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L’éclairage de nuit causerait une inflammation et une perte musculaire

Le cycle de lumière-obscurité de l’environnement est important pour la santé, montre une nouvelle étude publiée dans la revue Current Biology. Les rythmes circadiens sont profondément ancrés dans la biologie de la quasi-totalité des organismes, soulignent les chercheurs.

Johanna Meijer de l’Université Leiden et ses collègues ont montré plusieurs conséquences négatives sur la santé chez des souris maintenues dans des conditions de lumière constante pendant 24 semaines.

Le rythme normal de régulation circadienne dans les noyaux suprachiasmatique (NSC) était réduit de 70 %.

La fonction des muscles squelettiques, telle que mesurée par des tests de résistance, était réduite ; les os montraient des signes précoces d’ostéoporose ; et une activation pro-inflammatoire du système immunitaire, normalement observée seulement en présence d’agents pathogènes ou d’autres stimuli nocifs, s’était développée.

La bonne nouvelle est que ces effets négatifs sont réversibles lorsque le cycle lumière-obscurité de l’environnement est rétabli, dit Meijer. Après 2 semaines de cycle standard, les neurones du SCN ont récupéré rapidement leur rythme normal, et les problèmes de santé des animaux se sont rétablis.

Psychomédia avec sources : CellPress, Current Biology.
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Chimiothérapie : un casque réfrigérant contre la perte de cheveux autorisé aux États-Unis

La Food and Drug Administration (FDA) américaine a autorisé, en décembre 2015, la commercialisation aux États-Unis d’un casque réfrigérant pour réduire la perte de cheveux chez les femmes subissant une chimiothérapie pour le traitement du cancer du sein.

Le système DigniCap, contrôlé par ordinateur, fait circuler un liquide refroidissant dans un bonnet porté lors de la chimiothérapie. Il maintient une température variant entre 3° à 5°C.

Le refroidissement vise la constriction des vaisseaux sanguins dans le cuir chevelu, ce qui, en principe, réduit la quantité de chimiothérapie qui atteint les cellules des follicules pileux (racines capillaires). Le froid diminue également l’activité des follicules, ralentissant la division cellulaire et les rendant ainsi moins susceptibles d’être affectés par la chimiothérapie. Le système n’est pas efficace avec toutes les chimiothérapies, précise la FDA.

Dans une étude avec 122 femmes subissant une chimiothérapie pour des cancers du sein de stades 1 et 2, 66 % ont rapporté avoir perdu moins que la moitié de leurs cheveux.

Les effets secondaires les plus fréquents incluaient des maux de tête induits par le froid et un inconfort au cou et l’épaule, des frissons et des douleurs associées au port du casque pendant une période de temps prolongée.

Psychomédia avec source : FDA.
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Eucerin lutte contre la perte de volume

Pour redéfinir le contour du visage et rétablir le volume de la peau, deuxième préoccupation anti-âge des femmes, Eucerin a mis au point son Sérum Concentré Volume-Filler.

Venant compléter la gamme Volume-Filler déjà composée d’un soin de jour, d’un soin de nuit et d’un soin contour de l’œil, ce sérum lutte lui aussi contre la perte de volume et le manque de fermeté, deux facteurs modifiant l’architecture et l’harmonie du visage.

Dans cette formule ciblée, Eucerin a encore augmenté la concentration du trio d’actifs qui ont fait le succès de la gamme Volume-Filler ; des actifs qui agissent sur les différentes causes de la perte de volume au niveau de l’épiderme, du derme et de l’hypoderme.

L’acide hyaluronique de haut poids moléculaire aide en effet à restaurer les volumes perdus grâce à sa forte teneur en eau et améliore l’hydratation de la peau.

Des oligo-peptides viennent renforcer le maillage de fibres de collagène afin d’améliorer la qualité et la fermeté de la peau tout en renforçant sa structure cutanée.

Pour parfaire ces actions, le magnolol vient potentialiser la synthèse de l’acide hyaluronique et l’effet des oligo-peptides tout en augmentant la taille des adipocytes, ces cellules donnant du volume à la peau.

Ce sérum permet ainsi de renforcer l’efficacité des soins de la gamme Volume-Filler et d’améliorer le volume de la peau, de la raffermir et de la rendre plus ferme et moins ridée.

(Sérum Concentré Volume-Filler, Eucerin. Disponible en pharmacie et parapharmacie. En savoir plus sur www.eucerin.fr. Flacon-pompe 30ml ; ppi : 35,50 €)


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Obésité : 30 % de perte de graisse grâce à une simple pilule ?

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Faire baisser de 30 % le surplus de graisse grâce à un traitement miracle bientôt possible ? Oui, répondent les scientifiques du Harward Stem Cell Institute (HSCI) ! Même si de nombreuses étapes comme le passage des rongeurs à l’être humain restent encore à franchir, les premiers résultats sont encourageants et portent à espérer pour l’avenir la découverte d’un nouveau remède contre l’obésité et le surpoids.

C’est une étude publiée dans la revue Nature Cell Biology qui vient de révéler les premiers résultats prometteurs d’un traitement capable de faire diminuer de 30 % le surplus de graisse chez un individu.

Pour parvenir à fabriquer la pilule en question, les chercheurs ont élaboré un procédé permettant de repérer les éléments capables de transformer les cellules qui stockent les lipides (« graisses blanches ») en cellules à graisses brunes qui elles, brûlent des calories.

Cette pilule, testée uniquement sur des rats pour le moment, offre des espoirs même si l’impact à long terme sur le système immunitaire ou le métabolisme n’est pas encore connu.

Perdre 30 % de graisse superflue sans lever le petit doigt ? Il faudra encore franchir bien des obstacles avant d’y parvenir, en attendant, les bonnes vieilles méthodes comme la pratique sportive ou le manger équilibré restent toujours d’actualité…

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La perte d’odorat, un indicateur de risque de mortalité ?

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Une étude de l’université de Chicago vient de montrer que des troubles de l’odorat pour les seniors de plus de 57 ans pourraient signifier un risque accru de décès dans les cinq ans qui suivent.

Cette étude, parue dans la très sérieuse revue Plos One a de quoi interpeller. Mais heureusement les résultats sont quand même mitigé, puisque plus de la moitié des participants à cette recherche ayant des troubles de l’odorat ne parvenant pas à reconnaître parfaitement les cinq odeurs du test qui sont l’orange, la rose, le cuir, le poisson et la menthe sont encore en vie cinq ans plus tard.

A l’inverse, le risque de mourir dans les cinq ans pour les personnes reconnaissant parfaitement ces odeurs était également de 10 %.

Quel est alors l’intérêt de ce test ? Selon les scientifiques ayant travaillé sur le sujet qui restent persuadés que les perturbations de l’olfaction permettent de prédire la mortalité à cinq ans des adultes âgés, ce test simple pourrait permettre en identifiant les patients à risque de bénéficier d’examens complémentaires.

Si la perte d’odorat ne donne que peut d’indication au médecin sur une pathologie sous-jacente, si ce n’est une probabilité d’atteinte par la maladie de Parkinson (souvent, dans cette pathologie, le nerf olfactif est touché), d’autres signes sont bien plus significatifs pour prédire la mort.

Ne pas reconnaître 5 odeurs, signe prédictif de mort ?

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