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Livre : « Tout est permis – Positiver son alimentation, se motiver et passer à l’action ! » (Hubert Cormier)

Dans « Tout est permis - Positiver son alimentation, se motiver et passer à l’action ! », Hubert Cormier, nutritionniste et docteur en nutrition, propose une approche déculpabilisante de l’alimentation.

Il fournit trucs et conseils pour rendre l’alimentation plus saine tout en évitant les sentiments de privation et de frustration et en misant au contraire sur la satisfaction.

Mais peut-on vraiment tout se permettre ?

« Il y a des aliments qui ont une valeur nutritionnelle élevée, d’autres qui ont une valeur nutritionnelle faible. Ça va nous dicter la fréquence de consommation de ces aliments », a-t-il expliqué à la journaliste Marie-France Bornais (Le Journal de Québec) qui résume : « Les aliments à valeur nutritionnelle élevée seront intégrés dans l’alimentation quotidienne, d’autres aliments seront réservés à la consommation occasionnelle, qu’on mangera une ou deux fois par semaine, et d’autres seront des aliments d’exception, qu’on ne mangera qu’une ou deux fois par mois. »

« Les aliments quotidiens sont ceux qui sont prônés dans le Guide alimentaire, comme la moitié de l’assiette en fruits et légumes, les aliments riches en grains entiers, de bonnes sources de protéines, majoritairement végétales.

Les aliments occasionnels représentent un dessert, comme un yogourt glacé, un pouding à la vanille ou un muffin. Les barres de chocolat et les croustilles, le maïs soufflé au cinéma font partie des aliments d’exception. »

Peut-on prendre des desserts ? Pourquoi pas, a-t-il répondu en entrevue à l’émission Québec Matin. « Peut-être le savourer, avoir une plus petite portion (…). On se dira : “C’est parfait je suis satisfait. Quand mon corps me le demandera encore, j’en reprendrais une autre pointe.” Il faut être à l’écoute des signaux. »

Pour d’autres suggestions de livres sur la nutrition, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Éditions La semaine, Le Journal de Québec, TVA Nouvelle.
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Digestion : 4 tisanes pour vous aider à passer sereinement les fêtes

Plus que jamais, pendant les fêtes, profitez des bienfaits des plantes en composant des tisanes qui vous permettront de bien digérer. Profitez des agapes sans craindre les lendemains de fête.

Préparez-vous une tisane foie sensible

Vous perdez l’appétit, vous vous sentez nauséeuse : et si vous aidiez votre foie à retrouver l’équilibre après toutes ces agapes ? Préparez une tisane aubier de tilleul du Rousssillon ou une tisane au romarin.

Votre tisane foie sensible : placez 3 ou bâtons d’aubier de tilleul du Roussillon et 1 litre d’eau dans une casserole. portez à ébullition puis laissez à feu doux pendant 20 minutes. Retirez les bâtons, placez en thermos. Ajoutez un jus de citron. A boire toute la journée pendant une cure de 15 à 20 jours.

En savoir plus : Mes meilleures tisanes aromatiques de Danièle Festy, Leducs Editions

Brûlures d’estomac : une tisane de guimauve et réglisse

Pour réduire l’inflammation des brûlures d’estomac dues à des gastrites, des excès alimentaires ou des ulcères, buvez une tasse trois fois par jour entre les repas de cette tisane guimauve, réglisse.

Votre tisane anti brûlures d’estomac: versez 2 cuillères à café du mélange (1/2 de guimauve, 1/2 de réglisse) dans 25 cl d’eau froide. Portez à ébullition, laissez bouillir 5 minutes et laissez infuser 10 minutes. Ajouter 1 cuillère à café de miel et 2 gouttes d’huile essentielle de basilic.

>> A lire aussi : Nos meilleures astuces pour soulager les brûlures d’estomac

Bonne digestion : une tisane de menthe et mélisse

Si votre ventre fait des siennes et que vous avez des problèmes de digestion, préparez vous une tisane menthe et mélisse.

