Archives par mot-clé : Montréal

Meilleures villes pour étudier : Paris et Montréal dans le top 10 du classement QS 2022

Dans le classement 2022 des meilleures villes universitaires de la firme Quacquarelli Symonds (QS), Paris, Montréal et Boston arrivent à égalité en 9e position.

Encore une fois, Londres occupe la première position. Suivie par Munich, Séoul, Tokyo, Berlin, Melbourne, Zurich et Sydney.

Londres occupe la première place depuis 2018, année où elle a détrôné Montréal qui occupait la première place en 2017 en détrônant Paris.

Deux autres villes françaises se glissent parmi les 115 meilleures villes étudiantes du monde : Lyon arrive en 48e position et Toulouse en 86e.

En Belgique, la ville de Bruxelles figure en 50e position.

Classement des 115 meilleures villes universitaires sur le site de QS : Best Student Cities 2022.

Le classement QS est établi selon plusieurs indicateurs, dont le niveau académique, la population étudiante, les commodités, l’attrait des villes auprès des jeunes, le marché de l’emploi, le coût de la vie et des études ainsi que l’opinion des étudiants basée sur une enquête menée auprès de la communauté étudiante ainsi que d’un groupe de diplômés.

QS publie également chaque année un classement des meilleurs établissements d’enseignement supérieur qui compte quelque 1200 universités dans 78 pays. (Classement QS 2019 des universités en psychologie : 4 françaises, 6 belges et 5 québécoises dans le top 300)

Psychomédia avec source : Université de Montréal.
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Syndrome de fatigue chronique : importante conférence internationale à Montréal

Une importante conférence internationale sur le syndrome de fatigue chronique, aussi appelé encéphalomyélite myalgique, se tiendra à Montréal, au CHU Sainte-Justine, du 2 au 5 mai 2018.

La conférence réunira 250 chercheurs et professionnels de la santé de diverses disciplines « afin d’élaborer un programme de recherche international pour cette maladie invalidante, pour laquelle il n’existe pas de cause connue ou de traitement efficace ».

Cette conférence intervient à un moment où la recherche sur cette maladie n’a jamais été aussi effervescente. Le domaine reçoit de plus grands financements publics et privés, plusieurs initiatives visent à coordonner les efforts de recherche et le domaine attire de plus en plus de chercheurs de grande renommée dont plusieurs seront présents.

Les National Institutes of Health (NIH) américains, notamment, ont augmenté les budgets de recherche sur cette maladie, initié des programmes de recherche internes et financer la création d’un consortium de trois centres de recherche.

Plusieurs pistes de recherche sur les causes et les mécanismes pathologiques de la maladie semblent prometteuses et, bien qu’elles ciblent des mécanismes différents, des hypothèses englobant ces différents mécanismes se dessinent. Il est crucial, soulignent les experts, de coordonner et de bien orienter les efforts afin d’arriver le plus rapidement à une compréhension de la maladie et à des traitements.

Les conférences et animations se dérouleront en anglais. Un système de traduction simultanée en français sera offert pour certaines séances.

Lors de la deuxième journée, des séances sont destinées aux patients.

Informations et inscription : Montréal 2018 Conférence sur l’EM/SFC

Programme de la conférence : Conférence collaborative canadienne sur l’EM/SFC

Pour plus d’informations sur le syndrome de fatigue chronique (SFC), voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : ME/CFS Canadian Collaborative Team Conference.
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Montréal : langue, revenus, logements… 10 cartes interactives pour explorer la démographie de la ville

Les données du recensement de 2016 de Statistique Canada permettent de comparer les caractéristiques sociodémographiques des arrondissements et des villes liées à Montréal.

Le Devoir présente 10 cartes à zoomer et dézoomer pour explorer diverses caractéristiques démographiques : langue maternelle, immigration, scolarité, âge médian, nombre de centenaire, revenu des ménages, taux de chômage, familles monoparentales, prix et taille des logements.

