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Diabète de type 2 : les premiers signes visibles 20 ans avant son diagnostic !

Diabète de type 2 : les premiers signes visibles 20 ans avant son diagnostic !

Le 9 octobre 2018.

Des chercheurs viennent de découvrir plusieurs marqueurs de notre corps pouvant donner des indices sur la probalité ou non de développer un diabète de type 2.

Déceler le diabète de type 2 avant l’arrivée de la maladie

Des scientifiques japonais permettent d’avancer encore un peu plus dans la connaissance du diabète de type 2. Grâce à leurs découvertes publiées dans le Journal of Endocrine Society, il serait désormais possible de déceler quelques indices laissant penser que la personne pourrait développer un diabète de type 2 dans les années qui suivraient

Les chercheurs sont même capables de prédire l’arrivée de la maladie parfois vingt ans avant que celle-ci ne se déclare réellement. Comment cela est-il possible ? Trois marqueurs sont détectables et peuvent alerter les médecins : la glycémie à jeun, l’indice de masse corporelle (IMC) et la sensibilité à l’insuline.

Des symptômes qui ne trompent pas

Si la glycémie à jeun, l’indice de masse corporelle (IMC) et la sensibilité à l’insuline, peuvent être contrôlés avant que la maladie ne se déclare, les chercheurs expliquent néanmoins qu’une fois le prédiabète confirmé, il n’est déjà plus possible de soigner la maladie.

« Nous devrons peut-être intervenir beaucoup plus tôt que le stade de prédiabète, afin de prévenir la progression vers le diabète complet », estime Hiroyuki Sagesaka, auteur principal de l’étude. Aujourd’hui, la Fédération internationale du diabète estime que 425 millions de personnes sont atteintes du diabète dans le monde et rappelle qu’une personne meurt du diabète toutes les secondes. C’est plus que le sida, la tuberculose et la malaria. 

Maylis Choné

À lire aussi : Diabète de type 2, comment faire les bons choix nutritionnels ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Ebola : les premiers tests pour l’infirmière à l’hôpital Bégin sont négatifs

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Une infirmière française présentant des symptômes similaires à ceux d’Ebola et qui aurait pu contracter le virus a été admise à l’hôpital militaire Bégin de Saint-Mandé dans le Val de Marne. En contact avec l’infirmière qui avait été infectée par le virus au Liberia mais guérie aujourd’hui, les premiers tests qui se sont révélés négatifs.

L’hôpital dans lequel est soignée la jeune femme figure parmi la liste des 12 établissements sur le territoire habilités à soigner les patients atteints d’Ebola.

Selon les premiers éléments relevés, la professionnelle de santé aurait été contaminée par l’humanitaire française qui avait contracté la fièvre Ebola au Liberia avec laquelle elle avait été en contact. Cette infirmière avait en effet été rapatriée et soignée d’urgence dans le même établissement mais déclarée « guérie » depuis.

Les premiers tests sur cette personne avec une suspicion d’Ebola se sont révélés négatifs mais une deuxième série doit être faite. Les résultats des prélèvements qui ont été envoyés à l’institut Pasteur de Lyon sont attendus cette nuit.

Parce que la professionnelle de santé présentait une forte fièvre, elle avait été transportée sous haute escorte et sous scaphandre depuis son domicile des Hauts-de-Seine par les pompiers.

Ce cas, s’il se confirmait, serait le premier cas d’Ebola sur le territoire français.

Premiers tests négatifs pour l'infirmière hospitalisée à Bégin

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Premiers secours : les bons gestes en cas d’accident

Quand un accident de la route survient, que l’on soit victime ou juste témoin, la panique nous empêche parfois de savoir comment réagir. Pascal Cassan, médecin conseiller national de la Croix-rouge française, nous explique les gestes à faire et ceux à éviter.

