Archives par mot-clé : neurones

Schizophrénie : une désynchronisation de réseaux de neurones expliquée

Depuis quelques années les recherches suggèrent qu’une désynchronisation des neurones pourrait être en cause dans la schizophrénie.

Mais l’origine cellulaire d’une telle désynchronisation demeure mal connue.

Des chercheurs de l’Université de Genève (UNIGE) ont identifié un mécanisme cellulaire menant à la désynchronisation des réseaux neuronaux et ont corrigé ce défaut dans un modèle animal adulte de la maladie, supprimant ainsi des comportements anormaux associés à la schizophrénie.

Ces résultats, publiés dans la revue Nature Neuroscience, « montrent qu’une intervention thérapeutique est envisageable à tous les âges de la vie », souligne le communiqué de l’UNIGE.

Certaines mutations génétiques augmentent fortement le risque de schizophrénie. Par exemple, dans le syndrome de DiGeorge (syndrome de la délétion 22q11), les personnes affectées ont 40 fois plus de risque de développer des troubles schizophréniques que la population générale. Cette anomalie génétique est marquée par l’absence d’une trentaine de gènes sur l’une des deux copies du chromosome 22.

Alan Carleton et ses collègues ont étudié un modèle murin qui reproduit l’altération génétique du syndrome de DiGeorge ainsi que des changements comportementaux associés à la schizophrénie. Ils se sont penchés sur les réseaux de neurones de l’hippocampe, une structure impliquée notamment dans la mémoire. Dans l’hippocampe d’une souris contrôle, les milliers de neurones qui composent le réseau se coordonnent selon une séquence d’activité synchronisée. Alors que chez une souris modèle, les réseaux présentent le même niveau d’activité, mais sans coordination, comme si les neurones étaient incapables de communiquer correctement entre eux.

« L’organisation et la synchronisation des réseaux neuronaux se font grâce à l’intervention de sous-populations de neurones inhibiteurs, notamment les neurones à parvalbumine », explique Alan Carleton. « Or, dans ce modèle animal de la schizophrénie, ces neurones sont beaucoup moins actifs. »

En stimulant les neurones à parvalbumine de l’hippocampe, les chercheurs ont restauré l’organisation séquentielle et le fonctionnement normal des réseaux neuronaux. Des anomalies comportementales (hyperactivité et déficit de mémoire) ont ainsi été corrigées.

« Ces résultats suggèrent qu’une intervention thérapeutique est possible, y compris à l’âge adulte. “Ce dernier élément est vraiment essentiel. La schizophrénie se déclare en effet à la fin de l’adolescence, même si les altérations sont très probablement présentes dès le stade neurodéveloppemental. D’après nos travaux, renforcer l’action d’un neurone inhibiteur faiblement actif, même après avoir passé les périodes de développement cérébral, pourrait suffire à rétablir le bon fonctionnement des réseaux neuronaux et faire disparaître certains comportements pathologiques.”

Les traitements actuels de la schizophrénie sont essentiellement basés sur l’administration d’antipsychotiques ciblant les systèmes dopaminergiques et sérotoninergiques. Si leur effet sur les symptômes hallucinatoires est notable, ils restent cependant moins efficaces pour améliorer de nombreux symptômes notamment cognitifs. Une approche visant à pallier le défaut des neurones à parvalbumine pour augmenter leur effet inhibiteur apparaît donc comme une cible prometteuse, mais il faudra encore du temps avant la mise au point d’un traitement basé sur cette stratégie. Les neuroscientifiques veulent maintenant confirmer leurs résultats plus largement en étendant notamment leurs recherches à des formes de schizophrénie résultants d’altérations génétiques différentes de celles du syndrome de DiGeorge. »

Pour plus d’informations sur la schizophrénie, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Université de Genève, Nature Neuroscience.
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Découverte d’un nouveau type de neurones pouvant distinguer le cerveau humain

« L’une des questions les plus intrigantes sur le cerveau humain est aussi l’une des plus difficiles à répondre pour les neuroscientifiques : qu’est-ce qui distingue notre cerveau de celui des autres animaux ? »

« Nous ne comprenons pas vraiment ce qui rend le cerveau humain spécial », explique Ed Lein, chercheur à l’Allen Institute for Brain Science (Seattle, États-Unis).

« L’étude des différences au niveau des cellules et des circuits neuronaux est un bon point de départ, et maintenant nous avons de nouveaux outils pour le faire », ajoute-t-il.

Dans une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Neuroscience, Lein et ses collègues révèlent une réponse possible à cette question. L’équipe de recherche, codirigée par Lein et Gábor Tamás, neuroscientifique à l’Université de Szeged (Szeged, Hongrie), a découvert un nouveau type de cellules cérébrales humaines qui n’a jamais été observé chez la souris et d’autres animaux de laboratoire bien étudiés.

