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Première mondiale au CHU d’Amiens : une opération robotisée sur la colonne vertébrale d’un enfant

CC0 Public Domain

Les services de chirurgie de l’enfant et de neurochirurgie ont réalisé avec succès une chirurgie robotisée sur la colonne vertébrale d’un enfant à partir d’exercices de simulation intégrale sur impression 3D avec SimUSanté®.

Le service de chirurgie de l’enfant du CHU Amiens-Picardie avait préparé de longue date et répété en simulation cette première mondiale réalisée le jeudi 28 septembre 2017.

La collaboration :
– du Dr François DEROUSSEN, chirurgien orthopédique pédiatrique à l’origine de ce projet,
– du Pr Richard GOURON, chef de service de chirurgie de l’enfant
– et du Dr Michel LEFRANC, neurochirurgien et de l’équipe d’anesthésie,
a permis la mise en place de vis ilio-sacrées par chirurgie mini-invasive robotisée sur un enfant de 6 ans fragile, souffrant d’une scoliose grave évolutive, alors que tout autre traitement (corsets) n’était plus possible.

Une chirurgie délicate assistée par le robot rosa

Des tiges de croissance (par distraction électromagnétique) ont été posées sur le rachis de l’enfant avec le choix d’une fixation complexe mais parfaitement stable dans le bassin. La stabilité est assurée grâce aux vis ilio-sacrées, solides et reconnues comme donnant une meilleure correction de l’obliquité du bassin ; elles évitent de bloquer certaines vertèbres qui peuvent encore grandir. Leur pose à proximité des racines nerveuses reste très complexe et rare ; elles sont volumineuses au regard de la petite taille des os de l’enfant (vis de 7mm de diamètre à poser dans un couloir osseux de 8mm).
Les difficultés de l’opération et sa potentielle longue durée ont pu être levées pour la première fois pour ce type de chirurgie, avec l’aide du robot ROSA® et après avoir été appréhendée plusieurs fois en simulation.

Une intervention préparée depuis 1 an GRâCE A LA SIMULATION

Cette chirurgie robotisée préparée depuis 1 an, a été intégralement répétée dans le centre de simulation SimUsanté® : une première mondiale également possible grâce aux outils innovants disponibles au CHU Amiens-Picardie. L’impression 3D de la colonne vertébrale de l’enfant intégrée à un mannequin a permis aux équipes de préparer au mieux dans le bloc opératoire simulé équipé d’un robot dédié. La préconisation de la Haute Autorité de Santé « Jamais la première fois sur le patient », a été appliquée pour une sécurité et un confort de prise en charge optimal pour ce jeune patient. La simulation est ainsi venue en appui aux médecins expérimentés, leur permettant de s’entraîner à une nouvelle technique chirurgicale.

Une double première

Le succès de cette double première mondiale (première vis ilio sacrée robotisée et première simulation au robot sur impression 3D du patient) permet à l’enfant d’améliorer son confort de vie, sa vie sociale et le prévenir de complications multiples d’une scoliose grave (respiratoires, digestives, cutanées..) ainsi que des complications de décubitus.
L’enfant se remet à ce jour très bien de l’intervention et est en convalescence dans le service de Médecine Physique et de Réadaptation pédiatrique (MPR) du CHU Amiens-Picardie. La position assise qui ne lui était plus accessible, l’est à nouveau.

La perspective d’un protocole DE SOINS

4 jeunes patients sont d’ores-et-déjà programmés pour bénéficier au CHU Amiens-Picardie, de ce nouveau type de chirurgie. La perspective de formalisation d’un protocole pourrait bientôt permettre à d’autres centres cette prise en charge à leurs patients et d’être formés à ces techniques à SimUsanté®.
Cette nouvelle réussite des équipes conforte le positionnement du CHU Amiens-Picardie dans le développement de la chirurgie mini-invasive.
L’émulation des compétences d’un hôpital universitaire à taille humaine ainsi que les partenariats tissés avec un écosystème local innovant, ont une nouvelle fois rendu possible l’innovation mondiale au CHU Amiens-Picardie.

