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Mort de Jacques Servier, fondateur des laboratoires du même nom

PARIS (Reuters) – Jacques Servier, président et fondateur des laboratoires dont le nom reste associé à l’affaire du Mediator, est décédé mercredi à l’âge de 93 ans, annonce le groupe pharmaceutique.

« Les Laboratoires Servier et tous leurs collaborateurs ont appris avec une immense tristesse le décès de leur président-fondateur, le docteur Jacques Servier, décédé à son domicile le 16 avril 2014 dans sa quatre-vingt-treizième année », dit-il.

« L’esprit, la motivation et la mission de cet homme exceptionnel, qui a consacré sa vie à la recherche de médicaments innovants, perdurent dans la priorité donnée à la recherche scientifique et dans les valeurs humaines au sein de l’entreprise qu’il a créée il y a exactement 60 ans », poursuit-il.

Le groupe, non coté, emploie 21.000 employés dont 3.000 chercheurs et son chiffre d’affaires a atteint 4,2 milliards d’euros pour 2013, selon les chiffres publiés sur son site.

Le laboratoire est visé par plusieurs procédures judiciaires concernant le médicament Mediator, un antidiabétique largement prescrit comme coupe-faim qui aurait, selon les études, fait jusqu’à 2.000 morts en France.

Retiré du marché en 2010 après plus de 20 ans de commercialisation, le Mediator provoquait des valvulopathies et de l’hypertension artérielle pulmonaire, selon plusieurs études.

A titre personnel, Jacques Servier était poursuivi pour « tromperie aggravée ».

« Il a marqué la branche pharma de manière durable, même si la fin est celle que l’on connaît. Pour nous, ça restera monsieur Servier, un chef d’entreprise inventif, généreux et proche de ses salariés », a déclaré un salarié de l’usine de Gidy, dans le Loiret, lieu de fabrication du Mediator.

(Jean-Stéphane Brosse, avec Mourad Guichard à Orléans)


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Mort imminente : le cerveau fonctionnerait toujours

Des chercheurs américains affirment qu’un cerveau en état de mort clinique présente une activité caractéristique de la perception consciente. Une étude contestée par la communauté scientifique.

Les récits des personnes ayant vécu un cas de mort clinique sont souvent chargés de mystère. Les scientifiques de l’université du Michigan, aux Etats-Unis, ont décidé de se pencher sur la question. Dans une étude publiée dans les Comptes rendus de l’Académie américaine des sciences, ils expliquent avoir effectué des recherches sur des rats et affirment que ces sensations étranges correspondent à un regain d’activité cérébrale quand la circulation sanguine cesse dans le cerveau.

Alors que 20% des personnes qui survivent à un arrêt cardiaque parlent d’une expérience de mort imminente pendant leur décès clinique, « nous sommes partis de l’idée que si cette expérience résulte d’une activité cérébrale, elle devrait pouvoir être détectée chez les hommes comme chez les animaux, même après l’arrêt de la circulation du sang dans le cerveau », explique la neurologue Jimo Borjigin, principal auteur de l’étude, cité par l’AFP.

Des signatures électriques

En effet, les neuf rats anesthésiés, dont les chercheurs ont induit un arrêt cardiaque, ont connu une augmentation de leur activité cérébrale, analysée par l’électro-encéphalogramme. « Nous avons été surpris par les hauts niveaux d’activité du cerveau », relève George Mashour, l’un des coauteurs de l’étude, dont les propos sont également rapportés par l’AFP. « En fait, en état de mort imminente, de nombreuses signatures électriques cérébrales de l’état de conscience excèdent celles enregistrées à l’état de veille, ce qui laisse penser que le cerveau est capable d’une activité électrique bien organisée aux premiers stades de la mort clinique », ajoute-t-il.

Un certain scepticisme règne pourtant parmi la communauté scientifique qui a du mal à valider l’interprétation livrée par les chercheurs américains.