Tamás et Eszter Boldog ont surnommé ces nouvelles cellules « neurones églantier » « car le faisceau dense que forme chaque axone autour du centre de la cellule ressemble à une rose après qu’elle ait perdu ses pétales ». Les cellules nouvellement découvertes appartiennent à la classe des neurones inhibiteurs, utilisant le neurotransmetteur GABA (sur lequel agissent les médicaments benzodiazépines tels que le Xanax et certaines plantes médicinales), qui freinent l’activité des autres neurones du cerveau.

« L’étude ne prouve pas que cette cellule spéciale du cerveau est unique aux humains. Mais le fait qu’elle n’existe pas chez les rongeurs est intrigant et l’ajoute à une liste très courte de neurones spécialisés qui peuvent n’exister que chez les humains ou seulement dans le cerveau des primates ».

Les chercheurs ne comprennent pas encore ce que ces cellules pourraient faire dans le cerveau humain.

Dans leur étude, ils ont utilisé des échantillons de tissus provenant du cerveau post-mortem de deux hommes d’une cinquantaine d’années. Ils ont pris des sections de la couche supérieure du cortex, la région la plus externe du cerveau qui est responsable de la conscience humaine et de nombreuses autres fonctions considérées comme uniques à notre espèce. Cette région est beaucoup plus grande, comparée à notre taille corporelle, que chez les autres animaux.

« C’est la partie la plus complexe du cerveau, et il est généralement admis qu’il s’agit de la structure la plus complexe de la nature », dit Lein.

Les chercheurs ont découvert que les « cellules églantier » activent un ensemble unique de gènes, une signature génétique que l’on ne retrouve dans aucun des types de cellules cérébrales de souris qu’ils ont étudiés. Ils ont aussi découvert qu’elles forment des synapses avec un autre type de neurones dans une autre partie du cortex humain, les neurones pyramidaux.

Ce qui semble être unique au sujet des neurones églantier, c’est qu’ils ne s’attachent qu’à une partie spécifique de leur partenaire cellulaire, ce qui indique qu’ils pourraient contrôler un flux d’information d’une manière très spécialisée.

La prochaine étape pour les chercheurs est de rechercher les neurones de l’églantier dans d’autres parties du cerveau et d’explorer leur rôle potentiel dans les troubles cérébraux.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Allen Institute, Nature Neuroscience.
Tous droits réservés.

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Le cerveau des plus âgés fabriquerait toujours autant de neurones

Le cerveau des plus âgés fabriquerait toujours autant de neurones

Le 12 avril 2018.

Même chez les plus âgés, le cerveau aurait la capacité de se renouveler chaque jour en fabriquant de nouveaux neurones. Une nouvelle étude pourrait bien ébranler les acquis scientifiques sur le sujet.

L’hippocampe parvient toujours à fabriquer des neurones, même après 70 ans

Contrairement à ce qui a été démontré par certaines études scientifiques, le cerveau des personnes âgées serait toujours en mesure de fabriquer de nouveaux neurones. Dans l’hippocampe, centre de la neurogenèse, de nouvelles cellules apparaîtraient chaque jour, de sorte que l’activité cérébrale, et donc la santé mentale, des plus âgés pourrait toujours être renouvelée.

Pour parvenir à cette conclusion, des chercheurs de l’université Columbia, et de l’institut psychiatrique de l’État de New-York, ont réalisé des autopsies sur des corps de personnes âgées de 14 à 79 ans, toutes décédées de manière accidentelle, alors qu’elles étaient en bonne santé. À partir des résultats de ces examens, les auteurs de cette étude, parue dans la revue Cell Stem Cell, ont réalisé que même les cerveaux de personnes âgées de plus de 70 ans stockaient des cellules progénitrices et des neurones immatures ont été observés.

La communication interneuronale se détériore au fil du temps

« Nous avons constaté que les personnes âgées ont une capacité similaire à fabriquer des milliers de nouveaux neurones de l’hippocampe à partir de cellules progénitrices, comme le font les personnes plus jeunes », a ainsi détaillé Maura Boldrini, principale auteure de l’étude, dans un communiqué.

Au cours de leur étude, les chercheurs ont toutefois remarqué que si la neurogenèse des personnes âgées était toujours active, le cerveau des seniors avait une capacité affaiblie de fabrication de nouveaux vaisseaux sanguins. En d’autres termes, leur neuroplasticité décline et les neurones communiquent moins facilement entre eux au cours du temps qui passe.

Gaëlle Latour

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Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Où se cachent les neurones de la reproduction ?

Où se cachent les neurones de la reproduction ?

Le 27 janvier 2017.

