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Un sexe de petite taille aurait des conséquences négatives sur la fertilité

Un sexe de petite taille aurait des conséquences négatives sur la fertilité

Le 11 octobre 2018.

Une étude américaine, réalisée par des chercheurs de l’université d’Utah, révèle une corrélation entre la taille du pénis et l’infertilité.

Un sexe plus court pourrait provoquer des problèmes de fertilité

Cette nouvelle enquête, menée auprès de 815 participants, révèle que la taille du pénis aurait un impact sur les perspectives de fertilité. Ces résultats ont été présentés au cours de la conférence de l’American Society for Reproductive Medicine, qui s’est tenue jusqu’au 10 octobre dernier.

Les scientifiques ont démontré que les hommes présentant des signes d’infertilité avaient un pénis d’environ 12,5 cm en érection, contre une moyenne de 13,4 cm pour les hommes fertiles. Une différence d’1 centimètre seulement changerait ainsi la donne. Selon le directeur de l’étude, le docteur Austen Slade, « ce n’est peut-être pas une différence frappante mais il y a une réelle signification statistique ».

La taille du pénis serait-elle véritablement un handicap pour concevoir ?

Ces résultats sont à interpréter avec prudence. En effet, l’étude ne donne pas d’indication sur la taille « minimale » d’un pénis qui pourrait engendrer l’infertilité, et se garde bien également de donner des explications sur le fait qu’un pénis plus court serait moins fertile.

La fertilité masculine est en baisse constante depuis de nombreuses années. D’autres études révèlent que des facteurs tels que l’environnement, la consommation de tabac ou le stress, auraient également un impact sur la possibilité d’avoir un enfant.

Anne-Flore Renard

À lire aussi : Le micropénis

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Un homme transmet sciemment le virus du Sida à sa petite amie

Un homme transmet sciemment le virus du Sida à sa petite amie

Un homme de 36 ans a été mis en examen vendredi 4 août, à Paris, pour avoir transmis sciemment à sa petite amie le virus du Sida. Il aurait caché sa séropositivité par peur de la perdre.

L’homme est mis en examen pour avoir transmis le VIH à son ex-compagne

Nos confrères du Parisien ont rapporté cette histoire d’amour qui a viré au drame. La jeune femme apprend qu’elle est séropositive en 2016, après une analyse de sang effectuée dans un laboratoire de Rouen (Seine-Maritime). Elle demande alors des explications à son ex-compagnon parisien, qui lui avoue être porteur du virus du Sida depuis plus de 10 ans et qu’il lui a caché sa séropositivité. Celle-ci décide alors de porter plainte fin 2016.

L’homme a été convoqué mercredi dernier au commissariat à Paris, en raison de la localisation géographique du suspect, et a immédiatement reconnu les faits. Durant son interrogatoire, « Il soutient qu’il était tellement amoureux de cette jeune femme, explique une source proche de l’affaire, qu’il n’aurait pas osé lui avouer sa séropositivité, de peur de la perdre », peut-on lire dans les colonnes du Parisien.

L’homme était déjà connu des services de police

Convoqué par la police puis placé en garde à vue, l’homme, un ex-toxicomane, est déjà connu des services de police, pour faits de « violences, vol dans des voitures, cambriolage et infraction à la législation liée aux stupéfiants, commis entre 1987 et 2006 », peut-on lire aussi dans Le Parisien.

L’homme est également mis en examen pour « harcèlement » et « envois réitiérés de messages malveillants ». Selon lui, ce serait toujours l’amour porté à la jeune femme qui l’aurait conduit à envoyer ces nombreux messages après leur rupture. L’homme a été remis en liberté et placé sous contrôle judiciaire. L’enquête se poursuit, afin de déterminer s’il a contaminé volontairement d’autres personnes.