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Hommes et femmes inégaux face à la mort subite liée au sport

© Fotolia/Inserm

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« Hommes et femmes inégaux face à la mort subite liée au sport » par le Docteur Erard de Hemricourt.

La pratique sportive est bonne pour l’organisme … sauf quand elle se complique de lésions traumatiques ou conduit dans de très rares cas à des morts subites. Et bien que ces événements soient relativement rares, du fait de leur surmédiatisation dans les journaux, ils font peurs et interpellent les sportifs.

Des données précédentes montraient déjà que les morts subites consécutives à une activité sportive se rencontraient plus souvent chez les hommes mais certains experts attribuaient cela à une participation plus réduite des femmes dans les activités physiques intenses.

Or, voici une nouvelle étude française réalisée par l’équipe du Dr Eloi Marijon à l’Université Paris Descartes qui apporte quelque éclaircissement (Incidence of sports-related sudden death in France by specific sports and sex. Eloi Marijon et al. JAMA 2013 ;310(6) : 642-643).

Les auteurs ont analysé de manière rétrospective des données récoltées entre 2005 et 2010 sur un total de 35 millions d’habitants. Les scientifiques ont retenu trois activités sportives le plus souvent pratiquées par les femmes à savoir le jogging, le vélo et la natation. Également, seules les activités intenses et soutenues ont été prises en compte puisqu’on sait qu’une faible activité physique ne conduit que très rarement à une complication sur le plan cardiovasculaire. Les données ont ensuite été classées en fonction de l’âge des individus et de leur sexe.

Un total de 775 morts subites a été enregistré au cours de la période 2005-2010. Ces décès sont survenus soit pendant l’activité elle-même soit endéans l’heure après l’arrêt de l’exercice physique. Parmi tous les cas enregistrés, seuls 42 décès concernaient des femmes (0,5 %). Ces données confirment donc bien les données précédentes puisque la grande majorité des décès sont effectivement survenus chez les hommes (95 %). Mais cela ne répond pas à la question de savoir si ces décès sont plus fréquents chez les hommes du fait de leur nombre plus important comparativement aux femmes dans la pratique des sports de haut niveau.

Pour répondre à cette question bien précise, les chercheurs ont calculé le nombre de décès sur l’ensemble des femmes et l’ensemble des hommes inclus dans la base de données. Et là, également la différence est flagrante. L’incidence de la mort subite était de 0,51 par million de femmes pratiquant une activité sportive et de 10,1 par million d’hommes soit une multiplication par vingt du risque relatif chez les hommes par rapport aux femmes !

D’après le Dr Marijon, plusieurs explications sont possibles pour expliquer cette grande différence : tout d’abord, les hommes à l’inverse des femmes peuvent débuter leur pratique sportive de manière beaucoup plus brutale, en parvenant très rapidement au summum de leurs capacités physiques.

La seconde hypothèse est plus liée à l’état des coronaires chez les hommes qui présentent plus souvent des lésions et des rétrécissements à ce niveau. Cela pouvant directement augmenter le risque coronarien chez les hommes sportifs.

Quoi qu’il en soit et sur base des données préliminaires récoltées ici, il est donc conseillé aux hommes de faire un bilan cardiovasculaire avant toute pratique sportive intense et cela surtout chez les hommes d’un certain âge puisque cette étude a également permis de montrer que le risque de mort subite, à l’inverse de ce qui est observé chez les femmes, augmenterait avec l’âge.

Docteur Erard de Hemricourt pour News Santé ©2013 – Tous droits réservés
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Mort du Dr Olivier Ameisen, promoteur du Baclofène, un nouveau traitement contre l’alcoolisme

Il venait d’avoir 60 ans et il est mort au moment où il commençait à être entendu. Olivier Ameisen restera comme une personnalité médicale hors norme, une forme de météore dans les cieux tourmentés de la lutte contre les addictions. Il avait non sans courage tout dit de lui, ou presque, dans une autobiographie atypique publiée en 2008, «Le dernier verre», aux Editions Denoël. Un ouvrage né, expliquait-il alors, du silence de ses confrères face à une auto-expérience qui lui avait permis de continuer à vivre. Le silence de ses confrères pour ne pas parler d’une certaine condescendance, voire d’une véritable gêne.