Notamment, « dans l’agglomération de Montréal, 1 823 085 citoyens, soit 95 % de la population, n’ont appris qu’une seule langue maternelle. Parmi ces personnes, 49 % ont grandi en français, 17 % en anglais et 34 % dans une autre langue. L’arabe, l’espagnol et l’italien font partie des langues non officielles les plus parlées à Montréal ».

« La population née au pays demeure majoritaire à Montréal, comptant pour 63 % de l’ensemble des habitants. Les 570 940 personnes issues de l’immigration et qui sont nées à l’extérieur du pays représentent quant à elles 34 % des citoyens de la ville. Uniquement 3 % des Montréalais sont considérés comme des résidents non permanents. Haïti occupe le premier rang des pays d’origine de ces immigrants, suivi de l’Algérie et de l’Italie. »

« Le Plateau-Mont-Royal abrite la population la plus jeune avec une médiane de 33,6 ans et Westmount, la plus vieille, avec une médiane de 48,3 ans. »

Sur le site du Devoir : Connaissez-vous la démographie de Montréal ?

Carte interactive : voyez quel est le revenu médian dans votre quartier et partout au Québec

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Du fentanyl trouvé dans de la cocaïne et du crack à Montréal, avertit le CIUSSS Centre-Sud

Du fentanyl a récemment été trouvé dans du crack et de la cocaïne à Montréal, avertit la Direction régionale de santé publique (DRSP) du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal.

Deux signalements inhabituels de surdoses sévères à Montréal ont été reçus, dont l’une ayant causé un décès. « Ces cas sont survenus chez des consommateurs occasionnels ayant inhalé de petites quantités de cocaïne qui contenait du fentanyl. »

« D’autres cas de surdoses sévères chez des consommateurs de crack possiblement contaminé par du fentanyl sont également sous enquête. »

« La cocaïne et possiblement le crack s’ajoutent donc à liste des drogues comme l’héroïne qui peuvent contenir du fentanyl, un opioïde 40 fois plus puissant que la morphine.  »

Le communiqué du CIUSSS fait les recommandations suivantes :

« Les personnes qui consomment par injection mais également celles qui utilisent d’autres modes de consommation (fumé, prisé) doivent être extrêmement prudentes lors de leur consommation :

  • ne pas consommer seul
  • à plusieurs : ne pas consommer tous en même temps
  • diminuer la dose (pour voir l’effet)
  • avoir de la naloxone disponible
  • appeler le 911 en cas de surdose.

Les usagers de drogues par injection peuvent également utiliser les services d’injection supervisée (SIS). »

La DRSP de Montréal rappelle que la naloxone (antidote aux opioïdes) est maintenant disponible gratuitement dans toutes les pharmacies.

Pour plus d’informations sur les surdoses : dsp.santemontreal.qc.ca/surdose

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Surdoses de fentanyl : Montréal a évité le pire le week-end passé

Montréal a évité le pire le week-end passé, après que des drogues contenant fort probablement du fentanyl, un analgésique 100 fois plus puissant que la morphine, ont été écoulées par des trafiquants, rapporte Le Devoir.

Une dizaine de surdoses ont été rapportées en trois jours, mais aucune perte de vie n’a été déplorée, indique la Direction de santé publique de Montréal.

Les réseaux de vigie, composés notamment d’intervenants de rue, de spécialistes en santé publique, de policiers et d’ambulanciers, mis en place après la crise des surdoses de 2014, qui a fait 83 victimes, dont 25 sont décédées, auraient été efficaces.

Sept cas ont été enregistrés dans la seule journée de vendredi dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve et l’administration du naloxone, antidote aux surdoses, a sauvé ces sept personnes, rapporte Radio-Canada.

Dès le signalement, vendredi, d’un nombre inhabituel de surdoses par le réseau, la Direction de santé publique, les organismes communautaires et les services policiers ont été alertés.

Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a procédé, dès vendredi soir à la saisie de diverses quantités de drogues dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, notamment à celle de 260 grammes d’un mélange possible de fentanyl et d’héroïne, un cocktail associé depuis un an à des centaines de décès au Canada.

Toute la fin de semaine, plusieurs doses de naloxone, un antidote aux opiacés, ont été distribuées et des formations éclair sur son administration ont été dispensées aux utilisateurs de drogues et à divers intervenants.

