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Noir, blanc ou au lait : quel chocolat préférer pour votre santé ?

Noir, blanc ou au lait : quel chocolat préférer pour votre santé ?

Le 22 avril 2019.

Pâques est incontestablement le jour de l’année où les Français consomment le plus de chocolat. Voici comment choisir celui que vous offrirez à votre table.

Comment choisir son chocolat ?

À Pâques, tous les excès en chocolat sont permis, mais certains seront plus bénéfiques pour votre santé que d’autres, et pour cela, tout réside dans le choix du type de chocolat que vous cacherez dans votre jardin. Noir, au lait ou blanc, votre cœur balance ? Regardez sous un angle santé pour mieux les choisir. Sachez en effet qu’en réalité, seul le chocolat noir peut légitimement porter le nom de « chocolat ». La fabrication de ce dernier implique un cahier des charges bien précis à haute teneur en cacao, ce qui n’est pas le cas de son cousin au lait, qui ne doit contenir que 25%, au minimum, de composants secs de cacao, ou blanc, qui en contient en fait que du beurre de cacao.

Cette différence de composition se traduit donc par de gros écarts nutritionnels. Ainsi, le chocolat noir est incontestablement celui qui contient le moins de sucres ajoutés (21g pour 100g), contrairement au chocolat blanc (57g pour 100g) et au chocolat au lait (51g pour 100g).

Attention aux chocolats industriels

En revanche, c’est le chocolat noir qui contient le plus de lipides. Malgré cela, c’est bien ce dernier qui offre le plus de bénéfices pour votre santé. De nombreuses études ont démontré les bienfaits du cacao sur l’organisme : riche en magnésium, en fer ou en potassium, il offre un effet protecteur contre les accidents vasculaires cérébraux, les maladies cardiovasculaires, l’hypertension ou encore le diabète.

Attention cependant à l’origine de votre chocolat noir. Le chocolat industriel, vendu dans la grande distribution, est certes moins cher, mais offre une moins bonne composition, notamment parce que, pour compenser une teneur plus faible en cacao, assez coûteux, les fabricants ont tendance à rajouter du sucre. Préférez donc les produits vendus en chocolaterie, qui vous garantissent une composition de qualité.

Gaëlle Latour

À lire aussi Le chocolat, un trésor de bienfaits pour la santé…

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Un bénéfice important du poivre noir pour la santé

Le poivre noir présente un important bénéfice pour la santé, montrent les travaux du Pr J. Scott Smith de l’Université d’État du Kansas.

Il permet d’éliminer, en grande partie, les amines hétérocycliques (AHC) qui peuvent se former à la surface des viandes lors de la cuisson. Les AHC sont reconnus comme cancérogènes par le Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC), une agence de l’Organisation mondiale de la santé.

Les AHC sont en quantité beaucoup plus importante lorsque la viande est brûlée.

Presque toutes les viandes, dont le bœuf, le porc, le poulet et la plupart des poissons, peuvent former ces composés cancérogènes.

Dans une étude, le chercheur a mélangé 1 g de poivre noir finement broyé à 100 g de bœuf haché. Cette dose éliminait presque entièrement les AHC, mais la saveur du poivre était trop forte pour être agréable. Une option plus acceptable et tout aussi efficace a été de mélanger du poivre avec d’autres épices, comme l’origan et l’ail.

La plupart des épices qui sont très efficaces appartiennent à la famille de la menthe, qui inclut le romarin, le thym, l’origan, le basilic, la sauge et la marjolaine, et la famille des myrtes, qui inclut le clou de girofle et le allspice, précise le chercheur.

Barbecue : une marinade à la bière réduit la formation de substances cancérigènes

Pour plus d’informations sur les bénéfices de certaines herbes et épices, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Kansas State University.
Tous droits réservés.

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Une explication pour la tendance aux jugements moraux « noir ou blanc »

Tueriez-vous une personne innocente pour en sauver cinq ? Votre popularité pourrait dépendre de votre réponse. Les gens évaluent si les autres sont dignes de confiance sur la base de leurs jugements moraux, montre une étude publiée dans le Journal of Experimental Psychology : General (JEPG).

