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Quels sont les meilleurs régimes pour perdre du poids ?

Quels sont les meilleurs régimes pour perdre du poids ?

Le 7 janvier 2019.

Quel meilleur régime pour perdre du poids et rester en bonne santé ? Des experts américains répondent à cette question dans un classement qui élimine d’office les régimes en vogue.

Le régime méditerranéen, le plus efficace et le plus sain

Chaque année à la même époque, bon nombre de Français décident d’entamer un régime pour éliminer leurs quelques kilos en trop, ou simplement pour adopter un mode d’alimentation plus respectueux de leur santé. Pour les aider dans leur démarche, le magazine américain US News & World Report vient d’actualiser son classement des meilleurs régimes alimentaires.

Sur le podium des régimes les plus efficaces, les auteurs de ce classement ont salué une nouvelle fois la qualité du régime méditerranéen. Un régime simple, constitué de légumes de saison, de davantage de poisson que de viande, le tout essentiellement cuisiné à l’huile d’olive. C’est le régime parfait pour perdre du poids sans risquer d’en reprendre aussitôt, tout en ménageant sa santé, puisque ce régime est réputé pour lutter contre certaines maladies comme Alzheimer, Parkinson ou même l’ostéoporose.

Des régimes à la mode, mais mauvais pour la santé

Le régime DASH obtient la médaille d’argent du classement. Particulièrement recommandé pour lutter contre l’hypertension, ce régime s’inspire du mode d’alimentation végétarien et restreignant les protéines animales, les graisses et le sucre. Pour compléter le trio de tête, le magazine américain salue également la qualité du régime flexitarien, un régime dans lequel l’apport en viande est également fortement réduit.

Dans la catégorie « flop » du classement, les auteurs s’attaquent à des régimes pourtant très en vogue puisqu’ils condamnent le régime cétocène, selon eux trop riche en matière grasse et qui créerait des déséquilibres nutritionnels importants. Le régime « Whole 30 » soulève également quelques réserves tant les preuves scientifiques de son efficacité n’ont pas été apportées.

Gaëlle Latour

À lire aussi : Régime méditerranéen ou régime crétois : tout savoir

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Les meilleurs aliments pour réduire les symptômes de l’arthrose, selon des chercheurs

Combiner certains aliments à la pratique modérée d’exercices physiques à faible impact peut être bénéfique pour diminuer les symptômes et la douleur de l’arthrose, selon une revue de la littérature scientifique.

Les auteurs de cette revue, Ali Mobasheri et Margaret Rayman de l’Université de Surrey (Royaume-Uni), présentent leurs conclusions sur le site The Conversation France.

« Pour soulager les symptômes de l’arthrose, perdre du poids et faire de l’exercice sont les deux premières choses à mettre en œuvre », écrivent-ils. « La perte de poids réduit en effet la charge sur les articulations et diminue le niveau d’inflammation dans le corps, ce qui réduit la douleur arthritique. L’exercice aide à perdre du poids tout en renforçant les muscles, ce qui protège les articulations et leur permet de mieux fonctionner. »

La consommation de certains aliments peut également aider à diminuer les symptômes et réduire les douleurs articulaires.

Il s’agit d’aliments réduisant l’inflammation, le cholestérol sanguin et le stress oxydatif.

Sur The Conversation France  : Les meilleurs aliments pour atténuer les symptômes de l’arthrose.

Pour plus d’informations sur alimentation contre l’arthrose, sur l’arthrose et les différentes formes d’arthrite (rhumatismes), voyez les liens plus bas.

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Trouble de l’attention et hyperactivité (TDAH) : les meilleurs médicaments selon une analyse des études

(TDAH), le plus efficace et le plus sûr pour le traitement à court terme est le méthylphénidate (Ritalin, Ritaline) pour les enfants et les amphétamines pour les adultes, selon une analyse des études comparant l’efficacité et l’innocuité de sept médicaments contre un placebo, publiée dans

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Andrea Cipriani de l’Université d’Oxford (Royaume-Uni) et ses collègues ont analysé 133 essais cliniques randomisés, 81 menés avec un total de 10 068 enfants et adolescents et 51 avec un total de 5 362 adultes.

