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Régimes à base de plantes et cancer de la prostate : Y a-t-il un lien ?

Une récente revue de la littérature sur les régimes à base de plantes et le risque de cancer de la prostate a conclu que les régimes à base de plantes ont le potentiel d’améliorer les résultats du cancer de la prostate, en plus d’avoir des avantages pour la santé cardiovasculaire, la qualité de vie et les avantages environnementaux.

Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez les hommes, et son incidence devrait augmenter dans les années à venir. La recherche a montré que l’alimentation joue un rôle crucial dans le développement et la progression du cancer de la prostate. Un régime riche en produits animaux, tels que la viande rouge et les produits laitiers, a été associé à un risque accru de cancer de la prostate. En revanche, un régime riche en fruits, légumes et céréales complètes est associé à un risque réduit de cancer de la prostate.

Les avantages d’un régime à base de plantes

Un régime à base de plantes est un régime qui est principalement ou entièrement basé sur des aliments végétaux, tels que les fruits, les légumes, les céréales complètes, les légumineuses et les noix. Il a été démontré qu’un régime à base de plantes présente de nombreux avantages pour la santé, notamment la réduction du risque de maladies cardiaques, de diabète et de certains types de cancer. Cela est dû au fait que les régimes à base de plantes sont généralement riches en fibres, en antioxydants et en substances phytochimiques, dont les propriétés anti-inflammatoires et anticancéreuses ont été démontrées.

Les défis de l’adoption d’un régime à base de plantes

Adopter un régime à base de plantes peut être un défi, en particulier pour ceux qui ont l’habitude de manger un régime riche en produits animaux. Il est important de s’assurer que vous consommez suffisamment de protéines et d’autres nutriments essentiels lorsque vous suivez un régime à base de plantes. Il est également important de faire attention à la provenance de vos aliments et de choisir des aliments entiers et non transformés autant que possible.

En conclusion, un régime à base de plantes a le potentiel d’améliorer l’issue du cancer de la prostate, en plus de présenter des avantages pour la santé cardiovasculaire, la qualité de vie et l’environnement. Il est important de s’assurer que vous consommez suffisamment de protéines et d’autres nutriments essentiels lorsque vous suivez un régime à base de plantes, et de choisir des aliments entiers et non transformés autant que possible. Il est également important de consulter un professionnel de la santé ou un diététicien avant d’apporter des changements significatifs à votre régime

Plantes toxiques : attention aux réactions allergiques cet été

Plantes toxiques : attention aux réactions allergiques cet été

Le 12 juillet 2019

L’été est là et les plantes poussent partout. Elles offrent une beauté inégalée et nous permettent de nous ressourcer. Toutefois, certaines d’entre elles sont nocives et peuvent provoquer des allergies sévères.

Des plantes allergisantes

Les randonneurs se promènent en short généralement sans savoir que certaines plantes peuvent être à l’origine d’allergies graves. En mai dernier, sept enfants en classe verte en Charente-Maritime ont été victimes de brûlures au deuxième degré causées par des feuilles de figuier.

Certaines plantes comme le figuier ou le citron sont photosensibilisantes. Lors de l’exposition au rayonnement solaire, la sève du figuier peut provoquer une phytophotodermatose, une réaction cutanée anormale.

D’autres plantes dont il faut se méfier

Combinées à une exposition au soleil, d’autres plantes peuvent également s’avérer allergisantes voire urticantes. C’est le cas de l’ambroisie, une plante géante pouvant atteindre quatre mètres de haut. Cette plante est présente en France, en particulier en Ardèche, dans la Drôme, l’Allier et le Cher. L’ambroisie, originaire d’Amérique du nord, est une plante envahissante qui connaît sa floraison à l’été. Le pollen de cette plante est très irritant et allergisant. Il peut provoquer de l’asthme, des rhinites allergiques et de graves irritations.

