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Quel sera notre avenir avec le COVID-19 ? (Dr Dupagne)

Le Dr Dominique Dupagne fait le point, sur son blog atoute.org, sur les scénarios d’avenir envisageables de la COVID-19, à la lumière de l’arrivée du variant Omicron.

« L’espoir d’éradiquer la maladie n’est plus qu’un lointain souvenir », écrit-il.

« Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle maladie infectieuse qui est installée pour longtemps. »

L’hypothèse la plus probable, explique-t-il, est celle de « vagues épidémiques » qui vont se succéder mais qui « seront associées à un taux de formes graves de plus en plus faible », pour plusieurs raisons qu’il décrit.

« Lorsque l’épidémie sera stabilisée sous forme de vagues saisonnières associées à une mortalité en nette diminution, nous devrons nous adapter à cette nouvelle situation. »

« En attendant, n’oubliez pas de faire votre 3e injection, cet article parle d’avenir, mais le présent ne rigole pas… », conclut-il.

Article du Dr Dominique Dupagne : Quel va-t-être notre avenir avec le COVID-19 ?

Pourquoi se faire vacciner ? Synthèse des informations fiables (Dr Dupagne)

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Quel futur pour la COVID-19 ?

Comment évoluera l’épidémie de la COVID-19 ? Quelle va être notre vie au cours des prochaines années ?

Le Pr Frédéric Adnet, directeur médical du SAMU de la Seine-Saint-Denis et responsable du service des Urgences du CHU Avicenne à Bobigny, présente un bon résumé de la situation et de ce qui est attendu pour les prochaines années.

« Non, nous n’arrêterons pas le virus. Oui, grâce à la vaccination, nous allons le domestiquer en transformant la COVID-19 en une maladie infectieuse acceptable pour la société, qui ne submergera plus nos hôpitaux et nos réanimations », explique-t-il.

Mais « les espoirs dans les traitements antiviraux directs ainsi que la possibilité de modifier rapidement la formule moléculaire du vaccin ont tout pour nous rendre optimistes ».

Lire l’article Condamnés à vivre avec la COVID-19 ? du Pr Frédéric Adnet (sur le site Grands reporters de Jean-Paul Mari).

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Quel médicament pour le mal de gorge ? (Prescrire)

« Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) semblent un peu plus efficaces que le paracétamol (acétaminophène), mais ils exposent à davantage d’effets indésirables parfois graves », souligne la revue Prescrire dans son numéro de septembre.

« Les angines et pharyngites sont fréquentes, le plus souvent d’origine virale et sans gravité. »

« Elles se manifestent notamment par des maux de gorge rendant la déglutition difficile, qui sont apaisés en suçant des confiseries avec ou sans sucre et en prenant des boissons chaudes ou glacées. »

« Selon les essais cliniques randomisés disponibles, le paracétamol oral est plus efficace qu’un placebo pour diminuer les maux de gorge liés à une infection pharyngée banale.

Quand les maux de gorge ont une intensité justifiant le recours à un antalgique, le paracétamol est l’antalgique qui a le moins d’effets indésirables chez les enfants et les adultes, y compris chez les femmes enceintes, à condition d’éviter les surdoses. Il ne faut pas augmenter les doses au-delà de celles préconisées, y compris en cas d’efficacité jugée insuffisante.

L’ibuprofène semble un peu plus efficace que le paracétamol chez les adultes, mais il expose aux complications infectieuses graves des anti-inflammatoires non stéroïdiens telles qu’un phlegmon des amygdales. (Ibuprofène et kétoprofène : risques de complications infectieuses graves – ANSM)

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont à écarter chez les femmes enceintes ou qui pourraient l’être. »

En avril 2019, Prescrire a mis en garde contre alpha-amylase (Maxilase ou autre) dans les maux de gorge.

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Psychomédia avec source : Prescrire.
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Quel sport pour retrouver la forme avant l’été ?

La marche ou la course pour préparer son corps à l’arrivée de l’été

Quel sport pour retrouver la forme avant l’été ? Et bien, commençons par le plus simple. La marche à pied ou la course sont parfaitement indiqués pour se remettre en forme avant d’arriver à la plage. 

Pourquoi ? Parce que ce sont des sports que l’on peut reprendre progressivement. Vous pouvez commencer par 1/4 d’heure de marche quotidienne, ne serait-ce que pour aller faire quelques courses, mais très vite, basculer sur une grosse demi-heure de marche un peu plus intensive. On dit, en effet, que c’est à partir d’une demi-heure que le sport produit vraiment des effets sur le métabolisme. Et le deuxième gros avantage de la marche, c’est que c’est un sport qui ne nécessite aucun matériel (à part des chaussures confortables), ni infrastructures.