Son histoire était-elle trop belle? Médecin après avoir été musicien, pratiquant la cardiologie aux Etats-Unis, il était devenu alcoolique et avait atteint des stades d’où l’on ne revient habituellement pas. Après avoir tout tenté pour briser cet esclavage suicidaire il avait in fine «tenté le baclofène». Personne ou presque ne savait, avant lui, que l’on pouvait utiliser ce vieux médicament neurologique pour soigner les malades alcooliques. Il expérimenta, augmenta les doses quotidiennes à des niveaux jusqu’à dix fois supérieurs au maximum autorisé. C’est ainsi qu’il avait atteint un stade inconnu: le désintérêt  pour les boissons alcooliques.

Il insistait: le désintérêt. Pas le dégoût ou la nausée. Pas l’abstinence radicale et définitive, unique objectif  de toute l’histoire de la désintoxication alcoolique mais une forme de détachement vis-à-vis de liquides pour lesquels on ne serait, la veille, damné.

Le malade pouvait regarder une bouteille de gin, voire prendre un verre mais ce verre n’avait plus d’intérêt et, surtout, n’en appelait pas tous les autres. La fin des ivresses, mais sans la rédemption de l’abstinence. Contrainte : le traitement médicamenteux était a priori destiné à être pris à vie.

Il y a cinq ans, son «Dernier verre» rencontra un très grand succès. Olivier Ameisen devint un habitué des studios radiophoniques et des plateaux de télévision. Sans toujours être bien compris. Il fit quelques adeptes dans le corps médical français et des milliers de malades alcooliques ou de leurs proches sont aujourd’hui persuadés qu’ils lui doivent la survie et la guérison. On estime aujourd’hui que plus de 50.000 personnes sont en France «sous baclofène» avec succès mais en toute illégalité.

La croisade de ce médecin suscita de nombreuses réserves et de franches oppositions médicales et réglementaires. Non sans raison. On ne disposait d’aucun essai clinique démontrant l’efficacité et l’innocuité du baclofène dans cette indication et à de telles doses. Pour des raisons qui restent encore à élucider, il fallu attendre plus de deux ans pour qu’une mobilisation officielle commence à se traduire dans les faits. Le promoteur du baclofène en nourrit de vives désillusions et put y percevoir une forme de trahison de la part de ses pairs.

En septembre 2012, il participait, sur France Culture, à l’émission «Science Publique» de Michel Alberganti (chroniqueur de Slate.fr). Il peinait alors à développer ses arguments comme il le faisait depuis 2008. En avril une centaine de personnalités, dont le Pr Didier Sicard, ancien président du Comité national d’éthique, lançaient un appel en faveur d’une «libération du baclofène». Un appel rappelant que l’alcool est directement à l’origine de cent morts prématurées chaque jour en France.

Cet appel devait avoir un rapide prolongement. Début 2013, Olivier Ameisen participait à l’hôpital Cochin de Paris à la première rencontre œcuménique sur le thème de «son» baclofène. Le Pr Jacques-Louis Binet, secrétaire perpétuel honoraire de l’Académie de médecine et président de séance le félicita «d’avoir le courage de ne pas prendre la parole». Cela ne manquait pas d’élégance. Il nous a semblé, alors, que le Dr Ameisen était, déjà, ailleurs. Il est mort le 18 juillet d’une crise cardiaque survenue durant son sommeil.      

Jean-Yves Nau


A votre santé! – Slate.fr

Grippe aviaire : le virus H7N9 aurait causé la mort d’un tiers des personnes hospitalisées

Le virus H7N9 de la grippe aviaire a entraîné la mort d’un tiers des personnes qui l’ont contracté. Quatre mois après sont apparition, l’heure est au premier bilan.

