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28 médicaments en vente libre à éviter et 13 à privilégier selon « 60 millions de consommateurs »

Le magazine « 60 millions de consommateurs » de l’Institut national français de la consommation a publié une enquête portant sur les 61 médicaments sans ordonnance les plus vendus, selon les données de deux grandes pharmacies.

Ces médicaments ont été « passés au crible » sous le contrôle du professeur Jean-Paul Giroud, pharmacologue, auteur de plusieurs ouvrages sur les médicaments et l’automédication, et Hélène Berthelot, pharmacienne, experte auprès de la Haute Autorité de santé.

Les médicaments à éviter, indique le magazine, « comportent trop de contre-indications et des effets indésirables disproportionnés pour soigner des maux passagers, sans compter que certains contiennent des substances inefficaces ».

Le magazine met en garde sur les médicaments associant plusieurs substances (par exemple le paracétamol ou acétaminophène combiné à la pseudoéphédrine et la tripolidine) qui augmentent les risques d’accidents cardiovasculaires et neurologiques.

Les médicaments contenant des vasoconstricteurs augmentent le risque d’accident cardiovasculaire, indique Mme Berthelot. Il serait intéressant, note-t-elle, « de savoir, parmi les cas d’AVC qui arrivent aux urgences, combien de personnes ont pris un médicament contre le rhume contenant un vasoconstricteur ».

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ex. ibuprofène) sont ainsi à l’origine de nombreuses pathologies digestives et peuvent exposer à des AVC.

« Dans de nombreux cas », indique le Pr Giroud, « des médicaments d’automédication contiennent des principes actifs contradictoires, par exemple, un antitussif et un mucolytique pour traiter la toux grasse. C’est complètement incongru, vous fluidifiez les mucosités pour en faciliter leur expectoration et en même temps vous donnez un médicament qui empêche le patient de tousser ! »

(Pour vérifier si un médicament est mentionné dans cette page, vous pouvez utiliser les touches CTRL-F pour faire apparaître un champ de recherche.)

28 médicaments « à proscrire »

Leur « le rapport bénéfice/risque serait défavorable en automédication ».

Rhume
  • Actifed rhume jour et nuit ;
  • Nurofen rhume ;
  • Rhinadvil rhume ibuprofène et pseudoéphédrine ;
  • Actifed rhume ;
  • Dolirhume paracétamol et pseudoéphédrine ;
  • Humexlib paracétamol chlorphénamine.
Grippe
  • Actifed états grippaux ;
  • Doli état grippal ;
  • Fervex phéniramine adulte sans sucre.
Toux
  • Bronchokod toux grasse sans sucre adultes 5 % ;
  • Exomuc toux grasse orange ;
  • Fluimucil orange ;
  • Humex toux sèche oxomémazine caramel ;
  • Mucomyst toux grasse orange ;
  • Toplexil sans sucre ;
  • Néo-Codion.
Maux de gorge
  • Colludol ;
  • Drill miel rosat ;
  • Drill tétracaïne ;
  • Hexaspray ;
  • Humex mal de gorge ;
  • Maxilas maux de gorge ;
  • Strepsils lidocaïne ;
  • Sterne sans sucre orange.
Diarrhée
  • Ercéfuryl.
Constipation
  • Contalax ;
  • Dragées Fuca ;
  • Pursennide.
20 médicaments classés « faute de mieux »

Leur efficacité serait « faible ou non prouvée, mais ils n’auraient pas, peu ou très rarement d’effets indésirables ».

  • Coryzalia ;
  • Rhinotrophyl ;
  • Infludo ;
  • L52 ;
  • Oscillococcinum ;
  • Prospan sans sucre lierre grimpant ;
  • Vicks toux sèche miel ;
  • Euphon sans sucre ;
  • Lysopaïne ;
  • Solutricine maux de gorge ;
  • Citrate de bétaïne ;
  • Météospasmyl ;
  • Météoxane ;
  • Spasfon ;
  • Smecta ;
  • Gavisconell ;
  • Rennie sans sucre ;
  • Lubentyl à la magnésie ;
  • Microlax ;
  • Sorbitol Delalande.
13 médicaments « à privilégier »

Leur rapport bénéfice/risque serait favorable.

  • Calyptol inhalant ;
  • Perubore inhalation ;
  • Atuxane toux sèche ;
  • le sirop Clarix toux sèche ;
  • Humex adultes toux sèche dextrométhorphane ;
  • Vicks vaporub ;
  • Imodiumcaps ;
  • Gaviscon menthe ;
  • Maalox sans sucre ;
  • Tussidane ;
  • Immodiumcaps ;
  • Forlax 10g ;
  • Psyllium Langlebert.

