chercheur à l’université de Bath (Angleterre), spécialiste des effets de l’activité physique et sportive sur la santé. «C’est sans nul doute l’une des plus grandes études menées sur le sujet et elle conforte l’idée que l’activité physique et le comportement sédentaire ont des effets distincts sur la santé», ajoute le chercheur anglais.

Il y a tout juste un an, il avait montré (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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Le beurre est-il vraiment si mauvais pour la santé?

Pour votre cœur, mieux vaut dévorer un vrai jambon-beurre, avec des produits naturels, qu’un erzatz de jambon allégé sur tartiné de margarine. C’est en substance le message que souhaite faire passer Aseem Malhotra, l’un des plus grands cardiologues d’Angleterre, dans un article qu’il a publié dans le British Medical Journal (BMJ), revue scientifique prestigieuse et respectée, rapporte le Times. Selon ce spécialiste de l’Université de Croydon, les sucres et glucides raffinés exhausteurs de goût sont par exemple bien plus nocifs.

Beurre, fromage et viandes rouges ne sont pas aussi mauvais pour le cœur que l’on ne le pense: il est temps de «casser le mythe» autour des graisses saturées selon Malhotra. Et il n’est pas le seul à l’affirmer, rapporte Joanna Blythman du Guardian. En 2010, une synthèse de la littérature scientifique sur la question publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition a conclu qu’«il n’existe aucune preuve significative qui permet de conclure que les graisses saturées dans l’alimentation sont associées à un risque accru de maladies cardiaques.»

Depuis des décennies, les entreprises agroalimentaires apposent l’étiquette «faible en graisses saturées» sur leurs produits transformés (céréales, plats préparés ou autres yaourts allégés) pour leur donner l’image d’un produit sain. Le danger est là, souligne Joanna Blythman:

«Leur devise a toujours été, quitte à vendre de la merde, autant vendre de la merde à faible teneur en graisses, parce que les consommateurs n’iront pas scruter l’étiquette pour examiner la composition du produit.»

La «fatwa» sur les graisses saturées a eu un effet d’aubaine fabuleux pour les industriels du sucre et des céréales, ajoute-t-elle. Elle agit comme un leurre, détournant notre attention de l’un des facteurs majeurs de l’obésité: la surconsommation en sucres et glucides raffinés, qui pertubent la glycémie et les niveaux d’insuline, et favorisent la production de graisse et son stockage dans le corps.

En outre, affirme Aseem Malhotra, les statines sont trop prescrites, à cause de l’obsession des autorités sanitaires pour la prévention des maladies cardiaques par la réduction du taux de cholestérol. Cette politique de santé publique a des effets secondaires négatifs, qui peuvent parfois supplanter les bénéfices.

L’agence de santé publique britannique et la British Heart Fondation ont balayé cet avis d’un revers de main. Voici ce qu’en pense Alison Tedstone, directrice du département alimentation et obésité de l’agence:

«Les conseils du gouvernement sont basés sur une multitude de preuves scientifiques. L’article du BMJ est basé sur une opinion, plutôt qu’une synthèse complète de la recherche.» 

Catherine Collins, diététicienne au National health service (NHS) a affirmé à la BBC que les conseils du docteur Aseem Malhotra sont «dangereux», parce qu’ils brouillent le message qui associe la surconsommation de graisses aux maladies cardiaques. Réponse du cardiologue:

«Le message que je veux faire passer, c’est: « mangez de vrais aliments, fuyez la nourriture transformée. »»

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Allergies : le mauvais temps synonyme de répit

Crédit photo : © gezondheidsnet.nl / Flick

Le mauvais temps qui règne sur notre pays depuis le début de ce printemps 2013 n’a pas que des inconvénients. Pour les allergiques, il offre un moment de répit non négligeable.

En effet, et selon le dernier bulletin allergo-pollinique du Réseau National de Surveillance Aérobiologique, le temps a refroidi les ardeurs des pollens de graminées.

Durant cette « courte » semaine, ils seront surtout présents au Sud de la Seine avec un risque allergique moyen et un risque allergique faible au Nord de ce fleuve.

Attention toutefois à quelques zones qui seront plus exposées que d’autres comme les vallées du Rhône et de la Garonne.

Ce calme relatif ne doit en aucn masquer  la présence de ces pollens sur l’ensemble du territoire. La vigilance doit donc rester de mise

Pour les pollens de chêne, ce n’est tout à fait la même histoire. Sur la région Nîmoise et plus généralement sur tout  le pourtour  méditerranéen, le risque lié à ce pollen sera élevé à très élevé.

Partout ailleurs, les chênes seront plus modérés et pourront provoquer un risque allergique moyen à localement élevé.

Pour une majorité des pollens, la saison touche heureusement à sa fin. Ainsi  les pollens de saule, peuplier, cyprès, frêne et même bouleau se feront plus discrets avec des risques allergiques au maximum faibles.

Les pollens d’oseille et plantain se généraliseront sur l’ensemble du territoire mais sans grand risque allergique associé.

Les pollens de pariétaire se retrouvent très géolocalisés sur le pays Niçois, avec un risque pouvant atteindre un niveau moyen.

N’oubliez pas que le Réseau National de Surveillance Aérobiologique vous offre la possibilité de recevoir chaque semaine par e-mail les prévisions du risque allergique des départements de votre choix. Pour cela vous pouvez vous inscrire en cliquant ici

Suivez vos symptômes d’allergies en remplissant le questionnaire journalier sur www.pollendiary.com

Source : Bulletin Allergo Pollinique – Réseau National de Surveillance


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