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Implants médicaux : très peu contrôlés, ils causent des milliers de décès et des millions de blessés

Les autorités sanitaires à travers le monde protègent peu les patients contre des implants mal testés qui peuvent rendre malade, blesser et parfois même tuer, selon une enquête mondiale du

portant sur les dispositifs médicaux tels que les pompes à insuline, les prothèses de hanches, les implants mammaires, les défibrillateurs, les stimulateurs cardiaques…

L’ICIJ, qui a déjà produit les enquêtes Panama et Paradise Papers sur les paradis fiscaux, s’est associé à plus de 250 journalistes et 58 médias dans 36 pays pour examiner comment les dispositifs sont testés, approuvés, commercialisés et contrôlés.

L’enquête montre que même les implants complexes à risque élevé sont soumis à des normes de sécurité inférieures à celles des médicaments.

Les dispositifs défectueux restent sur le marché mondial sans être rappelés alors que les blessures s’accumulent, rapporte le consortium. Les fabricants retirent les implants dans certains pays tout en continuant à les vendre dans d’autres.

Aux Etats-Unis seulement, ces dispositifs ont causé, au cours des dix dernières années, 82 000 morts, 1,7 million de blessés et 3,6 millions de défaillances.

Au Canada, au cours de la même période, 1 400 morts et plus de 14 000 blessés ont été rapportés, indique Radio-Canada.

Pour mettre de nouveaux produits sur le marché plus rapidement, rapporte l’ICIJ, de nombreuses entreprises de dispositifs médicaux font d’abord approuver leurs produits en Europe où la réglementation est l’une des plus légères du monde développé.

« Le chirurgien et chercheur torontois David Urbach, rapporte Radio-Canada, explique que peu de patients et même de médecins sont conscients des limites du système d’approbation et de surveillance des dispositifs médicaux. Essentiellement, ils sont “tous un peu expérimentaux”, même une fois approuvés par Santé Canada, indique-t-il.

Contrairement aux essais cliniques des médicaments, il est beaucoup plus difficile de tester ces dispositifs qui doivent être implantés lors de chirurgies. Les essais cliniques sont à petite échelle, plus courts et se limitent souvent à des cobayes animaux ou des cadavres, précise le Dr Urbach. »

Parmi les cas de dispositifs ayant causé des préjudices à de nombreux patients avant d’être rappelés, l’ICIJ rapporte notamment les cas de pacemakers et d’implants mammaires.

Radio-Canada, qui fait partie des médias partenaires du Consortium, rapporte le cas du filet chirurgical Gynecare TVT contre l’incontinence urinaire conçu par Ethicon, une division de Johnson & Johnson.

En 2008, l’agence de contrôle sanitaire américaine, la FDA, a lancé un avertissement aux chirurgiens américains et évoqué de « rares complications » liées à ces treillis chirurgicaux. Au cours des trois années suivantes, l’agence avait reçu pas moins de 2800 signalements. En 2011, elle révise sa position : parlant cette fois de « complications sérieuses » qui ne sont « pas rares ».

Santé Canada n’émettra pas d’avertissement aux chirurgiens avant 2010, deux ans après la première alerte de la FDA.

En 2012, Ethicon, annonce qu’il cesse la vente du produit ainsi que de trois autres treillis synthétiques pour des raisons commerciales. Dans un communiqué, la compagnie insiste sur le fait que sa décision n’est « pas liée à l’efficacité ou à la sécurité » des produits.

Lorsqu’il a été approuvé par Santé Canada en 2006, le treilli Gynecare TVT avait seulement été testé sur des animaux et des cadavres.

Radio-Canada rapporte également le cas d’une Canadienne qui a découvert par elle-même, en 2009, que la hanche artificielle Durom Cup, fabriquée par Zimmer, qu’elle portait était interdite aux États-Unis. Elle n’en avait jamais été avisée, ni par son médecin canadien ni par l’hôpital où elle a subi son intervention chirurgicale. En 2016, une entente à l’amiable avec des centaines de plaignants dans trois recours collectifs canadiens a été conclue.

