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Mauvaise santé intestinale : le sommeil en cause

Mauvaise santé intestinale : le sommeil en cause

Jeudi 31 octobre 2019 

Une étude récente a montré qu’une meilleure qualité du sommeil avait un impact sur la diversité du microbiome.

Les effets d’un sommeil de qualité sur l’intestin

Une mauvaise qualité de sommeil aurait un impact négatif sur la santé intestinale. C’est ce qu’à démontré une nouvelle étude menée par des chercheurs de la Nova Southeaster University (NSU). Pour cette recherche, les scientifiques cherchaient à comprendre si la qualité du sommeil pouvait interférer avec la santé du microbiome. Le microbiome désigne l’ensemble des organismes vivants qu’abrite notre corps, tels que les bactéries, les levures mais aussi les virus. Depuis plusieurs années, les chercheurs s’intéressent à la diversité de ce microbiome et leur lien avec certaines maladies. 

Pour cette étude, ils ont demandé à 26 participants de porter un bracelet de suivi (Actiwatch). L’appareil permet de mesurer la qualité de sommeil ainsi que sa durée. Il mesure notamment l’heure du coucher, du lever et le nombre de réveils nocturnes. Dans le même temps, les scientifiques ont analysé la flore intestinale des participants.

Un microbiome plus sain

Les résultats de cette recherche ont montré qu’une meilleure qualité de sommeil avait un effet positif sur le microbiome, qui était plus diversifié et plus sain. Une meilleure qualité de sommeil se traduit par un temps passé endormi plus longtemps ainsi qu’une durée totale de sommeil plus importante. 

L’auteur de l’étude, Jaime L. Tartar, a indiqué : « À partir de recherches précédentes, nous pensons qu’une mauvaise qualité de sommeil exerce probablement un fort effet négatif sur la diversité de la santé intestinale/microbiome » comme le rapporte La Dépêche. À l’inverse, les scientifiques ont remarqué que le manque de diversité du microbiome été associé à des maladies comme celle de Parkinson mais aussi à des maladies auto-immunes, à la dépression et à l’anxiété. Les auteurs de l’étude recommandent d’accroître les bonnes bactéries dans la flore intestinale en consommant des aliments riches en probiotiques et en prébiotiques comme les yaourts, le kéfir ou encore la choucroute.

Stéphanie Haerts

À lire aussi : 8 conseils pour mieux digérer

 

 

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Une mauvaise hygiène bucco-dentaire augmenterait le risque de cancer du foie

Une mauvaise hygiène bucco-dentaire augmenterait le risque de cancer du foie

Le 20 juin 2019

Selon une nouvelle étude britannique, une hygiène bucco-dentaire peu soignée pourrait accroître le risque de cancer du foie de 75%.  

Un lien entre hygiène dentaire et cancer du foie  

Les chercheurs de la Queen’s University de Belfast ont fait le lien entre l’hygiène bucco-dentaire et l’augmentation du risque de cancer du foie. Ils se sont appuyés sur d’autres recherches qui avaient mis en avant le risque de plusieurs maladies. Cette fois, les scientifiques ont étudié les données de 475.766 personnes vivant au Royaume-Uni. Parmi les participants, 4.069 ont développé un cancer gastro-instestinal au cours d’un suivi moyen de six ans. Dans 13% des cas, les patients ont signalé une mauvaise santé bucco-dentaire.  

Les résultats, publiés dans la revue United European Gastroenterology Journal, mettent en avant un lien substantiel entre la santé bucco-dentaire et le cancer hépatobilaire, la forme la plus courante de cancer du foie. Le microbiome oral et digestif serait en cause, le foie ayant pour rôle d’éliminer les bactéries de l’organisme. Toutefois, l’étude ne montre pas d’association claire entre une hygiène dentaire peu soignée et les autres types de cancers gastro-intestinaux tels que le cancer du colon, du rectum ou du pancréas. 

Les femmes davantage concernées  

L’étude note que les personnes les plus concernées sont de sexe féminin, jeunes et vivant dans des zones défavorisées. Ces personnes consomment également moins de deux portions de fruits et légumes par jour.  