La berce du Caucase est une autre plante toxique. La sève de cette plante exotique cause des lésions à la peau combinée à l’exposition du soleil. Ces lésions sont semblables à des brûlures. En France, la plante est présente au nord-est mais aussi dans les Alpes. La pariétaire de Judée est une autre plante qui peut provoquer des allergies respiratoires. Cette plante qui appartient à la même famille que l’ortie, se trouve principalement à proximité de falaises sous le climat méditerranéen. On l’a trouve également en pleine ville où elle pousse sur de vieux murs. Son pollen est très allergène et peut causer un rhume des foins, des démangeaisons ainsi qu’un asthme sévère.

Stéphanie Haerts   

À lire aussi : Yeux qui piquent, nez qui gratte… Et si c’était une allergie saisonnière ?  

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Plantes sauvages comestibles : attention aux confusions dangereuses avec des plantes toxiques (Anses)

Suite aux signalements de plusieurs cas d’intoxication grave, dont deux décès, l’Agence nationale française de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) et le réseau des Centres antipoison attirent l’attention sur les risques liés à la confusion de plantes toxiques avec des plantes comestibles.

Certaines plantes toxiques ressemblent à des plantes comestibles. Elles se trouvent dans la nature mais également dans le jardin ou le potager où certaines peuvent être confondues avec plantes cultivées.

« En juin 2019, un homme de 63 ans est décédé suite à la consommation d’œnanthe safranée qu’il avait confondue avec du persil tubéreux, cultivé et ramassé dans son jardin.

Quinze autres cas de confusion alimentaire d’œnanthe safranée avec une plante comestible ont été enregistrés par les Centres antipoison de 2012 à juin 2019.

Un an plus tôt, un promeneur est décédé après avoir cueilli et consommé des feuilles d’aconit napel (ou aconit tue-loup), plante très toxique, confondue avec du couscouil (Molopospermum peloponnesiacum), dont les feuilles se consomment usuellement en salade.

Enfin, en mai dernier, une alerte a été lancée par l’Agence Régionale de Santé Grand-Est suite au signalement par les Centres antipoison de vingt cas d’intoxication par du colchique (Colchicum autumnale), confondu avec de l’ail des ours (Allium ursinum) ou du poireau sauvage (Allium polyanthum). »

« À travers son dispositif de toxicovigilance qui rassemble les signalements des Centres antipoison, l’Anses a recensé plus de 250 cas par an de confusion de plantes depuis 2012. Au total, 1 872 cas de confusion alimentaire avec des plantes ont été recensés de 2012 à 2018. Toutes les tranches d’âge sont touchées dont les enfants de moins de six ans. »

« Ces confusions alimentaires concernent de multiples plantes et peuvent impliquer, en fonction des saisons, les fleurs, les bulbes, les graines, les baies, les racines, les feuilles, etc.

L’Anses a établi une liste des plantes les plus fréquemment confondues et/ou à l’origine des cas d’intoxication les plus graves. Il s’agit notamment :

  • des plantes à bulbes confondues avec l’oignon, l’ail, ou l’échalote ;
  • du marron d’Inde confondu avec la châtaigne ;
  • des coloquintes ou courges amères confondues avec les courges comestibles ;
  • de l’arum confondu avec l’oseille ou l’épinard. »

« Les symptômes les plus communs sont des troubles digestifs – douleurs abdominales, nausées, vomissements, diarrhée – pouvant être graves pour certaines plantes comme les coloquintes. »

« Certaines plantes provoquent également des symptômes plus graves, cardiaques ou neurologiques pouvant aller jusqu’au décès. Il s’agit par exemple, de la vérâtre confondue avec la gentiane, de la belladone confondue avec du raisin, ou encore de la digitale confondue avec la consoude. »

Pour limiter les risques d’intoxication par confusion, l’Anses et les Centres antipoison recommandent :

  • de ne pas consommer la plante ramassée en cas de doute sur son identification ;

  • de cesser immédiatement de manger si la plante a un goût inhabituel ou désagréable ;

  • de ne pas cueillir par brassées, pour éviter de cueillir plusieurs espèces et de mélanger des espèces toxiques avec des espèces comestibles ;

  • de photographier sa cueillette pour en faciliter l’identification en cas d’intoxication.