Autre sport pour se préparer pour l’été, la course, bien évidemment. Comme la marche, elle produit très vite des effets sur le corps, et elle est également simple à mettre en oeuvre. En revanche, il faut des outils pour se motiver. Si l’on est seul, un chrono, un baladeur MP3, son smartphone, sont indiqués. Mieux encore : courir avec un ami, une amie, réguliérement, de préférence le même, pour progresser ensemble et se motiver réciproquement ! 

Gainage et abdos pour préparer son corps 

Sinon, bien évidemment, le vélo, avec le retour des beaux jours, est le sport idéal pour se préparer à l’été. Il s’agit d’un sport complet, qui permet de réellement se surpasser. Mais là, pour le coup, il vaut mieux avoir un bon vélo, bien réglé, pour ne pas se faire mal avec une selle qui ne serait pas à la bonne hauteur, ou inconfortable. Pensez aussi à bien gonfler vos pneus, pour ne pas avoir à trop forcer et éviter de vous décourager trop vite.. 

Enfin, en complément, un peu de gainage ou des abdos à la maison ne pourront que vous aider à vous remodeler le corps avant les grandes vacances. 

Jean-Baptiste Giraud

À lire aussi : Qui sont les 5 alliés du système immunitaire ?

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À quel point les arbres apportent-ils de la fraîcheur dans les quartiers urbains ?

Les arbres en zone urbaine peuvent abaisser considérablement la température des environs immédiats, suffisamment pour qu’on ressente une bonne différence, même dans un périmètre de quelques pâtés de maisons, selon une étude publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).

« Les températures varient autant à l’intérieur même de la ville qu’entre la ville et la campagne environnante », montre l’étude.

Carly Ziter et ses collègues de l’Université du Wisconsin-Madison ont conçu de petites stations météorologiques mobiles à piles, qu’ils ont fixées sur des vélos. Ils ont pédalé à travers la ville et recueilli des lectures à raison d’une par seconde, soient environ tous les cinq mètres. Ils ont ainsi pu avoir une idée claire de la température à différents endroits de la ville, et établir une comparaison avec l’étendue du couvert arborescent.

« Nous avons découvert que pour optimiser le refroidissement, il est nécessaire d’avoir environ 40 % de couvert arborescent », précise Carly Ziter, maintenant professeure à l’université Concordia (Montréal, Québec). « Ainsi, si votre quartier compte moins de 10 % de couvert arborescent, vous ressentirez un certain refroidissement, mais pas beaucoup. Une fois le seuil atteint, vous constaterez réellement à quel point vous pouvez rafraichir des secteurs complets. »

L’écart entre une zone à fort couvert arborescent et une zone sans arbres peut aller jusqu’à 4 ou 5 °C, même si elles ne sont séparées que de quelques centaines de mètres.

Les arbres procurent de l’ombre, mais ils rafraichissent aussi en transpirant. « Ils dégagent de la vapeur d’eau, presque comme de petits climatiseurs. » Cette transpiration a lieu principalement durant le jour. Les travaux de l’équipe montrent que la nuit, l’écart de température entre les secteurs à fort couvert arborescent et ceux qui n’en possèdent pas est plus faible.

Les secteurs les plus feuillus tendent à se trouver de manière disproportionnée dans les quartiers riches, souligne la chercheure.

La plantation d’arbres dans les quartiers défavorisés permettrait non seulement de réduire les températures, mais contribuerait en plus à la santé physique et mentale des résidents, mentionne-t-elle. (Quelle dose [en minutes] d’espace vert urbain pour une diminution optimale du stress ?)

« Une fois qu’on atteint un certain seuil critique de couvert, chaque arbre contribue encore plus à réduire la température. Cela a des répercussions considérables sur notre façon de concevoir nos villes et d’aménager nos quartiers  », conclut-elle.

Canicules : s’attaquer aux îlots de chaleur en végétalisant

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Psychomédia avec sources : Université Concordia, PNAS.
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Noir, blanc ou au lait : quel chocolat préférer pour votre santé ?

Noir, blanc ou au lait : quel chocolat préférer pour votre santé ?

Le 22 avril 2019.

Pâques est incontestablement le jour de l’année où les Français consomment le plus de chocolat. Voici comment choisir celui que vous offrirez à votre table.

Comment choisir son chocolat ?

