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Bébé : manger du fromage tôt protège contre le risque de développer des allergies

Bébé : manger du fromage tôt protège contre le risque de développer des allergies

Le 20 décembre 2018.

Selon une étude menée par le CHU de Besançon et l’Institut national de la recherche agronomique (Inra), manger du fromage dès le plus jeune âge permettrait de réduire le risque de contracter des allergies alimentaires et cutanées.

Consommer du fromage tôt protège les enfants des allergies

Si la diversification alimentaire commence à partir de 4 mois, l’introduction précoce du fromage dans l’alimentation de l’enfant permettrait de diminuer les risques d’allergies et l’asthme. C’est le constat que révèle une étude menée par le CHU de Besançon et l’Inra, menée depuis 2002 auprès de 931 enfants vivant en milieu rural dans cinq pays européens (Allemagne, Suisse, Autriche, France et Finlande). 

Dans un communiqué, l’Inra met en exergue la connexion qui existe entre la consommation de fromage et la probabilité de développer des maladies allergiques : « Dans cette étude, toute consommation de fromage entre 12 et 18 mois était associée à une réduction significative du risque de dermatite atopique (eczéma) à 6 ans et d’allergie alimentaire mais aussi à un risque diminué de rhinite allergique, d’asthme et de sensibilisation aux allergènes, tant alimentaires qu’inhalés ». 

Un bon microbiote « est garant d’un bon système immunitaire »

« On pense que les produits laitiers, notamment les fromages qui ont du goût, contiennent beaucoup de microbes et participent à la construction d’un microbiote idéal », explique Jean-Charles Dalphin, chef du service de pneumologie au CHU de Besançon, dans un article de 20 Minutes.  Or, « un microbiote abondant et équilibré est garant d’un bon système immunitaire », précise-t-il.

Cette recherche devrait être complétée par des études complémentaires qui analyseront si la diminution du risque d’allergies est liée à la diversité ou à la fréquence des fromages consommés.

Anne-Flore Renard

À lire aussi : Le fromage, un mets calorique mais pas si mauvais pour la santé

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Consommer plus de ce minéral protège les artères et prévient les maladies cardiovasculaires

Les bananes et les avocats peuvent aider à prévenir les maladies cardiovasculaires en protégeant contre le durcissement des artères.

Les travaux de Yabing Chen de l’Université d’Alabama à Birmingham et ses collègues ont montré, chez la souris puis avec des cellules en culture, un lien causal entre la réduction du potassium alimentaire et la calcification vasculaire dans l’athérosclérose. Ils ont aussi précisé les mécanismes pathogènes sous-jacents.

Des recherches précédentes menées par plusieurs laboratoires, dont le groupe de Chen, ont montré que la calcification de ces cellules ressemble à la différenciation des cellules osseuses, ce qui conduit à la transformation des cellules musculaires lisses en cellules osseuses.

Les chercheurs ont donc testé l’effet de la croissance des cellules des muscles lisses des vaisseaux dans un milieu à faible teneur en potassium. Cette condition favorisait l’expression de plusieurs marqueurs génétiques qui sont distinctifs des cellules osseuses, et diminuait l’expression des marqueurs des cellules des muscles lisses vasculaires.

Ces résultats soulignent la nécessité de tenir compte de l’apport alimentaire en potassium dans la prévention des complications vasculaires de l’athérosclérose, concluent les chercheurs.

Des aliments qui fournissent du potassium sont notamment les patates douces, les bananes, les avocats, les épinards et les haricots secs.

Hypertension : pourquoi consommer plus de potassium est aussi efficace que réduire le sel

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : University of Alabama
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Le style de vie des Amish les protège de l'asthme

Le 5 août 2016.

Les Amish auraient développé une résistance particulière aux allergies qui provoquent de l’asthme. Une étude américaine et britannique vient de révéler ce phénomène, qui pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements.

Les Amish ont développé des anticorps spécifiques

Les communautés Amish, connues pour leur style de vie traditionnel et en décalage avec le monde moderne, développeraient moins d’allergies que le reste du monde. Ses membres seraient notamment moins sujets à l’asthme. C’est ce que révèle une étude américaine et britannique parue dans le New England Journal of Medecine.