« En cas d’urgence vitale (coma, détresse respiratoire…) : appeler immédiatement le 15. »

« En cas d’apparition de troubles de santé après le repas : appeler un Centre antipoison. »

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Anses.
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Les « produits naturels » à base de plantes parfois pris en combinaison dangereuse avec des médicaments

Certains « produits naturels » à base de plantes (phytothérapie) et compléments alimentaires sont utilisés avec des médicaments incompatibles Continuer la lecture de Les « produits naturels » à base de plantes parfois pris en combinaison dangereuse avec des médicaments

L’interaction entre produits à base de plantes et médicaments peut causer des effets secondaires graves

L’interaction entre produits à base de plantes et médicaments peut causer des effets secondaires graves, selon une étude publiée dans le British Journal of Clinical Pharmacology.

Charles Awortwe de l’Université de Stellenbosch (Afrique du Sud) et ses collègues ont analysé 49 rapports publiés de cas et deux études observationnelles totalisant 15 cas d’effets indésirables de médicaments dus aux interactions avec des plantes.

La majorité des patients avaient reçu un diagnostic de maladie cardiovasculaire (30,60 %) ou de cancer (22,45 %) ou avaient subi une transplantation rénale (16,32 %). Ils avaient principalement reçu de la warfarine (Coumadine ou Coumadin), des agents alkylants et de la cyclosporine, respectivement.

Les patients qui prenaient de la warfarine et/ou des statines (médicaments anti-cholestérol) pour traiter les affections cardiovasculaires ont rapporté des interactions significatives après avoir pris des produits à base de plantes médicinales comme la sauge, les graines de lin, le millepertuis, la canneberge, le jus de goji, le thé vert et la camomille.

Ni le communiqué ni le résumé de l’étude ne fournissent plus de détails.

Pour plus d’informations sur les interactions entre les médicaments et les aliments ou compléments, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Wiley, British Journal of Clinical Pharmacology.
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La médecine par les plantes : une « guérison botanique » est-elle possible ?

Le 25/05/2017

Dans son nouveau rapport (2017), l’Institut de recherche en botanique anglaise Kew Gardens révèle l’existence de 1 730 espèces de plantes médicinales. Il existerait 28 100 espèces de plantes médicinales aux vertus thérapeutiques, dont 1 200 capables de lutter contre le paludisme. 

La médecine par les plantes, une solution trop méconnue 

En Amérique Centrale et du Sud ainsi qu’au sud-est de l’Asie, neuf nouvelles espèces de lianes aux vertus thérapeutiques contre la maladie de Parkinson ont été découvertes. Traitements et préventions du diabète ou autres démences pourraient eux aussi gagner en efficacité grâce aux plantes médicinales. De même, selon le rapport de Kew Gardens, 217 plantes camerounaises et 113 plantes guinéennes seraient capables d’améliorer la santé des patients atteints du paludisme. 

Malgré les progrès qu’elles accordent à la médecine moderne, seules 16 % des plantes médicinales existantes sont citées dans des publications scientifiques. Selon le Dr Gurib-Fakim, il y a peu de plantes médicinales officiellement listées. En effet, elles ont souvent plusieurs dénominations. Cela multiplie les risques de confusions lors de leurs identifications. 

La médecine par les plantes, une avancée menacée 

Les plantes médicinales sont un soutien pour le corps dans le processus de guérison et une solution probable à la problématique de la résistance aux traitements. Toutefois, il ne s’agit pas encore de remplacer les médicaments par les plantes médicinales. Pour cela, les investissements matériels dans les laboratoires et l’organisation de réseaux de recherches multidisciplinaires demeurent nécessaires. 

Selon le rapport de Kew Garden, les plantes médicinales sont menacées par le réchauffement climatique. Il répertorie celles qui pourront être cultivées dans le futur. Ce rapport de Kew Garden fera l’objet d’un symposium organisé le 26 mai 2017. Dr Gurib Fakim, décorée du prix l’Oréal-Unesco pour les Femmes et la Science (2007) et présidente de la République de Maurice (2014), est l’une des intervenantes. 