Les études comparaient entre eux ou à un placebo, l’efficacité et les effets secondaires des sept médicaments disponibles pour le traitement du TDAH, pris pendant 12 semaines :

  • amphétamines (dont la lisdexamfétamine)
  • atomoxétine
  • bupropion
  • clonidine
  • guanfacine
  • méthylphénidate
  • modafinil

« Bien qu’ils soient couramment prescrits pour les personnes atteintes du TDAH, l’étude ne comprenait les médicaments antipsychotiques ou antidépresseurs, car ils ne traitent pas les symptômes fondamentaux du TDAH. »

« Les modifications environnementales – telles que les changements apportés pour minimiser l’impact du TDAH dans la vie quotidienne – et les thérapies non pharmacologiques devraient être considérées en premier dans le traitement du TDAH, mais pour les personnes qui ont besoin de traitements médicamenteux, notre étude conclut que le méthylphénidate devrait être le premier médicament offert aux enfants et aux adolescents, et les amphétamines devraient être le premier médicament offert aux adultes », indiquent les auteurs.

À court terme, les médicaments « peuvent constituer des options thérapeutiques efficaces et sûres pour les enfants, les adolescents et les adultes », conclut M. Cipriani.

Les données disponibles permettaient seulement de comparer l’efficacité à 12 semaines, « alors que nous savons que les enfants et les adultes peuvent prendre ces médicaments plus longtemps ». « Il est urgent de mener d’autres recherches pour confirmer les effets à long terme des médicaments contre le TDAH. »

Ces médicaments « ne sont pas une cure permanente pour le TDAH, mais peuvent aider les patients à mieux se concentrer, à être moins impulsifs, à se sentir plus calmes et à apprendre et pratiquer de nouvelles habiletés », précise le communiqué des chercheurs. « Des pauses thérapeutiques sont parfois recommandées pour évaluer si le médicament est toujours nécessaire, mais le traitement du TDAH peut être pris pour des périodes de plus de 12 semaines. »

Pour plus d’informations sur le TDAH et les médicaments du TDAH, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : The Lancet (press release), The Lancet (article).
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Chocolat noir ou au lait : qui a les meilleurs atouts santé ?

Quasiment tout le monde aime le chocolat… Mais qu’en est-il de ses vertus santé ? Qui offre les meilleurs bienfaits : chocolat noir ou chocolat au lait ? A votre avis !

Le meilleur chocolat est sans aucun doute celui qui a la moins grande quantité de matières grasses et de sucres… C’est alors le chocolat noir !

Il contient un peu moins de sucres que le chocolat au lait, mais il est riche en cuivre, en magnésium et en fer. Il contient aussi une haute teneur en flavonoïdes.

Le chocolat noir serait alors un véritable aliment anti-déprime, il stimulerait aussi le cerveau grâce à ses antioxydants et protégerait du vieillissement cérébral. Le chocolat noir aurait également une action préventive contre les maladies cardio-vasculaires et ferait baisser la tension !

Toutefois, le chocolat au lait, même s’il apporte moins de bienfaits que le chocolat noir, serait en revanche plus riche en calcium et en phosphore, tout comme le chocolat blanc d’ailleurs.

Alors pas de quartier, entre chocolat noir et chocolat au lait, si vous deviez n’en choisir qu’un, c’est le chocolat noir qu’il faudrait privilégier.

Quant aux français, connaissez-vous leur place en matière de consommation de chocolat dans le monde ? Découvrez-le ICI !


 

Crédit Photo : Nadir Gafarov – ShutterStock

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6 meilleurs extraits de plantes anti-vieillissement identifiés par des chercheurs

Une étude, publiée dans la revue Oncotarget, a identifié 6 extraits de plantes qui contiennent les groupes de molécules anti-vieillissement les plus efficaces jamais identifiés, disent les auteurs. Ces extraits sont déjà considérés comme non-toxiques par Santé Canada et présentent des avantages pour la santé déjà reconnus, est-il souligné.

