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Le pommeau de douche, ce nouveau fléau

Le pommeau de douche, ce nouveau fléau

Mardi 13 novembre 2018.

Des bactéries responsables d’infections pulmonaires

Si vous préférez les bains, vous avez probablement raison. Une étude réalisée par des chercheurs occidentaux vient en effet de révéler que le pommeau de douche est potentiellement notre pire ennemi.

Étant par nature inaccessible, sauf à le démonter, il abrite en son sein, loin des détergents et autres produits de nettoyage utilisés dans la salle de bain, tout un tas de bactéries ! Des bactéries qui profitent de l’humidité et de la chaleur pour se développer, avant de se diffuser dans l’air de la salle de bain ou de la cabine de douche quand vous voudrez vous en servir ! 

Or, certaines de ces bactéries sont responsables de maladies de peau ou d’infections pulmonaires. C’est ce que les chercheurs ont constaté en procédant à des prélèvements et des analyses sur plus de 650 pommeaux de douche, dans des salles de bains occidentales.

Gants et fleurs de douche doivent passer à la machine souvent

À cela s’ajoutent également les bactéries et microbes qui élisent domicile sur les gants qui traînent, toujours humides, dans la douche ou sur le rebord de la baignoire. Les fleurs de douche ne font pas meilleure figure, d’autant qu’elles ne passent jamais à la machine, contrairement aux gants de toilette qui n’y vont jamais assez souvent.

Les chercheurs recommandent donc de nettoyer l’intérieur du pommeau de douche, idéalement en le démontant et en y injectant un détergent. De même, gants et fleurs de douche doivent être régulièrement remplacés et lavés.

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Nouveau livre de recettes de Josée Di Stasio : « À la soupe »

Josée Di Stasio vient de publier un nouveau livre, « À la soupe » (Flammarion Québec, 11 octobre 2018).

« Tout a commencé parce que c’est un plat que je consomme régulièrement. Ça me réconforte, et je pense que c’est le cas pour plein de monde », a-t-elle confié au quotidien Métro. « Je me suis demandé ce que j’avais envie de manger, parce que quand on fait un livre de recettes, on les mange matin, midi et soir, et même quand on reçoit. »

Le livre présente 52 recettes de soupes, mais aussi 12 recettes de bouillons, 24 de garnitures et 12 d’accompagnements. Il n’y a pas deux soupes qui se ressemblent., a-t-elle indiqué au site Métro.

« Le point fort de ce plat, c’est qu’on se colle sur les arrivages du marché et sur ce qu’on a dans le frigidaire et le garde-manger. Même si j’ai des ingrédients fétiches, comme les épinards, j’ai essayé de couvrir tous les ingrédients et toutes les saisons, avec notamment des soupes froides et des soupes-repas. Il y a des soupes qui se font en cinq minutes avec ce qu’on a. C’est une bonne façon de ne rien gaspiller. »

« Je pense que depuis longtemps, la soupe est à la base de l’alimentation ; on faisait avec ce qu’on avait et il n’y avait pas de gaspillage. »

« (…) Comme je travaille à la maison, la soupe est carrément mon dépanneur du lunch, raconte-t-elle. (…) Je ne sers jamais d’énormes bols de potage. Je trouve ça trop ennuyant, trop mou ! J’aime y ajouter des garnitures, quelque chose de croustillant, et le servir dans de petits bols. C’est facile de “pimper” nos potages en y ajoutant par exemple des pois chiches grillés, de la feta émiettée… »

La présentation de l’éditeur décrit :

« Des bases originales : bouillon de lait de coco, bouillon de tomate de septembre, bouillon de parmesan, fumet de porcinis. Puis des mélanges gagnants : des légumes, des légumineuses, des céréales, du poisson, un peu de viande… et encore des légumes introduits au fil des récoltes de nos fermiers, de la première asperge du printemps au dernier bouquet de kale de la saison ! Avec des accompagnements gourmands : scones au fromage, craquelins multigrains, grilled cheese… Et la touche finale qui change tout : huile parfumée, légume braisé, petite julienne, concassé de noix pour l’indispensable croquant. »

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Métro, Flammarion Québec.
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Grippe saisonnière : les pharmaciens pourront de nouveau vacciner

Grippe saisonnière : les pharmaciens pourront de nouveau vacciner

Le 27 septembre 2018.

Le ministère de la Santé pense déjà à la prochaine épidémie de grippe et cette année, comme l’année dernière, les pharmaciens de certaines régions seront autorisés à vacciner leurs patients.

