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7 patients sur 10 mentiraient à leur médecin

7 patients sur 10 mentiraient à leur médecin

Le 7 décembre 2018.

Selon une récente étude, 70% des patients mentiraient à leur médecin. Quelles raisons les poussent à ne pas dire la vérité ? On vous dit tout.

Les patients ont tendance à cacher à leur médecin leurs habitudes alimentaires et leur activité physique

Si à la question de votre médecin « avez-vous une activité régulière ? » ou « votre alimentation est-elle équilibrée ? », vous n’avez pas toujours été honnête, alors vous ne serez pas étonné par le résultat de cette nouvelle étude publiée dans la revue Jama Medical Education, selon laquelle 7 patients sur 10 mentiraient à leur médecin. « La plupart des personnes interrogées avouent avoir délibérément pratiqué une rétention d’information sur un des sujets au moins », peut-on y lire.

Pour parvenir à ces résultats, des scientifiques de l’université de l’Utah (États-Unis) ont analysé les données de deux sondages menés auprès de personnes âgées de 36 à 61 ans. Il en ressort que 60 à 80% des patients interrogés ont déjà menti à leur médecin ou en tout cas, dissimulé une information pourtant primordiale sur leur santé, essentiellement en ce qui concerne leur alimentation, leur activité physique ou la prise de leur traitement.

Les patients ont peur du regard de leur médecin

Mais pourquoi les patients mentent-ils à leur médecin ? Il semblerait que la peur d’être jugé ou sermonné l’emporte sur la confiance. Selon le Docteur Angela Fagerlin, principal auteur de l’étude, « la plupart des gens veulent que leur médecin ait une bonne opinion d’eux. Ils craignent d’être catalogués comme des personnes ne prenant pas de bonnes décisions ».  

Le problème, c’est qu’un mensonge peut avoir des conséquences sur la prise en charge de potentielles pathologies. « Si le médecin ne dispose pas de tous les faits, son avis va perdre en précision. Et si les patients retiennent des informations sur ce qu’ils mangent ou sur leur prise de médicaments, cela aura des conséquences importantes pour leur santé », explique le Docteur Fagerlin.

Aurélie Giraud

À lire aussi : Que peut-on attendre de son médecin généraliste ?

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Les patients mentent souvent à leur médecin

Environ 70 % des patients mentiraient à leur médecin, suggère une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Network Open.

Angela Fagerlin de l’Université de l’Utah et ses collègues ont mené deux enquêtes nationales en ligne avec deux populations, l’une incluant 2 011 participants âgés en moyenne de 36 ans et l’autre incluant 2 499 participants âgés en moyenne de 61 ans.

Les participants se faisaient montrer sept scénarios courants dans lesquels un patient pourrait se sentir enclin à cacher au médecin des comportements liés à la santé et ils devaient indiquer les scénarios représentant des situations qu’ils avaient déjà vécues.

Les participants devaient ensuite essayer de se rappeler pourquoi ils avaient menti.

En plus de mentir sur l’alimentation et l’exercice, plus du tiers des répondants avaient omis de mentionner un désaccord avec la recommandation de leur médecin. Un quart avaient caché qu’ils ne comprenaient pas les instructions du médecin. Près d’un sur cinq avait caché ne pas avoir suivi correctement son traitement et 11 % n’avaient pas indiqué avoir pris des médicaments prescrits à quelqu’un d’autre.

Lorsque les répondants ont expliqué leur comportement, la plupart ont indiqué qu’ils voulaient éviter d’être jugés et qu’ils ne voulaient pas qu’on leur fasse la leçon sur la nocivité de certains comportements. Plus de la moitié étaient trop gênés pour dire la vérité.

Le problème, soulignent les chercheurs, est que les médecins ne peuvent pas offrir des conseils médicaux appropriés quand ils n’ont pas tous les faits.

« Si les patients ne disent pas ce qu’ils mangent ou s’ils prennent leurs médicaments, cela peut avoir des conséquences importantes pour leur santé. Surtout s’ils sont atteints d’une maladie chronique ».

Psychomédia avec sources : University of Utah Health, JAMA Network Open.
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Lyon : une femme médecin condamnée à 4 ans de prison ferme pour escroquerie à la sécu

Lyon : une femme médecin condamnée à 4 ans de prison ferme pour escroquerie à la sécu

Une femme médecin condamnée à 4 ans de prison ferme pour escroquerie à la sécu dans le Rhône

DarkoStojanovic/CC0 Public Domain/Pixabay

Lyon, Rhône : une femme médecin condamnée à 4 ans de prison ferme pour escroquerie à la sécu dans le Rhône ! Une femme médecin de Vaulx-en-Velin vient d’être condamnée par le tribunal correctionnel de Lyon à 4 ans de prison ferme pour avoir escroqué la Sécurité Sociale à hauteur de 800.000 euros !