Aurélie Giraud

À lire aussi : Dépistage du VIH : analyse, examen et résultats

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Une petite fille vie avec le cœur en dehors de la poitrine

Le 27 Novembre 2015. Virsaviya Borun-Goncharova est une petite fille russe de 6 ans à la condition médicale bien particulière. Elle est née avec le syndrome de Cantrell. Alors que les médecins ne lui donnaient peu de temps à vivre, elle se bat quotidiennement.

Une lutte spectaculaire depuis 6 ans

Le syndrome de Virsaviya est une maladie méconnue qui touche un enfant sur un million. Elle est née avec le coeur et les intestins en dehors de son corps. Il lui manque également des os et elle n’a pas de diaphragme, ce qui fait que les médecins ne lui donnaient que quelques heures à vivre. Mais c’est en véritable miraculée qu’elle continue de déjouer les lois de la médecine.

Une campagne de crowdfunding pour l’opération

Virsaviya est plus fragile que les petites filles de son âge et tombe malade plus facilement. Les finances de sa maman ne lui permettent pas d’avoir d’assurance pour payer les soins et les médicaments. Après avoir contacté les hôpitaux, du monde entier, l’idéal pour elles, serait qu’elles puissent déménager à Boston, pour se rapprocher de l’hôpital où un médecin a promis de les aider. Pour ça, Dari, la maman, a lancé une campagne de crowdfunding sur le site YouCaring pour récolter des fonds qui serviront à l’opération chirurgicale de sa fille.

Une agréable surprise et beaucoup d’espoir

Il faudrait 100 000 $ pour couvrir l’intégralité de l’opération de Virsaviya. A ce jour, la levée de fond s’élève à 59 000 €. Loin de s’attendre à un tel engouement, la famille est pleine d’espoir et partage leur quotidien sur les réseaux sociaux. Depuis la médiatisation de l’histoire, elles reçoivent beaucoup de soutien de la part des internautes. «Je n’ai pas de famille ici. Il n’y a que moi et Virsaviya, mais maintenant je me sens comme si j’avais une famille parce que beaucoup de gens qui prennent soin de nous. Ils nous aiment. Ils veulent aider», a déclaré Dari à NBC 6.

La petite fille quant à elle, remercie sa mère pour le soutient dans son combat: «Mon cœur est ici. Il est à l’extérieur de ma poitrine et j’aime vraiment ma mère, elle a toujours aimé toucher mon cœur.»

 

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Légalisation de la MDMA, la petite musique qui monte

Ce débat apparemment impossible affleure depuis quelques mois face à une interdiction jugée contre-productive.

Tout le monde sait bien, au fond, que la question du cannabis est réglée. Le mouvement vers sa légalisation est enclenché et plus rien ne semble pouvoir l’arrêter. Un par un, les États américains autorisent le cannabis. L’Uruguay en expérimente la vente libre. En Italie, un projet de loi est sur la table. L’Allemagne réfléchit. La France finira par s’y mettre.

Le dossier du cannabis refermé, quelle sera la nouvelle frontière? S’il y en a une, quelle sera la prochaine drogue sur la liste? Et si c’était la MDMA? Depuis sa prohibition en 1985, qui avait fait l’objet d’un vif débat médical aux Etats-Unis, la question de la légalisation de la MDMA est absolument taboue. Mais l’impossible débat affleure depuis quelques mois. 

Un shop d’ecstasy (cachets de MDMA) a ouvert à Amsterdam en mai pour porter le débat sur la légalisation sur la place publique. La drogue était factice mais le buzz mondial. L’activiste américain Emanuel Sferios a récolté plus de 50.000 dollars sur Indiegogo pour financer un documentaire sur la légalisation, MDMA The Movie. Un éminent urgentiste néo-zélandais a appelé publiquement en juin à légaliser la substance, terrorisé de voir débarquer dans son service des jeunes ayant consommé des substituts plus dangereux.

