Archives par mot-clé : paracétamol

TDAH et autisme : le paracétamol pendant la grossesse augmenterait les risques

L’exposition au paracétamol (acétaminophène) pendant la grossesse peut augmenter les risques de

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Xiaobing Wang de l’Université Johns Hopkins et ses collègues ont analysé des données portant sur 996 nouveaux-nés qui ont été suivis pendant plusieurs années.

La concentration d’acétaminophène et de deux de ses métabolites dans le sang de cordon ombilical a été analysée.

Lorsque les enfants avaient en moyenne 8,9 ans, 25,8 % avaient reçu un diagnostic de TDAH, 6,6 % de TSA et 4,2 % de TDAH et de TSA.

Les chercheurs ont classé la quantité d’acétaminophène et de ses sous-produits dans les échantillons par tiers, du plus faible au plus élevé.

Comparativement au tiers inférieur, le tiers moyen d’exposition était associé à environ 2,26 fois le risque de TDAH. Le tiers supérieur était associé à 2,86 fois le risque. Le risque de TSA était aussi plus élevé chez les enfants du tiers moyen (2,14 fois) et du tiers supérieur (3,62 fois).

Les auteurs concluent que leurs résultats appuient les études antérieures établissant un lien entre l’exposition à l’acétaminophène pendant la grossesse et le TDAH et les TSA et soulignent le besoin de recherches supplémentaires.

Parmi les mécanismes sous-jacents potentiels, les chercheurs notent que l’acétaminophène peut bloquer la cyclooxygénase 2, qui pourrait affecter de nombreuses fonctions cérébrales.

Pour plus d’informations sur le TDAH, sur l’autisme et sur le paracétamol (acétaminophène), voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : JAMA Psychiatry, NIH, New England Journal of Medicine.
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Aspirine, paracétamol et ibuprofène : bientôt uniquement sur ordonnance ?

Aspirine, paracétamol et ibuprofène : bientôt uniquement sur ordonnance ?

Jeudi 3 octobre 2019

L’aspirine, le paracétamol et l’ibuprofène pourraient bientôt être obligatoirement délivrés sur ordonnance et non plus en libre service dans les pharmacies. L’Agence du médicament (ANSM) réfléchit à limiter l’accès direct à ces médicaments pour éviter leurs mauvais usages.

Vers la fin du libre-service

L’Agence du médicament réfléchit à limiter l’accès à certains médicaments qui sont, pour le moment, en vente libre dans les pharmacies. Il s’agit du paracétamol (Doliprane, Efferalgan), de l’ibuprofène (Nurofen, Advil) et de l’aspirine. 

Ces médicaments sont largement utilisés par les Français en automédication pour soigner les douleurs ou la fièvre. Toutefois, l’ANSM voudrait limiter les risques associés au mauvais usage de ces médicaments.

Des surdosages dangereux

La prise de ces médicaments est sans danger dès lors que ces molécules sont ingérées correctement. Mais, en cas d’abus, l’Agence du médicament explique que le paracétamol peut aboutir à des lésions graves du foie. La première cause de greffe hépatique en France est d’ailleurs due à des surdosages de médicaments. 

L’ANSM rappelle qu’un adulte de plus de 50 kilos peut uniquement prendre une dose de 3 grammes par 24 heures. De plus, sans ordonnance il est impératif de ne pas dépasser trois jours de traitement en cas de fièvre et cinq jours en cas de douleurs. L’Agence du médicament souhaite également que les pharmaciens conseillent davantage sur les risques liés à ces molécules. Un message devrait également bientôt apparaître sur les boîtes des médicaments au paracétamol pour informer sur les risques liés au foie. 

Stéphanie Haerts

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Paracétamol : le surdosage détruirait le foie

Paracétamol : le surdosage détruirait le foie

Le 9 juillet 2019

L’Agence du médicament alerte sur les risques de surdosage du paracétamol. Une surconsommation de ces médicaments est particulièrement nocive pour le foie.

Un message de prévention

L’ANSM souhaite que les laboratoires pharmaceutiques ajoutent un message de prévention sur les boîtes de paracétamol telles que les Dafalgan, Doliprane, Efferalgan et Fervex. Ces médicaments sont les plus vendus en France. Pourtant, ces médicaments comportent des risques importants pour le foie lorsqu’ils sont consommés en quantité trop importante.

Un nouveau pictogramme va apparaître sur ces médicaments pour informer les consommateurs. Les industriels auront neuf mois pour ajuster leurs étiquettes et apposer sur la face avant des boîtes la mention suivante : « Surdosage = danger. Dépasser la dose peut détruire le foie ». Le message devra être écrit en lettres capitales et comprendre un triangle d’alerte.