En octobre, le magazine avait présenté une analyse des médicaments contre la toux sans ordonnance, selon laquelle plus de la moitié sont inutiles ou présentent plus de risques que de bénéfices.

Psychomédia avec sources : Doctissimo, <a href= »http://www.francetvinfo

Actualités (psychologie, santé) | Psychomédia

Soins palliatifs: Touraine annonce 40 millions d’euros supplémentaires en 2016

SANTE – La ministre de la Santé veut mettre fin à l’inégalité dans l’accès aux soins, une «injustice, tant sociale que territoriale, inacceptable»…

Une réponse aux «inégalités» qui «persistent» dans l’accès aux soins palliatifs. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé samedi une enveloppe de 40 millions d’euros supplémentaires en 2016 pour les développer.

>> A lire aussi: Les meilleurs soins palliatifs du monde sont prodigués au Royaume-Uni

Cette augmentation, «prévue par le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour l’année 2016, s’inscrit dans le plan triennal pour le développement des soins palliatifs et l’accompagnement en fin de vie» que le président de la République avait annoncé en décembre 2014 et que Marisol Touraine «présentera en détail prochainement».

«Un progrès majeur de notre médecine contemporaine»

Ce plan vise quatre objectifs: «développer les prises en charge de proximité» via les équipes mobiles de soins palliatifs, créer de «nouvelles unités de soins palliatifs dans les territoires les plus dépourvus», mieux informer les patients et «accroître les compétences des professionnels en donnant priorité à la formation, en soutenant la recherche et en renforçant la culture palliative».

«Les soins palliatifs, qui permettent d’apaiser les souffrances des personnes en fin de vie, constituent un progrès majeur de notre médecine contemporaine. Mais l’accès à ces soins reste aujourd’hui très inégal selon les territoires. Cette injustice, tant sociale que territoriale, est inacceptable», commente la ministre.

Retrouvez cet article sur 20minutes.fr

Laboratoires du Téléthon: «Nos médicaments seront proposés à des prix maîtrisés»
Suicide: Les obèses ayant subi une chirurgie gastrique sont davantage exposés
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Grippe : 2 millions de cas, 72 décès !

© Inserm, M. Depardieu

© Inserm, M. Depardieu

[Grippe saisonnière] La grippe continue de faire des ravages. Particulièrement virulente cette année, elle serait proche de son pic épidémique indique l’InVS (Institut Veille Sanitaire) dans son dernier bulletin hebdomadaire. Il ressort en effet que le nombre de consultations pour syndromes grippaux en médecine ambulatoire augmente mais plus faiblement que les semaines passées.

La semaine dernière plus de 600 000 nouveaux cas ont ainsi été recensés soit un total de 2 100 000 cas depuis le début de l’épidémie. Cela s’est notamment traduit par 5 678 passages aux urgences pour grippe dont 660 hospitalisations. Parmi tous ces cas, 728 cas graves ont répertoriés dont 72 décès.

Comme chaque année ou presque les personnes âgées ont été plus sévèrement touchées que les autres avec un nombre d’hospitalisations en nette hausse chez les 65 ans et plus. Autre constat un nombre important d’épisodes de cas groupés d’infections respiratoires aiguës en collectivités de sujets âgés.

A noter que selon SOS médecins, l’augmentation de la proportion de consultations pour grippe se stabilise ou même baisse dans la majorité des régions en France métropolitaine. Cette proportion est toutefois plus élevée en Champagne-Ardenne, Bourgogne, Haute Normandie et Provence-Cote d’Azur.

Selon le modèle de prévision reposant sur les données historiques et sur les ventes de médicaments (partenariat IMS-Health), l’incidence des cas de syndromes grippaux serait à son pic et devrait commencer à décroitre dès la semaine prochaine.

L’occasion de vous rappeler que l’Assurance Maladie et la Direction générale de la santé ont pris la décision de prolonger la durée de validité des bons de prise en charge du vaccin antigrippal, et ce jusqu’au 28 février 2015. Il est donc encore temps de se faire vacciner.


News Santé

Mediator: 400.000 consommateurs réguliers, 55 millions de boîtes… Comment l’assurance maladie pouvait-elle l’ignorer?

Que savait l’assurance maladie du scandale du Mediator? Comment un médicament a-t-il pu être prescrit pendant trente ans en grande partie comme coupe-faim, c’est-à-dire hors autorisation de mise sur le marché («hors AMM») sans que la caisse d’assurance maladie s’en aperçoive?

Ce sont, en résumé, les questions par le mouvement «Initiative Transparence Santé»[1] (ITS).