Les gens ont tendance à préférer, comme partenaires sociaux, ceux qui basent leurs décisions morales sur des principes absolus plutôt que sur une analyse des conséquences, montre l’étude.

Ces résultats, estiment les chercheurs, peuvent aider à expliquer pourquoi les jugements instantanés sur la moralité ont tendance à être basés sur un ensemble de règles morales absolues (telles que « ne pas tuer des innocents »), même si l’on peut prendre des décisions différentes lorsqu’on a plus de temps.

Le chercheur en psychologie Jim A.C. Everett et ses collègues (1) des universités Oxford et Cornell ont comparé deux écoles de pensée sur la morale.

Les approches conséquentialistes considèrent que nous devrions viser à maximiser le plus grand bien pour le plus grand nombre, même si cela implique de causer un préjudice, comme de tuer une personne pour en sauver cinq.

À l’opposé, les approches déontologiques mettent l’accent sur les règles morales et les idées de droits et de devoirs, de sorte que certaines choses (comme tuer une personne innocente) sont mauvaises, même si elles maximisent de bons résultats (comme sauver des vies supplémentaires).

Les gens ont tendance à adopter le style déontologique de moralité, « ce qui suggère que ces règles morales ont, en quelque sorte, été codées dans la nature humaine », expliquent Everett et ses collègues (1). « Mais pourquoi ? »

« Les psychologues ont fait valoir que les intuitions déontologiques résultent de réactions émotionnelles “irrationnelles”, mais nos travaux suggèrent une autre explication : la popularité. Si les gens qui adhèrent à des absolus moraux sont préférés en tant que partenaires sociaux, exprimer ce point de vue permet de retirer des avantages pour soi-même. Avec le temps, cela pourrait favoriser un type de pensée morale par rapport à un autre au niveau de la population globale. Et cela a un sens : on frémit à la pensée d’un ami ou d’un partenaire faisant une analyse coût/bénéfice pour savoir si vous devriez être sacrifié pour le plus grand bien. Plutôt que de refléter une pensée émotionnelle erronée, le jugement moral basé sur des règles pourrait être une caractéristique adaptative de nos esprits. »

Pour tester cette idée, les chercheurs ont utilisé plusieurs variantes de dilemmes moraux où la personne doit décider de sacrifier ou non une personne innocente pour sauver la vie de plusieurs d’autres. Les participants devaient ensuite indiquer s’ils préféraient, comme partenaires sociaux, ceux qui avaient fait des jugements basés sur les règles ou ceux qui se basaient sur une analyse des conséquences.

À travers 5 expériences, avec plus de 2400 participants, ils ont constaté que les gens qui avaient une approche absolue (refusant de tuer une personne innocente, même lorsque cela maximiserait le plus grand bien) étaient considérés comme plus fiables.

Lorsqu’on leur demandait de faire confiance à une autre personne dans un contexte impliquant une somme d’argent, les participants remettaient plus d’argent, et étaient plus confiants de le récupérer, avec quelqu’un qui avait refusé de sacrifier quelqu’un pour en sauver plusieurs.

Mais, simplement décider de sacrifier ou non un innocent n’était pas la seule chose qui importait. Quelqu’un qui avait décidé de sacrifier une vie pour en sauver cinq mais avait trouvé cette décision difficile semblait plus digne de confiance que quelqu’un qui avait trouvé la décision facile.

Et ceux qui avaient refusé de tuer n’étaient pas toujours jugés plus dignes de confiance. Lorsque la personne qui pouvait être sacrifiée indiquait un désir spécifique de vivre ou une volonté de mourir, les gens favorisaient les individus qui avaient respecté les souhaits, même si le meurtre était impliqué.

