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Prévention des noyades : 7 vidéos pour aider les parents à transmettre une « aisance aquatique » aux enfants

Dans le cadre de son plan de lutte contre les noyades, le Ministère français des Sports a lancé, en avril 2019, une série de 7 tutoriels vidéos didactiques et ludiques pour apprendre aux parents à transmettre à leur enfant « les notions élémentaires de l’aisance aquatique ».

« Au travers de ces vidéos pédagogiques, vous trouverez des gestes simples à réaliser en piscine afin de le familiariser à l’élément et donc de mieux prévenir les accidents, lutter contre l’aquaphobie et bien sûr, faciliter son apprentissage de la natation. »

Les vidéos présentent des étapes très graduelles à réaliser dans l’ordre.

La méthode est basée sur les travaux du pédagogue Raymond Catteau.

Visionner les 7 vidéos sur le site du ministère des Sports :

Vidéo 1 : Introduction
Étape 1 : Acclimation au bassin
Étape 2 : Immersion
Étape 3 : Déplacement en surface
Étape 4 : Appréhender la profondeur
Étape 5 : Autonomie
Étape 6 : Aisance aquatique

Les ministères de la Santé et des Sports ont aussi lancé une campagne de prévention des noyades qui porte les messages suivants :

  • Apprenez tous à nager
  • Baignez-vous toujours avec vos enfants
  • Choisissez les zones de baignades surveillées
  • Tenez compte de votre état de forme

Psychomédia avec sources : Ministère de la Santé, Ministère des Sports.
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Bébé et soleil : Les dangereuses habitudes des parents

Étude / Bébé et soleil : Les dangereuses habitudes des parents. Quelques chiffres pour mieux comprendre l’ampleur du phénomène…

Bébé et soleil

kaboompics/pixabay

34,61% des parents promènent leur bébé entre 11h et 16h, soit aux heures où le soleil tape le plus fort !

90,37% des parents n’appliquent pas au bon moment la crème solaire à leur bambin. Ils sont encore 21,34% à penser que les crèmes écran total existent vraiment.

Pas étonnant dès lors que 39,88% des enfants de moins de trois ans aient déjà eu des coups de soleil. À répétition, ces réactions inflammatoires de la peau augmentent de façon significative les risques de développer un cancer de la peau(1). Chaque année, en France, on recense pas moins de 60.000 nouveaux cas de mélanome(2).

Au terme d’une enquête qui inquiète en certains points, Newpharma,première pharmacie en ligne française et belge, rappelle le b.a.-ba en matière de protection solaire. Et ce, dès le plus jeune âge.

Les résultats de l’enquête sur la protection des bébés au soleil, menée par Newpharma auprès d’un panel de 1.199 parents[1], montrent que la plupart d’entre eux pensent bien faire.

Les « bonnes pratiques » élémentaires en matière de protection solaire (appliquer régulièrement de la crème solaire, donner à boire à bébé, le mettre sous un parasol) sont même assimilées. Par contre, certains – et il s’agit même d’une majorité – prennent encore des risques inconsidérés. Et c’est surtout par méconnaissance des bons réflexes à adopter.

On constate que :

•90,37% des parents n’appliquent pas au bon moment la crème solaire à leur bébé et 89,33% d’entre eux ne la renouvellent pas assez. Or, il faut laisser au produit le temps de former une barrière protectrice sur la peau. Sans compter que, dans les 30 minutes qui suivent l’application, l’efficacité des crèmes solaires diminue de 90% ;
•56,74% des parents ne remettent pas de crème solaire à leur bébé quand il sort de l’eau. Non seulement la crème a été « rincée », mais en plus l’eau fait « effet miroir », ce qui accélère l’apparition des coups de soleil ;
•75,66% des parents ne protègent pas leur bébé des rayons du soleil au jour le jour. Ils le font principalement en vacances, à la plage… Or, dès qu’on sort de chez soi, les UV agressent la peau. Et cela vaut même par temps couvert, les nuages laissant passer 80% des UV ;
•37,23% des parents ne choisissent pas le bon indice de protection pour protéger leur bébé du soleil. En théorie, lorsque l’on applique une crème solaire IP30, les UVB attaquent la peau 30 fois plus difficilement que si on était sans protection. Mais pour cela, il faudrait étaler 2mg de crème par cm² de peau. Dans la pratique, qui le fait ? Donc, un indice IP30 voit souvent son efficacité réduite de moitié, voire du tiers. Raison de plus pour privilégier les produits solaires à indice de protection très élevé. Et lorsqu’il s’agit de la peau plus fragile et de la santé des tout-petits, voyez grand : optez pour une crème haute protection. Les textures et formules ne manquent pas, selon les circonstances, préférences ou encore facilités d’emploi : crème solaire visage, lait solaire bébé en tube, baume à lèvres bébé, spray enfant version waterproof, etc.

