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Levothyrox : des nanoparticules de métal dans la nouvelle formule ?

Levothyrox : des nanoparticules de métal dans la nouvelle formule ?

Le 3 mai 2018.

Selon l’Association française des malades de la thyroïde (AFMT), la nouvelle formule du Levothyrox n’est pas uniquement coupable d’entraîner des effets secondaires indésirables, elle contiendrait également des nanoparticules de métal.

Des nanoparticules de métal

Un nouvel épisode est en train de s’écrire dans cette sombre affaire de Levothyrox. Le laboratoire Merck, qui fabrique ce médicament destiné aux malades de la thyroïde, a changé la formule, en 2017, sans avertir les patients qui, pour certains, on ressenti des effets secondaires indésirables. Fatigue excessive, maux de tête, vertiges, chutes de cheveux… Au total, 1.200 patients ont porté plainte contre le laboratoire.

Mais voilà qui risque d’envenimer encore un peu plus les choses : lors d’une conférence de presse, le Dr Jacques Guillet a fait savoir qu’il avait analysé la composition du nouveau médicament, au profit de l’Association française des malades de la thyroïde, et qu’il y avait trouvé des nanoparticules de métal. « On met en évidence des nanoparticules avec des alliages fer-chrome, chrome-nickel, fer-chrome-silicium, ferrochrome-aluminium », a-t-il noté.

Des nanoparticules responsables des effets secondaires ?

Selon lui, dans l’ancienne formule, « il y avait seulement quelques débris d’acier ». Dans la foulée, l’AFMT a demandé à la juge en charge de l’affaire d’examiner le rôle éventuel de ces nanoparticules dans les effets secondaires ressentis par les patients. Cette juge d’instruction enquête actuellement sur des faits de tromperie aggravée, de blessures involontaires et de mise en danger d’autrui.

« Il ne s’agit pas d’affoler les gens », a tempéré le Dr Jacques Guillet. « Des nanoparticules, on en inhale bien plus en marchant dans les rues de Paris ». De son côté, le laboratoire Merck a tenu à répondre à ces accusations : « Qu’il s’agisse de l’ancienne comme la nouvelle formule, nous rappelons que l’analyse de l’ensemble des métaux lourds a été réalisée conformément à la réglementation en vigueur, et nous réaffirmons que tous ces contrôles se sont révélés conformes aux spécifications ». À suivre…

Marine Rondot

À lire aussi : Des nanoparticules dans l’Efferalgan et le Spasfon

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Heavy Metal: Le headbanging dangereux pour la santé

SANTE – Des médecins allemands rapportent le cas d’un homme de 50 ans qui a développé un hématome dans le cerveau après avoir participé à un concert de Motörhead…

Le headbanging, un type de danse impliquant de violents mouvements de la tête synchronisés avec de la musique hard rock ou heavy metal, peut parfois s’avérer dangereux pour la santé, selon une étude de cas publiée vendredi dans la revue médicale britannique The Lancet.

Bien que le headbanging soit généralement considéré comme inoffensif, des médecins allemands rapportent le cas d’un homme de 50 ans qui a développé un hématome dans le cerveau en janvier 2013 quatre semaines après avoir participé à un concert de Motörhead, un groupe de heavy metal britannique. Le patient se plaignait de violentes migraines qui s’étaient aggravées au fil des jours.

Trois cas similaires attribués au headbanging

Les médecins ont découvert un hématome sous-dural (un épanchement de sang entre les tissus des méninges qui entourent le cerveau) qu’ils ont évacué en perçant un «trou» dans le crâne (ou trépanation). Les hématomes sous-duraux font souvent suite à des traumatismes crâniens. Lorsque ce dernier est peu important, l’hématome peut apparaître plusieurs semaines après le choc. Les hématomes sont à l’origine d’une compression progressive du cerveau.

La littérature scientifique fait état de trois cas similaires attribués au headbanging ces dernières années. L’un des patients est même décédé suite à un hématome sous-dural aigu. «Mais l’incidence pourrait être plus élevée car les symptômes de ce type de blessures sont souvent silencieux sur le plan clinique ou n’entraînent que des maux de tête modérés qui disparaissent spontanément» relève le Dr Ariyan Piradesh Islamian de l’Ecole médicale de Hanovre.

Le headbanging a également été associé par la littérature à d’autres types de blessures comme des traumatismes de la région cervicale (ou «coup du lapin»), des (…) Lire la suite sur 20minutes.fr

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Métal dans des nems : un enfant hospitalisé à Tours

Métal dans des nems : un enfant hospitalisé à Tours

Un enfant de douze ans a ingéré un morceau de métal contenu dans des nems achetés par sa mère dans une grande surface d’Indre-et-Loire. Il a été transporté à l’hôpital Clocheville de Tours, où il s’est fait retirer l’objet métallique après intubation.

Le 2 avril dernier, Magali Delile avait acheté des nems dans un hypermarché Leclerc de La Ville-aux-Dames (Indre-et-Loire). Après en avoir mangé, son fils de douze ans a été conduit à l’hôpital Clocheville de Tours pour avoir absorbé un morceau de fer de deux centimètres de long.

Magali Delile explique que son fils s’est mis à pleurer dès qu’il a consommé ces nems. A l’hôpital Clocheville de Tours, les praticiens lui ont retiré l’objet métallique après intubation. Le jeune homme a retrouvé le sourire.

La radiographie semble indiquer que ce bout de fer est arrivé dans l’œsophage de l’enfant après ingestion des nems. Magali Delile a porté plainte et a alerté la Direction départementale de la protection de la population.

«C’est le premier incident de ce type porté à notre connaissance», a indiqué le groupe Leclerc qui entend assumer ses responsabilités. Leclerc ne comprend pas comment ce bout de fer a pu échapper à la vigilance de son fournisseur qui dispose pourtant d’un « détecteur de métaux en parfait état.

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