Crédit/source : CHU Amiens-Picardie

News Santé

Une première : un anticancéreux autorisé selon la génétique d’une tumeur plutôt que l’organe affecté

Pour la première fois, l’agence américaine des médicaments a autorisé la commercialisation d’un médicament anticancéreux d’immunothérapie, le Keytruda (pembrolizumab) de Merck, pour des tumeurs ayant un profil génétique spécifique plutôt que des tumeurs localisées sur un organe particulier.

Il est indiqué chez les adultes et les enfants qui ont des tumeurs solides inopérables ou métastatiques portant les biomarqueurs MSI-H et dMMR.

Cette indication couvre les patients atteints de tumeurs solides qui ont progressé après un traitement préalable et qui n’ont pas d’options de traitement alternatives satisfaisantes et les patients atteints d’un cancer colorectal qui a progressé suite au traitement avec certains médicaments de chimiothérapie.

Les tumeurs pouvant porter ces biomarqueurs affectent fréquemment le côlon, les ovaires et le système digestif. Elles touchent aussi les seins, la prostate, la vessie et la thyroïde, précise le communiqué de a Food and Drug Administration (FDA).

L’autorisation est basée sur 5 essais cliniques dans lesquels un total de 149 patients ont reçu le médicament. Parmi eux, 40 % ont connu une diminution partielle ou complète de la tumeur. Les effets secondaires sont nombreux. (Voir le communiqué de la FDA en anglais.)

Le médicament avait déjà été approuvé par la FDA pour le traitement de plusieurs types de cancers comme le mélanome, le cancer avancé du poumon, de la tête et du cou et le lymphome de Hodgkin.

Alors que la chimiothérapie vise à s’attaquer directement à une tumeur avec des produits toxiques, l’immunothérapie vise à aider le système immunitaire à cibler spécifiquement les cellules cancéreuses pour les détruire.

Le Keytruda appartient à la classe des inhibiteurs du point de contrôle immunitaire PD-1 qui bloquent la protéine PD-1 se trouvant sur les lymphocytes T (des cellules du système immunitaire), ce qui rend ceux-ci aptes à détruire les cellules cancéreuses.

Le médicament a été approuvé dans la nouvelle indication selon une procédure accélérée qui est utilisée pour des médicaments qui concernent des pathologies incurables contre lesquelles il n’y a pas d’alternative.

Cancer : les avancées de l’immunothérapie

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : FDA.
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Des cellules souches pour soigner la DMLA, une première au Japon

La dégénérescence maculaire liée à l’âge est une maladie courante chez les personnes âgées. Une maladie qui pourrait sans doute bientôt être soignée grâce à des cellules souches. La science progresse et une nouvelle étape vient d’être franchie en ce sens au Japon.

Des chercheurs transforment des cellules de la peau en cellules rétiniennes

Les exploits scientifiques réalisés grâce à des cellules souches se multiplient dans le monde et une dernière prouesse, réalisée au Japon, vient récemment d’être relayée par Le Figaro Santé. Le quotidien révèle en effet que des chercheurs sont parvenus à transformer des cellules prélevées sur un donneur en cellules rétiniennes, pour soigner un patient atteint de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA).

Cette intervention chirurgicale s’est déroulée dans les locaux du Centre de biologie du développement de l’institut Riken, au Japon, le 28 mars 2017, et selon les premières conclusions des médecins, cette transplantation s’est déroulée avec succès, bien que le patient qui avait accepté de se faire opérer ait été atteint d’une DMLA bien trop avancée pour espérer un quelconque changement.