L’équipe de Vladimir Titorenko de l’Université Concordia (Québec, Canada) et Éric Simard, président fondateur de la société de biotechnologie Idunn Technologies, ont réalisé plus de 10 000 essais pour dépister des extraits de plantes qui augmenteraient la durée de vie chronologique de la levure.

Pourquoi la levure ? Parce que, les cellules humaines et celles des levures vieillissant de façon similaire, il s’agit d’un modèle cellulaire idéal pour comprendre les mécanismes qui sous-tendent le processus anti-vieillissement.

« Plutôt que de porter sur le traitement d’une maladie distincte, les interventions sur les processus du vieillissement à l’échelle moléculaire peuvent simultanément retarder l’apparition et l’évolution de la plupart des maladies liées à l’âge », explique Éric Simard. « On estime que ce type d’intervention pourrait avoir un effet beaucoup plus vaste sur le vieillissement en santé et l’espérance de vie que celui qu’on exerce en ciblant spécifiquement chaque maladie ».

« Notre étude fournit également de nouvelles données sur les mécanismes par lesquels les composés chimiques extraits de certaines plantes peuvent ralentir le vieillissement biologique », ajoute le Pr Titorenko. Chaque extrait agissait différemment sur ces mécanismes.

« Un des groupes de molécules isolés est à la source de ce qu’on peut considérer comme l’intervention pharmacologique la plus puissante en matière de prolongation de la durée de vie décrite à ce jour dans la littérature scientifique : un extrait spécifique d’écorce de saule », rapporte le communiqué de l’université.

« L’écorce de saule était couramment utilisée à l’époque d’Hippocrate, où l’on en recommandait la mastication pour soulager la douleur et la fièvre. La recherche a révélé que l’extrait d’écorce de saule permet d’augmenter les durées de vie moyenne et maximale des levures dans une proportion de 475 % et de 369 %, respectivement. Cela représente un effet beaucoup plus important que la rapamycine et la metformine, les deux meilleurs médicaments connus pour leur action anti-âge ». La metformine est le médicament généralement recommandé comme traitement de première intention du diabète de type 2. La rapamycine est un immunodépresseur utilisé pour prévenir les rejets lors de greffes.

Les 6 extraits identifiés sont les suivants :

  1. Cimicifuga racemosa (actée à grappes) ;
  2. Valeriana officinalis L. (valériane officinale) ;
  3. Passiflora incarnata L. (passiflore, fleur de la passion) ;
  4. Ginkgo biloba ;
  5. Apium graveolens L. (céleri-rave, ache des marais) ;
  6. Salix alba (saule commun).

Ces nouvelles molécules seront bientôt intégrées dans des produits commerciaux, indique Éric Simard.

« Mais tout d’abord, des recherches supplémentaires doivent être réalisées. C’est pourquoi Idunn Technologies travaille en collaboration avec quatre autres universités dans le cadre de six programmes de recherche, pour faire porter les études au-delà des levures – sur un modèle de vieillissement chez l’animal ainsi que deux modèles expérimentaux de cancer. »

Illustration : Saule commun

Psychomédia avec sources : Université Concordia, Oncotarget.
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Les meilleurs aliments pour réduire l’inflammation et prévenir le cancer

Tiré du livre de recettes Mieux s’alimenter pendant et après un cancer

 

Puisque l’inflammation chronique sur le plan cellulaire peut mener à l’apparition, à la croissance et à l’invasion des cellules cancéreuses, il semble raisonnable de consommer une variété d’aliments aux propriétés anti-inflammatoires. Parmi les meilleurs d’entre eux, on trouve les herbes et les épices, plus particulièrement le curcuma et l’ail, le gingembre et le safran. Utiliser ces herbes et épices vous apportera deux bienfaits : vous ajouterez des éléments anti-inflammatoires à votre alimentation et vous utiliserez moins de sel pour donner du goût à vos aliments.

 

Le curcuma

Le curcuma vient au premier rang sur la liste des aliments aux propriétés anti-inflammatoires. Les études ont démontré qu’en plus d’avoir ces propriétés, le curcuma – ou plus précisément son ingrédient actif, la curcumine – prévient la prolifération des cellules cancéreuses, agit comme antioxydant, empêche la formation de nouvelles cellules par le cancer et améliore la réponse immunitaire de l’organisme.

