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Comment profiter des ponts du mois de mai pour se ressourcer ?

Comment profiter des ponts du mois de mai pour se ressourcer ?

Le 1er mai 2019.

Fête du Travail, de la Victoire, de l’Ascension et de la Pentecôte… Mai est un mois riche en ponts. Une bonne occasion pour vous ressourcer.

Se reconnecter avec la nature et exprimer sa créativité pour se ressourcer

Les vertus du jardinage sont nombreuses et l’on reconnaît à cette activité son caractère ressourçant. Vous n’avez pas de jardin ? Aucun problème : vous pouvez toujours installer des fleurs sur votre balcon voire quelques pots d’herbes aromatiques sur le bord de vos fenêtres. Certaines plantes se plaisent même à l’intérieur d’un appartement. Si vous avez la chance d’avoir un petit espace vert, installez un jardin zen en associant différents végétaux et minéraux.

Mai est le mois où fleurissent clochettes de muguets et autres fleurs des bois. Direction la forêt pour aller cueillir du muguet. On dit que cette fleur porte chance, voici une bonne occasion pour en offrir à ceux qui vous entourent et créer ainsi du lien. Cette promenade sera aussi extrêmement profitable pour vous reconnecter avec la nature : sentez ces nouvelles odeurs, écoutez les oiseaux qui chantent, admirez la Création, son calme, sa luxuriance. La nature est extrêmement ressourçante et apaisante.

Selon le bon vieux dicton, « En mai, fais ce qu’il te plaît ». Aussi, laissez libre cours à votre imagination pour vous mettre à créer : peinture, couture, dessin… Le choix est vaste ! Profitez de ces quelques jours fériés pour permettre à votre fibre créatrice de s’exprimer. La satisfaction que vous ressentirez ensuite sera extrêmement bénéfique et ressourçante pour votre moral alors, ne vous en privez pas.

Faites le ménage chez vous et dans votre tête grâce au sport et à la digitale détox

L’avez-vous remarqué ? Bien souvent, le retour du beau temps donne des envies frénétiques de ménage et de rangement. En mai, utilisez à bon escient vos jours de libres pour faire le tri dans vos vêtements et vos affaires. Donnez ce qui peut servir et jetez ce qui est cassé. Au besoin, lisez le célèbre livre de Marie Kondo La magie du rangement. Aussi étrange que cela puisse paraître, faire le vide chez soi, c’est aussi faire le vide dans sa tête. Un moyen simple et efficace de se ressourcer.

Comme beaucoup de personnes, vous avez sûrement l’impression d’avoir hiberné pendant l’hiver et sentez que votre corps n’a pas pratiqué suffisamment d’activités physiques ? Il n’est pas trop tard pour se mettre au sport ! Le mois de mai est même la meilleure période pour cela. Dehors, il ne fait ni trop chaud ni trop froid et la nature est de toute beauté : sortez vos baskets, votre vélo ou vos chaussures de marche et dépensez-vous.

Le mois de mai offre de nombreux jours fériés qui permettent de casser le rythme du travail. Profitez donc des ponts pour faire une digitale détox. Fini les écrans ; mettez votre téléphone, la tablette et la télévision en pause. Finissez de lire cet article, éteignez cet ordinateur et allez donc pratiquer l’une des activités ressourçantes citées ci-dessus !

Perrine Deurot-Bien

À lire aussi : Des astuces pour prendre soin de soi à l’arrivée du printemps

 

 

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« Dry January » : les bienfaits sur le long terme du mois sans alcool

« Dry January » : les bienfaits sur le long terme du mois sans alcool

Le 3 janvier 2019.

Selon une récente étude, ne pas boire une goutte d’alcool pendant 31 jours, au mois de janvier, aiderait à diminuer sa consommation d’alcool sur le long terme. Explications.

Des bienfaits immédiats sur la santé

Si vous avez un peu trop abusé de l’alcool pendant les fêtes, vous avez peut-être pris la résolution, au 1er janvier, de participer vous aussi au « Dry january » lancé tous les ans en Angleterre depuis 2013 par l’association britannique Alcohol Change UK, consistant à ne pas boire une goutte d’alcool pendant le premier mois de l’année.