Votre tisane spécial digestion: versez 2cuillères à café de 1/2 de menthe, et 1/2 de mélisse dans une tasse d’eau bouillante. Laissez infuser 10 minutes. Ajouter 1/4 de cuillère à café de miel, et une goutte d’huile essentielle de citron. Buvez une tasse après chaque repas un peu lourd.

>> A lire aussi : On digère mieux en commençant son repas par un fruit?

Aérophagie : une tisane d’anis vert

Comme l’explique Danièle Festy, pharmacienne, les personnes souffrant d’aérophagie sont souvent (…) Lire la suite sur Topsanté

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Il m’a trompée, je suis bloquée, comment passer le cap ?

Depuis qu’il m’a été infidèle, je ne parviens plus à faire l’amour avec mon mari. Quand il me touche, je me bloque. Et cela fait plus d’un an que cela dure. Pourtant, nous avons envie de rester ensemble. Les conseils du Dr Catherine Solano, médecin sexologue et andrologue (hôpital Cochin, Paris).

Après un choc psychologique tel que l’annonce d’une infidélité, il est naturel de se sentir mal avec son partenaire. Il est donc logique d’attendre pour laisser le temps faire son œuvre et vous aider à passer ce cap. Cependant, lorsque cela dure longtemps, cela signifie que la cicatrisation psychique ne s’est pas faite, et que la situation n’a pas l’air en voie de résolution. La plaie est encore à vif dans vos émotions. Cela peut mettre votre relation en danger. Vous avez donc raison de vous en occuper et de ne pas en attendre davantage.

Ce blocage sexuel montre que vous avez été profondément blessée. Nous avons tous en nous le désir d’être aimé(e) de manière inconditionnelle et d’être unique pour l’autre, et une relation extraconjugale nous met à une place très différente de cet idéal : un(e) partenaire parmi d’autres. C’est douloureux, et d’autant plus difficile que nous avons peu confiance en nous. Si je pense que je ne suis pas une femme très valable (pas suffisamment belle, pas suffisamment intelligente, pas suffisamment mince, ou autre…), alors, je crains qu’une autre femme soit forcément mieux que moi.

Une relation extraconjugale met en danger :  » Mon mari risque de découvrir qu’il y a bien mieux que moi sur terre ». Si je suis confiante et que je pense avoir de la valeur, je peux me dire : « Il aura beau aller voir ailleurs, il aura du mal à trouver quelqu’un d’aussi valable que moi ». Ces deux postures sont bien évidemment caricaturales, et nous nous trouvons généralement entre ces deux extrêmes… mais plus près de l’une ou l’autre.

Les petits moyens pour ne pas réactiver la douleur

Commencez par vous demander si vous avez vraiment envie de continuer avec lui. Parfois, le corps parle et dit non parce que la blessure a été trop profonde. C’est le cas quand on s’est sentie humiliée, maltraitée. Et il faudra écouter votre corps si c’est le cas. Si vous pensez, (…) Lire la suite sur Topsanté

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Le stéthoscope a 200 ans, et il risque de ne pas passer l’hiver

Dépassera-t-il de beaucoup les deux cents ans? Le stéthoscope a été inventé le 17 février 1816 par le Dr René-Théophile-Hyacinthe Laennec qui fêtait ce jour-là ses 35 ans. Il devait mourir dix ans plus tard, de tuberculose. Ce médecin avait eu l’idée de cet outil révolutionnaire en observant peu auparavant des enfants jouant dans les décombres de la cour du Louvre: l’oreille collée à l’extrémité d’une poutre, ils écoutaient les sons transmis par le bois tandis qu’un autre enfant grattait l’autre extrémité avec une épingle. On venait de lui enseigner la percussion, il découvrira et enseignera l’auscultation. 

De retour à l’hôpital Necker, au chevet d’une patiente cardiaque, il réclame une feuille de papier, la roule en cylindre, appuie une extrémité sur la poitrine de la malade et place l’autre contre son oreille. Et voici que lui parviennent, amplifiés et avec netteté, les sons des battements du cœur et ceux des inspirations-expirations des poumons. C’est la première auscultation médiate —par opposition à l’auscultation immédiate où avec la tête du médecin collée sur la poitrine du patient. Une opération qui voyait fréquemment le médecin plaçait un mouchoir entre son oreille et la peau du malade.