Une femme médecin condamnée à 4 ans de prison ferme pour escroquerie à la sécu

Et c’est via des surfacturations qu’elle avait ainsi réussi à escroquer l’Assurance-Maladie.  Pour y parvenir elle facturait des consultations de journée au tarif de nuit (soit 3 fois plus cher, ndrl) ou facturait tous les ayants droit d’une carte Vitale.

D’importantes sommes détournées qui lui avaient notamment permis d’investir dans l’immobilier dont 12 studios locatifs sur Lyon et sa proche région.

Condamnée à 4 ans de prison ferme, elle aura aussi pour obligation de rembourser l’intégralité des sommes détournées à la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) du Rhône et ne pourra plus jamais exercer son métier.

Une saisie de ses comptes bancaires et d’un immeuble lui appartenant a été ordonnée par le tribunal.

Le tribunal n’ayant pas prononcé de mandat de dépôt à l’issue de l’audience, elle a été laissée en liberté. Elle avait déjà effectué 5 mois de détention provisoire entre décembre 2015 et avril 2016 avant d’être remise en liberté sous contrôle judiciaire.

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Chirurgie ou médicaments ? Le choix peut dépendre de ce qui est plus payant pour le médecin

Parfois, les médecins choisissent la chirurgie non pas parce qu’elle est préférable à d’autres traitements, mais parce qu’ils augmentent ainsi leur rémunération, suggère une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Surgery, relayée par le New York Times.

Louis L. Nguyen de l’Université Harvard (Boston) et ses collègues ont analysé des données concernant 10 579 personnes ayant été traitées pour une sténose (rétrécissement) de l’artère carotide.

Cette condition de santé peut être traitée par chirurgie ou gérée au moyen de médicaments et de changements dans le mode de vie. Le choix est souvent matière à jugement.

Certaines personnes avaient été traitées par des médecins payés à l’acte et d’autres, par des médecins rémunérés par salaire. Dans le premier cas, elles étaient 63 % plus susceptibles d’avoir subi une opération que dans le système de salaires.

Les patients présentant des symptômes étaient particulièrement susceptibles d’avoir subi une intervention chirurgicale, mais même ceux qui n’avaient pas de symptômes ont contribué à la différence entre les deux modes de rémunération.

« Les médecins rémunérés à l’acte sont encouragés à en faire plus parce qu’ils sont payés pour chaque procédure », explique le chercheur. « Et les médecins salariés sont encouragés à en faire moins. »

« Ce dont nous avons besoin est d’un système qui incite les médecins à être agressifs dans le traitement des patients en temps opportun, mais pas à utiliser des procédures pour augmenter la rémunération. »

Reportage « Médecins sous le radar » : multiples abus et fraudes favorisés par la rémunération à l’acte (Québec)

Psychomédia avec sources : New York Times, JAMA Surgery.
Tous droits réservés.

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Sympto Check : les conseils d’un médecin accessibles depuis son Smartphone

Le 20 juillet 2016.

Pour être prêt à réagir correctement en cas de pépin de santé cet été, pensez à télécharger l’application mobile Sympto Check, le premier service d’analyse de symptômes et d’orientation médicale accessible depuis votre Smartphone.

Un médecin dans votre Smartphone

En vacances, personne n’est à l’abri d’une coupure, d’une morsure de serpent, d’une brûlure, d’une insolation ou d’une indigestion… Pour savoir comment réagir dans ces cas-là, un des leaders de la e-santé en France, Santé Assistance, vient de lancer son application mobile, Sympto Check, disponible sur sur iOS et Android.

Grâce à cette application, vous pourrez savoir si ce qui vous est arrivé est grave, ce qu’il faut faire et dans quel délai. En moins de 3 minutes, après avoir renseigné votre âge, votre sexe et quelques informations sur votre état de santé (si vous êtes enceinte ou sous traitement médicamenteux), vous saurez si vous devez vous rendre chez le médecin ou pas.

Plus de 500 symptômes et 1 000 pathologies référencés

Plus de 500 symptômes et 1 000 pathologies, ont été référencés par Santé Assistance, avec l’aide de spécialistes, médecins généralistes et urgentistes. Vous avez donc de grandes chances de comprendre ce qui vous arrive et quoi faire dans de telles circonstances. En cas de doute, n’hésitez pas, rendez-vous chez un médecin ou dans la pharmacie la plus proche.

Créé il y a 15 ans, le service Santé Assurance est enrichi constamment et a été utilisé plus de 10 millions de fois pour identifier une pathologie. Lors des 12 derniers mois, plus d’1 million d’internautes se sont rendus sur le site. « Avec le portage de Sympto Check sur smartphone, nous avons voulu permettre son usage en toutes circonstances et le simplifier »,  estime Henri-Michel Tranchimand, co-fondateur de Santé Assistance. Un outil indispensable à télécharger au plus vite !