Selon une étude menée en janvier 2018 par l’université du Sussex (Angleterre) qui a suivi 800 personnes ayant participé au « Dry january », et publiée le 2 janvier 2019, arrêter l’alcool pendant un mois entier aurait des effets bénéfiques immédiats sur la santé. En effet, « 7 personnes sur 10 ont indiqué mieux dormir et ressentir un gain d’énergie ; 3 personnes sur 5 ont perdu du poids et plus de la moitié ont rapporté avoir une meilleure concentration », peut-on lire dans les colonnes du Figaro.

Un mois de janvier sans alcool aiderait à boire moins sur le long terme

L’étude démontre également que « le simple fait de passer un mois sans alcool aiderait les gens à boire moins sur le long terme ». Selon Richard de Visser, qui a coordonné l’étude, « en août, les gens ont rapporté avoir un jour d’abstinence supplémentaire par semaine » : 3 jours avec alcool contre 4 en moyenne avant le Dry January.

Autre constatation intéressante : les participants ont réduit d’un verre en moyenne la quantité d’alcool bue à chaque occasion. Enfin, les épisodes d’ivresse sont passés de 3 à 2 par mois. Quand on connaît les dégâts de l’alcool sur la santé, si vous avez raté le « Dry january », tentez le « Février au sec » !

Aurélie Giraud

À lire aussi : Alcool et santé: de bonnes et de mauvaises nouvelles

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Novembre : le Mois sans tabac fait de plus en plus d'adeptes

Novembre : le Mois sans tabac fait de plus en plus d'adeptes

Le 30 novembre 2018.

Cette année marque une forte hausse de la participation à l’opération Mois dans tabac. Pas moins de 241.000 personnes ont joué le jeu.

En novembre, c’est le mois sans tabac

C’est la troisième édition du Mois sans tabac, cette opération née en 2016 pour d’aider les fumeurs à réduire ou arrêter totalement leur consommation. Le mois de novembre se termine, c’est le moment de faire le bilan. Cette année, pas moins de 241.000 personnes se sont inscrites pour relever ce défi.

Une augmentation importante par rapport à l’année dernière puisqu’on enregistre 84.000 personnes de plus qu’en 2017, soit une hausse de 54%. En 2016, 180.000 fumeurs avaient rejoint les rangs. Des chiffres très encourageants quand on sait que chaque année, dans le monde, six millions de personnes meurent à cause du tabagisme.

Arrêter trente jours pour arrêter définitivement

Selon les addictologues, un arrêt de trente jours consécutifs augmente largement les chances d’arrêter définitivement. On ne sait pas encore quelle proportion des inscrits a repris en cours de route ou s’est arrêtée pour de bon. Mais certains chiffres sont très positifs : « L’application d’e-coaching (…) a été téléchargée près de 86.000 fois » précise Santé publique France.

Ce n’est pas tout : « Plus de 21.000 personnes ont eu recours au 39 89, la ligne téléphonique Tabac Info Service » et la vente de substituts nicotiniques (gommes à mâcher, pastilles ou patchs) a augmenté de 66% ce mois-ci. Une croissance qui s’explique notamment par le remboursement par l’Assurance-maladie à 65%, sans plafond, de ces produits vendus en pharmacie

Maylis Choné

Lire aussi : Fumer : des conseils pour arrêter !

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Quelles proportions des nourrissons font leurs nuits à 6 mois et à 12 mois

Les nouveaux parents s’attendent généralement à ce que leur nourrisson fasse leurs nuits vers l’âge de six mois, soulignent les auteurs d’une étude publiée en décembre dans la revue Pediatrics.

Mais ce n’est pas le cas chez une grande proportion des nourrissons en bonne santé.

Des chercheurs de l’Université McGill ont analysé des données concernant 388 nourrissons âgés de 6 mois et 369 nourrissons âgés de 12 mois (à Montréal au Québec et Hamilton en Ontario).

« Faire ses nuits » était défini comme une période de sommeil ininterrompu de 6 ou 8 heures.