Marie-Hélène Hérouart

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6 meilleurs extraits de plantes anti-vieillissement identifiés par des chercheurs

Une étude, publiée dans la revue Oncotarget, a identifié 6 extraits de plantes qui contiennent les groupes de molécules anti-vieillissement les plus efficaces jamais identifiés, disent les auteurs. Ces extraits sont déjà considérés comme non-toxiques par Santé Canada et présentent des avantages pour la santé déjà reconnus, est-il souligné.

L’équipe de Vladimir Titorenko de l’Université Concordia (Québec, Canada) et Éric Simard, président fondateur de la société de biotechnologie Idunn Technologies, ont réalisé plus de 10 000 essais pour dépister des extraits de plantes qui augmenteraient la durée de vie chronologique de la levure.

Pourquoi la levure ? Parce que, les cellules humaines et celles des levures vieillissant de façon similaire, il s’agit d’un modèle cellulaire idéal pour comprendre les mécanismes qui sous-tendent le processus anti-vieillissement.

« Plutôt que de porter sur le traitement d’une maladie distincte, les interventions sur les processus du vieillissement à l’échelle moléculaire peuvent simultanément retarder l’apparition et l’évolution de la plupart des maladies liées à l’âge », explique Éric Simard. « On estime que ce type d’intervention pourrait avoir un effet beaucoup plus vaste sur le vieillissement en santé et l’espérance de vie que celui qu’on exerce en ciblant spécifiquement chaque maladie ».

« Notre étude fournit également de nouvelles données sur les mécanismes par lesquels les composés chimiques extraits de certaines plantes peuvent ralentir le vieillissement biologique », ajoute le Pr Titorenko. Chaque extrait agissait différemment sur ces mécanismes.

« Un des groupes de molécules isolés est à la source de ce qu’on peut considérer comme l’intervention pharmacologique la plus puissante en matière de prolongation de la durée de vie décrite à ce jour dans la littérature scientifique : un extrait spécifique d’écorce de saule », rapporte le communiqué de l’université.

« L’écorce de saule était couramment utilisée à l’époque d’Hippocrate, où l’on en recommandait la mastication pour soulager la douleur et la fièvre. La recherche a révélé que l’extrait d’écorce de saule permet d’augmenter les durées de vie moyenne et maximale des levures dans une proportion de 475 % et de 369 %, respectivement. Cela représente un effet beaucoup plus important que la rapamycine et la metformine, les deux meilleurs médicaments connus pour leur action anti-âge ». La metformine est le médicament généralement recommandé comme traitement de première intention du diabète de type 2. La rapamycine est un immunodépresseur utilisé pour prévenir les rejets lors de greffes.

Les 6 extraits identifiés sont les suivants :

  1. Cimicifuga racemosa (actée à grappes) ;
  2. Valeriana officinalis L. (valériane officinale) ;
  3. Passiflora incarnata L. (passiflore, fleur de la passion) ;
  4. Ginkgo biloba ;
  5. Apium graveolens L. (céleri-rave, ache des marais) ;
  6. Salix alba (saule commun).

Ces nouvelles molécules seront bientôt intégrées dans des produits commerciaux, indique Éric Simard.

« Mais tout d’abord, des recherches supplémentaires doivent être réalisées. C’est pourquoi Idunn Technologies travaille en collaboration avec quatre autres universités dans le cadre de six programmes de recherche, pour faire porter les études au-delà des levures – sur un modèle de vieillissement chez l’animal ainsi que deux modèles expérimentaux de cancer. »

Illustration : Saule commun

Psychomédia avec sources : Université Concordia, Oncotarget.
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Hommage à la Provence par Plantes & Parfums


Fière de son savoir-faire artisanal, Plantes & Parfums développe depuis plus de trente ans des cosmétiques, des eaux fraîches et des parfums d’ambiance privilégiant l’origine provençale et le respect de la nature.

Aujourd’hui, la marque rend un nouvel hommage parfumé à cette belle région et plus particulièrement à la ville de Grasse, la capitale historique du parfum avec sa collection d’Eaux de Toilette Notes Provençales.