Les pharmaciens pourront de nouveau vacciner contre la grippe

Comme chaque année à la même époque, le gouvernement peaufine sa campagne de sensibilisation au vaccin contre la grippe. Pour contenir l’épidémie et limiter le nombre de décès liés à cette maladie hivernale, les autorités sanitaires misent sur de nombreux moyens pour convaincre les personnes les plus sensibles de se faire vacciner. Parmi ces moyens : la vaccination par les pharmaciens.

Déjà l’année dernière, ces derniers avaient été mis à contribution en recevant l’autorisation de vacciner certains patients depuis leur officine. Cette année, l’opération est reconduite dans plusieurs régions et à une catégorie de personnes plus large encore.

Dans quatre régions, les pharmaciens pourront vacciner certains patients

Cette deuxième expérimentation concernera les régions Auvergne-Rhône-Alpes, Nouvelle-Aquitaine, Hauts-de-France et Occitanie. Selon le dispositif annoncé, les pharmaciens pourront vacciner les patients dits à risque, soit ceux qui ont plus de 65 ans, ceux dont les pathologies peuvent être aggravées par une simple grippe et, contrairement à l’année dernière, les femmes enceintes et les personnes qui n’auront encore jamais été vaccinées.

Selon les chiffres officiels, l’expérimentation qui a été menée en Nouvelle-Aquitaine et Auvergne-Rhône-Alpes l’année dernière a permis la vaccination de 160.000 personnes. Au cours de la saison 2017-2018, sur les plus de 12 millions de personnes qui ont été invitées à se faire vacciner, près de 5,5 millions en ont fait la démarche.

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Un nouveau médicament prometteur contre la maladie d’Alzheimer

Un nouveau médicament permet d’inverser les troubles de mémoire et de stopper l’évolution pathologique de la maladie d’Alzheimer chez un modèle animal, a montré une étude québécoise publiée dans la revue Nature Communications.

« Ce médicament s’est déjà avéré non toxique chez l’humain dans un contexte clinique et pourrait, par conséquent, faire rapidement l’objet d’essais cliniques chez l’humain contre la maladie d’Alzheimer. »

Pendant des années, la docteure Andréa C. LeBlanc, professeure au département de neurologie et de neurochirurgie à l’Université McGill, « a cherché à identifier les premiers événements neurodégénératifs responsables de la perte de mémoire liée à l’âge ».

Le communiqué de l’université explique :

« Son équipe a découvert qu’une enzyme, la caspase-6, était fortement activée dans les lésions cérébrales associées à la maladie d’Alzheimer et jouait un rôle dans la perte de mémoire. Elle a donc examiné l’hypothèse selon laquelle l’inactivation de la caspase-6 pourrait corriger la perte de mémoire et enrayer l’évolution progressive de la démence. Comme il n’existe aucun inhibiteur spécifique de la caspase-6, l’équipe de la docteure LeBlanc s’est intéressée à ce qui se passait en amont, ce qui lui a permis, de découvrir que la caspase-1 était responsable de l’activation de la caspase-6.

« C’était une découverte importante parce que des inhibiteurs de la caspase-1 ont été mis au point pour traiter les maladies inflammatoires », explique la docteure LeBlanc. « Nous avons donc décidé d’évaluer les effets d’un inhibiteur de la caspase-1, le VX-765, sur la perte de mémoire et les pathologies cérébrales chez un modèle de souris de la maladie d’Alzheimer. »

Ces travaux, dont le premier auteur est le docteur Joseph Flores, un associé de recherche au laboratoire de la docteure LeBlanc, ont démontré que le VX-765 avait un effet bénéfique sans précédent chez les souris atteintes de la maladie d’Alzheimer. Le médicament inverse rapidement la perte de mémoire, élimine l’inflammation et enraye l’accumulation de peptide amyloïde prototypique associée à la maladie d’Alzheimer dans le cerveau des souris. En plus d’être sans danger pour les humains à des doses relativement élevées pendant de longues périodes, il est en mesure d’atteindre le cerveau, un défi important dans la mise au point de médicaments contre les troubles cérébraux. »

Il reste plusieurs étapes à franchir pour passer du cerveau de la souris à celui de l’humain, précise la chercheure.