«Aucune bonne raison de criminaliser l’usage de la MDMA»

Un pharmacien australien a publié en juin un article dans le Journal of Law and Medicine réclamant aussi une légalisation. Joshua Donelly estime que l’interdiction de la MDMA est contre-productive et même irrationnelle:

«L’évaluation des risques liés aux drogues est le moyen le plus rationnel pour déterminer le statut légal d’une substance. Les éléments dont nous disposons suggèrent que, comparé aux autres drogues, la MDMA présente un niveau faible de risques pour la plupart des usagers et cause des dégâts (…) Lire la suite sur Slate.fr

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NKD SKN, la petite soeur de Vita Liberata


Vita Liberata nous présente NKD SKN, sa petite soeur qui arrive à son tour en France.

Marque experte elle aussi en produits de soin autobronzants haut de gamme, NKD SKN nous propose toute une gamme de produits totalement inodores et aux formules naturelles qui garantissent un éclat naturel et durable au visage comme au corps.

Avec ses packs frais et son résultat hyper naturel, c’est l’allié parfait des jeunes femmes, quelles que soient leurs envies de hâle.

Pour les peaux sèches et sensibles et celles qui préfèrent un hâle discret qu’elles peuvent approfondir quotidiennement, il y a la Crème Hydratante Quotidienne Eclat Progressif, une formule enrichie en aloe vera, lychee et beurre de karité pour lisser la peau et lui offrir un hâle …
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Une nouvelle collection Petite Parisienne chez Roger & Gallet


Pour la Fête des Mères, Roger & Gallet a de nouveau collaboré avec Betrand de Miollis, l’illustrateur, artiste-peintre et globe-trotteur pour mettre en scène une Petite Parisienne irrésistible.

Sandales en mains, cachée sous sa capeline avec son parasol sous le bras, ce petit personnage incarne la légèreté et la liberté des Parisiennes d’aujourd’hui.

Une délicieuse illustration qui est ici imprimée sur un motif de pois en guise de décor pour cette nouvelle collection éphémère Bonheur de Printemps.

A commencer par une ravissante pochette week-end qui séduira toutes les mamans. Glissée dans le sac à main ou dans le sac de week-end, cette pochette est proposée dans une multitude de versions qui associe un vaporisateur d’Eau Parfumée à un…
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Les hommes de petite taille vivent plus longtemps

Une étude publiée dans la revue Plos One accrédite l’hypothèse selon laquelle les hommes de petite taille vivent plus longtemps que les autres. L’étude se base sur une cohorte de 8.000 Américains résidants d’Hawaii, d’ascendance japonaise, suivis pendant 40 ans dans le cadre d’un programme de recherche de santé, le Kuakini Honolulu Heart Program, détaille NBC News.

Une corrélation positive a été trouvée entre la taille et toutes les causes de mortalité, notamment toutes les morts provoquées par un cancer non relié au tabac. Cette corrélation a été observée sur tout le spectre des tailles étudiées, de sorte que plus les hommes étaient grands, plus leur espérance de vie était réduite.

Source: Shorter Men Live Longer […] – Plos One

Les chercheurs attribuent cette inégalité de longévité à la présence d’un gène spécifique associé à des taux plus faibles d’insuline dans le sang et qu’on trouve chez les individus moins sujets à des cancers. Un gène qui joue un role dans la longévité dans le règne animal (souris, mouches) mais qui a été pour la première fois associé à l’espérance de vie chez l’homme.

En 2013, Arte diffusait un documentaire, «Secrets de longévité», sur l’étude menée pendant 22 ans par le docteur Jaime Guevara sur une population de petite taille, 1 mètre 20 en moyenne, d’une vallée du Sud de l’Equateur, épargnée par le cancer et le diabète. Comme CNN l’expliquait en 2011, il n’y a eu qu’un cas de cancer en 22 ans sur les 99 Equatoriens suivis. S’ils ne mouraient pas d’accident ou de maladie liée à l’alcoolisme, ces hommes et ces femmes vivaient plus longtemps que le reste de la population et même que les membres de leur famille de taille moyenne.