Dans ces deux cas illustratifs, les patientes subissaient des effets néfastes douloureux et invalidants et devaient composer avec l’incrédulité de leur médecin.

Seulement une fraction des complications semblent être rapportées aux agences de santé, estime Madris Tomes, qui a travaillé comme analyste de données pour la FDA. Environ 14 % des incidents sont rapportés à l’agence américaine, et ce, même si leur déclaration est obligatoire pour les hôpitaux et établissements de santé, estime-t-elle. Au Canada, seuls les fabricants sont tenus de rapporter les complications.

Psychomédia avec sources : ICIJ, Radio-Canada.
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La pollution tue des milliers d'enfants chaque année

La pollution tue des milliers d'enfants chaque année

Le 30 octobre 2018.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de publier un rapport inquiétant sur les effets de la pollution sur les enfants. Ce fléau entraîne la mort de milliers d’enfants chaque année dans le monde. 

Le dernier rapport de l’OMS inquiétant pour la santé des enfants

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) vient de publier, le 29 octobre, un rapport à la suite de la première conférence mondiale qui se tenait à Genève sur le thème « Pollution de l’air et santé ». Et cette fois-ci, les organisateurs ont mis l’accent sur les effets de la pollution sur les enfants

On savait déjà que la pollution entraînait chaque année des milliers de morts dans tous les pays et spécialement les plus pollués. On sait désormais que ce fléau des sociétés industrialisées cause la mort de 600.000 enfants chaque année.

Naissances prématurées et infections respiratoires

Le lien entre la pollution et la mort de ces nombreux enfants est très facile à établir. Les enfants, plus proches du sol, subissent davantage les effets des gaz d’échappement des véhicules. Ce n’est pas tout : puisqu’ils respirent à un rythme plus rapide qu’un adulte, ils assimilent beaucoup plus de particules fines nocives pour la santé respiratoire

Le rapport met aussi l’accent sur les effets de la pollution sur les femmes enceintes qui donnent naissance à des bébés plus souvent prématurés, au poids plus faible. En 2016, pas moins de 543.000 enfants de moins de 5 ans et 52.000 enfants âgés de 5 à 15 ans sont morts en raison d’infections aiguës des voies respiratoires.

Maylis Choné

A lire aussi : Pollution, nos astuces pour vous protéger

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En Suède, une crise du système de santé accentuée par des dizaines de milliers de démissions d’infirmières

« La dégradation du réseau de soins primaires et de l’hôpital, avant tout dû à une pénurie criante d’infirmières, est la principale préoccupation des Suédois à l’approche des législatives du 9 septembre », rapporte l’AFP.

« Lassées de faire des heures supplémentaires pour des salaires médiocres, des dizaines de milliers d’infirmières ont rendu leur blouse depuis le début de l’année, selon Sineva Ribeiro, cheffe de l’Association suédoise des professionnels de santé. »

« Pas moins de 80 % des structures de santé en Suède manquent d’infirmières, selon l’Institut suédois des statistiques. »

« Pour certains, l’arrivée de 400 000 demandeurs d’asile depuis 2012 aggrave les problèmes de l’hôpital liés à la pénurie d’infirmières et de spécialistes », mentionne l’AFP.

« A Solleftea, la ville d’origine du Premier ministre, l’unique maternité a fermé ses portes en 2017. La maternité la plus proche est désormais à 200 kilomètres et les sages-femmes ont dû lancer des formations à l’intention des futures mères pour leur apprendre à accoucher… dans la voiture, ce que certaines d’entre elles ont dû faire depuis », est-il notamment rapporté.

Sur le site de Yohoo Actualités : En Suède, l’hôpital au bord de la crise de « nurses »

Une étude publiée en 2016 dans le Lancet situait pourtant la Suède en 3e position pour la performance de son système de santé. En 2017, le pays était en 4e position.