Une équipe de chercheurs de l’Institut médical de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a découvert que les neurones de la reproduction étaient éparpillés un peu partout dans le cerveau.

Observation de la migration des neurones de la reproduction 

Jusqu’à présent, les scientifiques pensaient que les neurones qui contrôlent les fonctions de reproduction chez l’homme et la femme naissaient dans la zone du nez chez le fœtus et migraient petit à petit jusqu’à la zone du cerveau appelée l’hypothalamus. Mais cette théorie a été battue en brèche par une étude de l’Inserm, qui révèle que ces neurones se trouvent dans plusieurs endroits du cerveau.

Mais en quoi cette découverte est-elle capitale ? Elle est importante, dans la mesure où elle suggère que ces neurones pourraient avoir d’autres rôles. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont observé les modalités de migration de ces cellules, leur nombre et leur distribution dans le cerveau pendant le développement embryonnaire. Pour cela, ils ont travaillé sur des embryons humains âgés de 6 à 12 semaines, issus de dons de parents dans le cadre d’avortements.

Comprendre le rôle de ces neurones

Grâce à cette observation, ils se sont aperçus que les neurones de la reproduction migraient vers l’hypothalamus, mais aussi vers le cortex, le bulbe olfactif, l’hippocampe et certaines régions du système limbique. Désormais, les chercheurs vont chercher à comprendre quel rôle jouent ces neurones dans ces différentes zones du cerveau.

« Il existe une imprégnation hormonale durant le développement du cerveau, prénatal et postnatal, dont un dysfonctionnement pourrait être à l’origine de certaines pathologies neurologiques et psychiatriques », a avancé le Pr Paolo Giacobini, qui a participé aux travaux. Certains troubles de la fertilité pourraient notamment provenir de problèmes de migration de ces neurones. Mais tout ceci reste à préciser.

Marine Rondot

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Une greffe de neurones pour réparer le cerveau d’une souris

© A. Gaillard, Inserm

© A. Gaillard, Inserm

C’est une première mondiale et elle a été réalisée par une équipe franco-belge : l’équipe d’Afsaneh Gaillard (Unité Inserm 1084, Laboratoire de neurosciences expérimentales et cliniques, Université de Poitiers) en collaboration avec l’Institut de recherche interdisciplinaire en biologie humaine et moléculaire de Bruxelles. Ils ont réussi à réparer le cerveau d’une souris adulte grâce à une greffe des neurones corticaux dérivés de cellules souches embryonnaires.

Le cortex cérébral est une des structures les plus complexes de notre cerveau, il est composé d’une centaine de type de neurones organisés en 6 couches et en de nombreuses aires distinctes sur le plan neuroanatomique et fonctionnel.

Les lésions cérébrales, qu’elles soient d’origine traumatique ou neurodégénérative, entrainent une mort cellulaire associée à des déficits fonctionnels importants. Afin de pallier les capacités limitées de régénération spontanée des neurones du système nerveux central adulte, les stratégies de remplacement cellulaire par transplantation de tissu embryonnaire présentent un potentiel intéressant.

Un défi majeur pour la réparation du cerveau est d’obtenir des neurones corticaux de couche et d’aire appropriées afin de rétablir de façon spécifique les voies corticales lésées.

Les résultats obtenus par les équipes d’Afsaneh Gaillard et de Pierre Vanderhaeghen de l’Institut de Recherche Interdisciplinaire en Biologie humaine et moléculaire de Bruxelles démontrent, pour la première fois, chez la souris, que les cellules souches pluripotentes différenciées en neurones corticaux permettent de rétablir les circuits corticaux lésés adulte sur le plan neuroanatomique et fonctionnel.

Ces résultats suggèrent par ailleurs que la restauration des voies lésées n’est possible que par des neurones de même type que la région lésée.

Cette étude constitue une étape importante dans le développement de thérapie cellulaire appliqué au cortex cérébral.

Cette approche, n’est encore qu’expérimentale (uniquement chez la souris de laboratoire). De nombreuses recherches seront nécessaires avant une application clinique éventuelle chez l’homme. Néanmoins, pour les chercheurs, « le succès de nos expériences d’ingénierie cellulaire, permettant de générer des cellules nerveuses de façon contrôlée et illimitée, et de les transplanter, constitue une première mondiale. Ces travaux ouvrent de nouvelles voies d’approche de réparation du cerveau endommagé, notamment après accidents vasculaires ou traumatismes cérébraux », expliquent-ils.

Ce projet a été financé par Agence Nationale de la Recherche (ANR-09-MNPS-027-01).