Plusieurs populations de petite taille ont fait l’objet de recherches similaires, mais les chercheurs hésitent à généraliser ces résultats à l’ensemble de la population. Tout comme à trancher sur l’opportunité d’un traitement d’hormone de croissance, dont les effets de croissance ou anti-âge peuvent être contrebalancés par les risques de cancer ou de diabète.

Reste que cette publication sonne comme une revanche biologique pour l’homme de petite taille, plus habitué aux études se penchant sur le handicap social que constitue sa particularité. Le sociologue Nicolas Herpin a ainsi montré à partir des données de l’Insee de 2001, que les hommes de petite taille étaient moins fréquemment en couple que les plus grands.  Par aileurs «la taille élevée est un atout économique pour l’homme. À diplôme constant, les hommes de taille élevée font une meilleure carrière professionnelle car leur sont confiées davantage de responsabilités d’encadrement», écrit le sociologue. La grande taille étant perçue comme un signal d’autorité dans les postes d’encadrement. 

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Nobel de médecine 2013: le corps humain vu comme une petite usine

Les responsables de la communication de l’Institut Karolinska, chargé chaque année de décerner le Nobel de médecine, n’ont pas résisté aux joies de la métaphore filée au moment de justifier le prix 2013.

Une métaphore à base de transports, faite de cargos, de docks et de livraisons à la bonne place et à la bonne heure. Il suffit pour cela d’un peu d’imagination et de transformer chaque cellule, élément unitaire du vivant, en une usine productrice et exportatrice de molécules.

Les Américains James E. Rothman (63 ans) et Randy W. Schekman (65 ans), associés à l’Allemand Thomas C. Südhof (58 ans), sont descendus dans cette usine pour mieux en comprendre les règles de fonctionnement. Armés des puissants outils de la biologie moléculaire, ils ont radicalement renouvelé la lecture, essentiellement descriptive, qu’avaient pu en faire les biologistes du siècle précédent.

Un paysage dynamique

Leurs travaux ont ainsi permis de brosser un paysage dynamique là où l’on ne percevait qu’un agencement d’organites et de molécules. Ce paysage a aussi gagné en cohérence: il englobe désormais un vaste panorama industrieux allant de l’action des gènes (constitutifs du patrimoine héréditaire de chaque individu végétal, animal ou humain) jusqu’aux mécanismes d’octroi et d’exportations aux frontières cellulaires. Comprendre tout cela nécessitait de décrypter une vaste réseau de signaux intra et intercellulaires, ce que sont parvenus à faire les trois chercheurs.

Leur meccano est aussi riche que coloré. C’est une organisation fine et changeante comportant de multiples compartiments ou organites. Elle enregistre les commandes venues de plus haut et assure les réglages énergétiques. Puis, autant que de besoin et selon les territoires, la production d’hormones, de neurotransmetteurs, de cytokines ou d’enzymes.

Des vésicules-cargos se chargent des premiers déplacements intra-cytoplasmiques de marchandises. Puis ces dernières sont conditionnées pour passage à travers les canaux de la barrière membranaire, avant d’être livrées à des distances parfois considérables au sein de l’organisme pluricellulaire.

Impact dans le traitement de maladies

Après avoir été déjà tous trois récompensés ces dernières années par le prestigieux Prix Lasker, Rothman, Schekman et Südhof voient donc aujourd’hui leurs travaux être récompensés du Nobel de physiologie et de médecine. C’est dire que leurs recherches ont eu (et auront) un impact dans la compréhension et le traitement de certaines maladies affectant l’espèce humaine. Le tout sous le contrôle non exclusif des gènes et des contrôleurs nerveux.