Les chercheurs rappellent qu’une mauvaise hygiène bucco-dentaire est liée à un accroissement des risques de développer d’autres maladies chroniques comme les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et le diabète. Des études précédentes avaient d’ailleurs mis en avant le lien entre la maladie des gencives et des tumeurs de l’œsophage ainsi que des tumeurs mammaires.  

Stéphanie Haerts

À lire aussi : Santé des dents

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La mauvaise alimentation serait responsable d’un décès sur cinq

La mauvaise alimentation serait responsable d’un décès sur cinq

Le 4 avril 2019.

Selon une récente étude menée à travers le monde, un décès sur cinq serait dû à une mauvaise alimentation, notamment en raison d’une consommation trop importante de viande, de sucre et de sel.

11 millions de morts en 2017, causées par la mauvaise alimentation

Un décès sur cinq, dans le monde, serait dû à la mauvaise alimentation. C’est la conclusion d’une grande enquête sur les effets des risques alimentaires sur la santé, menée dans 195 pays entre 1990-2017 auprès de personnes âgées de 25 ans ou plus, et publiée dans la revue The LancetLes maladies cardiovasculaires ont été la principale cause de décès liés au régime alimentaire.

Selon l’étude, en 2017, 11 millions de décès seraient attribuables à des facteurs de risques liés à l’alimentation. Pour 3 millions d’entre eux, la cause serait un apport trop élevé en sel ; pour trois autres 3 millions, l’explication serait à chercher du côté d’un trop faible apport en céréales complètes ; 2 millions de décès étant par ailleurs attribués à une trop faible consommation de fruits. 

La consommation de boissons sucrées, de sel et de sucre est trop importante

Dans le détail, il ressort de l’étude qu’en 2017, « à l’échelle mondiale, la consommation de presque tous les aliments et nutriments sains était sous-optimale ». Parallèlement, « l’apport quotidien de tous les aliments et nutriments malsains dépassait le niveau optimal au niveau mondial ». La consommation de boissons sucrées, de 49 grammes par jour en moyenne, était « bien supérieure à l’apport optimal » ; tout comme celle de viande rouge, 18% supérieure à l’apport optimal ; celle de viande transformée, 90% supérieure à la quantité optimale, et la consommation de sel, 86% supérieure à la quantité optimale.

Autre donnée intéressante de l’étude : « Contrairement à de nombreux autres facteurs de risques, les risques alimentaires ont touché les personnes quels que soient leur âge, leur sexe et le développement sociodémographique de leur lieu de résidence ». Selon les chercheurs qui reconnaissent que leur étude a toutefois des limites, il est urgent de « coordonner les efforts mondiaux visant à améliorer la qualité du régime alimentaire humain », ce qui permettrait d’éviter potentiellement un décès sur cinq dans le monde.

Aurélie Giraud

À lire aussi : Régime alimentaire pour maladies cardiovasculaires

 

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La mauvaise qualité du sperme en cause dans les fausses couches

La mauvaise qualité du sperme en cause dans les fausses couches

Le 11 janvier 2019.

Et si la qualité du sperme était aussi un facteur déterminant dans la réussite d’une grossesse ? Des chercheurs ont découvert que la qualité de celui-ci pouvait être responsable de fausses couches.

Le sperme, responsable de fausses couches à répétition ?

Lorsqu’une femme subi plusieurs fausses couches de manière consécutive, elle se tourne souvent vers son médecin ou un spécialiste pour tenter d’en trouver la cause. Les facteurs féminins de fertilité sont nombreux et il n’est pas toujours facile de déterminer le déséquilibre qui empêche une grossesse d’être menée jusqu’à son terme.

Mais cette fois-ci c’est aux hommes, et en particulier à leur sperme, que les chercheurs se sont intéressés. Leur objectif ? Tenter de découvrir un facteur du côté des partenaires de ces femmes ayant subi trois fausses couches consécutives à moins de vingt semaines de grossesse.

La qualité du sperme en jeu

Les scientifiques de l’Imperial College de Londres ont publié les résultats de leurs travaux dans la revue Clinical Chemistry. Ils ont comparé le sperme de 50 hommes dont les partenaires ont fait des fausses couches avec celui de 60 hommes dont les partenaires n’avaient pas fait de fausse couche. L’ADN du premier groupe est endommagé et présente quatre fois plus d’espèces réactives de l’oxygène (ERO) que le sperme du deuxième groupe.