Bébé et soleil : quelques conseils

Voici quelques précieux conseils pour protéger bébé du soleil. La majorité de ces recommandations sont d’usage tant à la plage qu’à la montagne, mais aussi à la plaine de jeux, à la ville ou derrière la vitre de la voiture :

•Utiliser une crème solaire affichant l’indice maximal IP50+. À appliquer 30 minutes avant l’exposition, ensuite répéter l’opération toutes les 2 heures, voire toutes les 30 minutes en cas de fort ensoleillement ;
•Rincer et sécher l’enfant quand il sort de l’eau ou qu’il a transpiré, puis lui remettre de la crème ;
•Lors de toute exposition – donc y compris les petites promenades ou jeux en plein air – préférer les heures où le soleil tape le moins (avant 11h et après 16h) ;
•Mettre son bébé à l’ombre, idéalement sous un parasol ou derrière un pare-soleil ;
•Lui faire porter des lunettes et un chapeau de soleil ;
•L’habiller de vêtements couvrants, voire anti-UV ;
•Protéger son bébé de la déshydratation en le faisant boire de l’eau régulièrement et en petite quantité ;
•Asseoir son bébé sur une serviette plutôt qu’à même le sable, car 20% des UV sont réverbérés par le sable.

Cette liste est non exhaustive et valable aussi pour… les « grands enfants ». D’autant que la protection à 100% n’existe pas.

>>> Accès aux résultats complets de l’étude sur le site de Newspharma en cliquant ICI

1 Enquête Newpharma, réalisée en avril 2018, auprès d’un panel composé de 1.199 répondants dont les enfants avaient entre zéro et 37 mois
2 https://www.ligue-cancer.net/localisation/peau
https://www.belgium.be/fr/sante/risques_pour_la_sante/risques_climatiques/soleil
http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/741fd6ae1f54ef8b33eab44193b193ad.pdf
http://dermato-info.fr/article/Le_soleil_et_la_peau
http://www.magicmaman.com/,vacances-d-ete-attention-au-soleil,3422,1221786.asp
http://www.doctissimo.fr/html/grossesse/bebe/soins-quotidiens/articles/8554-protection-soleil-bebe.htm

News Santé

Malgré les avertissements, trop de parents continuent d’utiliser les détergents en capsules

Les détergents à lessive en capsules sont beaucoup plus dangereux pour les jeunes enfants que les autres types de détergents liquides pour le linge et le lave-vaisselle, indique une étude publiée dans la revue Pediatrics. Les auteurs appellent les parents à choisir les savons liquides en contenant traditionnel plutôt qu’en dosettes.

De janvier 2013 à décembre 2014, les Centres antipoison aux États-Unis ont reçu 62 254 appels liés à des expositions aux détergents pour le linge et le lave-vaisselle chez les enfants de moins de 6 ans.

Les effets les plus graves, tels que le coma, les troubles de la respiration, les problèmes cardiaques, et le décès n’ont été observés que chez les enfants exposés aux capsules de détergent à lessive.

Les risques d’effet clinique, d’effet médical sérieux, d’hospitalisation ou d’intubation étaient plus élevés chez les enfants exposés aux capsules que chez ceux exposés à tout autre type de détergent à linge ou à lave-vaisselle. Les deux décès lors de l’étude concernaient les capsules.

« De nombreuses familles ne réalisent pas à quel point ces capsules de détergent très concentré sont toxiques », soulignent Gary Smith du Nationwide Children’s Hospital et ses collègues.

Ajoutons que l’enveloppe très mince de ces capsules se dissout très rapidement lorsqu’elle est mouillée par la salive.