15 % des plus de 80 ans présentent les symptômes d’une DMLA grave

Bien avant cette opération – et c’est là la réelle prouesse technique de cette opération -, les chercheurs sont parvenus à créer des cellules de l’épithélium pigmentaire rétinien (EPR) à partir de cellules souches, elles-mêmes créées depuis les cellules matures de la peau d’un donneur anonyme. Cette étude permet à la science de faire un pas de plus dans le domaine. Il y a trois ans, une précédente intervention avait en effet permis la réalisation d’une greffe identique sur une femme de 77 ans, également atteinte de DMLA, mais les cellules utilisées ne provenaient pas d’un donneur extérieur mais d’elle-même.

La prochaine étape de cette étude clinique devra désormais prouver que ces cellules transformées peuvent améliorer la vue des personnes atteintes de DMLA à un stade où des progrès peuvent être réalisés. La dégénérescence maculaire liée à l’âge est la principale cause de malvoyance chez l’adulte de plus de 50 ans et actuellement, selon les chiffres de l’Assurance maladie, environ 15 % de la population de plus de 80 ans présentent une DMLA grave.

 

Le cerveau sous LSD révélé pour la première fois par l’imagerie cérébrale

Pour la première fois, des chercheurs ont observé l’effet du LSD (acide lysergique diéthylamide), une puissante drogue hallucinogène, sur le cerveau.

Les résultats, publiés dans la revue Proceedings de l’Académie nationale des sciences (PNAS), révèlent ce qui se passe dans le cerveau lorsque les gens ont des hallucinations visuelles complexes et les changements qui sous-tendent l’état de conscience profondément modifié que la drogue peut produire.

Robin Carhart-Harris du département de neuropsychopharmacologie de l’Imperial College London et des collègues internationaux ont mené cette étude avec 20 volontaires en bonne santé ayant déjà expérimenté la drogue. Ils étaient assignés au hasard à recevoir un placebo ou une dose de 75 microgrammes de LSD.

Un résultat important est la découverte de ce qui se passe lorsque les gens ont des hallucinations oniriques complexes. Dans les conditions normales, l’information provenant des yeux est traitée dans le cortex visuel (situé à l’arrière du cerveau).

Le chercheur explique : « Nous avons observé des changements cérébraux qui suggéraient que les volontaires “voyaient les yeux fermés” – ils voyaient des choses de leur imagination plutôt que du monde extérieur. Comparativement à la normale, de nombreuses autres régions du cerveau contribuaient au traitement visuel – même si leurs yeux étaient fermés. L’ampleur de cet effet était corrélée avec l’évaluation que les volontaires faisaient de la complexité de leurs visions comparables au rêve. »

L’étude montre aussi ce qui se passe lorsque les gens rapportent un changement fondamental dans la qualité de leur conscience sous LSD.

« Normalement, explique le chercheur, notre cerveau est constitué de réseaux indépendants qui exercent des fonctions distinctes spécialisées, telles que la vision, le mouvement et l’audition – ainsi que des choses plus complexes comme l’attention. Toutefois, sous LSD la séparation de ces réseaux est rompue. »

« Nos résultats suggèrent que cet effet sous-tend l’état de conscience profondément modifié que les gens décrivent souvent au cours d’une expérience de LSD. Il est également lié à ce que les gens appellent parfois la “dissolution de l’ego”, ce qui signifie que le sens normal de soi est remplacé par un sentiment de reconnexion avec eux-mêmes, les autres et le monde naturel. Cette expérience est parfois conceptualisée d’une manière religieuse ou spirituelle – et semble être associée à des améliorations dans le bien-être après que les effets de la drogue ont diminué. »

Le groupe de recherche a aussi montré dans des expériences additionnelles, dont les résultats sont publiés dans la revue European Neuropsychopharmacology, que l’écoute de la musique sous LSD déclenchait des changements intéressants dans la signalisation du cerveau associée aux visions les yeux fermés.

Avec la musique, le cortex visuel recevait plus d’information du parahippocampe, une région impliquée dans l’imagerie mentale et la mémoire personnelle. Plus cette région communiquait avec le cortex visuel, plus les gens rapportaient avoir eu des visions complexes, telles que des scènes de leur vie.