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Un anti-cancéreux périmé vendu à des milliers de patients

Un anti-cancéreux périmé vendu à des milliers de patients

15 janvier 2018

Près de 100.000 doses de ce médicament utilisé notamment dans les cancers de l’ovaire, de la vessie et du sein mais aussi chez les enfants ont été vendus dans l’Hexagone avec une fausse date de péremption.

Pendant quatre ans, 100.000 flacons d’un anti-cancéreux ont été délivrés

Entre 2007 et 2011, plus de 100.000 flacons périmés de Thiotépa, un médicament utilisé pour traiter des cancers, auraient été administrés à des patients suisses et français, a révèlé le dimanche 14 janvier 2018, le journal suisse Le Matin.

Le médicament périmé est distribué par le laboratoire Alkopharmane pour lutter contre les cancers de l’ovaire, de la vessie et du sein. Et selon le journal helvète, il ne contenait « plus la dose de principe actif exigée ».

Le laboratoire a falsifié les dates de péremption

Si l’affaire date de 2011, le quotidien suisse rapporte que Swissmedic, a déposé un recours contre la condamnation d’Alkopharma pour falsification des dates de péremption, notamment parce que le juge n’a pas retenu la mise en danger de la santé des patients. En effet, le laboratoire avait créé de fausses étiquettes et aurait falsifié la date de péremption de ce médicament qui avait théoriquement une durée de vie de 18 mois.

Au total, selon l’enquête de Swissmedic, l’organisme en charge de surveiller le marché des produits thérapeutiques en Suisse, Alkopharma a modifié les dates de péremption de 98.820 flacons vendus en France pour un prix dépassant 3 millions d’euros et 2.119 dans des hôpitaux en Suisse pour 207.573 francs suisses (175.939 euros). « Certains flacons ont été vendus 7 ans plus tard », a même précisé  la Radio Télévision Suisse. 

Marie-Eve Wilson-Jamin

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Risque de piratage sur des milliers de pacemakers américains

Risque de piratage sur des milliers de pacemakers américains

Le 4 septembre 2017.

Les pacemakers du fabriquant américain Abbott souffriraient d’un défaut de sécurité et seraient potentiellement piratables. Un défaut de mise à jour qui devrait être rapidement résolu.

Les pacemakers fabriqués par St. Jude Medical

Une équipe de chercheurs de l’université de Louvain, en Belgique, a fait une étonnante découverte. Ils ont en effet révélé que les pacemakers fabriqués par St. Jude Medical, une entreprise acquise par Abbott, pouvaient être piratés. Des personnes malintentionnées pourraient en effet contrôler le rythme ou vider la batterie de ces appareils qui sont destinés aux personnes atteintes de bradycardie, c’est-à-dire qui ont un rythme cardiaque trop lent.

Cette découverte a poussé la Food and Drug Administration (FDA), la plus haute autorité sanitaire américaine, à demander aux professionnels de santé concernés et aux porteurs de ces pacemakers de mettre à jour leurs appareils. Au total, près de 460 000 pacemakers pourraient être concernés par ce défaut de sécurité. « Cette mise à jour sera lancée en France après validation locale », a assuré la société Abbott à nos confrères de L’OBS.

Risque d’épuisement rapide de la batterie

Selon la FDA, si ces failles de sécurité étaient exploitées, elles pourraient « permettre à un utilisateur non autorisé – c’est-à-dire autre que le médecin – d’accéder au dispositif en utilisant des équipements disponibles dans le commerce ». Et d’ajouter que « cet accès pourrait être utilisé pour modifier les commandes de programmation sur le stimulateur cardiaque implanté, ce qui pourrait entraîner des dommages pour le patient ».

Le risque est en effet suffisamment important pour être signalé. Les patients porteurs des appareils suivants doivent donc entrer en contact avec leur médecin : Accent SR RF™, Accent MRI™, Assurity™, Assurity MRI™, Accent DR RF™, Anthem RF™, Allure RF™, Allure Quadra RF™, et Quadra Allure MP RF™. Il n’est pas nécessaire de changer de pacemaker pour autant, une simple mise à jour suffit.