La DSP de Montréal juge qu’il faut accroître encore davantage l’accès à la naloxone, notamment pour que les travailleurs de rue puissent distribuer directement l’antidote, et pas seulement les pharmacies, souvent fermées le soir et la nuit.

Des arrestations ont eu lieu.

Surdoses d’opioïde : l’immunité aux victimes et aux aidants composant le 911 est entrée en vigueur (Canada)

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Le Devoir, Radio-Canada, La Presse
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À Montréal, le corps médical résiste toujours à l’aide à mourir

« À Montréal, le corps médical continue de résister à l’aide à mourir », rapporte la journaliste Isabelle Paré dans Le Devoir. Elle est accordée au compte-gouttes.

Selon les derniers rapports déposés par les établissements de santé pour la seconde partie de l’année 2016, moins de patients ont pu recevoir l’aide à mourir dans les hôpitaux de Montréal que dans la région « 450 » et dans la région de Québec, toutes proportions gardées.

« Il s’est réalisé au total 57 procédures d’aide à mourir durant les six derniers mois de 2016 dans les huit CIUSSS, CISSS et centres hospitaliers universitaires (CHU) de Montréal, comparativement à 75 dans les régions de la Montérégie et de Laval combinées.

“Ça reste très, très fermé, notamment dans la région ouest de Montréal et dans les hôpitaux universitaires, où il y a de très fortes poches de résistance. Et là, on parle des demandes officielles, mais il y a aussi des gens qui se font décourager avant même de le demander officiellement”, affirme Me Jean-Pierre Ménard, avocat spécialisé en droit des patients.

L’été dernier, Le Devoir avait révélé que le CUSM avait adopté illégalement une politique sur les soins de fin de vie excluant d’emblée que l’aide à mourir soit administrée dans son unité de soins palliatifs. Le portrait n’a guère changé, rapporte la journaliste.

Seul le CHUM, qui a accédé à la demande de quinze patients, comparativement à six lors des six premiers mois d’application de la loi, semble avoir sensiblement amélioré l’accès.

Plus d’informations dans Le Devoir : À Montréal, le corps médical continue de résister à l’aide à mourir.

Aide à mourir : 6 ordres professionnels réclament le renvoi de la loi fédérale en appel (Québec)

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Montréal détrône Paris comme meilleure ville universitaire du monde (voyez le top 10)

Montréal détrône Paris comme meilleure ville étudiante du monde, selon la cinquième édition du classement l’Institut britannique Quacquarelli Symonds (QS).

Paris, qui détenait la première place dans les quatre classements précédents, occupe la deuxième place, suivie de Londres. Les autres villes françaises figurant dans le top 100 sont Lyon (34e place), suivie de Toulouse (68e), Montpellier (90e) et Lille (97e).

Pour ce qui est des villes canadiennes, Vancouver figure dans le top 10. Toronto occupe la 11e place et Québec, la 72e.

Le classement QS est établi selon plusieurs indicateurs comme le niveau académique, la population étudiante, les équipements adéquats, l’attractivité de la ville pour les jeunes, le marché de l’emploi et le coût de la vie et des études. Il tenait compte cette année d’un nouvel indicateur, celui de la perception des étudiants.

Paris aurait perdu son titre en raison de reculs dans les domaines liés au coût de la vie et de l’attraction de la ville. Les villes américaines souffrent de leur côté du coût de la vie et des frais de scolarités élevés. Ainsi, 10 des 12 villes américaines ont reculé dans le classement. Boston occupe la première place américaine, au 8e rang.

Classement 2017 – (2016)

1 – Montréal (7)
2 – Paris (1)
3 – Londres (5)
4 – Séoul (10)
5 – Melbourne (2)
6 – Berlin
7 – Tokyo (3)
8 – Boston (13)
9 – Munich (11)
10 – Vancouver (13)

Top 100 des meilleures universités au monde (2016)

Photo : Université de Montréal

Psychomédia avec sources : QS, Radio-Canada, Le Monde, Le Figaro.
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