Les chercheurs espèrent que ces résultats ouvrent la voie à ce que ces composés puissent un jour être utilisés pour traiter des troubles psychiatriques. Ils pourraient être particulièrement utiles dans les conditions où des « patterns » de pensées négatives sont devenus enracinés comme dans la dépression ou la toxicomanie, estiment-ils.

« Nous dévoilons enfin les mécanismes cérébraux sous-jacents au potentiel du LSD, non seulement pour guérir, mais aussi pour approfondir notre compréhension de la conscience elle-même », dit Amanda Feilding, coauteure.

Psychomédia avec sources : Imperial College London, PNAS.
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L’hépatite C, observée pour la première fois !

Le 21 octobre 2016.

Le virus de l’hépatite C a été observé au microscope électronique à l’université de Tours, en Indre-et-Loire. Une grande première !

Très difficile à observer au microscope

Selon les résultats d’une étude publiée dans la revue médicale Gut, les scientifiques français de l’Inserm ont réussi à observer au microscope le virus de l’hépatite C. Une prouesse scientifique, que de nombreux chercheurs attendaient depuis plus de 25 ans.

C’est en effet en 1989 que le VHC a été découvert, mais jusqu’à présent, aucun scientifique n’avait pu l’observer au microscope, car il prenait l’apparence d’une simple particule lipidique. « Cette stratégie qui lui permet de pénétrer plus facilement dans les cellules et de contourner le système immunitaire, le rend également visuellement indétectable », ont expliqué les chercheurs de l’Inserm.

Pour parvenir à l’observer, ils ont utilisé des anticorps spécifiques de protéines virales et ont ainsi pu les distinguer des autres particules.

Un virus qui ressemble à une petite sphère blanche

« Il ressemble à une simple petite sphère blanche au milieu d’autres sphères blanches lipidiques dans le sang », explique Jean-Christophe Meunier, chargé de recherche Inserm et responsable de ces travaux. « Le virus profite de la voie de synthèse des lipoprotéines, les particules de transport du gras dans l’organisme, pour se répliquer en s’associant étroitement avec leurs composants ».

Alors qu’actuellement aucun vaccin n’existe pour combattre l’hépatite C, cette observation ouvre de belles perspectives pour les chercheurs, « car on a besoin de connaître sa structure pour savoir sous quel angle l’attaquer », a ajouté Jean-Christophe Meunier. Environ 700 000 personnes meurent chaque année de pathologies hépatiques liées à l’hépatite C. Des médicaments antiviraux existent mais ne sont pas suffisants.

À lire aussi : L’hépatite C en voie de disparition ?

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Un bébé voit sa maman pour la première fois

Le petit Léopold souffre d’un albinisme oculo-cutané qui affecte la couleur des cheveux comme de la peau, ainsi que la vue. Mais quand un pédiatre ophtalmologue réussit à obtenir pour le petit des lunettes spéciales, sa réaction filmée par son papa va en émouvoir plus d’un…

Quand Léopold va porter ses lunettes spéciales nourrissons, créées dans un matériau adapté, sans vis, ni charnières, ni arêtes vives, pour la première fois, ce qu’il va découvrir va le réjouir au plus haut point et émouvoir tout le monde autour de lui, y compris les internautes : le visage de sa maman !

David le papa de Léopold, producteur de film, a filmé évidemment toute la scène et il a eu raison ! Le petit est si heureux de découvrir le visage de sa maman pour la première fois qu’il a fait pleurer dans de nombreuses chaumières.

 


Un bébé malvoyant voit sa maman pour la… par dh_be

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Une toute première boutique mondiale pour Erborian


En 2007, Katalin Berenyi et Hojung Lee mettent en commun leurs cultures respectives, leurs prestigieux parcours cosmétiques et leur passion pour l’innovation pour fonder ensemble leur propre marque de cosmétiques made in Corée qu’elles baptisent Erborian.