« Utilisez un détergent à lessive traditionnel lorsque vous avez de jeunes enfants à la maison. Les capsules ne valent pas le risque quand il y a une alternative plus sûre et efficace disponible », concluent les chercheurs.

En 2014, le ministère français de la Santé mettait aussi en garde contre ces capsules.

Psychomédia avec source : Nationwide Children’s Hospital.
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Lagavulin, le whisky à piquer à vos parents

C’est l’une des distilleries fondatrices du whisky écossais. Sans gesticulations, elle produit la fine fleur du malt tourbé, chic et indémodable. Entre nous, il serait dommage de laisser (grand-)papa en profiter seul.

Ce n’est pas la plus ancienne distillerie d’Islay (prononcez «Aï-la»), cette île écossaise dont les amateurs de whisky tourbé apprennent par cœur la géographie. Non, ce miracle appartient à Bowmore. Ce n’est ni la plus petite (Kilchoman), ni la plus grande (Caol Ila*), ni la plus bringuezingue (Bruichladdich). Ce n’est pas la plus culte (Ardbeg). Pas la plus difficile à cerner –et à épeler (Bunnahabhain). Et, depuis le début des années 2000, ce n’est plus le best-seller de la reine des Hébrides (Laphroaig).

Alors? Alors, des huit distilleries de l’île, Lagavulin est sans aucun doute la plus racée, la plus couture, l’aristocrate du lot. Du whisky de grand-papa? Seulement pour ceux qui n’apprécient dans le malt que les coups d’éclat et le buzz triomphant, les «like» et les «fav». En restant fidèle à son histoire, «Laga» s’est imposé comme le classique hors des modes, de bon goût, la petite robe noire d’Islay. Aussi complexe qu’une évidence.

Quelques séries limitées viennent titiller la curiosité et le palais. Citons parmi elles les sublissimes 12 ans embouteillés brut de fût, un Triple Matured un peu trop foutraque, et les éditions annuelles Feis Ile (bon sang, le cru 2014 était à se damner!) vendues à la distillerie.Pas d’esbroufe, la gamme permanente se réduit à deux expressions. Le 16 ans qui incarne l’éternel tourbé d’Islay, sauvage et tendre: un nez de cuir et de fruit flottant dans une volute de fumée, une bouche pleine de caractère, âcre, fruitée, goudronnée qui vous embrasse à perdre souffle. Plus câlin, séducteur, son petit frère le Distillers Edition, affiné en fûts de Pedro Ximenez, enrobe sa fumée dans une douceur d’épices.

Coincée entre ses aînées Laphroaig et Ardbeg sur la côte de Kildalton, au sud-est d’Islay, Lagavulin sort de l’illégalité en 1816. Comme la plupart des distilleries d’Ecosse, elle change à maintes reprises de mains –les grandes histoires d’amour cachent de ces mesquineries d’argent. Et, avant de trouver refuge en 1927 dans le giron de The Distillers Company, l’ancêtre de Diageo (numéro 1 mondial des spiritueux) qui ne la laissa jamais filer, elle fricote un temps avec le très mégalo Peter Mackie, qui fondera plus tard la distillerie de Craigellachie dans le Speyside.

Un sacré pistolet, Mackie. Furax d’avoir perdu sa licence de négociant sur Laphroaig, blackboulé dans ses tentatives pour racheter la distillerie, il fomente en 1908 l’un des plans les plus dingues de l’histoire du whisky. Et décide de dupliquer au sein de Lagavulin une mini-Laphroaig: Malt Mill. Une distillerie au sein de la distillerie! Le secret s’était un peu perdu dans les limbes du malt, jusqu’à ce que Ken Loach le ressuscite dans son film La Part des anges. C’est un précieux fût de Malt Mill, whisky qu’on croyait disparu, que les héros de sa comédie sociale siphonnent en effet.