Laennec baptise stéthoscope son invention (du grec stethos, poitrine). Il en élabore un premier en bois puis l’améliore au fil de différents modèles. En moins de deux ans, il bâtit toute la sémiologie pulmonaire. Son instrument acoustique permet, sans danger et autant de fois qu’on le veut, d’entrer dans l’intimité du bloc cœur-poumon alors inaccessible. Deux siècles plus tard sa classification des sons pulmonaires normaux et pathologiques (râles, sifflements, bourdonnements, tintement métallique etc.) n’a rien perdu de son actualité. Il fait le lien entre ces sons et les lésions qui les provoquent, ce qui ouvre la voix à de considérables avancées. On peut découvrir ici ce que perçoivent les oreilles médicales au travers d’un stéthoscope.  

De nombreuses améliorations sont rapidement apportées (adaptateurs en ivoire, tube flexible…) mais il faut attendre le milieu du XIXe siècle pour voir apparaître le stéthoscope à deux oreilles (bi-auriculaire) dont le principe est toujours d’actualité. Le plus célèbre est aujourd’hui celui mis au point au début des années 1960 par le cardiologue américain David Littmann avec double pavillon réversible. Il est omniprésent dans la pratique médicale, qu’il s’agisse du cœur, des poumons, de l’abdomen, du fœtus ou de la tension artérielle.

Mais demain? Dans un éditorial de la prochaine livraison de la revue Global Heart, les Prs Jagat Narula et Bret Nelson (Mount Sinai School of Medicine, New York) laissent entendre que ses jours sont comptés. L’invention durable de Laennec ne résiste plus à l’avènement des appareils diagnostiques usant des ultrasons et de l’échographie. Des appareils de moins en moins volumineux, de moins en moins coûteux.

«Au moment où nous écrivons ces lignes, plusieurs constructeurs proposent des échographes portables à peine plus gros qu’un paquet de cartes à jouer, avec une technologie et des écrans inspirés des smartphones modernes», écrivent les deux médecins américains. La taille et le prix des échographes miniatures continuent de diminuer sans que la qualité des images en soit altérée. «De ce fait, de nombreux experts ont affirmés que l’échographe était devenu le stéthoscope du XXIe siècle. Mais alors, pourquoi ne trouve-t-on pas d’appareils à ultrasons dans la poche de tous les cliniciens», interrogent les Prs Narula et Nelson. Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte. Parmi eux le fait que de nombreux médecins d’âge mûr ont terminé leurs études bien avant que l’échographie ne devient une pratique de base dans leur spécialité.»

Les stéthoscopes les moins onéreux sont par ailleurs devenus objets presque jetables alors qu’ils étaient hier encore pieusement conservés par les médecins tout au long de leur carrière. Mais les appareils à ultrasons les moins chers coûtent encore plusieurs milliers de dollars. Ce qui est un obstacle majeur dans les pays en développement. Pour autant, le mouvement de substitution est en marche et il est irréversible.

«Les conditions sont réunies pour un bouleversement, assurent les deux médecins. Les vinyles ont été remplacés par les cassettes audios, puis par les CDs et par les mp3. Le stéthoscope finira  par s’incliner de la même manière face à l’échographie. Les étudiants en médecine vont s’entraîner à utiliser ces appareils portables pendant leurs études précliniques. Puis ils auront accès à des anatomies et des physiologies vivantes qui n’étaient jusqu’ici consultables que via des simulations. Ces étudiants verront l’avènement d’une échographie guidée par une ultrasonographie ciblée. Puis une fois en position d’autorité, ils réaliseront peut-être que le potentiel de cette technologie aujourd’hui balbutiante est encore bien plus étendu. »

A ce stade notre  stéthoscope sera-t-il nettoyé, étiqueté, et place dans une chambre forte, à côté des inventions depuis celle de René  Laennec jusqu’à celle de David Littmann? Ou, à la manière des audiophiles qui jurent que le phonographe offre les meilleurs sons, certains cliniciens continueront-ils à n’avoir confiance que dans l’antique acoustique analogique?

Jean-Yves Nau


A votre santé! – Slate.fr