Cela fait quatre mois que la souche H7N9 du virus de la grippe aviaire a fait son apparition. Pour la première fois depuis la mi-février, la propagation du virus semble marquer le pas, en partie grâce à l’arrivée de la saison chaude en Asie. Les scientifiques du Centre chinois de prévention et de contrôle des maladies de Pékin souhaitent en profiter pour dresser un premier bilan, basé sur les données relatives aux admissions de personnes infectées dans les hôpitaux chinois.

Selon celles-ci, 131 personnes ont été infectées au 10 juin en Chine et 39 sont décédées, tandi que 14 sont encore hospitalisées et 78 ont pu être soignées. Ces données alliés aux premières informations montrent ainsi qu’un tiers des malades hospitalisés sont décédés. Néanmoins, ces chiffres pourraient être revus à la baisse compte tenu du peu de recul dont disposent les scientifiques depuis l’apparition des premiers cas et la découverte de la souche en février.

Une mortalité difficile à évaluer

Selon l’étude dont les résultats paraissent dans The Lancet, le risque de décès de la grippe H7N9 serait de 36% pour les cas nécessitant une hospitalisation, ce qui représente moins que celui lié à la souche H5N1 (estimé à 60%). Les chercheurs tempèrent ces résultats en soulignant toutefois que « H7N9 serait plus mortelle que la grippe porcine H1N1, à l’origine d’une pandémie en 2009 qui a tué 21% des personnes infectées ».

Reste que les estimations sur lesquelles se basent les scientifiques chinois tient compte des cas les plus sévères seulement, c’est à dire ceux qui ont nécessité une hospitalisation. En incluant les cas mineurs (fièvre et difficultés respiratoires sans nécessité d’hospitalisation) on obtient 1.500 à 27.000 personnes infectées supplémentaires et le risque de décès (…)
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Jiroemon Kimura, l’homme le plus vieux du monde, est mort à 116 ans

Le doyen de l’humanité est mort mardi laissant derrière lui une descendance de plus de 50 individus. Décédé à 116 ans, il était le dernier homme à être né avant 1900 et vivait dans le village de Kyotango au Japon, plus connu sous le nom de « village des centenaires ».

Quelques années supplémentaires et il aurait pu dépasser le record du monde, mais non, Jiroemon Kimura, est décédé mardi de sa belle mort. Ce Japonais était devenu en avril dernier, le doyen de l’humanité à l’occasion de son 116e anniversaire, durant lequel il s’était vu félicité par Shinzo Abe, membre du gouvernement. « Vous nous avez donné de la fierté », avait-il dit à l’homme qui gardait le sourire aux lèvres, malgré son grande âge.

Inscrit au Guinness des Records, Kimura vivait dans la municipalité de Kyotango et avait travaillé 40 ans comme postier avant de prendre sa retraite et de devenir agriculteur jusqu’à ses 90 ans. Né en 1897, il était également le dernier homme au monde ayant vécu avant 1900, lui permettant ainsi d’assister aux deux guerres mondiales, à la mort de Martin Luther King, le premier pas de l’Homme sur la lune ou encore le naufrage du Titanic.

Il aurait par ailleurs connu plus de 60 ministres et au moins 3 empereurs durant sa vie. Et côté privé, le Japonais n’aurait pas non plus chômé puisqu’il laisse derrière lui une longue descendance de 7 enfants, 14 petits-enfants, 25 arrière-petits-enfants et 14 arrière-arrière-petits-enfants.