À lire aussi : Mini-guide santé des vacances

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Médecin généraliste : faut-il prévoir une augmentation des tarifs ?

Le 7 juillet 2016.

Jeudi 7 juillet, l’Assurance-maladie a transmis un projet de convention aux syndicats représentatifs des médecins. Parmi les propositions, on trouve notamment une augmentation à 25 € de la consultation pour les généralistes en 2018.

2 € de plus d’ici 2018

Depuis le mois de février, les cinq syndicats représentatifs de la profession (CSMF, FMF et SML pour les spécialistes et généralistes, MG France pour les généralistes et le Bloc pour les chirurgiens) négocient une nouvelle convention avec l’Assurance maladie pour les cinq prochaines années. C’est lors de ces négociations que sont notamment fixés les tarifs de consultations.

Cela fait des années que les médecins généralistes réclament une augmentation des tarifs. Cette fois-ci, ils semblent avoir été entendus, puisque l’Assurance maladie leur a proposé une revalorisation significative : 30 € pour les jeunes enfants, 46 € pour les « consultations complexes » et 60 € pour une consultation « très complexe ». Quant à la consultation classique, elle passera à 25 €, contre 23 € actuellement. L’augmentation se fera progressivement : 1 € en plus en 2017 et encore 1 € en 2018.

Les syndicats en veulent plus

Les propositions soumises par l’Assurance maladie aux syndicats de médecins libéraux sont évaluées à 750 millions d’euros. On aurait pu croire que cette revalorisation satisfasse les syndicats, mais cela n’a pas été vraiment le cas. « Mettre un euro sur la consultation maintenant et le 2ème en avril 2018, il fallait oser », a lancé Jean-Paul Hamon, le président de la FMF. « Nous proposer cela après quinze semaines de négos, on est loin du compte », a ajouté le président du SML, Eric Henry.

L’Assurance maladie a fait savoir par ailleurs qu’elle allait investir 10 millions d’euros dans la lutte contre les déserts médicaux, soit une aide de 50 000 € pour les médecins qui décideraient de s’installer dans ces zones en manque cruel de personnel médical. La fin des négociations est prévue pour le 26 août. De nouveaux changements sont donc encore envisageables.

À lire aussi : Le médecin « idéal »

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Un druide faute de médecin dans un village breton

Le 18 mars 2016

L’opération de la dernière chance, une annonce sur le Bon Coin, n’ayant rien donné (malgré 600 consultations), une petite commune des Côtes-d’Armor a décidé de confier un des postes vacants de médecin du village à… un druide !

Un cabinet au premier étage de la mairie

Lors d’une réunion organisée avec les élus, Gwenaël Trochet, druide guérisseur, a été adoubé par la municipalité, qui lui a confié un « cabinet » pour recevoir ses « patients ». Installé au premier étage de la mairie, il reçoit de 9h30 à 13 heures les habitants de la communauté de communes de La Roche-Derrien, Langoat, Pommerit-Jaudy, Troguery, Hengoat et Pouldouran.

 

Fausse provocation ou vraie intox ? 

En réalité, on ne sait pas vraiment si les élus des communes concernées n’ont pas surtout cherché à faire de la pub à leur « pays », pour essayer d’attirer coûte que coûte un médecin d’une grande ville. L’histoire ressemble en effet à s’y méprendre à celle du film « un village presque parfait », dans lequel Didier Bourdon, maire d’un petit village du Pays Basque, tente d’attirer Lorant Deutsch, médecin… de la ville ! Dans le film, les habitants de la ville tentent par tous les moyens de se rendre sympathiques aux yeux du médecin de passage, afin de le convaincre de rester.
 

Un vrai médecin sera-t-il séduit par ces villages qui sont prêts à confier leur santé à un guérisseur, en désespoir de cause ? Réponse dans quelques semaines, probablement.

 

À lire aussi : Le médecin « idéal »

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Infirmière « sexy » et médecin torse nu : une publicité qui fait réagir !

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Une campagne d’affichage d’un établissement de santé de la Loire montrant une infirmière en mini-jupe et un médecin torse nu qui posent de manière suggestive fait grand bruit. L’ordre des médecins, saisi par des professionnels de santé de la région, s’est insurgé contre cette campagne pour le moins atypique.

Saint-Priest-en-Jarez commune située dans la périphérie de Saint-Etienne fait parler d’elle par l’intermédiaire de son établissement de santé qui a décidé de lancer une campagne intitulée : « ailleurs, certains soignent les apparences. Ici, c’est vous que nous soignons ». Sur les affiches placardées dans la ville issues d’une « démarche décalée » comme l’avoue lui-même le directeur de la clinique Xavier Rebèche, on distingue la photo d’une infirmière en mini-jupe et un médecin torse nu aux apparences suggestives.