Des risques pour le foie

Pris de façon raisonnable, le paracétamol est efficace et sans risque. Mais, ces médicaments sont la première cause de greffe hépatique d’origine médicamenteuse lorsqu’ils sont consommés en surdosage. Le paracétamol avait d’ailleurs causé le décès de Naomi Musenga, dont le Samu s’était moqué et qui avait alors été intoxiquée par cette substance.

L’Observatoire français des médicaments antalgiques (OFMA) affirme qu’en 2018, 52% de la population a reçu, au moins, une ordonnance remboursée de paracétamol. Parmi ces personnes, 11,3% auraient eu recours au paracétamol six fois dans l’année.

Stéphanie Haerts

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Paracétamol (acétaminophène) : la mention « Dépasser la dose peut détruire le foie » imposée par l’ANSM

Afin de renforcer la prévention des risques hépatiques liés au surdosage du paracétamol (appelé acétaminophène aux États-Unis, Canada…), l’ANSM a demandé aux laboratoires de faire figurer des messages d’alerte sur les boites des médicaments qui en contiennent.

Cette mesure concerne plus de 200 spécialités à base de paracétamol commercialisées en France, dont Doliprane, Efferalgan, Dafalgan… (Tylénol aux États-Unis, Canada).

Les laboratoires ont 9 mois pour se mettre en conformité.

« Le paracétamol est le médicament le plus couramment prescrit et utilisé, comme antalgique (antidouleur) ou antipyrétique (anti-fièvre). Il est présent dans de nombreux médicaments, seul ou associé à d’autres substances actives. »

L’ANSM précise :

« Utilisé à bon escient, le paracétamol est un médicament sûr et efficace. Cependant en cas de surdosage, le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie irréversibles dans certains cas.

Le terme surdosage s’entend par :

  • l’utilisation d’un dosage non adapté ;
  • une dose trop importante par prise ou par jour ;
  • un délai minimum entre les prises non respecté.

La mauvaise utilisation du paracétamol est la 1re cause de greffe hépatique d’origine médicamenteuse en France. »

Les messages suivants sont imposés :

  • Pour les médicaments uniquement à base de paracétamol

    L’ANSM demande de faire figurer sur la face avant de la boîte la mention suivante :

    SURDOSAGE = DANGER Dépasser la dose peut détruire le foie

    Ce message sera également assorti d’informations visant à réduire le risque de surdosage et donc d’atteinte hépatique, sur la face arrière, « verso », de la boite : dose maximale par prise et par jour, respect du délai entre deux prises, exclusion de la prise d’un autre médicament contenant du paracétamol…

  • Pour les médicaments à base de paracétamol associé à une autre substance active

    L’ANSM demande de faire figurer sur la face avant, « recto », de la boîte la mention :

    SURDOSAGE = DANGER Ne pas prendre un autre médicament contenant du paracétamol

L’ANSM rappelle les recommandations de bon usage :

  • Respecter la dose maximale quotidienne et la durée de traitement recommandée

  • Vérifier la présence de paracétamol dans les autres médicaments (utilisés pour douleurs, fièvre, allergies, symptômes du rhume ou état grippal)

  • Alerter les populations particulières (-50 kg, insuffisance hépatique légère à modérée, insuffisance rénale sévère, alcoolisme chronique…)

Un mot d’ordre : « La dose la plus faible, le moins longtemps possible »

Pour plus d’informations sur les médicaments antidouleur et le paracétamol (acétaminophène), voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : ANSM.
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Mort de Naomi Musenga : attention au surdosage de paracétamol

Mort de Naomi Musenga : attention au surdosage de paracétamol

Le 12 juillet 2018.

Le surdosage de paracétamol peut être dangereux pour la santé. La mort de Naomi Musenga, le 29 décembre dernier, en est un malheureux rappel.

Naomi Musenga st décédée d’un surdosage de paracétamol

La mort de Naomi Musenga, fin décembre 2017, a révélé les dysfonctionnements des services de secours du Samu de Strasbourg. Le décès de cette mère de famille dont l’appel désespéré n’a pas été pris au sérieux par l’opératrice qu’elle avait en ligne, nous apprend également quels peuvent être les risques d’une prise trop régulière d’antalgiques.

L’autopsie du corps de la jeune femme a en effet révélé les raisons pour lesquelles cette dernière est décédée. Cette mort subite est la conséquence, selon les termes du procureur de la République de Strasbourg, « d’une intoxication au paracétamol absorbé par automédication sur plusieurs jours ». « La destruction évolutives de son foie a emporté une défaillance de l’ensemble de ses organes conduisant rapidement à son décès », a encore poursuivi Yolande Renzi.