Lagavulin / Christine Lambert

Inutile de fantasmer sur des fûts égarés de Malt Mill, non, pas même une bouteille: la seule relique qui a survécu est un échantillon du dernier distillat produit avant fermeture, en 1962, enfermé à trétruple tour dans la distillerie. Parmi ceux qui l’ont goûté, les plus charitables jurent qu’il fallait le mâcher pour le boire, la fumée vous sortant des naseaux…

Même une réplique papier carbone de Laphroaig, bâtie à moins de 2 km de l’originale, n’a pu en imiter le goût, ce qui en dit long sur la notion de terroir appliquée au whisky…

«Mais regardez Lagavulin et Caol Ila, souligne Georgie Crawford, la jeune femme qui dirige Lagavulin. Deux distilleries d’Islay, qui appartiennent à Diageo, utilisent la même orge, quasiment le même niveau de tourbe dans le maltage (35 et 38 ppm), les mêmes levures… Et pourtant, leurs single malts ne se ressemblent en rien. Leur fermentation, étape où se créent le profil aromatique et le caractère du whisky, diffèrent légèrement. Par la suite, la distillation « manipule » ce qu’on a créé avec la fermentation, mais ne fabrique pas d’arômes supplémentaires. Et à Lagavulin, on coupe plus tardivement les queues de distillation, or les phénols [qui donnent le goût tourbé] passent à la fin de la distillation.»

D’où un whisky plus tourbé, plus complexe, plus profond, moins light. Les 2 paires d’alambics de Lagavulin, en forme d’oignon, sont en outre chargées au maximum, à 95%, chose assez rare, mais qui, en limitant le contact avec le cuivre, contribue à créer un distillat moins léger en dépit d’un passage dans d’énormes condenseurs qui gargouillent comme une armée de crapaud baveurs.

L’hiver, les vagues tabassent la distillerie dans de furieuses mercuriales, balançant les algues par-dessus les toits. Mais aux beaux jours, elles viennent lécher la baie de Lagavulin, dans une vision de carte postale imprimée sans filtre. A ceux qui hument les embruns dans leur verre de «Laga», nous chuchoterons à l’oreille que l’immense majorité des fûts, pourtant, ne vieillit pas sur place, mais dans des chais plantés au centre de l’Ecosse. Si l’océan laisse sa trace, c’est dans nos rêves, et tant mieux s’ils sont doux.

* — Caol Ila régurgite 6,7 millions de litres d’alcool pur par an: deux fois et demie la production de Lagavulin. 
Slate.fr

Mort subite du nourrisson : 5 fois plus de risques chez les bébés dormant avec leurs parents

Selon une nouvelle étude britannique, le risque de mort subite du nourrisson est cinq fois plus élevé chez les nourrissons qui partagent le lit avec leurs parents.

Il peut arriver que des parents partagent leur lit avec leur nouveau-né, notamment pour pouvoir plus facilement l’allaiter au cours de la nuit. Or Une étude britannique qui s’est intéressée à la chose estime pourtant que ce comportement multiplie par cinq le risque de mort subite du nourrisson. Et cela indépendamment de la présence d’une couverture ou du tabagisme des parents comme on pouvait le penser (néanmoins, le tabagisme des parents rend le bébé plus fragile, de même qu’une naissance prématurée et un faible poids de naissance).

Les chercheurs de la London School of Hygiene and Tropical Medicine sont arrivés à cette conclusion après avoir mené une méta-analyse s’intéressant à 19 études ayant porté sur la mort subite du nourrisson, soit 1.472 cas en tout. Les résultats révèlent que 22 % des décès recensés sont survenus dans des familles où l’on pratiquait le ‘co-dodo’ ou ‘cosleeping’.

Des drames évitables ?

De plus, selon les auteurs, 88 % de ces morts subites auraient « probablement’ été évitées si les enfants avaient été couchés dans leur berceau. Comme l’explique le Dr Inge Harrewijn, pédiatre au centre de référence sur la mort inattendue du nourrisson de Montpellier, « ce risque était déjà connu des spécialistes mais pour la première fois, elle le quantifie de façon précise et indépendante. Cela nous donne un argument supplémentaire pour convaincre les jeunes mamans, ou les jeunes parents, qui veulent dormir avec leur nourrisson, soit par commodité ou pour calmer d’éventuelles angoisses ».

La chose est d’importance puisqu’on recense 250 morts subites du nourrisson chaque année en France. Ces décès prématurés concernent les nourrissons de moins de 6 mois, notamment entre deux et quatre mois. Mais « on estime que 100 à (…)
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