Marine Rondot

En savoir plus sur les troubles cardiaques

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Un projet d’interface cerveau-ordinateur basé sur des milliers de capteurs et de stimulateurs

de Genève a débuté une collaboration avec l’université Brown (Etats-Unis) dans le cadre d’un programme de l’agence américaine

 », rapporte un communiqué du Centre.

« Un réseau implantable composé de milliers de neuro-capteurs et stimulateurs miniatures sera développé afin d’acquérir une meilleure compréhension du cerveau et de proposer des traitements de restauration sensorielle. »

« L’équipe internationale tente de créer un “intranet cortical” comptant des dizaines de milliers de micro-dispositifs sans fil, qui ont tous à peu près la taille d’un grain de sel, pouvant être implantés en toute sécurité sur ou dans le cortex cérébral, la couche externe du cerveau. »

« Les implants, appelés “neurograins”, fonctionneront de façon indépendante et interagiront avec le cerveau au niveau d’un seul neurone. L’activité des dispositifs sera coordonnée au moyen d’une technologie sans fil, via un système de communication central se présentant sous la forme d’un mince patch électronique apposé sur la peau ou implanté sous la peau.

Le système sera conçu de telle sorte qu’il disposera à la fois de capacités de “lecture” et d’“écriture”. Il sera capable d’enregistrer l’activité neuronale, aidant ainsi les scientifiques à mieux comprendre la manière dont le cerveau traite les stimuli du monde extérieur. Il pourra également stimuler l’activité neuronale via de minuscules impulsions électriques, une fonction que les chercheurs espèrent pouvoir un jour utiliser dans la recherche clinique humaine visant à restaurer la perte de fonction cérébrale suite à une blessure ou une maladie. »

« Ces grains intelligents connectés (…) pourraient servir de base pour de futurs traitements des déficits sensoriels. Ils pourraient également permettre une surveillance simultanée en temps réel de paramètres physiologiques, tels que la pression et la température, dans différentes zones de l’organisme », a expliqué le Pr John Donoghue, directeur du Wyss Center.

« Le rôle du Wyss Center dans ce projet est de développer de nouveaux matériaux d’encapsulation implantables et résistants à la corrosion qui seront bien acceptés par l’organisme et, à plus long terme, d’apporter un soutien pour les procédures réglementaires et les premières études cliniques réalisées chez l’être humain avec le nouveau système. »

«  D’une longueur inférieure à 1 mm, les neurograins proposés nécessitent une miniaturisation supérieure à celle retrouvée dans n’importe quel dispositif existant aujourd’hui », a expliqué Claude Clément, Chief Technology Officer au Wyss Center.

« L’équipe de recherche inclura également des chercheurs de l’université Brown, de l’Institut de micro-électronique et composants (IMEC, Belgique), de l’hôpital général du Massachusetts, de l’université de Stanford, de l’université de Californie à Berkeley, de l’Université de Californie à San Diego et de l’entreprise de télécommunications mobiles Qualcomm. Le financement, qui sera échelonné sur une période de 4 ans, provient du nouveau programme de la DARPA intitulé Neural Engineering System Design (NESD). »

Elon Musk (Tesla, Space X) lance Neuralink pour développer des implants cérébraux connectés

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Illustration: source: DARPA.

Psychomédia avec sources : Wyss Center, DARPA.
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Il est urgent de développer de nouveaux antibiotiques (déjà des centaines de milliers de morts) : OMS

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié, le 27 février, « une liste “d’agents pathogènes prioritaires” résistants aux antibiotiques, énumérant les 12 familles de bactéries les plus menaçantes pour la santé humaine ».

« Cette liste est un nouvel outil pour veiller à ce que la recherche-développement réponde aux besoins urgents de la santé publique », explique la Dre Marie-Paule Kieny de l’OMS.