Selon la perception des mères, 38 % des nourrissons présentant un développement typique à 6 mois ne dormaient pas 6 heures consécutives pendant la nuit ; et plus de la moitié (57 %) ne faisaient pas des nuits de 8 heures.

À 12 mois, 28 % des nourrissons ne dormaient pas 6 heures sans interruption la nuit et 43 % ne restaient pas endormis durant 8 heures d’affilée.

Chez les bébés qui ne faisaient pas leurs nuits, le taux d’allaitement était plus élevé.

Une différence a été constatée entre les garçons et les filles. À 6 mois, une proportion légèrement plus élevée de filles que de garçons dormaient durant 8 heures consécutives (48 % versus 39 %).

Aucune corrélation n’a été observée entre la capacité du nourrisson à faire ses nuits et l’humeur postnatale des mères.

« Dans les pays occidentaux, on considère généralement qu’un nourrisson devrait faire ses nuits vers l’âge de six à douze mois, soulignent les chercheurs. En fait, il n’est pas rare de voir des parents et des professionnels de la santé employer des méthodes comportementales d’entraînement au sommeil pour inciter l’enfant à dormir. Or, la chercheuse principale de l’étude, Dre Marie-Hélène Pennestri, du Département de psychopédagogie et de psychologie du counseling de l’Université McGill et de la Clinique du sommeil à l’Hôpital en santé mentale Rivière-des-Prairies (CIUSSS-NIM), espère que ces résultats viendront apaiser certaines craintes chez les parents :

“Nos observations indiquent qu’il pourrait être bénéfique de mieux informer les parents au sujet du développement normal – et de la grande variabilité – du cycle veille-sommeil du nourrisson, plutôt que de se concentrer uniquement sur les méthodes et les interventions, telles les méthodes comportementales de type 5-10-15”, affirme-t-elle.

“On invoque souvent la privation de sommeil de la mère pour motiver l’intervention comportementale précoce chez le nourrisson. Or, les attentes de la mère à l’égard de l’interruption du sommeil la nuit et son nombre total d’heures de sommeil sur une période de 24 heures pourraient être de meilleurs indicateurs pour prédire son bien-être. Les prochaines études devraient tenir compte de cette éventualité.” »

Recommandations de sommeil pour chaque groupe d’âge (National Sleep Foundation)

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Université McGill, Pediatrics.
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Pourquoi il est important de donner de la nourriture à un bébé avant 6 mois

Pourquoi il est important de donner de la nourriture à un bébé avant 6 mois

Le 28 août 2018.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de King’s College de Londres, il ne faudrait pas attendre les 6 mois du bébé pour lui donner de la nourriture solide. Explications.

Améliorer la qualité du sommeil

Les jeunes parents ne savent pas toujours quand le moment est venu de diversifier la nourriture de leur bébé. Faut-il commencer les purées de légumes à 4 mois ou est-il préférable d’attendre 6 mois ? Une étude, publiée dans la revue américaine JAMA Pediatrics, vient répondre à cette question. Selon ces travaux, il faudrait passer à la diversification avant les 6 mois de l’enfant.

Donner de la nourriture solide avant les 6 mois permettrait en effet d’améliorer la qualité du sommeil et limiterait le nombre de réveils par nuit. Pour parvenir à cette conclusion, les auteurs de cette étude ont suivi un peu plus de 1.300 enfants de 3 mois au Royaume-Uni, jusqu’à leurs 3 ans. Une partie d’entre eux ont reçu des plats pour bébé avant leurs six mois, les autres ont été allaités jusqu’à leurs six mois.

Moins de réveils la nuit

Les chercheurs ont ainsi pu constater que les enfants qui avaient commencé à manger de la nourriture solide plus tôt dormaient plus longtemps la nuit. Ces bébés dormaient jusqu’à 16,6 minutes de plus que les autres enfants. Ils se réveillaient également moins souvent : 1,74 fois par nuit contre 2,01 fois pour les bébés qui avaient été allaités jusqu’à leurs 6 mois. Un point très important pour les parents.