Une étape cruciale avait déjà été franchie fin décembre avec une décision de la Commission d’accès aux documents administratifs (Cada). Cette dernière s’était déclarée favorable à ce qu’ITS puisse avoir connaissance des documents qu’elle réclamait, sans succès jusqu’alors, à Frédéric Van Roekeghem, directeur général de la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam). ITS souhaitait prendre connaissance de l’ensemble de pièces chiffrées relatives à la prescription et à la commercialisation du coupe-faim des Laboratoires Servier.  

Il s’agissait de toutes les informations relatives à la consommation entre 1999 et 2009 du Mediator en France. Ces deux dates correspondaient à deux moments-clefs. L’année 1999 vit la création de la base nationale informatisée des informations inter-régimes de l’assurance maladie (SNIIRAM). 2009 correspond à l’arrêt de la commercialisation de ce médicament.

Le feu vert de la Cada devait permettre à ITS de disposer de tous les éléments qui lui permettraient de connaître le nombre d’assurés sociaux ayant réellement consommé du Mediator durant cette période de dix ans mais aussi la durée moyenne des traitements, les taux de prescriptions médicales effectuées en dehors des autorisations de mise sur le marché, le nombre des boîtes remboursées et celles qui ne l’étaient pas.  

Il s’agissait aussi d’identifier les principales catégories de médecins initiateurs de ce traitement médicamenteux, le nombre total des praticiens et celui des plus gros prescripteurs. Et, enfin, de préciser le montant des sommes remboursées aux patients consommateurs.

C’était en d’autres termes la possibilité de compléter la lecture partielle effectuée par l’Igas à la demande de Xavier Bertrand, alors ministre de la Santé. Fin décembre, Slate.fr avait rapporté les obstacles que l’assurance-maladie avait opposés à cette demande –ainsi que la décision de la Cada qui ouvrait en France la voie aux entreprises d’Open Data dans le champ du médicament.

400.000 consommateurs réguliers

Le postulat d’ITS était que l’assurance maladie ne pouvait pas ne pas savoir, au vu des montants de remboursements, que le Mediator était largement prescrit hors de ses indications (et donc indûment pris en charge par la collectivité. C’est (en partie) chose faite avec la lettre datée du 31 janvier adressée par le directeur général de la Cnam à ITS.

On y apprend que 400.000 personnes étaient des consommateurs réguliers de Mediator, que 55 millions de boîtes ont été prescrites et commercialisées pour un montant total, pris en charge par la collectivité, de plus de 210 millions d’euros, entre 2000 et 2009.

Mais la Cnam ne répond pas précisément à la question des prescriptions médicales effectuées en dehors de l’autorisation de mise sur le marché («hors AMM»). Elle fait valoir que le libellé de l’AMM a varié au cours du temps, parfois de façon importante. C’était la stratégie adoptée par les Laboratoires Servier pour rester coûte que coûte sur le marché.

Pour ITS, les choses sont désormais claires:

«En 2008 à l’échelle nationale, le médicament de Servier était prescrit dans environ 80% des cas hors de ses indications officielles. Soit la Cnam avait connaissance de ce mésusage et n’a rien fait, ce qui nous semble hautement critiquable. Soit elle ne le savait pas mais aurait facilement pu le découvrir. La réponse que notre collectif est parvenu à obtenir (avec difficulté) en atteste.»

De 1989 à avril 2007, le Mediator était indiqué comme «adjuvant du régime adapté chez les hypertriglycéridémies et adjuvant du régime adapté chez les diabétiques avec surcharge pondérale». Puis d’avril 2007 à novembre 2009, l’AMM fut réduite à l’extrême.

En théorie, le Mediator ne pouvait plus être prescrit que comme «adjuvant du régime adapté chez les diabétiques avec surcharge pondérale». Soit, en d’autres termes chez des personnes connues par l’assurance maladie pour être diabétiques.  

En réponse aux questions précises d’ITS, l’assurance maladie répond ne pas avoir les moyens de savoir quelle était la proportion des consommations hors AMM avant 2007. Elle fait valoir que l’hypertriglycéridémie qui constituait alors une indication majeure du Mediator «repose sur un dosage biologique» et qu’il n’existe pas de «traitement spécifique». «Pour appréhender le respect de l’AMM, il eût été nécessaire de disposer d’une analyse détaillée de la situation médicale nécessitant l’accès au dossier médical du patient», fait valoir le directeur général de la Cnam.

Un travail avait toutefois été réalisé en 1997, par l’Union régionale des caisses d’Assurance maladie de Bourgogne, de Bourgogne. Il concluait qu’«un tiers des prescriptions étaient hors du champ des indications thérapeutiques prévue par l’AMM». La Cnam fut alertée. Personne ne donna suite à cette observation majeure, ni en Bourgogne ni à Paris.