« Si on laisse faire le marché, les nouveaux antibiotiques dont nous avons le besoin le plus urgent ne seront pas mis au point à temps. »

La liste comporte trois catégories selon l’urgence du besoin de nouveaux antibiotiques : critique, élevée ou moyenne.

Le groupe le plus critique comporte des bactéries multirésistantes qui représentent une menace particulière dans les hôpitaux, les maisons de retraite ou pour les patients dont les soins imposent d’utiliser des dispositifs comme des respirateurs ou des cathéters sanguins.

Ces bactéries sont devenues résistantes à un grand nombre d’antibiotiques, y compris les carbapénèmes et les céphalosporines de troisième génération, les meilleurs produits disponibles pour traiter les bactéries multirésistantes.

Le deuxième et le troisième groupe de la liste – les catégories de priorité élevée et moyenne – comportent d’autres bactéries de plus en plus résistantes provoquant des maladies plus courantes telles que la gonorrhée ou les intoxications alimentaires par les salmonelles.

La liste a pour but de pousser les gouvernements à mettre en place des politiques incitant les agences financées par le public comme le secteur privé à investir dans la recherche pour découvrir de nouveaux antibiotiques. Le sujet sera abordé lors du G20 qui se réunira à Berlin cette semaine.

La recherche-développement ne résoudra pas à elle seule le problème, souligne l’OMS. Pour combattre la résistance, il faut améliorer la prévention des infections et l’usage approprié des antibiotiques, de même que l’usage rationnel des nouveaux antibiotiques qui seront mis au point à l’avenir.

Les bactéries résistantes aux antibiotiques pourraient tuer jusqu’à 10 millions de personnes par an d’ici 2050, soit autant que le cancer, selon un groupe d’experts internationaux formé en 2014 au Royaume-Uni, rapporte AFP.

Selon ce groupe, présidé par l’économiste Jim O’Neill, le phénomène cause déjà 700 000 décès par an, dont 50 000 en Europe et aux États-Unis. En France, il est estimé que la résistance antibiotique cause 12 500 décès par an, selon un rapport remis en 2015 au ministère de la Santé.

Voici la liste des « agents pathogènes prioritaires pour la recherche-développement de nouveaux antibiotiques » de l’OMS :

Priorité 1 : CRITIQUE
Acinetobacter baumannii, résistance aux carbapénèmes
Pseudomonas aeruginosa, résistance aux carbapénèmes
Enterobacteriaceae, résistance aux carbapénèmes, production de BLSE
Priorité 2 : ÉLEVÉE
Enterococcus faecium, résistance à la vancomycine
Staphylococcus aureus, résistance à la méthicylline, résistance intermédiaire ou complète à la vancomycine
Helicobacter pylori, résistance à la clarithromycine
Campylobacter spp., résistance aux fluoroquinolones
Salmonellae, résistance aux fluoroquinolones
Neisseria gonorrhoeae, résistance aux céphalosporines, résistance aux fluoroquinolones
Priorité 3 : MOYENNE
Streptococcus pneumoniae, insensible à la pénicilline
Haemophilus influenzae, résistance à l’ampicilline
Shigella spp., résistance aux fluoroquinolones

Psychomédia avec sources : OMS, Le Devoir (AFP).
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Des milliers de manifestants contre l’Otan à Chicago

MANIFESTATIONS CONTRE L'OTAN À CHICAGOCHICAGO (Reuters) – Des milliers de manifestants, certains déguisés en clowns et d’autres qui brandissaient des banderoles anti-guerre, se sont rassemblés dimanche à Chicago où s’ouvrait le sommet de l’Otan. Les six jours qui ont précédé le sommet de l’Alliance atlantique, prévu jusqu’à lundi, ont vu se dérouler une série de manifestations animées mais pacifiques qui n’ont entraîné qu’une vingtaine d’arrestations, selon la police. Les autorités ont annoncé avoir interpellé deux hommes soupçonnés d’avoir fabriqué des bombes, portant à cinq le nombre de personnes arrêtées pour terrorisme. …



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