 

L’ail

L’ail fait partie de la famille de l’allium, qui inclut également les oignons, les poireaux, la ciboulette et les échalotes. Même si on ne s’entend pas sur les composants de l’ail qui sont responsables de son potentiel anticancéreux, vous n’avez pas besoin d’attendre pour profiter de ses bienfaits sur la santé. Cela dit, vous devriez patienter un peu au moment de le préparer : les chercheurs ont démontré qu’après avoir haché l’ail, vous devriez le laisser reposer environ dix minutes avant de le consommer ou de le faire chauffer. Cette période de repos maximise son potentiel anticancéreux

 

Le gingembre

Le gingembre est classé troisième parmi les épices de la liste des aliments aux propriétés anti-inflammatoires. Le rhizome, ou la racine, se mange frais ou séché. Pour l’utiliser frais, pelez la peau fibreuse avec un économe ou le bord d’une cuillère. Vous pouvez le couper en petits morceaux pour l’utiliser dans des sautés ou en gros morceaux ou en tranches pour faire du thé au gingembre. Le gingembre moulu que vous achetez au rayon des épices de votre épicerie est généralement utilisé pour la cuisson. Les herbes et les épices séchées conservent les bienfaits des épices fraîches. Vous n’avez donc pas à vous borner à n’utiliser que les épices fraîches.

 

Le safran

Le safran est une autre épice qui a un bon potentiel anti-inflammatoire. Le safran provient d’une variété de crocus. Le stigmate est la partie jaune vif, longue et plumeuse à l’intérieur de la fleur de crocus. Il y a quatre mille ans, le stigmate des fleurs de crocus de couleur pourpre était déjà examiné pour ses propriétés médicinales. Depuis ce temps, il est utilisé comme médicament, comme teinture, comme parfum, comme savon pour le corps et comme ingrédient en cuisine. Il existe de plus en plus de données scientifiques selon lesquelles le safran interfère avec la vie des cellules cancéreuses. On a démontré en laboratoire que le safran, en plus de ses propriétés anti-inflammatoires, pouvait tuer les cellules malignes.

 

En plus de conseils, vous trouverez dans ce livre plus de 150 recettes délicieuses, accompagnées de variantes ou d’idées d’adaptations selon les symptômes éprouvés, des grilles de menus quotidiens pour parer aux problèmes nutritionnels les plus courants pendant et après le traitement contre le cancer et un index pour repérer la recette appropriée et voir à quels effets secondaires elle est associée. 

Aussi disponible en format numérique.

 

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Les transports en commun meilleurs pour garder la ligne que la voiture

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Selon une étude de la London School of Hygiene & Tropical Medicine et de l’University College, les personnes qui utilisent les différents moyens de transport en commun auraient un indice de masse corporelle et un taux de graisse plus bas que les automobilistes.

Pour parvenir à ces résultats, les chercheurs ont analysé les données (Indice de masse corporelle et taux de graisse) de 7534 personnes qui avaient préalablement participé à l’étude « Understanding Society, the United Kingdom Household Longitudinal » constituant un panel représentatif de la population britannique.

Premier constat : sur les 7.534 sujets étudiés, 76 % des hommes et 72 % des femmes se rendaient au travail en véhicule motorisé personnel, alors que 14 % des hommes et 17 % des femmes marchaient ou allaient travailler en vélo. Dix % des participants ont quant à eux indiqué utiliser les transports en commun quotidiennement.

Le bénéfice de l’utilisation d’autres modes de transport que la voiture apparaît clairement dans les résultats puisque les hommes qui utilisaient ces autres moyens avaient un IMC moyen 1 % plus bas que les conducteurs (différence d’environ 3 kg), tandis que les femmes avaient un IMC de 0,7 % plus bas (2,5 kg de moins par personne). Les mêmes résultats ont été observés au niveau de la masse graisseuse.

Certains facteurs comme les différences socio-économiques, d’âge, d’alimentation et le degré d’activité physique sur le lieu de travail ont été pris en compte dans l’étude.