Pour parvenir à ce constat, les chercheurs ont comparé les statistiques nationales avec les résultats de deux enquêtes, menées l’une chez des Amish vivant dans l’Indiana et l’autre chez des Huttérites du Dakota du Sud. Ces deux communautés traditionnelles se ressemblent sur bien des points, mais leur mode de culture et d’élevage des animaux diffère, et c’est ce qui semble être à l’origine de cette différence immunitaire.

Vers de nouveaux traitements prometteurs ?

En étudiant la poussière des habitations de ces deux communautés, les scientifiques ont remarqué que la poussière « Amish » contenait des microbes issus de vaches laitières, ce qui n’est pas le cas chez les Huttérites. Les enfants amish, élevés au contact permanent de cette poussière, développeraient des anticorps spécifiques qui les renforceraient face à l’asthme. Des tests sanguins menés sur 30 enfants de chaque communauté ont ensuite confirmé cette hypothèse.

Les chiffres sont les témoins des bienfaits de ces microbes, puisque seuls 5 % des Amish en âge d’aller à l’école ont de l’asthme, contre 10 % aux États-Unis. « Nous espérons que nos découvertes permettront l’identification de substances pertinentes qui ouvriront la voie à de nouvelles stratégies pour prévenir l’asthme et les allergies », ont indiqué les auteurs de cette étude.

À lire aussi : Le yoga pour réduire les symptômes de l’asthme

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Zendium protège notre bouche


L’histoire de Zendium commence en Scandinavie en 1969, quand le Dr Hoogendoorn, microbiologiste, étudie la façon dont la bouche contrôle les bactéries pour protéger les dents et les gencives.

Ayant découvert que ces défenses naturelles de la cavité buccale provenait d’un système d’enzymes et de protéines, il s’en inspira alors pour créer un dentifrice agissant en harmonie avec la bouche pour booster ses défenses naturelles.

D’abord lancé au Danemark et devenu le dentifrice le plus recommandé par les dentistes scandinaves, Zendium arrive enfin en France.

Zendium est vraiment différent des autres dentifrices car il protège la bouche sans pour autant miser sur les agents antibactériens. Parce qu’une bouche saine commence par une microflo…
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Natessance protège la peau à l’heure du bain

Les sulfates sont des tensio-actifs utilisés comme bases lavantes dans les gels douches. Ce sont eux qui offrent cette belle mousse généreuse tant appréciée.Mais un peu trop agressifs pour l’épiderme, ils sont bien souvent responsables d’irritations, de dessèchement et de l’apparition de petits boutons.

C’est pourquoi Natessance, l’une des premières marques de cosmétiques certifiée biologique et labellisée Cosmebio en 2003, a fait le choix de supprimer ce composant de ses formules et propose une gamme d’hygiène bio à 99% d’origine naturelle et garantie sans sulfates mais aussi sans savon, sans paraben et sans silicone.

Pour cette gamme de gels douche, Natessance a en effet choisi de remplacer les sulfates par un tensio-actif d’origine végétale issu de l’huile de coco et du sucre.

Cet actif, plus doux pour l’épiderme, permet tout de même d’obtenir un effet moussant tout en préservant la peau des irritations et du dessèchement.

Disponible en parfum vanille et aloe vera, Natessance lance aujourd’hui le Gel Douche Jasmin Floral.

Enrichie en aloe vera hydratant et en eau florale de jasmin adoucissante, ce gel douche offre une véritable parenthèse de bien-être et d’évasion.

(Gel Douche sans sulfates Bio, Natessance. Disponible en pharmacies, parapharmacies, boutiques bio et sur www.leanature.com. Flacon 1L, prix indicatif : 10,80 €)

Decléor protège le capital beauté des peaux déshydratées

De l’hydratation et de la protection continue pendant 24 heures, ce sont les besoins essentiels d’une peau déshydratée pour préserver son capital beauté.

C’est précisément ce que proposent les laboratoires Decléor avec Hydra Floral Multi-Protection, nouvelle gamme et nouvelle formulation qui vient remplacer l’ancienne gamme Hydra Floral Anti-Pollution.