Elle estime toutefois qu’il est fort possible que ce médicament fonctionne tout aussi bien chez les humains, « puisque ses travaux ont d’abord découvert la voie neurodégénérative caspase-1 – caspase-6 dans les neurones humains et dans les cerveaux humains atteints de la maladie d’Alzheimer. »

Un essai clinique est nécessaire pour déterminer si le médicament est efficace contre la maladie d’Alzheimer chez les êtres humains.

Actuellement, il n’existe aucun traitement efficace contre la maladie d’Alzheimer.

Pour plus d’informations sur la maladie d’Alzheimer, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Université McGill, Nature Communications.
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Découverte d’un nouveau type de neurones pouvant distinguer le cerveau humain

« L’une des questions les plus intrigantes sur le cerveau humain est aussi l’une des plus difficiles à répondre pour les neuroscientifiques : qu’est-ce qui distingue notre cerveau de celui des autres animaux ? »

« Nous ne comprenons pas vraiment ce qui rend le cerveau humain spécial », explique Ed Lein, chercheur à l’Allen Institute for Brain Science (Seattle, États-Unis).

« L’étude des différences au niveau des cellules et des circuits neuronaux est un bon point de départ, et maintenant nous avons de nouveaux outils pour le faire », ajoute-t-il.

Dans une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Neuroscience, Lein et ses collègues révèlent une réponse possible à cette question. L’équipe de recherche, codirigée par Lein et Gábor Tamás, neuroscientifique à l’Université de Szeged (Szeged, Hongrie), a découvert un nouveau type de cellules cérébrales humaines qui n’a jamais été observé chez la souris et d’autres animaux de laboratoire bien étudiés.

Tamás et Eszter Boldog ont surnommé ces nouvelles cellules « neurones églantier » « car le faisceau dense que forme chaque axone autour du centre de la cellule ressemble à une rose après qu’elle ait perdu ses pétales ». Les cellules nouvellement découvertes appartiennent à la classe des neurones inhibiteurs, utilisant le neurotransmetteur GABA (sur lequel agissent les médicaments benzodiazépines tels que le Xanax et certaines plantes médicinales), qui freinent l’activité des autres neurones du cerveau.

« L’étude ne prouve pas que cette cellule spéciale du cerveau est unique aux humains. Mais le fait qu’elle n’existe pas chez les rongeurs est intrigant et l’ajoute à une liste très courte de neurones spécialisés qui peuvent n’exister que chez les humains ou seulement dans le cerveau des primates ».

Les chercheurs ne comprennent pas encore ce que ces cellules pourraient faire dans le cerveau humain.

Dans leur étude, ils ont utilisé des échantillons de tissus provenant du cerveau post-mortem de deux hommes d’une cinquantaine d’années. Ils ont pris des sections de la couche supérieure du cortex, la région la plus externe du cerveau qui est responsable de la conscience humaine et de nombreuses autres fonctions considérées comme uniques à notre espèce. Cette région est beaucoup plus grande, comparée à notre taille corporelle, que chez les autres animaux.

« C’est la partie la plus complexe du cerveau, et il est généralement admis qu’il s’agit de la structure la plus complexe de la nature », dit Lein.

Les chercheurs ont découvert que les « cellules églantier » activent un ensemble unique de gènes, une signature génétique que l’on ne retrouve dans aucun des types de cellules cérébrales de souris qu’ils ont étudiés. Ils ont aussi découvert qu’elles forment des synapses avec un autre type de neurones dans une autre partie du cortex humain, les neurones pyramidaux.

Ce qui semble être unique au sujet des neurones églantier, c’est qu’ils ne s’attachent qu’à une partie spécifique de leur partenaire cellulaire, ce qui indique qu’ils pourraient contrôler un flux d’information d’une manière très spécialisée.

La prochaine étape pour les chercheurs est de rechercher les neurones de l’églantier dans d’autres parties du cerveau et d’explorer leur rôle potentiel dans les troubles cérébraux.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Allen Institute, Nature Neuroscience.
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Nouveau Levothyrox : des anomalies dans la composition ?

Nouveau Levothyrox : des anomalies dans la composition ?

Le 15 juin 2018.

Selon l’Association française des malades de la thyroïde (AFMT), on trouverait dans la nouvelle formule du Levothyrox des anomalies qui expliqueraient les effets secondaires du médicament.

Une nouvelle formule avec de nombreuses anomalies

La nouvelle formule du Levothyrox, un médicament prescrit aux malades de la thyroïde, ne cesse de faire parler d’elle. De nombreux patients ont en effet fait savoir que depuis que cette nouvelle formule avait été commercialisée, ils ont ressenti des effets secondaires indésirables comme de la fatigue, des vertiges, des maux de tête ou encore une perte de cheveux. Or selon l’AFMT, des anomalies dans la composition seraient responsables de ces troubles.