« À l’âge de 6 mois, lorsque les différences entre les deux groupes étaient les plus significatives, les nourrissons des groupes d’introduction précoce dormaient deux heures de plus par semaine et s’éveillaient deux fois moins la nuit par semaine », ont commenté les chercheurs, dans un communiqué. Il est cependant important de rappeler que la Société Française de Pédiatrie recommande de ne pas diversifier la nourriture avant l’âge de 4 mois, en raison du risque d’allergie.  

Marine Rondot

À lire aussi : Alimentation du nourrisson : les règles d’or

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Hypothyroïdie : une nouvelle alternative au Levothyrox dès le mois d’avril

Hypothyroïdie : une nouvelle alternative au Levothyrox dès le mois d’avril

Le 23 février 2018.

Un nouveau médicament à base de lévothyroxine sera commercialisé dès le mois d’avril. Le TCAPS pourrait rendre service à de nombreux patients qui souffrent des effets secondaires que peut engendrer la nouvelle formule du Levothyrox du laboratoire Merck.

Les déçus du nouveau Levothyrox pourront se tourner vers le TCAPS

Le laboratoire Genevrier vient d’obtenir l’aval de l’Agence du médicament, pour la commercialisation d’un médicament contre l’hypothyroïdie. Cette substance, baptisée TCAPS, viendra en renfort de l’arsenal déjà présent dans les officines pour traiter les 2,3 millions de patients touchés par cette maladie et qui étaient traités par le Levothyrox, pour la plupart d’entre eux, il y a quelques mois encore.

Le TCAPS devrait redonner espoir à tous les patients qui, à l’annonce de la fin de la commercialisation du Levothyrox, se sont tournés vers des formules qui ne leur convenaient pas et qui ont connu de nombreux effets secondaires très indésirables.

Plusieurs dosages pour correspondre à tous les patients

Perte de cheveux, douleurs musculaires et articulaires, troubles du sommeil, ont été signalés par des milliers de patients qui ont, sans succès, prié le laboratoire Merck de remettre l’ancien Levothyrox en circulation.

Contrairement au Levothyrox, le TCAPS ne contient que très peu d’excipients. À la molécule de base, la lévothyroxine, n’ont été associées que de la glycérine et de la gélatine, limitant ainsi les potentiels effets secondaires liés à la présence de lactose, de mannitol ou encore d’huile de ricin, dans la nouvelle version du Levothyrox. Le TCAPS sera en outre commercialisé sous différents dosages, ce qui permettra à chaque patient de trouver la posologie qui lui convient.

Gaëlle Latour

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La grippe aurait tué 2.850 personnes depuis le mois d'octobre

La grippe aurait tué 2.850 personnes depuis le mois d'octobre

Le 1er février 2018.

Depuis le mois d’octobre et jusqu’à la première semaine de janvier, la grippe aurait provoqué une surmortalité estimée à 2.850 décès. Partout en France, la grippe a atteint son pic épidémique et le nombre de cas déclarés commence à diminuer.

La grippe serait responsable d’une surmortalité de 2.850 décès

Même s’il est trop tôt pour tirer les premières conclusions de l’épidémie de grippe hivernale qui frappe la France depuis le mois d’octobre dernier, Santé Publique France évoque une surmortalité de 4.800 décès, au moins jusqu’au début du mois de janvier. Parmi ces décès, 2.850 sont directement attribués à la grippe.

Dans un communiqué, l’organisme affirme que « près de 90% de ces décès concernent des personnes de 65 ans et plus ». L’organisme précise en outre qu’« au vu des chiffres provisoires d’excès de mortalité toutes causes et de décès attribuables à la grippe observés à ce stade de l’épidémie, l’excès de mortalité observé lors de cette saison devrait être inférieur à celui de la saison précédente ».

La couverture vaccinale a été insuffisante cette année

L’épidémie 2017-2018, dont le pic a été atteint dans toutes les régions métropolitaines durant la semaine du 15 au 21 janvier, sera donc, selon toute vraisemblance, beaucoup moins mortelle que l’année dernière. La saison 2016-2017 avait été marquée par une surmortalité record et les autorités avaient annoncé un bilan de 21.200 décès, dont 14.400 directement attribués à la grippe.

