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Un projet d’horticulture aux multiples avantages dans une école secondaire québécoise

L’école secondaire de Cabano, à Témiscouata-sur-le-Lac dans le Bas Saint-Laurent, a monté un projet d’horticulture qui inclut une immense serre, un grand potager, des arbres fruitiers et, depuis l’année dernière, une serre géodésique, pour la culture de fruits tropicaux.

Le projet permet de multiples enseignements et apprentissages et apporte une nourriture saine aux élèves (nombreux à venir y cueillir leurs collations), aux familles et à l’ensemble de la communauté. Les installations sont accessibles à tous en tout temps.

Le projet a « non seulement réussi à intéresser les jeunes à l’école, mais aussi à leur inculquer de saines habitudes alimentaires et cultiver chez eux un sentiment d’appartenance à la communauté », souligne un reportage de l’émission La semaine verte.

« Afin de stimuler la créativité et de repousser les limites de l’impossible », rapporte l’Infodimanche, l’an dernier l’équipe Serre-Vie et les élèves inscrits au programme du Pré-DEP ont réussi à assembler une sphère géodésique comportant un dôme en bois. Pendant la construction, les élèves en concentration horticulture semaient les graines du contenu de la serre. Les activités liées au projet incluent aussi la transformation des aliments.

L’intérêt suscité par le projet a notamment amené plusieurs élèves et familles à faire un potager à la maison.

Une belle réalisation sociale dans cette MRC, celle du Témiscouata, qui est la plus pauvre du Québec.

Reportage de l’émission La semaine verte (Radio-Canada) : Une serre à l’école. (Après les publicités, cliquez sur le pointeur du 3e reportage sur la barre de recherche de la vidéo.)

Psychomédia avec source : Info Dimanche
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L’ass. québécoise de la maladie de Lyme demande la révision des protocoles médicaux

Une centaine de personnes touchées par la maladie de Lyme se sont rassemblées le 3 juin à Québec afin d’« ouvrir les yeux de la population et des autorités publiques face à cette maladie qui est en progression au pays », rapporte Radio-Canada.

« Le meilleur moyen de se protéger contre cette maladie-là, c’est de savoir qu’elle existe », souligne Annie Roussy, vice-présidente de l’Association québécoise de la maladie de Lyme qui organisait l’événement.

Mme Roussy, comme d’autres participants, rapporte qu’obtenir un diagnostic de maladie de Lyme relève d’un parcours du combattant au Québec et au Canada.

L’Association réclame une révision des protocoles québécois et canadien pour la détection de la maladie, qui est parfois confondue avec d’autres conditions médicales.

Des citoyens convaincus d’avoir la maladie de Lyme se rendent parfois aux États-Unis pour obtenir leur diagnostic. C’est justement ce que Mme Roussy a fait, tout comme son conjoint et son fils ; ils avaient tous les trois reçu un diagnostic négatif lors de leurs tests au Québec.

Un autre problème relevé par l’Association concerne le traitement de la maladie. Les traitements antibiotiques offerts par certains médecins ne seraient pas assez longs pour venir à bout des symptômes.

Selon le ministère de la Santé, la présence de tiques infectées par bactérie Borrelia burgdorferi est la plus importante dans le nord et l’ouest de l’Estrie ; une grande partie de la Montérégie ; le sud-ouest de la région de la Mauricie-et-Centre-du-Québec ; le sud-ouest de l’Outaouais. (Selon une mise à jour du 29 mai 2017.)

Pour plus d’informations sur les tiques et la maladie de Lyme, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Radio-Canada, ministère de la Santé, Ass. québécoise de la maladie de Lyme.
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