Le rôle du premier témoin est fondamental ! Il assure le balisage et protège les lieux de l’accident évitant ainsi le « suraccident. » Il faut : – Allumer ses feux de détresse dès que l’on est en vue de l’accident et ralentir. Garer son véhicule idéalement après le lieu de l’accident sur la bande d’arrêt d’urgence s’il y en a une.- Laisser les feux de détresse en marche.- Enfiler son gilet de haute visibilité désormais obligatoire dans tous les véhicules- Faire descendre immédiatement tous les occupants du véhicule et les mettre en sécurité sur le bas-côté, derrière les glissières de sécurité si elles existent- Baliser de part et d’autre à une distance de 150 ou 200 mètres avec l’aide de témoins qui, placés en sécurité sur le bord de la route, peuvent utiliser tous les moyens pour se faire voir : lampe électrique, linge blanc. En l’absence de témoins, utiliser les triangles de présignalisation.- Veiller à ce que personne ne fume aux abords de l’accident pour éviter tout risque d’incendie.

S’il est vrai que bouger un blessé peut endommager sa moelle épinière et entraîner une paralysie définitive ou même son décès, il existe des situations ou, si l’on n’agit pas très rapidement avant l’arrivée des secours, le décès de la victime sera inévitable. Le risque pris en le dégageant est alors plus faible que celui de ne pas le faire.Cette décision doit donc être prise si la victime, les sauveteurs ou les deux sont exposés à un danger immédiat : si la victime est étendue au milieu de la route, ou inconsciente dans une voiture qui commence à prendre feu.Faut-il retirer son casque à un motocycliste accidenté ?Il ne faut pas retirer le casque d’un motard accidenté par contre il faut, si possible, (…) Lire la suite sur TopSante.com

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Premiers secours : les bons gestes en cas d’accident

– Couper le contact des véhicules accidentés si possible et serrer le frein à main.

– Après avoir évalué rapidement l’état et la situation des victimes, alerter les secours : Samu 15, Pompiers 18 en donnant un maximum de renseignements, pour qu’ils puissent envoyer les moyens techniques et humains nécessaires. Sur les autoroutes et voies rapides, utiliser de préférence une borne d’appel d’urgence si elle se trouve à proximité. Elle indiquera automatiquement votre position aux services d’urgence.

– Si le véhicule est en feu n’utiliser un extincteur que s’il s’agit d’un feu naissant, sinon évacuer.

– S’il n’y a pas de danger immédiat, ne pas chercher à sortir les victimes de leurs véhicule.


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Rétine artificielle : les premiers succès

En partenariat avec Le Figaro , des membres de l’Académie des sciences répondent aux grandes questions de l’actualité scientifique. José-Alain Sahel, ophtalmologiste, fait le point sur la rétine artificielle.

Un aveugle peut-il recouvrer la vue? Aujourd’hui, cette question ne relève plus de la science-fiction notamment pour traiter les dégénérescences rétiniennes d’origine génétique telle la rétinopathie pigmentaire. Le principe consiste à pallier la perte des photorécepteurs (cellules qui transforment la lumière) en générant une activité électrique au sein de la rétine.

Après capture par une microcaméra installée sur des lunettes, l’information visuelle est traitée informatiquement et émise vers une puce qui stimule électriquement, en réponse à la lumière, les cellules nerveuses encore fonctionnelles dans la rétine, en particulier celles formant le nerf optique. Une fois le signal parvenu au cerveau, les images traitées au niveau cortical produisent la sensation visuelle.

Un essai clinique international multicentrique, entrepris en 2008 sur 30 patients, dont quatre Français opérés au Centre hospitalier national d’ophtalmologie des Quinze-Vingts, à Paris, a démontré la sécurité du système Argus II de l’entreprise californienne Second Sight. Les performances visuelles remarquables en termes d’orientation, de détection d’objets et de lecture ont abouti au marquage «CE» et, tout récemment, à la prise en charge, aux États-Unis, par la Food and Drug Administration (FDA), en attendant la décision de remboursement en France pour une cohorte complémentaire de patients.

Un des patients français présentait les meilleures capacités de lecture de tout l’essai (10 mots par minute). Ces performances impliquent une forte collaboration des patients dans la phase cruciale de réhabilitation qui suit l’intervention. L’implant testé comporte une plaque de 60 électrodes, ce qui donne une image constituée au mieux de 60 pixels ou 60 points de niveaux de gris variables. (…)

Lire la suite sur Figaro.frProthèses PIP : la bataille de l’indemnisation s’ouvre au civil
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