« Bien que ce soit une petite étude, elle nous donne des pistes à suivre. Si nous confirmons, dans des travaux ultérieurs, que des niveaux élevés d’espèces oxygénées réactives dans le sperme augmentent le risque de fausse couche, nous pourrions essayer de mettre au point des traitements permettant de les réduire et d’augmenter les chances d’une grossesse », termine Channa Jayasena, en charge de l’étude.

Maylis Choné

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Nombreux cas de médicaments administrés à la mauvaise personne dans les hébergements pour aînés dont les CHSLD (Québec)

Les erreurs de médicaments administrés à la mauvaise personne sont fréquentes dans les centres d’hébergement privés pour personnes âgées et dans les CHSLD.

Une étude menée auprès du Centre antipoison du Québec recense en une année près de 500 appels, provenant principalement des centres d’hébergement privés, concernant l’administration de médicaments à une mauvaise personne, rapporte Radio-Canada.

L’étude, menée par le pharmacien toxicologue de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) et ses collègues et publiée dans le Journal of Post-Acute and Long-Term Care Medicine, s’appuie sur des données fournies par le Centre antipoison du Québec et concerne des CHSLD, des résidences privées et des ressources d’hébergement en milieu familial.

La moitié des patients (51 %) ont reçu au moins 5 médicaments différents qui ne leur avaient pas été prescrits. La plupart des patients (82 %) n’avaient pas de symptômes au moment de l’appel au centre antipoison ; cependant, un tiers (34 %) des expositions ont été considérées comme potentiellement toxiques et ont été traitées à l’hôpital.

Les classes de médicaments les plus fréquemment impliquées incluaient les antihypertenseurs, les antiarythmiques et les antipsychotiques. En particulier, près du quart (23 %) des cas de mauvaise administration de l’antipsychotique clozapine (Clozaril) ont entraîné des effets modérés ou graves. Aucun décès n’a été signalé.

Le nombre de cas où des médicaments ont été administrés à la mauvaise personne est probablement supérieur à 500, estime le chercheur, puisque l’étude ne concerne que les personnes appelant le Centre antipoison pour signaler l’erreur.

Pour la seule année 2015-2016, le ministère de la Santé a reçu 48 000 rapports d’erreur liés à la médication produits dans les Centres de soins de longue durée (CHSLD), qui font partie du réseau de la santé publique), indique le chercheur. De ce nombre, environ 1 400 (3 %) cas concernent l’administration d’un médicament au mauvais patient.

« Ce ne sont pas toutes des erreurs graves, a nuancé M. Dubé. Il s’agit parfois de l’oubli d’une dose ou d’une dose administrée une heure plus tard que prévu. » Sur les 48 000 erreurs, 42 % relèveraient de l’omission, soit l’oubli d’une dose, ou d’une dose erronée.

Du fait que les personnes âgées prennent généralement plusieurs médicaments, les risques de complications médicales sont augmentés (en raison notamment des interactions).

« Toute erreur liée à la médication devrait être considérée comme une urgence médicale », estime le chercheur.

Pour plus d’informations sur les erreurs médicales, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Radio-Canada, Journal of Post-Acute and Long-Term Care Medicine.
Tous droits réservés.

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Pourquoi se brosser la langue est une mauvaise idée

Pourquoi se brosser la langue est une mauvaise idée

Le 1er janvier 2018

Si se brosser les dents est conseillé par tous les dentistes, les médecins s’accordent à dire que la langue est beaucoup plus fragile et qu’il faut en prendre soin.

La langue s’auto-nettoie

Aucune publicité pour dentifrice ou autre produit bucco-dentaire n’y échappe : elles montrent toutes une personne se brossant la langue. Mais selon les médecins, ça n’est pas une bonne idée. En effet, une langue saine s’auto-nettoie grâce à la salive que l’on déglutit, en moyenne, mille à deux mille fois par jour

Pour ce faire, la langue frotte le palais : c’est sa méthode douce et efficace pour se laver. Tout le contraire du brossage beaucoup trop agressif, avec son lot de petites blessures, inflammations et même infections. Pire, le risque est d’abîmer nos papilles gustatives. Cela s’appelle une dysgueusie, un trouble du goût. Les seuls cas où le brossage de langue est tout de même conseillé : quand on fume, ou quand on a la bouche sèche.