Le secret de sa longévité

Au cours de sa vie, de nombreuses personnes lui ont demandé quelles étaient les astuces expliquant une telle longévité. A cela, Jiroemon Kimura répondait qu’il ne fumait pas, buvait peu, se levait tôt et ne remplissait jamais son estomac. « Manger léger et vivre longtemps » est un précepte japonais, aimait-il rappeler. Mais les scientifiques parlent plutôt d’une autre piste. Kimura vivait à Kyotango, le village réunissant la plus forte population de (…)
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Mort subite du nourrisson : 5 fois plus de risques chez les bébés dormant avec leurs parents

Selon une nouvelle étude britannique, le risque de mort subite du nourrisson est cinq fois plus élevé chez les nourrissons qui partagent le lit avec leurs parents.

Il peut arriver que des parents partagent leur lit avec leur nouveau-né, notamment pour pouvoir plus facilement l’allaiter au cours de la nuit. Or Une étude britannique qui s’est intéressée à la chose estime pourtant que ce comportement multiplie par cinq le risque de mort subite du nourrisson. Et cela indépendamment de la présence d’une couverture ou du tabagisme des parents comme on pouvait le penser (néanmoins, le tabagisme des parents rend le bébé plus fragile, de même qu’une naissance prématurée et un faible poids de naissance).

Les chercheurs de la London School of Hygiene and Tropical Medicine sont arrivés à cette conclusion après avoir mené une méta-analyse s’intéressant à 19 études ayant porté sur la mort subite du nourrisson, soit 1.472 cas en tout. Les résultats révèlent que 22 % des décès recensés sont survenus dans des familles où l’on pratiquait le ‘co-dodo’ ou ‘cosleeping’.

Des drames évitables ?

De plus, selon les auteurs, 88 % de ces morts subites auraient « probablement’ été évitées si les enfants avaient été couchés dans leur berceau. Comme l’explique le Dr Inge Harrewijn, pédiatre au centre de référence sur la mort inattendue du nourrisson de Montpellier, « ce risque était déjà connu des spécialistes mais pour la première fois, elle le quantifie de façon précise et indépendante. Cela nous donne un argument supplémentaire pour convaincre les jeunes mamans, ou les jeunes parents, qui veulent dormir avec leur nourrisson, soit par commodité ou pour calmer d’éventuelles angoisses ».

La chose est d’importance puisqu’on recense 250 morts subites du nourrisson chaque année en France. Ces décès prématurés concernent les nourrissons de moins de 6 mois, notamment entre deux et quatre mois. Mais « on estime que 100 à (…)
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Video – Tornade à Oklahoma City: J+1, l’état des lieux après le drame

Video – L’explosion la plus forte survenue sur la Lune a été enregistrée

Video – Curiosity a réalisé son deuxième forage sur Mars

Video – Tornade : pourquoi les États-Unis sont particulièrement touchés ?Video – Oklahoma City en deuil, la tornade continue son périple


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Angle mort : pourquoi il est absurde de croire que le niveau de violence d’une société s’explique uniquement par la pauvreté

Angle mort : pourquoi il est absurde de croire que le niveau de violence d'une société s'explique uniquement par la pauvretéAlors que la France est toujours sous le choc une semaine après le lynchage de Kevin et Sofiane, les vieilles excuses sociologiques de la pauvreté et de l'influence de la télévision sont ressorties des placards. Et si elles n'étaient que des paravents ?



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Abbas pour une enquête sur la mort d’Arafat, si nécessaire

"S'IL LE FAUT, NOUS MÈNERONS UNE ENQUÊTE" SUR LA MORT D'ARAFAT, DIT ABBAS, EN VISITE À PARISPARIS (Reuters) – "S'il le faut, nous mènerons une enquête" sur la mort de Yasser Arafat pour déceler d'éventuels "nouveaux éléments" sur les causes de son décès, a déclaré vendredi à Paris l'actuel président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. L'Autorité palestinienne a donné son feu vert mercredi à l'exhumation du corps de son ancien dirigeant décédé en 2004, au lendemain de révélations selon lesquelles il aurait été empoisonné au polonium, une substance radioactive. "Ce sujet est train d'être rouvert actuellement. …



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