Construite dans la plus pure tradition des maîtres-parfumeurs grassois, cette nouvelle partition olfactive propose les plus belles senteurs en alliant avec brio extraits de plantes, créativité et émotion.

Cette collection se décline ainsi en vingt-cinq Eaux de Toilette faisant chacune la part belle à un accord partic…
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Douceur Cerise, 20 ans de passion des plantes

Douceur Cerise, 20 ans de passion des plantes Douceur Cerise est née de la passion des plantes de Guy Magnat qui avec son épouse Brigitte, dans le plus grand respect de la nature, ont créé toute une gamme de phytothérapie pour le bien-être circulatoire, articulaire, la beauté de la peau, la minceur, la détente ou encore la digestion.

Installée dans le massif de la Chartreuse qui recèle de plus de deux mille espèces de plantes – dont l’emblématique vulnéraire des Chartreux à qui l’on doit la célèbre liqueur des Pères Chartreux créée en 1764 – la marque a sélectionné des plantes certifiées bio pour élaborer tous ses produits.

Aujourd’hui, apès la phytothérapie et les compléments alimentaires, c’est une ligne de cosmétiques que propose à présent Douceur Cerise.

Pourquoi avoir baptisé cette gamme Douceur Cerise ? Non pas parce que la cerise est l’actif phare des produits de soin mais en clin d’oeil à Queues de cerise, une boisson drainante très prisée de la gamme.

La ligne comprend pour le moment quatre produits labellisés Cosmébio et Nature & Progrès : un Soin de Jour pour les peaux normales, un Soin du Temps pour les peaux exigeantes, un Lait Démaquillant et enfin, notre chouchou, un Soin des Mains composé à 99,17% d’ingrédients naturels qui hydrate mais aussi soulage immédiatement les mains sèches et abîmées.

(Phytothérapie et Cosmétique Douceur Cerise. Disponibles en magasins biologiques et sur www.douceur-cerise.com. Prix indicatif : à partir de 9,30€)


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Aveda ou le pouvoir lissant des plantes

La gamme Aveda Smooth Infusion formulée spécifiquement pour détendre les cheveux et combattre les frisottis, accueille un nouveau produit : Naturally Straight. Cette crème de coiffage légère permet d’assouplir jour après jour ses boucles, de réduire son temps de coiffage et d’obtenir de beaux cheveux naturellement lisses à la tenue durable.

Adapté pour les cheveux moyens à épais, ondulés à crépus et pour les personnes lissant leurs cheveux après chaque shampooing, ce soin concentre tout le pouvoir des plantes.

Contrairement aux défrisants chimiques, cette formule naturelle ne pénètre pas au cœur de la fibre capillaire mais agit sur la paroi de la tige en la gainant d’un film invisible pour l’assouplir et la lisser progressivement.

Par sa concentration en amidon et en tapioca de maïs, elle créé également une barrière anti-humidité afin de lutter contre les frisottis, même sous les climats extrêmes.

À l’instar des autres produits Smooth Infusion, cette crème de coiffage exhale la fragrance signature de la gamme, un subtil mélange de bergamote, de rose de Turquie et de bois de santal d’Australie.

Fidèle à ses valeurs éthique, écologique et responsable, Aveda a fait le choix de travailler le bois de santal d’Australie Occidentale, ressource exploitée raisonnablement et protégée, contrairement au santal d’Inde, d’Indonésie et du Népal. La marque favorise par ce biais une rémunération et des conditions de travail équitables pour les peuples aborigènes.

Composé au minimum de 59% de matières recyclées et jusqu’à 41% de bioplastique issu du sucre de canne, durable et rapidement renouvelable, le packaging de la Crème Coiffante Smooth Infusion Naturally Straight participe quant à elle à la protection de l’environnement.

(Crème Coiffante Smooth Infusion Naturally Straight, Aveda. Disponible dans les salons de coiffure Aveda, chez Sephora et sur www.sephora.fr. En savoir plus sur www.aveda.fr. Prix indicatif : 28€ les 150 ml)


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