Même si le bilan de cette année est plus faible, les autorités tirent les premières conclusions de cette épidémie et estiment que la couverture vaccinale a été, cette fois encore, insuffisante. Chaque année, les campagnes de communication autour de la vaccination s’adressent tout particulièrement aux personnes âgées qui sont davantage susceptible de souffrir des effets de la grippe.

Gaëlle Latour

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Revenu de base : ceux qui seront admissibles devront patienter 66 mois (Québec)

Dans son Plan d’action gouvernemental pour l’inclusion économique et la participation sociale 2017-2023, Québec établit un revenu de base qui atteindra 18 000 $ en 2023. « Mais ceux qui se qualifieront devront être bénéficiaires de l’aide sociale depuis 65 mois avant de pouvoir obtenir ce soutien », souligne Le Devoir.

« Il n’y aura pas d’exception, avertit la garde rapprochée du ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais », précise le quotidien.

« Cela signifie que toute personne handicapée devra patienter 66 mois afin de bénéficier du nouveau programme, et ce, peu importe la nature et la gravité de son handicap physique, mental ou psychologique. »

« Il y a désormais les “mauvais pauvres” [ceux sans contraintes sévères à l’emploi], les “bons pauvres” [ceux ayant des contraintes sévères à l’emploi reconnues par le ministère depuis moins de 66 mois], puis les “bons pauvres plus, plus” [ceux ayant des contraintes sévères à l’emploi reconnues par le ministère depuis plus de 66 mois] », se désole le porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté, Serge Petitclerc.

Au 31 mars 2017, sur les quelque 400 000 prestataires de la solidarité sociale, 128 320 avaient des contraintes sévères à l’emploi. Plus de 44 000 d’entre eux (35 %) seraient inadmissibles au Programme du revenu de base puisqu’ils n’ont pas été inscrits « au moins 66 mois au cours des 72 derniers mois.

Le plan prévoit, en 2023, un revenu disponible de 18 000 dollars par année — 5280 $ de plus qu’aujourd’hui — aux personnes seules souffrant de contraintes sévères à l’emploi. En 2018, celles-ci toucheront 13 625 $ — 876 $ de plus qu’aujourd’hui.

Alors que pour les bénéficiaires de l’aide sociale n’ayant pas de contrainte reconnue à l’emploi la prestation de base des personnes seules passera de 9389 $ à 9929 $ en 2023, ce qui représente 55 % du seuil de pauvreté.

Dans Le Devoir :

Sur Psychomédia : Près de 300 professeurs d’université dénoncent la réforme de l’aide sociale (Québec, 2016)

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

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Journée et mois de l’autisme 2016 au Québec

À l’occasion du Mois de l’autisme, la Fédération québécoise de l’autisme (FQA) et ses associations régionales organiseront différents événements.

Comme chaque année, la FQA participera, le 2 avril, à l’événement mondial « Faites briller en bleu » à l’occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme. « Tandis que de nombreuses entreprises et des monuments s’illumineront de bleu, les particuliers sont encouragés à porter du bleu, se maquiller en bleu et à sensibiliser leur entourage ! ». La FQA encourage à organiser des activités de sensibilisation et à diffuser les photos avec le hashtag #2avrilenbleu.

La Marche de l’autisme (qui prend diverses formes selon les régions : marches scolaires, événement bénéfice, flash mob, etc.) se tiendra la dernière fin de semaine d’avril.

Plus d’information concernant notamment les nombreuses activités régionales sur le site de la Fédération québécoise de l’autisme : Mois de l’autisme 2016

La Fédération québécoise de l’autisme fête en 2016 son 40e anniversaire.

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Course effrénée entre une grand-mère de 95 ans et un bébé de 9 mois

Le 09 décembre 2015. Pour apprendre à marcher à son arrière-petite-fille de 9 mois, une dame âgée de 95 ans n’hésite pas à entamer une course effrénée !

Mignon, tendre, mais aussi complètement fun… la vidéo ne montre pas qui a finalement gagné la course !

Bravo cependant à cette arrière-grand-mère, championne du déambulateur, de montrer l’exemple à sa descendance.

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