Se brosser les dents deux fois par jour réduit les risques d’avoir mauvaise haleine

Les quelque 700 espèces de bactéries qu’abrite la bouche et en particulier la langue, ont très mauvaise réputation. On les met notamment très souvent en cause lors d’une mauvaise haleine. Or, elles ont un rôle bénéfique : elles aident à digérer, produisent des vitamines et en recouvrant la langue, les muqueuses buccales réduisent le risque de colonisation par des bactéries étrangères. La mauvaise haleine est due dans 90 % des cas à la plaque dentaire.

Les bactéries, issues d’un déséquilibre microbien, libèrent des substances malodorantes et très collantes sur lesquels les bains de bouche n’agissent pas. L’UFSBD recommande de se brosser les dents deux fois par jour pendant deux minutes, à l’aide d’une brosse à dents souple et d’un dentifrice fluoré, en balayant de la gencive vers la dent, puis en passant du fil dentaire ou une brossette interdentaire le soir.

Marie-Eve Wilson-Jamin

À lire aussi : Brossage de dents, la bonne méthode

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AVC : une mauvaise hygiène bucco-dentaire augmente les risques

Malgré des progrès réalisés ces dernières années,les accidents vasculaires cérébraux (AVC) continuent de tuer plus de 30.000 personnes par an en France, en majorité des femmes.Mais saviez-vous que le risque d’AVC était accentué par une mauvaise hygiène bucco -dentaire ?

Selon le communiqué de l’Union française pour la santé bucco-dentaire (UFSBD), la bactérie responsable est de type streptococcus mutant contenu dans la salive. Ces molécules inflammatoires passent dans le sang et influence l’aggravation de certaines maladies. Cette bactérie peut donc se fixer aux vaisseaux et favoriser les risques de rupture d’anévrisme (AVC) ».

Pixabay

D’autres maladies chroniques de longues durées, de type cardio-vasculaire ou diabète ont aussi une interaction avec les pathologies dentaires et une hygiène bucco-dentaire non optimale.

C’est pourquoi, pour avoir une hygiène bucco-dentaire irréprochable et limiter les liens bidirectionnels avec ses maladies chroniques,l’Union française pour la santé bucco-dentaire préconise :

-un brossage systématique des dents, 2 minutes, 2 fois par jour, matin et soir
– l’utilisation d’un dentifrice fluoré, du passage du fil dentaire ou brossettes inter-dentaires, entre chaque dent le soir
– la mastication d’un chewing-gum pendant 20 mn après chaque prise alimentaire
– un contrôle régulier de la sphère buccale avec une visite tous les 6 mois.

5 gestes simples pour prévenir l’AVC

A l’occasion de la Journée Mondiale de l’AVC qui s’est déroulée dimanche, la Société Française Neuro-Vasculaire (SFNV) a tenu à rappeler que l’AVC n’est pas une fatalité ! 5 mesures préventives permettent en effet de réduire le risque de 80%. Des gestes simples qu’il convient d’adopter au quotidien pour éviter le pire.

Alors qu’un AVC survient toutes les 4 minutes en France, voici les mesures préventives que préconise la SFNV

1- Contrôler sa pression artérielle ! L’hypertension artérielle est en effet le principal facteur de risque d’AVC. Sauf qu’aujourd’hui 50% des hypertendus ignorent qu’ils le sont ! Vous devez connaître vos chiffres tensionnels ! S’ils sont régulièrement au-dessus de 14/9 cm Hg (ou 140/90 mm Hg), vous devez consulter votre médecin qui pourra débuter un traitement approprié

2- Manger sainement : manger 5 fruits et légumes par jour; manger régulièrement du poisson; préparer soi-même à manger; consommer des aliments peu salés

3- Contrôler son cholestérol tous les 5 ans.