Des affiches sans aucun doute remarquées mais pas forcément appréciées par les professionnels de santé de la région qui ont décidé de saisir l’ordre des médecins de la Loire.

Le docteur Janowiak, secrétaire général de cet organisme, a dénoncé le fait que la médecine n’est pas du commerce. L’ordre des médecins devra trancher en définissant si oui ou non la campagne respecte le code de déontologie et si une plainte doit être déposée devant les instances disciplinaires.

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Soyez votre médecin esthétique grâce à Novexpert

Soyez votre médecin esthétique grâce à Novexpert Parce que chaque jour, la peau perd de son acide hyaluronique naturel, véritable matelas de la peau, cet acide hyaluronique est donc devenue la molécule star de la médecine esthétique.

Or, un jour, lors d’une injection, un dermatologue eut une intuition. Il préleva une petite quantité du contenu de sa seringue pour l’appliquer sur la peau, avant et après l’injection puis donna à sa patiente une capsule d’injection à appliquer sur la peau en traitement à la maison.

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Par sa concentration en acide hyaluronique de différentes tailles associé à un activateur d’acide hyaluronique naturel, cette formule hors norme représente en effet un apport massif d’acide hyaluronique externe et interne pour agir sur toutes les couches de la peau et compenser cette perte quotidienne en acide hyaluronique naturel.

A la clé, c’est une action hydratante, lissante et repulpante immédiates mais également une action anti-âge durable et ce avec un soin garanti 0% chimie de synthèse, 0% de conservateurs et 100% hypoallergénique.

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Dr Huez, médecin du travail reçoit un avertissement par le Conseil de l’Ordre

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Un médecin du travail vient de recevoir un avertissement du Conseil régional de l’Ordre des médecins parce qu’il avait émis un certificat diagnostiquant une pathologie anxio-dépressive d’un salarié liée à un « vécu de maltraitance professionnelle » à la centrale nucléaire de Chinon. Il n’aurait pas respecté le code de déontologie en rédigeant ce certificat sur les seules déclarations du salarié, raison pour laquelle il a été attaqué par un sous-traitant d’EDF, la société Orys.

Le Dr Huez aurait émis un certificat sans recul, sur de simples déclarations du salarié, et ce certificat a entraîné un arrêt de travail. C’est la raison pour laquelle il a été attaqué par la société Orys.

L’affaire ne s’arrête pas là et semble plus complexe qu’il n’y parait. Le certificat rédigé par le médecin a en effet été produit au cours d’un procès aux prud’hommes pour expliquer que l’employeur le mettait face à des situations professionnelles pour lesquelles il n’était pas formé. Cet employé a aussi dénoncé au prud’hommes le fait d’avoir été sanctionné en le nommant loin de chez lui. Pour le préjudice subit, il réclamait la somme de 50 000 euros à son employeur.

Au cours de l’audience devant le Conseil de l’Ordre le 18 décembre dernier, Me Sylvie Topaloff a défendu le droit du médecin du travail d’établir un lien entre les souffrances d’un salarié et ses conditions de travail. Le Dr Huez avait d’ailleurs expliqué qu’il craignait que ce patient se suicide.

Du côté de l’accusation, le Me Pascale Mazel, avocate de la société Orys, a plutôt insisté sur le fait que le médecin aurait outrepassé ses droits en se basant sur les simples déclarations du salarié.

Me Pascale Mazel, avocate de la société Orys, avait estimé que le médecin du travail avait outrepassé ses droits en se basant sur les simples déclarations du salarié.

Le Dr Huez a reçu, lors de l’audience du conseil disciplinaire du Conseil régional de l’ordre des médecins, le soutien d’une cinquantaine de médecins du travail mais aussi de militants syndicaux ou encore d’associations anti-nucléaire.

Lors de l’audience du conseil disciplinaire du Conseil régional de l’ordre des médecins, mi-décembre, le Dr Huez avait reçu le soutien d’une cinquantaine de médecins du travail et de militants syndicaux ou d’associations anti-nucléaire.

Condamné à verser 35 euros de frais de justice, le Dr Huez va faire appel de la sanction infligée par le conseil de l’ordre. Un certificat rédigé, qui sert au prud’homme, le fin fond de l’affaire ne serait-il pas plutôt celui-là ? Le médecin ne ferait-il pas simplement les frais d’un conflit entre un salarié et son entreprise alors qu’il y a 50 000 euros en jeu ? Si le certificat devenait caduque, l’employeur ne serait sans doute plus obligé de payer.Médecin

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