« Cela contribue à expliquer pourquoi nous semblons aimer les gens qui adhèrent à ces règles morales intuitives – non pas parce qu’ils collent à la lettre de la loi, mais parce que les règles elles-mêmes ont tendance à insister sur l’importance absolue de respecter les souhaits et les désirs des autres ».

Ces résultats, concluent les chercheurs, montrent que les décisions morales de la vie de tous les jours ne correspondent pas exactement aux catégories nettement définies par les philosophes de la moralité. La moralité de tous les jours est plutôt adaptée à la complexité des situations de la vie réelle.

(1) Molly J. Crockett et David Pizarro.

Psychomédia avec sources : University of Oxford, JEPG.
Tous droits réservés

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Chocolat noir ou au lait : qui a les meilleurs atouts santé ?

Quasiment tout le monde aime le chocolat… Mais qu’en est-il de ses vertus santé ? Qui offre les meilleurs bienfaits : chocolat noir ou chocolat au lait ? A votre avis !

Le meilleur chocolat est sans aucun doute celui qui a la moins grande quantité de matières grasses et de sucres… C’est alors le chocolat noir !

Il contient un peu moins de sucres que le chocolat au lait, mais il est riche en cuivre, en magnésium et en fer. Il contient aussi une haute teneur en flavonoïdes.

Le chocolat noir serait alors un véritable aliment anti-déprime, il stimulerait aussi le cerveau grâce à ses antioxydants et protégerait du vieillissement cérébral. Le chocolat noir aurait également une action préventive contre les maladies cardio-vasculaires et ferait baisser la tension !

Toutefois, le chocolat au lait, même s’il apporte moins de bienfaits que le chocolat noir, serait en revanche plus riche en calcium et en phosphore, tout comme le chocolat blanc d’ailleurs.

Alors pas de quartier, entre chocolat noir et chocolat au lait, si vous deviez n’en choisir qu’un, c’est le chocolat noir qu’il faudrait privilégier.

Quant aux français, connaissez-vous leur place en matière de consommation de chocolat dans le monde ? Découvrez-le ICI !


 

Crédit Photo : Nadir Gafarov – ShutterStock

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Noir d’Olive, la tradition du savon noir par Les Sens de Marrakech

Pour toutes celles qui n’ont jamais utilisé de savon noir, celui que Les Sens de Marrakech viennent de mettre au point est l’occasion idéale de s’initier à ce produit de beauté oriental et ancestral.

Avec Noir d’Olive, Les Sens de Marrakech proposent en effet une nouvelle génération de savon noir qui réunit toutes les vertus classiques du savon noir – action calmante, émolliente, purifiante et favorisant l’exfoliation – mais dans une texture particulièrement facile d’utilisation.

Composée à 98% d’ingrédients naturels, cette formule associe de l’huile d’argan, de l’huile d’olive extra vierge et des extraits aromatiques de lavande, de romarin, de menthe et d’ambre.

Dans le bain ou sous la douche, Noir d’Olive sera parfait été comme hiver poour retrouver une peau lisse et saine. Additionné d’un jus de citron dans un bol d’eau bien chaude, il est aussi l’allié des ongles, des pieds comme des mains, pour les blanchir et repousser les cuticules.

Et quant à son pot fabriqué artisanalement dans la médina de Marrakech, il sera le bienvenu en décoration dans la salle de bains avec son couvercle en métal brossé et sa passementerie.

(Noir d’Olive, Les Sens de Marrakech. Disponible sur www.lessensdemarrakech.com et dans les instituts, spas et boutiques de décoration dépositaires. Tél. lecteurs : 05 49 45 60 09. Pot 200g, prix indicatif : 25 €)


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté

J’ai testé le  » modelage découverte  » dans le noir

photoOn connaissait le restaurant  » Dans le noir « , voici désormais le spa. Dans ce lieu unique, qui a ouvert ses portes à Paris en avril dernier, les esthéticiennes sont handicapées visuelles. Elles nous font pénétrer et nous guident dans leur univers. Privée de la vue, on redécouvre comme elles nos autres sens, particulièrement le toucher. Sensations inédites garanties !



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