L’association a en effet commandé des analyses poussées de la composition de ce nouveau traitement à un laboratoire étranger et les résultats ont révélé que cette formule contenait moins de lévothyroxine que les spécifications en vigueur. « Des patients cancéreux se trouvent sous-dosés en hormones thyroïdiennes, nous avons observé de façon conséquente des réveils de cancers endormis depuis des années », explique l’association.

Le laboratoire préfère ignorer ces analyses

On trouverait également dans cette nouvelle formule une autre molécule, la dextrothyroxine, qui n’est pas indiquée dans sa composition, et qui pourrait, elle-aussi, expliquer les effets indésirables ressentis par les patients. « À ce stade, notre association ne prétend pas, sur une seule étude, disposer d’une ‘preuve’ indiscutable, mais d’un fait nouveau important », a précisé l’AFMT.

« Car si ces résultats étaient confirmés, comme on peut le penser, ils pourraient constituer une explication rationnelle à cette crise, d’origine toujours inconnue », a-t-elle ajouté. Mais de son côté, le laboratoire Merck, qui commercialise ce traitement, n’a pas voulu tenir compte de ces analyses en rappelant que « de nombreuses analyses ont déjà été réalisées par des Autorités compétentes sans identifier la moindre non-conformité de notre produit. » À suivre…

Marine Rondot

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Aimovig : un nouveau médicament miracle contre les migraines ?

Aimovig : un nouveau médicament miracle contre les migraines ?

Le 24 mai 2018.

Un nouveau médicament, visant à prévenir les migraines, vient d’être autorisé aux États-Unis. L’Aimovig a fait ses preuves lors de plusieurs essais cliniques et pourrait, peut-être, bientôt être autorisé en France.

L’Aimovig agit sur la molécule à l’origine des migraines

Aux États-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) vient d’approuver la commercialisation d’un nouveau médicament censé prévenir l’apparition de migraines chez les adultes. Vendu sous le nom Aimovig, ce traitement a montré ses bénéfices sur la prévention de maux de tête lors de trois essais cliniques réalisés ces dernières années.

C’est en bloquant l’activité du peptide lié à la calcitonine, une molécule qui joue un rôle majeur dans l’apparition de crises de migraines, que l’Aimovig parvient à anticiper l’apparition d’une céphalée. Tous les patients qui ont expérimenté cette molécule lors des essais cliniques ont affirmé que le nombre de leurs migraines avait nettement diminué, de l’ordre de 2,5 fois moins de migraines par mois que les patients test à qui un placebo avait été donné.

16 % des migraineux déclarent que leurs maux de tête sont incapacitants

« Aimovig offre aux patients une nouvelle alternative pour réduire le nombre de jours durant lesquels ils souffrent de migraines », a ainsi déclaré le Dr Eric Bastings, directeur adjoint des produits neurologiques au Centre d’évaluation et de recherche de la FDA, dans un communiqué de presse. « Nous avons besoin de nouveaux traitements pour cette maladie douloureuse et souvent incapacitante ».

Selon l’Assurance-maladie, près d’une personne sur deux âgée de plus de 15 ans déclare être sujette à des maux de tête. « Ceux-ci sont le plus souvent ponctuels et de courte durée (deux heures ou moins chez 46 % des personnes). Ces maux s’accompagnent d’une douleur gênante dans 60 % des cas, voire incapacitante pour 16 % des personnes interrogées », précise en outre l’organisme.

Gaëlle Latour

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Vers un nouveau traitement pour les personnes hémophiles ?

Vers un nouveau traitement pour les personnes hémophiles ?

Le 4 mai 2018

Aujourd’hui le traitement des personnes hémophiles est contraignant et cher. Une nouvelle étude pourrait changer la donne.

Changer le quotidien des personnes hémophiles

Le sang des personnes hémophiles ne coagule pas. L’hémophilie est une maladie génétique qui touche principalement les hommes et peut entraîner des hémorragies, parfois très graves, pouvant conduire à la mort si elles ne sont pas traitées à temps. Chronophage et cher, le traitement actuel est difficile à vivre (surtout pour les enfants et les adolescents) et perd en efficacité avec le temps.