Si on peut admettre les limites de cette étude qui ne s’est pas concentrée uniquement sur les usagers des transports en commun, qui ne représentaient qu’un petit pourcentage du panel, les bienfaits des autres moyens de transport que la voiture apparaissent ici toutefois clairement.

Les transports en commun pour garder la ligne ?

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Les chiens sont vraiment les meilleurs pour détecter les cancers de la prostate

Une étude de l’Istituto Clinico Humanitas de Milan, dévoilée le 18 mai lors des rencontres annuelles de l’Association Américaine d’Urologie et rapportée par Bloomberg, montre que les chiens sont vraiment plus efficaces que les scientifiques pour détecter les cancers de la prostate. Les chercheurs italiens ont démontré que les chiens ont pu répérer, grâce à leur odorat, ce type de cancer dans 98% des cas contre 80% pour le test classique de PSA (Prostate Specific Antigen) utilisé par les cancérologues. 

Le caractère inédit de cette étude est que l’échantillon de personnes analysées est le plus important pour une étude sur l’efficacité de nos amis canins dans le dépistage du cancer. Le groupe «reniflé» était composé de 667 personnes. En France, le docteur Olivier Cussenot, avait dès 2008, envisagé le dépistage de ce type de cancer par les chiens comme une innovation possible. A l’époque, les résultats n’avaient pas montré une réelle différence avec le test du PSA et l’expérience ne portait que sur une quarantaine de personnes. Mais en 2011, de multiples rapports avaient prouvé que l’odorat des chiens était supérieur aux scientifiques sur les tests de dépistage du cancer de la vessie, des poumons ou encore des intestins. 

Pour la dernière expérience, les chercheurs italiens ont soumis les 677 échantillons d’urines du groupe aux truffes de deux chiens, une partie de ce groupe étant diagnostiqué comme sain et l’autre présentant des risques de tumeur cancéreuses ou étant atteint d’un cancer métastasé. Les chiens ont visé juste dans la majorité des cas. Grâce à leur système olfactif, quatre fois plus développé que le nôtre, ils sont parvenus à détecter des composés organiques volatils émis par les tumeurs. 

Cette étude pose une nouvelle fois la question d’une utilisation du chien renifleur au sein des hôpitaux. Une alternative que certains, comme les chercheurs de Milan, jugent idéale.

«Cette méthode est reproductible, peu coûteuse et n’est pas invasive pour les patients et les chiens», déclare Gian Luigi Taverna, auteur de l’étude, à Bloomberg. Beaucoup vont dans le même sens comme la fondation InSitu qui milite pour leur présence dans les hôpitaux. A grand renfort de vidéo, ils démontrent leur efficacité.

Les résultats probants de l’étude italienne donne un nouveau coup d’accélérateur à cette pratique. Même si on peine toujours à savoir exactement ce qui les alertent. Les Américains et les Scandinaves, eux, travaillent toujours sur un nez électronique capable de remplacer nos amis poilus par des robots.

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Meilleurs vœux pour 2014 : le plus beau reste encore à venir !

« Meilleurs vœux pour 2014 : le plus beau reste encore à venir ! » par le Docteur Erard de Hemricourt.

Pour une fois, nous n’allons pas parler de crise économique, de difficultés financières ou d’autres tracas de la vie quotidienne. Non, nous allons nous projeter dans un futur proche.

– Imaginez un monde où nous vivrons jusqu’à 90-100 ans sans souffrance médicale.
– Imaginez un monde où nous pourrons remplacer chaque organe de notre corps usé par un autre organe, artificiellement créé.
– Imaginez un monde où les paralysés remarcheront et les aveugles reverront
– Imaginez que, demain on puisse, avec une simple goutte de salive ou de sang, prédire votre risque de développer une maladie d’Alzheimer ou un cancer particulier.
– Imaginez un monde où le cancer du sein ne serait plus mortel.
– Imaginez un monde où la technologie serait assez avancée pour faire reculer la vieillesse.

Maintenant, ouvrez les yeux !

© Futuretimeline.net

© Futuretimeline.net

D’après certains experts, on pourrait atteindre un taux de guérison complet (c’est-à-dire 100 % !) face au cancer du sein d’ici 5 à 10 ans, ceci grâce aux progrès des traitements dits personnalisés.