Attention aux effets secondaires des Doliprane, Efferalgan et Dafalgan

Contrairement à ce que de nombreux Français pensent, le paracétamol n’est pas une substance anodine. Qu’il soit pris sous la forme d’un Doliprane, d’un Efferalgan ou d’un Dafalgan, des effets secondaires non négligeables doivent être pris en compte. La notice du Doliprane est d’ailleurs claire sur le sujet puisqu’elle précise que « des troubles du fonctionnement du foie » ont pu être observés chez certains patients.

Cela ne signifie pas pour autant que vous deviez vous priver de leurs bienfaits en cas de douleur ou de fièvre, mais il convient de respecter scrupuleusement leur posologie en fonction de l’âge et, pour les enfants, du poids. En cas de douleur persistante ou d’une fièvre qui ne baisserait pas au bout de 48h, consultez votre médecin.

Gaëlle Latour

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Les pharmaciens ne conseillent pas assez sur le dosage du paracétamol

Les pharmaciens ne conseillent pas assez sur le dosage du paracétamol

Le 2 avril 2018. 

Une enquête menée par UFC-Que-Choisir a décelé le manque de conseil de certains pharmaciens concernant le dosage du paracétamol. On fait le point. 

Pas ou peu de conseils lors de la vente de paracétamol

L’enquête de l’association de consommateurs UFC-Que-Choisir est une véritable investigation. Répartis dans 772 pharmacies de seize villes différentes et filmés en caméra cachée, les membres de l’association se sont fait passer pour des clients. En arrivant à la caisse de la pharmacie, ils présentent leurs achats : du paracétamol et de l’Actifed jour/nuit – un médicament pour soigner le rhume. 

Problème, l’Actifed contient aussi du paracétamol même si ce dernier est moins concentré que dans le paracétamol classique. Pourtant, un pharmacien sur quatre ne délivre aucun conseil à ce patient malade qui est sur le point de prendre des surdoses de paracétamol plusieurs jours de suite. Rappelons qu‘il ne faut en aucun cas dépasser trois grammes par jour – quatre en cas de fortes douleurs – sous peine d’occasionner des lésions au foie.

Mieux alerter sur les doses à respecter

Pour ne pas dépasser les trois grammes réglementaires, il faut avaler un comprimé de 1000 mg (ou deux de 500 mg) toutes les six à huit heures. Si l’on ajoute à ce traitement les quatre comprimés d’Actifed quotidiens qui représentent à eux seuls deux grammes de paracétamol, nous atteignons cinq grammes de paracétamol. Bien au-delà de ce que peut tolérer notre organisme. 

Quand on sait que les Français ont dépensé plus de 2 milliards d’euros en médicaments sans ordonnance et que le pharmacien est alors le seul professionnel de santé rencontré, ce dernier doit être plus vigilant. « La présence d’un encadré spécifique sur l’emballage des médicaments sans ordonnance, pour informer le consommateur sur les principales interactions et contre-indications » plaide UFC-Que-Choisir dans ses conclusions.

Maylis Choné

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Paracétamol pendant la grossesse : les effets néfastes pour le fœtus

Paracétamol pendant la grossesse : les effets néfastes pour le fœtus

Le 29 juin 2017.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’Université de Copenhague, au Danemark, prendre du paracétamol pendant la grossesse pourrait avoir un impact sur la libido des enfants à naître. Explications.

Baisse du désir sexuel à l’âge adulte

Pendant la grossesse, on recommande à la future maman de privilégier le paracétamol à l’ibuprofène, car les effets secondaires de la première molécule seraient bien moins néfastes pour le fœtus notamment. Mais on apprend aujourd’hui, dans une étude publiée dans la revue scientifique Reproduction, que les petits garçons exposés in utéro au paracétamol pouvaient souffrir d’une baisse de leur désir sexuel à l’âge adulte.

Ces effets ne toucheraient que les bébés de sexe masculin. Selon les auteurs de ces travaux, le paracétamol pourrait modifier la programmation neurocomportementale qui « inhiberait les comportements sexuels adultes ». De nombreuses études avaient déjà montré que la consommation excessive de cet antalgique pouvait endommager le foie ou les reins, mais c’est la première fois qu’on apprend qu’il existe un risque pour la libido du bébé.

Moins de libido chez les rongeurs mâles

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont administré du paracétamol à des souris enceintes. Ils ont ainsi pu constater que les rongeurs mâles, qui avait été exposés à la molécule pendant la grossesse, éjaculaient moins à l’âge adulte durant l’accouplement et cela avait une conséquence directe sur leur reproduction. En cherchant la cause de cette baisse de libido, les chercheurs ont trouvé des différences dans le cerveau des souris.