Crédit/source : communiqué Inserm


News Santé

Ne pas dormir détruirait nos neurones

Besoin de dormir? Vous feriez mieux de ne pas lutter. Une nouvelle étude de l’Ecole de médecine de l’université de Pennsylvanie révèle ce qui pourrait bien être une conséquence néfaste du manque de sommeil: la perte de neurones. 

Sigrid Veasey, membre du Centre du sommeil et de la neurobiologie circadienne à l’école Perelman, a travaillé en collaboration avec l’université de Pékin. La BBC, qui reprend le travail publié par le Journal of Neuroscience, détaille la manière dont ils ont mené leur étude. Utilisant des souris comme cobayes, ils les ont forcées à ne dormir qu’environ 4 à 5 heures en 24 heures. Résultat: elles ont perdu en moyenne 25% de leurs cellules nerveuses.

«Selon les chercheurs, c’est la première fois que l’on prouve que le manque de sommeil peut conduire à une perte de cellules du cerveau.»

Et pas n’importe quelles cellules. Il s’agit en effet des neurones locus cœuruleus (LC), précise Medical Xpress. Leur disparition accélèrerait par exemple le développement de maladies comme Alzheimer ou Parkinson.

«Le manque de sommeil sur une durée prolongée est lié aux dommages, ou à la perte, de neurones essentiels pour la vivacité et pour des capacités cognitives optimales, les neurones locus cœuruleus.»

Les scientifiques se sont souvent intéressés au sommeil, mais davantage pour découvrir à quoi il servait. Nous passons en effet environ un tiers de notre vie à dormir; mais pour quelle raison? Là-dessus, les théories sont nombreuses. Certaines ont été vérifiées: le sommeil permet de récupérer de sa journée, de faire mûrir le système nerveux, de mieux mémoriser également, ou encore de «nettoyer le cerveau des toxines accumulées», nous apprend l’une des dernières études en date.

L’altération des capacités cognitives due au manque de sommeil n’est donc pas une nouveauté. En revanche, le côté «irréversible» de ces dommages , oui. Medical Xpress signale que «rattraper son sommeil» ne serait plus une solution:

«A en croire la sagesse commune, rattraper son sommeil compense le sommeil perdu, sans provoquer des effets à long terme. Mais cette nouvelle étude montre des preuves inquiétantes que la perte de sommeil chronique pourrait être plus sérieuse que ce que l’on pouvait croire jusqu’alors, et pourrait même conduire à des dommages physiques irréversibles et une perte de neurones »

Mais les chercheurs à l’origine de cette étude restent prudents. Ils disent vouloir mener des recherches supplémentaires pour confirmer que ces effets sont valables chez les humains. Pour ce faire, ils prévoient d’examiner post-mortem les corps de travailleurs de nuit. S’ils peuvent y observer la perte de neurones LC, ou des signes d’Alzheimer ou de Parkinson, la piste découverte avec les souris devra être creusée.

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Des ‘neurones GPS’ mis en évidence dans le cerveau

Des chercheurs américains viennent d’identifier chez l’homme des « cellules-grillage » dans le cerveau, dont la fonction servirait entre autres à se repérer dans l’espace et se souvenir de leur position. Une découverte qui pourrait être utile dans le traitement de la maladie d’Alzheimer.

Comment expliquer le sens de l’orientation ? Passer d’un point A à un point B et savoir retourner sur ses pas, même si entre temps le décor, la lumière a changé ? Une équipe de chercheurs américains viennent de mettre en évidence chez l’homme un nouveau type de neurones, les « cellules-grillage ».

Publiée dans la revue Nature Neuroscience, leur étude a consisté à observer l’activité cérébrale de patients épileptiques hospitalisés avec des électrodes implantés dans leur cerveau pour leur traitement. Pour tester leurs capacités de localisation dans l’espace, l’équipe leur a donné un jeu vidéo simple. Objectif : rejoindre des objets répartis sur un terrain. Une fois l’objet atteint, il fallait recommencer sauf que cette fois-ci l’objet est rendu invisible. Il fallait donc utiliser sa mémoire et son sens de l’orientation pour pouvoir le retrouver.

Des cellules qui gèrent les données de navigation

Les chercheurs ont ensuite étudié l’activité cérébrale des sujets afin de déterminer quelles cellules étaient impliquées dans cette tâche. C’est ainsi qu’ils ont mis en évidence des structures encore inconnues, du moins chez l’homme. En effet, les cellules-grillage (« grid cell » en anglais) ont déjà été mis en évidence chez les rats, laissant supposer qu’elles existent chez l’homme. Mais leur existence n’avait pas encore été confirmée.

Ces neurones doivent leur nom aux grillages composés de triangles qui s’activent dans le cerveau lorsque l’individu se déplace. Ce comportement permet au cerveau de gérer les données de navigation entre le point de départ et l’arrivée, tout (…)

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