De même, des chercheurs américains et australiens sont parvenus récemment à modifier certaines protéines de souris âgées et faire en sorte de renverser le processus de vieillissement. Ici, il n’est plus question de ralentir le processus de vieillissement mais de redonner des années de jeunesse aux personnes âgées. Première étape déjà franchie pour les souris.

Des chercheurs anglais de l’Université de Cambridge sont parvenus pour la première fois à imprimer en 3D des cellules de la rétine chez le rat. Poussons l’étape un peu plus loin et donnons-nous rendez-vous dans 10-20 ans où l’impression de rétine en 3D pourrait fournir un traitement facilement applicable pour les patients souffrant de dégénérescence rétinienne.

Il existe encore plein d’exemples de prouesses à venir : vous en voulez une vraiment folle ?

D’accord. Alors pour commencer, vous essayer de trouver 1 milliard d’euros (projet ‘Human Brain Project’ soutenu par l’Union Européenne sur 10 ans / 2013-2023), ajoutez-y quelques centaines de millions de dollars (dons de M. Allen pour l’étude du fonctionnement cérébral – Allen Institute for Brain Science), extrapolez dans 5 à 10 ans la puissance de calcul des ordinateurs actuels (opérations à virgule flottante par seconde) et hop, projetez-vous dans à peine 10 ans.

©Wired

©Wired

Vers 2025, nous aurons les moyens scientifiques et technologiques pour comprendre le fonctionnement du cerveau humain dans sa totalité. Non seulement le comprendre mais aussi simuler et recréer le fonctionnement du cerveau. Et si on rajoute encore quelques petites années, les experts anglophones prédisent qu’il sera possible vers 2030 (donc à peine d’ici une quinzaine d’années) de faire ce qu’on appelle le ‘reversed-engeneering’ ou la rétro-ingénieurie du cerveau. Recréer un vrai cerveau !

©Wired

©Wired

Si vous n’êtes pas convaincu, alors attendez de voir le film qui sortira dans quelques mois : « Transcendence »

Il ne vous reste plus qu’à rester en forme jusque-là, pour en profiter pleinement. Alors comme on dit, 5 fruits et 5 légumes par jour !

Meilleurs vœux de toute l’équipe de News Santé !

Docteur Erard de Hemricourt pour News Santé – Tous droits réservés-
« Ne restez plus jamais seul face à votre cancer » avec Esperity, premier site multilingue destiné aux patients touchés par le cancer


News Santé

Les repas en famille sont meilleurs pour la santé des enfants

Par manque de temps, les familles peinent souvent à organiser les repas familiaux. Mais, manger en famille autour de la table est meilleur pour la santé des enfants et réduit légèrement le risque d’obésité, selon une étude américaine présentée au congrès annuel de l’American Society for Nutrition. Plus de 40% du budget alimentaire typique des Américains est dépensé à manger à l’extérieur, soulignent les chercheurs, ce qui est préoccupant car les repas à l’extérieur tendent à être beaucoup plus gras, salés et élevés en calories que ceux cuisinés à la maison.

Jennifer Martin-Biggers et ses collègues de l’Université Rutgers ont analysé 68 études mesurant la fréquence et l’atmosphère des repas en famille en lien avec la qualité de l’alimentation et le risque de prise de poids.

Plusieurs bénéfices étaient liés aux repas en famille, incluant une plus grande consommation de fruits, légumes, fibres, aliments riches en calcium et en vitamines. Un modeste lien entre la prise de repas en famille et l’obésité était constaté.

Des bénéfices sociaux étaient également constatés. Les adolescents mangeant à la table familiale rapportant moins de signes de dépression et sentant que leur famille était d’un meilleur support que ceux mangeant moins souvent à la maison.

Pour surmonter la difficulté d’organiser les repas du soir, les parents qui travaillent pourraient viser à développer une meilleure planification, soulignaient des chercheurs québécois en septembre dernier. Leur étude montrait que près de la moitié (44%) des parents ne savent pas, à 17 h, ce qu’ils mangeront pour le souper et ce, 3 fois et plus par semaine.