Les souris qui avaient été exposées au paracétamol dans le ventre de leur mère avaient en effet moins de neurones dans la zone du cerveau qui contrôle le désir sexuel, le noyau dimorphe sexuel. Si ces résultats doivent être confirmés par de nouveaux travaux, ils nous rappellent qu’aucun médicament ne peut être pris à la légère notamment pendant la grossesse. En cas de doute pendant votre grossesse, demandez conseil à votre médecin. 

Marine Rondot

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L’ibuprofène et le paracétamol (acétaminophène) liés à des pertes auditives : quelle durée d’utilisation ?

L’ibuprofène (Advil) et l’acétaminophène (paracétamol, Tylénol, Doliprane…) sont associés à un risque accru de perte auditive, selon une étude publiée dans l’American Journal of Epidemiology (AJE).

Des études précédentes ont lié une utilisation fréquente de ces analgésiques à un risque plus élevé de perte auditive. Cependant, l’association entre la durée d’utilisation et le risque n’était pas claire.

Gary Curhan du Brigham and Women’s Hospital et ses collègues ont analysé des données concernant l’utilisation de l’aspirine, l’ibuprofène et l’acétaminophène chez 54 000 femmes âgées de 48 à 73 ans.

Une utilisation de l’ibuprofène pendant plus de six ans augmentait le risque de 10 % comparativement à une utilisation de moins d’un an. Une utilisation d’acétaminophène de plus de 6 ans augmentait le risque de 9 %.

Il n’y avait pas d’association entre l’aspirine à dose habituelle et la perte auditive. Celle-ci est un effet secondaire établi des doses élevées d’aspirine, mais ces dosages sont devenus rares au cours des deux dernières décennies, notent les chercheurs.

Jusqu’à deux tiers des femmes américaines de plus de 60 ans ont un certain degré de perte auditive. En assumant que le lien constaté est de cause à effet, 16,2 % de la perte auditive se produisant chez ces femmes pourrait être due à l’utilisation de l’ibuprofène ou d’acétaminophène, indique le chercheur.

Plusieurs types de médicaments peuvent causer des pertes d’audition

Psychomédia avec sources : Harvard Gazette, AJE.
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Le paracétamol (Tylénol) pendant la grossesse lié à des troubles du comportement

Le paracétamol ou acétaminophène, l’ingrédient actif des Doliprane, Efferalgan, Actifed, Tylenol…, pendant la grossesse est lié à un risque accru de « multiples problèmes de comportement chez les enfants », selon une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Pediatrics.

L’acétaminophène est généralement considéré comme sûr pendant la grossesse et est utilisé par un grand nombre de femmes enceintes pour la douleur et la fièvre, souligne le communiqué du JAMA Network.

Evie Stergiakouli de l’Université de Bristol (Royaume-Uni) et ses collègues ont analysé des données concernant 7 796 mères.

L’utilisation d’acétaminophène a été évaluée à 18 et 32 semaines de grossesse et lorsque les enfants avaient 5 ans. Les problèmes de comportement rapportés par les mères ont été évalués lorsque les enfants étaient âgés de 7 ans.

À 18 semaines de grossesse, 4 415 mères (53 %) ont déclaré utiliser l’acétaminophène et à 32 semaines, 3 381 (42 %). Quand les enfants avaient 5 ans, 6 916 mères (89 %) et 3 454 partenaires (84 %) utilisaient le médicament. À 7 ans, 5 % des enfants avaient des problèmes de comportement.

La consommation prénatale d’acétaminophène à 18 et à 32 semaines de grossesse était associée à un risque accru de 40 % en moyenne de problèmes de comportement et de symptômes d’hyperactivité chez les enfants, et à 32 semaines, elle était aussi associée à un risque accru de 30 % de symptômes émotionnels et à un risque accru de 46 % que les difficultés dans l’ensemble soient plus importantes.

L’utilisation d’acétaminophène par la mère quand l’enfant avait 5 ans et celle des partenaires n’étaient pas associées à des problèmes de comportement. Parce que des associations n’étaient pas observées dans ces cas, les auteurs suggèrent que cela peut indiquer que les troubles du comportement ne seraient pas expliqués par des facteurs non mesurés liés à l’utilisation de l’acétaminophène.

« Nos résultats suggèrent que l’association entre l’utilisation d’acétaminophène pendant la grossesse et les problèmes de comportement dans l’enfance peut être due à un mécanisme intra-utérin », écrivent-ils.

Mais ils mettent également en garde : « Cependant, le risque de ne pas traiter la fièvre ou la douleur pendant la grossesse doit être soigneusement pesé contre tout préjudice potentiel de l’acétaminophène pour l’enfant. »

Psychomédia avec sources : JAMA Network, JAMA Pediatrics.
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