Outre l’ingrédient emblématique de la marque, le néroli, ainsi que la pensée sauvage et le Moringa Oleifera que l’on retrouve ici, cette nouvelle gamme mise en outre sur les bienfaits de deux autres plantes surdouées, la criste marine et le tournesol pour préserver le capital hydrique de la peau et protéger des agressions environnementales.

Aux côtés de l’Aromessence et des Baumes de nuit essentiels Néroli, on trouve donc désormais quatre nouveaux produits : deux soins de jour en version légère et riche, un masque ultra hydratant et repulpant et une BB Crème, un soin complet 5-en-1 (photo bas).

Quelles sont ces cinq actions ? Cette BB Crème activatrice d’hydratation 24h hydrate, unifie le teint avec ses pigments minéraux, affine le grain de peau et corrige les imperfections grâce à de l’huile essentielle de pamplemousse, protège des rayons UV et UVB et préserve de la pollution.

A l’occasion du lancement de cette BB Crème, la marque propose d’ailleurs une opération Be Beautiful à ne pas manquer en instituts de beauté. Pour 49 euros, c’est un BB soin d’une durée de 20 minutes qui est prodigué et une BB Crème qui est offerte à la fin pour prolonger les bienfaits du soin chez soi.

(Hydra Floral Multi-Protection, Decléor. Disponible dans tous les points de vente agréés Decléor. Liste des instituts qui participent à l’opération Be Beautiful sur www.decleor.fr. BB Crème activatrice d’hydratation 24h, tube 40ml, 34 €)


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Le vaccin antigrippal protège le cœur

Une étude canadienne portant sur 3227 patients relève une diminution de moitié du risque de faire une crise cardiaque ou un AVC dans l’année qui suit la vaccination.

Selon une étude présentée au congrès canadien de santé cardio-vasculaire, se faire vacciner contre la grippe aurait un effet protecteur sur le cœur. «Le vaccin antigrippal permet de réduire le risque de développer un événement cardiaque majeur, comme un infarctus», conclut le Dr Jacob Udell, cardiologue à l’université de Toronto, après avoir compilé quatre recherches cliniques menées sur le sujet entre 1998 et 2004.

Dans cette méta-analyse incluant 3227 patients atteints ou non de pathologies cardiaques, la moitié des participants ont été vaccinés, tandis que l’autre moitié a reçu un placebo. Après un an, les patients protégés contre la grippe avaient un risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral réduit de moitié. Le risque de décès, toutes causes confondues, était diminué de 40 %.

Ces résultats sont cependant à prendre avec précautions, car ils n’ont pas été soumis à une relecture scientifique, comme le souligne le Pr Antoine Flahault, directeur de l’École des hautes études en santé publique: «Sur ce sujet très débattu, il faudrait conduire un vaste essai randomisé qui n’a toujours pas été réalisé à ce jour.» Une étude publiée en juin par une équipe taïwanaise avait déjà mis en évidence une diminution du risque de décès et du nombre d’hospitalisations, chez les personnes âgées de plus de 65 ans avec antécédents cardiaques, en cas de vaccination contre la grippe. Mais d’autres travaux se sont révélés non concluants.

Ces études remettent toutefois en lumière l’intérêt de la vaccination en cas d’insuffisance cardiaque grave ou d’antécédents cardiaques. «En cas d’agression pulmonaire, les sujets fragiles risquent une décompensation qui peut leur être fatale. D’où l’importance de les protéger d’une infection virale», rappelle le Pr Hervé Douard, cardiologue au CHU de Bordeaux. En France, le vaccin contre la grippe est ainsi recommandé chez les plus de 65 ans, les femmes enceintes et les obèses, mais aussi chez les personnes fragilisées par une affection chronique (maladie cardiaque, pulmonaire, métabolique, immunologique, cancéreuse). Le vaccin est également conseillé à leur entourage.

Pourtant, le taux de couverture vaccinale est en forte baisse. Moins de la moitié des personnes à risque se sont fait vacciner l’hiver dernier. «Alors que la grippe saisonnière entraîne une mortalité et une surmortalité induite de plusieurs milliers de cas, le nombre de personnes vaccinées reste nettement inférieur aux objectifs de santé publique», regrette le Pr Bruno Lina, responsable du centre national de référence de la grippe, à Lyon.