Filant toujours sa métaphore productiviste, le service communication du jury Nobel explique que toute forme de perturbation du système (erreurs dans la prise de commande, surproduction, mouvements de grève, période de chômage, blocage en aval des circuits de production…) peut se traduire en crise et en douleurs. Il s’agit notamment ici du diabète insulinodépendant, des maladies neurologiques ou de dérèglements plus ou moins graves de nature immunologique. Autant de pathologies pour lesquelles des thérapeutiques pourront être trouvées en parvenant à retrouver une production débarrassée de ses éléments perturbateurs pathologiques.

«Faute d’une organisation merveilleusement précise, la cellule sombre dans le chaos», fait valoir le jury Nobel, démontrant ainsi qu’il est toujours capable de s’émerveiller devant l’organisation du vivant. Ce qui, somme toute, est assez rafraîchissant.

Jean-Yves Nau

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Cancer : les femmes de grande taille plus exposées

Les grandes femmes sont plus susceptibles que celles de petite taille de développer un cancer, a révélé une étude publiée jeudi aux États-Unis. Les chercheurs ont examiné près de 145 000 femmes ménopausées âgées de 50 à 79 ans et constaté que pour chaque dix centimètres de taille de plus leur risque de souffrir d’un cancer du sein, du côlon, du rein, de l’ovaire, du rectum, de la thyroïde et de la peau (mélanome) augmentait de 13 %.

« Le cancer résulte d’un processus lié à la croissance. De ce fait, il est logique que les hormones et d’autres facteurs contribuant à la croissance puissent accroître le risque de cancer », relève le docteur Geoffrey Kabat, un épidémiologiste de la faculté de médecine Albert-Einstein de l’Université Yeshiva à New York, principal auteur de cette recherche parue dans la revue américaine Cancer Epidemiology.

Un facteur toutefois mineur

Le lien entre la taille et un risque accru de cancer a subsisté après avoir pris en compte d’autres facteurs pouvant accroître la probabilité de développer la maladie, tels que l’âge, le poids, le niveau de formation, le tabac, la consommation de l’alcool et le fait de suivre une thérapie hormonale. « Nous avons été surpris par le nombre de centres de traitement du cancer où la taille était clairement liée au développement de la maladie. Dans ces statistiques, davantage de cancers semblent avoir un lien avec la taille qu’avec l’indice de masse corporelle », ajoute-t-il.

Parmi les femmes les plus grandes, le risque de certains cancers (rein, rectum, sang, et thyroïde) est même nettement plus élevé, allant de 23 à 29 % pour chaque 10 centimètres de plus. L’étude n’a pas établi une certaine taille à partir de laquelle le risque de cancer commence à augmenter, relève le docteur Kabat tout en soulignant que ce risque reste faible. « Il est important de souligner que l’âge, le tabagisme, le surpoids et certains autres facteurs de risque jouent un rôle considérablement plus grand », souligne le chercheur.

Un nouveau style pour La Petite Robe Noire de Guerlain

Un an après nous avoir éblouies avec sa première tenue, La Petite Robe Noire nous revient dans un nouveau style.

Eau de parfum, la voilà qui se réinvente à présent en eau de toilette, à la fois familière et singulière.

Florale fraîche, cette nouvelle version imaginée une fois encore par Thierry Wasser, parfumeur exclusif Guerlain, nous pare d’une dentelle florale et romantique brodée de notes vertes pétillantes et fruitées.

Son flacon au bouchon aux allures de coeur renversé se teinte quant à lui d’un rose délicat et poudré et en ombre chinoise, révèle une élégante robe bustier ornée d’une fine ceinture rose.

Avec cette nouvelle fragrance, c’est tout un dressing parfumé qui s’offre à nous, avec donc deux styles différents de petite robe noire, l’une pour la journée et l’autre plus habillée et raffinée pour la soirée.

A découvrir aussi le nouveau film publicitaire signé des artistes Kuntzel & Deygas :

(La Petite Robe Noire Eau de Toilette, Guerlain. Disponible en parfumeries et grands magasins. Vaporisateur 50ml, prix indicatif : 71 €)


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