Et en seulement 8 ans, la marque a su s’imposer en France comme à l’international et conquérir le coeur des femmes, opérant une véritable révolution make-up avec sa BB Crème, depuis beaucoup copiée mais jamais égalée, suivie de près par sa CC Crème devenue elle aussi un best-seller.

Aujourd’hui comme un pont entre Séoul et Paris, Erborian vient d’ouvrir sa première boutique mondiale au 45 avenue de l’Opéra à Paris.

Cette boutique déployée sur 75m2 et composée d’un rez-de-chaussée et …
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Annecy Cosmetics lance sa première ligne de maquillage bio

Spécialiste des soins aux packagings compacts et aux formules naturelles nourrissantes, Annecy Cosmetics se met à présent au maquillage et lance sa première ligne de make-up bio pour les yeux et les lèvres.

Composée de 14 sticks colorés, cette gamme propose des formules enrichies en actifs nutritifs et protecteurs qui ont donc été élaborées pour à la fois maquiller et prendre soin des yeux et des lèvres.

Les textures cireuses sont formulées à base de cire d’abeille bio pour une application facile et une très bonne tenue.

Quant aux couleurs, elles sont éclatantes et à la couvrance parfaite grâce à des pigments intenses et naturels.

Au programme, pour la protection des lèvres et leur soin, il y a les Classic & Fruistick ainsi que les Sunsticks dotés de filtres SPF30 et SPF50.

Les Khôls Kajals Artisticks (photo) peuvent aussi bien s’utiliser en crayon qu’en ombres à paupières pour le maquillage des yeux.

Enfin, pour un sourire naturel et éclatant, il y a les Rouges à lèvres Lipsticks à la texture fondante.

Et si le format semble assez petit, chaque stick Annecy Cosmetics concentre autant de produit que les formats traditionnels souvent deux fois plus grand.

(Ligne de maquillage Annecy Cosmetics. Disponible sur www.annecy-cosmetics.com, en pharmacies, magasins bio et magasins de sport en montagne. Tel. lecteurs : 04 50 32 77 46. A partir de 5,90 €)


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La première carte de France du surpoids !

Quelle est selon-vous la ville de France qui souffre le plus de surcharge pondérale (surpoids et obésité) ? Où a-t’on le plus de chances d’être dans une forme athlétique ? Qu’est-ce qui explique ces disparités ? Comment les candidats aux municipales vont-ils aborder ce dossier de santé publique en cas de victoire ?

Il est aujourd’hui possible de le savoir grâce aux données recueillies par l’entreprise Withings par le biais des pèse-personnes connectés qu’elle commercialise. Ces données ont permis d’établir la première carte de France du surpoids.

Au final ce sont 37 villes de plus 100 000 habitants qui ont été passées au crible.

© Fotolia

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Et il en ressort qu’Argenteuil est la ville de France où le taux de surpoids et d’obésité est le plus important de France avec 55.1%

A contrario Aix en Provence est la ville où il est plus faible avec 35.8%.

On retiendra de ce classement que les villes les plus riches et les plus diplômées sont aussi celles où le taux d’obésité et du surpoids est le plus faible.

Ce n’est pas la première fois qu’une étude permet ainsi d’établir un lien entre le niveau de vie des habitants d’une commune et leur poids.

Par cette démarche, l’entreprise Withings souhaite offrir aux habitants des communes concernées la possibilité d’interpeller chaque candidat aux municipales sur un sujet finalement assez peu abordé durant les campagnes électorales et qui a pourtant toute son importance.

Car quand on y regarde de plus près, on constate que surpoids et obésité peuvent aussi dépendre du nombre de médecins implantés sur la commune.

Cela se vérifie aussi en ce qui concerne le taux de la taxe d’habitation. Les communes où il est plus élevé sont un peu plus touchées par le phénomène de surpoids et d’obésité que les autres.

Pour plus de détails, et pour connaître les résultats précis de votre ville, rendez-vous sur le site dédié en cliquant ici


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