À Pâques, tous les excès en chocolat sont permis, mais certains seront plus bénéfiques pour votre santé que d’autres, et pour cela, tout réside dans le choix du type de chocolat que vous cacherez dans votre jardin. Noir, au lait ou blanc, votre cœur balance ? Regardez sous un angle santé pour mieux les choisir. Sachez en effet qu’en réalité, seul le chocolat noir peut légitimement porter le nom de « chocolat ». La fabrication de ce dernier implique un cahier des charges bien précis à haute teneur en cacao, ce qui n’est pas le cas de son cousin au lait, qui ne doit contenir que 25%, au minimum, de composants secs de cacao, ou blanc, qui en contient en fait que du beurre de cacao.

Cette différence de composition se traduit donc par de gros écarts nutritionnels. Ainsi, le chocolat noir est incontestablement celui qui contient le moins de sucres ajoutés (21g pour 100g), contrairement au chocolat blanc (57g pour 100g) et au chocolat au lait (51g pour 100g).

Attention aux chocolats industriels

En revanche, c’est le chocolat noir qui contient le plus de lipides. Malgré cela, c’est bien ce dernier qui offre le plus de bénéfices pour votre santé. De nombreuses études ont démontré les bienfaits du cacao sur l’organisme : riche en magnésium, en fer ou en potassium, il offre un effet protecteur contre les accidents vasculaires cérébraux, les maladies cardiovasculaires, l’hypertension ou encore le diabète.

Attention cependant à l’origine de votre chocolat noir. Le chocolat industriel, vendu dans la grande distribution, est certes moins cher, mais offre une moins bonne composition, notamment parce que, pour compenser une teneur plus faible en cacao, assez coûteux, les fabricants ont tendance à rajouter du sucre. Préférez donc les produits vendus en chocolaterie, qui vous garantissent une composition de qualité.

Gaëlle Latour

À lire aussi Le chocolat, un trésor de bienfaits pour la santé…

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Quel est le meilleur revenu pour être heureux ?

Des études ont confirmé que le revenu est associé au bonheur, mais celui-ci augmente-t-il indéfiniment avec le revenu, ou y a-t-il un seuil à partir duquel des revenus plus élevés n’améliorent plus le bien-être ?

« C’est peut-être surprenant, car ce que nous voyons à la télévision et ce que les annonceurs nous suggèrent est qu’il n’y a pas de plafond quant au montant d’argent utile pour le bonheur, mais nous voyons maintenant qu’il y a des seuils », dit le chercheur en psychologie Andrew T. Jebb de l’Université Purdue.

Des études ont avancé différents seuils à partir desquels plus d’argent n’apporte pas plus de bonheur. La présente étude a constaté que le revenu idéal pour une personne est de 95 000 $ (US) en ce qui concerne la satisfaction de vie et de 60 000 $ à 75 000 $ en ce qui concerne le bien-être émotionnel. Ces montants concernent une seule personne, il serait probablement plus élevé pour les familles, précisent les chercheurs.

Le bien-être émotionnel réfère aux émotions quotidiennes, telles que se sentir heureux, excité, triste ou en colère. La satisfaction par rapport à la vie (TEST : Êtes-vous satisfait de votre vie), est une évaluation globale de la façon dont on se porte et est probablement davantage influencée par des objectifs plus élevés et des comparaisons avec d’autres. (1)

Jebb et ses collègues (2) ont analysé les données d’un sondage Gallup mondial mené auprès d’un échantillon représentatif de plus de 1,7 million de personnes provenant de 164 pays. Les montants sont exprimés en dollars américains et les données sont présentées par personne et non par famille.

Et il y avait d’importantes variations d’une région du monde à l’autre, la satisfaction par rapport à la vie se manifestant avec des revenus plus élevés dans les régions riches. Cela pourrait s’expliquer par le fait que les évaluations tendent à être davantage influencées par les normes selon lesquelles les individus se comparent aux autres.

« Une fois un certain seuil atteint, des augmentations supplémentaires de revenu avaient tendance à être associées à une diminution de la satisfaction de vie et du bien-être émotionnel. Cela peut être dû au fait que l’argent est important pour répondre aux besoins de base, acheter des commodités et peut-être même rembourser les prêts, mais jusqu’à un certain point. Une fois que le point optimal de satisfaction des besoins est atteint, les gens peuvent être poussés par des désirs tels que la recherche de gains matériels plus importants et l’engagement dans des comparaisons sociales, ce qui, ironiquement, pourrait réduire le bien-être. »

Lorsque le seuil optimal est dépassé, le niveau de bien-être correspond à celui de personnes qui gagnent moins que ce seuil.