4 -Avoir une activité physique régulière : une marche de 30 minimum par jour est recommandé

5- Arrêter de fumer : la cigarette multiplie par 2 le risque d’AVC ischémique cérébral

Par ailleurs il également recommandé un contrôle régulier du taux de glycémie à jeûn qui doit être inférieur à 7 mmol/l (1, 26 g/l).

News Santé

5 méthodes naturelles contre la mauvaise haleine

5 méthodes naturelles contre la mauvaise haleine

Le 3 mars 2017.

La mauvaise haleine peut être extrêmement handicapante. Certains ont beau se laver les dents régulièrement, rien ni fait, l’odeur fétide est persistante. En cause : l’alcoolisme, le tabagisme, les caries ou encore les prothèses dentaires. Alors que faire ? Voici 5 astuces pour combattre efficacement l’halitose.

1.     Boire du jus de citron

La mauvaise haleine est la plupart du temps, due à la présence de bactéries dans la bouche. C’est pourquoi, boire du jus de citron peut s’avérer très efficace. Ses vertus antiseptiques permettront de retrouver une haleine fraîche à n’importe quel moment de la journée. Cette solution 100 % naturelle a le double avantage d’être efficace et agréable. Mélangé dans un verre d’eau, le jus de cistron peut être une boisson du quotidien.   

Pour encore plus d’efficacité, vous pouvez croquer directement dans un citron. Mais attention, c’est extrêmement acide.

2.     Se préparer une solution à base de bicarbonate de soude

Comme vous devez déjà le savoir, le bicarbonate de soude est un produit indispensable dans une maison. Il peut blanchir les dents, soulager des brûlures d’estomac mais aussi lutter efficacement contre la mauvaise haleine. Pour cela, mélangez 1 cuillère à café de bicarbonate de soude dans un verre et faites des gargarismes. Vous pourrez renouveler l’opération autant de fois que nécessaire.

C’est parce que c’est un antibactérien puissant que le bicarbonate de soude permet de supprimer la mauvaise haleine. Si vous souhaitez ne plus sentir le tabac, cette méthode n’aura pas grand intérêt.

3.     Mâcher du persil

Le persil peut être utilisé de différentes manières pour lutter contre la mauvaise haleine. Vous pouvez mâcher les feuilles après un repas. Parce qu’il est riche en chlorophylle, le persil saura capter les odeurs et les détruire. La chlorophylle réduit en effet, la production des gaz et des toxines d’origine digestive.

Si vous aimez le goût du persil, vous pouvez le mettre en accompagnement de vos viandes, de vos salades, ou de vos légumes. En plus de vous donner une bonne haleine, le persil est excellent pour la santé. Dernière option : laissez infuser du persil frais dans une tasse d’eau chaude, laissez refroidir, puis gargarisez-vous avec la préparation.

4.     Utiliser du charbon végétal

Le charbon végétal est un complément alimentaire utilisé contre les maux de ventre. Il a pour vertu d’absorber les toxines et les bactéries. Il est donc recommandé pour lutter contre la mauvaise haleine. Mais comment l’utiliser ? Mélangez une cuillère à café de charbon dans un verre d’eau et buvez la préparation après chaque repas. Vous pouvez aussi trouver du charbon végétal sous forme de gélule mais il est plus efficace de se gargariser avec le charbon que de l’avaler tout rond.  

Avant d’utiliser le charbon, il est cependant conseillé de prendre conseil avec son pharmacien qui saura voir, avec vous, si ce produit est bien recommandé à votre état de santé. Les personnes constipées, par exemple, doivent éviter d’en prendre.

5.     Tournez-vous vers les huiles essentielles

Enfin, si aucune de ces méthodes ne vous convient, vous pourrez vous tourner vers les huiles essentielles. Là encore, vous aurez l’embarras du choix : mettez une à deux gouttes d’huiles essentielles de menthe poivrée, de citron, d’arbre à thé ou encore de lavande sur la langue avant de vous brosser les dents ou sur la brosse à dents et vous serez assuré d’avoir une haleine bien fraîche après chaque lavage. Avant un rendez-vous galant, cette astuce est garantie zéro risque. 

Marine Rondot

Lisez notre dossier complet : L’halitose (mauvaise haleine)

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