Aujourd’hui, les personnes hémophiles doivent recevoir des injections fréquentes, chaque semaine, pour combler le manque de protéines habituellement présentes dans le plasma et permettant au sang de former un caillot. Ces injections contiennent des cellules animales et permettent de reconstituer la coagulation.

L’étude qui pourrait changer les choses

Mais une étude pourrait changer ce quotidien douloureux. Les chercheurs affiliés au Salk Institute for Biological Studies, en Californie, ont mené des travaux sur des souris et leurs conclusions sont encourageantes pour la suite des recherches cliniques. Ils envisagent de traiter l’hémophilie en une seule injection de cellules souche hépatiques. 

Sur les souris, les chercheurs ont greffé ces cellules en passant par la rate. C’est en effet cet organe qui envoie ces cellules dans le foie en suivant le « système porte ». Résultats : les cellules ont bien produit le facteur de coagulation et la protéine était en quantité suffisante. Les recherches se poursuivent et bientôt d’autres travaux permettront de mener des essais cliniques sur des hommes.

Maylis Choné

Lire : Qu’est-ce que l’hémophilie ?

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Nouveau rappel de lait infantile : le lait Prémibio

Nouveau rappel de lait infantile : le lait Prémibio

Le 27 avril 2018

Après le scandale des laits contaminés produits par Lactalis, c’est une autre marque de lait infantiles qui est concernée par un risque de contamination par des bactéries.

Un rappel de lait infantile à titre préventif

En l’occurence, il s’agit du lait de la marque Prémibio, le lait Prémilait 1er âge. Le risque de contamination en question est assez grave, puisqu’il s’agit d’entérobactéries, qui peuvent provoquer de graves infections, comme des méningites, et même, des septicemies.

L’entreprise a déterminé quel était le lot de lait pour bébé concerné. Il s’agit des laits du lot 257, dont la date limite d’utilisation est le 14/09/2020. En tout, 2.000 boîtes seraient concernées par le rappel préventif.

Renforcement des contrôles sanitaires sur les laits pour bébés

L’enteprise tient à signaler que pour l’instant, aucun cas d’enfant malade n’a été rapporté : c’est donc un rappel à titre préventif. La bactérie aurait été décelée lors d’un contrôle aélatoire sur des stocks témoins de lait infantile, contrôle réalisé par les services de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) de Vendée. 

Les contrôles ont en effet été renforcés, depuis le scandale qui a frappé les laits infantiles produits par Lactalis. 

Jean-Baptiste Giraud

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Nouveau livre : « Méditez avec nous », de Christophe André

Dans un nouveau livre « Méditez avec nous : 21 méditants experts vous conseillent et vous guident » (Odile Jacob), le psychiatre français Christophe André a réuni une vingtaine de spécialistes qui parlent de leur façon personnelle de méditer.

« La méditation, c’est la présence, la présence à tout, à l’acte en cours et à la vie qui va », peut-on lire dans la présentation de l’éditeur.

La présentation poursuit :

« La méditation n’a pas pour but de nous couper de la réalité, mais de nous relier à elle avec plus de force, de lucidité, d’équilibre, de bienveillance.

Elle nourrit notre intériorité pour nous aider à mieux affronter la violence du monde, à mieux admirer et savourer sa beauté, à mieux en consoler les souffrances.

Ce livre vous offre, dans leur diversité, les parcours, les convictions, les conseils de méditants expérimentés, soignants, contemplatifs, religieux, philosophes… Il vous permettra de découvrir la richesse et la profondeur des pratiques méditatives. Et, nous l’espérons, vous en donnera le goût.

Il y a mille façons de méditer. À vous de trouver votre voie, celle qui vous aidera à mieux vivre. »

Le livre est accompagné d’un CD de méditations guidées inédites.

Les 21 collaborateurs sont : Guido Bondolfi, Jacques Castermane, Gaëtan Cousin, Patricia Dobkin, Christian Gay, Patrice Gourrier, Sébastien Henry, Corinne Isnard Bagnis, Alexandre Jollien, Jean-Philippe Lachaux, Michel Le Van Quyen, Yasmine Liénard, Edel Maex, Christophe Massin, Fabrice Midal, Dominique Page, Claire Petitmengin, Pierre Philippot, Jeanne Siaud-Facchin et Marc de Smedt.

Christophe André a aussi notamment publié, en 2017, « Trois minutes à méditer ».

Méditation de pleine conscience : 4 exercices pour s’initier

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Odile Jacob
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