Autre observation d’ITS: la très forte variabilité du nombre de personnes ayant consommé du Mediator dans chaque département sur les douze derniers mois ayant précédé l’arrêt de sa commercialisation. C’est ainsi que les quatre départements les moins consommateurs (la Mayenne, l’Ille-et-Vilaine, le Maine-et-Loire et l’Indre-et-Loire) affichent un taux de prescription pour mille habitants compris entre 1,14 et 1,58. Or ce taux varie de 12,4 à 14,3 dans les quatre départements en France métropolitaine où le Mediator a été le plus prescrit (Corse-du-Sud, Var, Alpes-Maritimes et Bouches-du-Rhône).

Rien, pour l’heure, ne permet encore de comprendre pourquoi a pu exister de telles disparités. Le directeur général de la Cnam se refuse encore à transmettre certaines données (par caisses d’assurance maladie). Il souhaite savoir si les informations judiciaires ouvertes auprès du Tribunal de Grande Instance de Paris font ou non obstacle à la transmission de ces données.

Pourquoi le travail de la justice s’opposerait-il à celui de ceux qui entendent faire la lumière sur cette affaire sanitaire sans précédent?

Jean-Yves Nau

[1] L’«Initiative Transparence Santé» (ITS) est un mouvement réunissant de nombreux acteurs du monde de la santé (associations de malades et de consommateurs, chercheurs en santé publique, assureurs, entrepreneurs etc.) qui réclament une «libération des données» relatives aux différents domaines de la santé. Retourner à l’article

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Une saisie de 10 millions de médicaments contrefaits

Crédit : Fotolia

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Le trafic de faux médicaments est malheureusement en plein essor. Un véritable fléau mondial contre lequel les autorités sanitaires tentent de lutter par tous les moyens. Selon plusieurs études récentes, ce marché en pleine expansion représente plusieurs milliards d’euros de chiffre d’affaire.

Aujourd’hui, dans le cadre d’une vaste opération internationale menée dans 99 pays, Interpol a mis la main sur près de 10 millions d’unités de médicaments contrefaits et potentiellement mortels ! On estime à 41 millions de dollars la valeur de ces médicaments.

Cette opération baptisée «Pangea 6» a particulièrement ciblé les sites internet de vente de médicaments.

Elle a conduit à l’arrestation de 58 personnes et à la fermeture de 17 000 sites illégaux en à peine une semaine.

Interrogé par le Progrès de Lyon, Aline Plançon, sous-directeur du programme sur la criminalité pharmaceutique pour Interpol, a déclaré

«Les quantités saisies sont en augmentation de plus de 100% par rapport à l’opération précédente en 2012».


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Le sel tue 2.3 millions de personnes/an

© Jorge Royan (cc 3.0)

Le message n’est pas vraiment nouveau ! On sait depuis longtemps qu’une consommation élevée de sel peut entraîner de l’hypertension artérielle, cause majeure de maladie cardiovasculaire, d’accident vasculaire cérébral et de néphropathie.

Et même si une légère amélioration a déjà été constatée ces dernières années dans notre pays, les Français continuent de manger trop salé. A la fin de l’année dernière l’Anses indiquait à ce sujet que la consommation moyenne de sel en France était chez les adultes de 8,7 g/j chez les hommes et de 6,7 g/j chez les femmes. Rappelons que l’objectif fixé par l’Organisation mondiale de la santé est une consommation maximale de sel de 5 g/j.

Aujourd’hui une étude internationale va peut-être finir de convaincre les plus réticents de réduire leur consommation.

Cette étude menée dans plus de 50 pays attribue à cette surconsommation de sel 2.3 millions de décès chaque année dans le monde !

Pour les seuls Etats-Unis, on estime qu’une baisse de 1,5 gramme par jour permettrait d’éviter de 280 000 à 500 000 décès.

Interrogé par le Figaro le professeur Blacher précise « Plus on mange de sel et plus on augmente son risque d’accident vasculaire cérébral. Pour l’infarctus du myocarde, c’est un peu moins net, mais le risque existe aussi.»

L’occasion de rappeler que les 3/4 du sel consommé proviennent directement des aliments et non du sel que l’on rajoute à la cuisson ou dans son assiette.

En 2010, les premiers résultats de l’étude NutriNet-Santé nous apprenaient ainsi que les groupes d’aliments qui contribuent le plus à l’apport en sodium dans l’alimentation sont : le pain et les biscottes (24,1%), la charcuterie (12,5%), les fromages (8,1%), les légumes préparés (crudités…) ou cuits (6,8%) et les aliments-snacks et aliments de « fast food » (5,9%).

C’est pourquoi l’agence pour la sécurité alimentaire (Anses) réclame avant tout des mesures visant à réduire la teneur en sel dans certains aliments. Ce sel « caché » que l’on retrouve sans parfois le savoir dans les viennoiseries, les céréales et même dans certains gâteaux.


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