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Voyez également :

(1) Selon le modèle du psychologue Ed Diener, coauteur, le « bien-être subjectif » est constitué du bien-être émotionnel (niveau élevé d’affects positifs et faible d’affects négatifs) et de la satisfaction par rapport à la vie.

(2) Louis Tay, Ed Diener et Shigehiro Oishi.

Psychomédia avec sources : Purdue University, Nature Human Behavior.
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Quel succès chez 600 personnes ayant l’intention de réduire leur consommation d’alcool ?

Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Addiction, ont vérifié à quel point la motivation de réduire la consommation d’alcool se traduit effectivement par une réduction.

Frank de Vocht de l’Université de Bristol et ses collègues ont mené cette étude avec près de 3 000 buveurs à risque dont la consommation était en augmentation ou élevée.

De ce nombre, 20 % rapportaient avoir l’intention de réduire leur consommation. Les principales raisons étaient de perdre du poids, d’améliorer la forme physique, d’économiser de l’argent et d’éviter les problèmes de santé.

Six mois plus tard, l’ensemble des participants avaient, en moyenne, légèrement réduit leur consommation. Ceux qui avaient une motivation initiale étaient trois fois plus susceptibles d’avoir fait une tentative, mais leur réduction n’a pas été plus grande que celle des participants qui ne rapportaient pas d’intention initiale.

« Malheureusement, bien que les gens commencent avec de bonnes intentions, nos résultats suggèrent qu’il faut quelque chose de plus pour que ces intentions fassent une différence », conclut le chercheur.

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Psychomédia avec sources : University of Bristol, Addiction.
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Quel impact de la légalisation du cannabis sur la consommation des adolescents ?

L’impact de la légalisation du cannabis récréatif sur la consommation des adolescents dépend s’ils consommaient ou pas avant la légalisation, selon une étude de l’Oregon Research Institute publiée dans la revue Psychology of Addictive Behaviors.

Dans l’état américain de l’Oregon, la vente légale de cannabis récréatif à des personnes de plus de 21 ans a débuté en octobre 2015. La légalisation n’est pas uniformisée dans l’État car chaque comté peut autoriser ou non la vente.

Julie C. Rusby et ses collègues ont analysé les résultats d’une enquête menée auprès des adolescents de 8e et 9e années de 11 écoles secondaires rurales et de banlieues de 7 districts scolaires de l’Oregon. Ils ont aussi questionné les parents sur leur propre consommation.

Dans les comtés où le cannabis a été légalisé, il n’y a eu aucun changement important dans le nombre de jeunes qui en consommait, mais une augmentation de la fréquence de consommation chez ceux qui en consommaient déjà.

Ceux qui consommaient déjà en 8e année ont augmenté leur consommation de 26 % après la légalisation, alors qu’ils étaient en 9e année, comparativement aux élèves de 9e année de l’année avant la légalisation.

La consommation des adolescents déjà initiés au cannabis a également augmenté dans les communautés n’ayant pas légalisé le cannabis.

Il n’y avait pas d’impact de la légalisation sur la consommation des parents.

Les chercheurs recommandent que des campagnes de prévention éduquent les jeunes sur les risques liés à la consommation de cannabis pendant que leur cerveau est encore en développement, et renforcent les capacités et les ressources des parents pour qu’ils puissent discuter du cannabis avec leurs enfants adolescents.

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Psychomédia avec sources : Oregon Research Institute, Psychology of Addictive Behaviors.
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Carte interactive : voyez quel est le revenu médian dans votre quartier et partout au Québec

« Le dernier recensement de Statistique Canada permet de brosser un portrait précis de chaque quartier au pays, notamment au niveau de la richesse », rapporte Le Devoir qui présente une carte interactive des revenus des ménages.

La carte peut être zoomée, dézoomée et explorée à l’échelle des provinces, des villes ou des quartiers.

Le revenu médian des ménages pour le pays est de 70 336 $ . Si le revenu médian d’un quartier y est inférieur, cette aire est située sous la barre des 50 % et en gris. Plus les revenus sont supérieurs à la médiane nationale, plus l’aire tend vers le rouge.

L’article traite de la répartition des revenus dans plusieurs villes et régions du Québec.

Sur le site du Devoir : Où vivent les plus riches et les plus pauvres ?

La probabilité de gagner plus que ses parents a drastiquement diminué dans les dernières décennies

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