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Variants anglais et sud-africain : quelle est la situation mondiale ?

Variants anglais et sud-africain : quelle est la situation mondiale ?

Alors que l’épidémie  de Covid-19 a déjà fait plus de deux millions de morts dans le monde, l’apparition de nouveaux variants suscite toutes les interrogations. Variant britannique, variant sud-africain, variant brésilien…  On fait le point sur la situation des nouveaux variants du coronavirus dans le monde.

Plus de 2 millions de morts de la Covid-19 dans le monde

Ce mercredi 20 janvier 2021, l’Organisation Mondiale de la Santé fait état de plus de deux millions de morts de la Covid-19 dans le monde. Les Etats-Unis étant le pays le plus touché avec au moins 401 361 décès, suivis du Brésil  avec 211 491 morts, de l’Inde avec 152 556 décès, du Mexique avec 141 248 et du Royaume-Uni avec 91.470 personnes décédées de la Covid-19 selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles mardi à 11h00 GMT.

Par ailleurs, l’Agence spécialisée de l’Organisation des Nations unies pour la santé publique note une augmentation de 9% du nombre de décès au cours de la semaine se terminant le 17 janvier par rapport à la semaine précédente, pour atteindre le nombre record de 93.000 décès. 

Le variant anglais identifié dans 60 pays et territoires contre 23 pour le variant sud-africain

Alors que le variant britannique signalé en mi-décembre dernier est considéré 50 à 70 % plus contagieux, sa présence a été identifié dans les 6 zones géographiques de l’OMS contre 4 zones pour le variant sud-africain. S’ils ne sont, à priori, pas plus dangereux que le nouveau coronavirus originel, ces variants étant plus contagieux, augmentent la pression sur les systèmes de santé. 

Selon les données de l’OMS, le variant britannique a été identifié, la semaine précédente, dans 60 pays et territoires. C’est 10 zones géographiques de plus qu’au 12 janvier dernier. Quant au variant  sud-africain qui se diffuse plus lentement, l’OMS a tout de même déclaré l’avoir identifié dans 23 pays et territoires, soit 3 de plus que la semaine précédente. 

Apparition de deux autres variants au Brésil

L’OMS a également mentionné l’apparition de deux autres variants apparus au Brésil dont le P1 qui a été identifié à l’aéroport de Haneda au Japon, lors d’un dépistage sur des personnes en provenance de Manaus au Brésil, le 15 décembre dernier. Selon l’agence onusienne, « Il y a actuellement peu d’informations disponibles pour évaluer si la transmissibilité ou la sévérité sont modifiés par ces nouveaux variants ». Ces variants ayant des caractéristiques génétiques similaires aux variants britannique et sud-africain réclament des études plus poussées pour comprendre leur impact. 

Pour l’heure, l’efficacité des vaccins anti-Covid-19 contre ces variants n’est pas encore établie même si des laboratoires ont assuré être capables de fournir rapidement de nouvelles versions de leur  vaccin si besoin.

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Coronavirus : quelle situation dans les établissements scolaires ?

Coronavirus : quelle situation dans les établissements scolaires ?

Les établissements scolaires continuent d’accueillir les élèves, grâce à la mise en place d’un protocole sanitaire renforcé. Cependant, au vu de la circulation du coronavirus, les mesures sont ajustées.

Des écoles fermées

En cette période épidémique, le Ministère de l’Éducation détaille les procédures à appliquer en cas de suspicion ou de contamination confirmée à la Covid-19. Une salle de classe peut être fermée à partir de 3 cas de Covid. Lorsque la circulation du coronavirus est très active et localisée, le ministère préconise de fermer l’établissement scolaire. C’est le cas de l’école Louisette Wattiez du Plessis-Belleville, sur ordre de la préfecture de l’Oise, du 18 au 26 janvier 2021. En effet, 27 cas de Covid-19 ont été détectés, dont 22 élèves et 5 adultes. Ce n’est pas la seule structure éducative fermée en France. A ce jour, le 20 janvier :

  • 22 structures scolaires sont fermées sur 61 500, soit 0,03 % des établissements, dont 20 écoles, 1 collège et 1 lycée ;
  • 138 classes sur 528 400 sont fermées dans des structures scolaires ouvertes, soit 0,02 %.

Sur les sept derniers jours :

  • 7 782 cas de Covid-19 chez les élèves sont confirmés sur 12 400 000 élèves, soit 0,06 % (+ 1 238 en 24h) ;
  • 1 136 personnes ont contracté sur 1 162 500 personnels éducatifs, ce qui représente 0,09 % (+ 198 en 24h).

Le protocole dans les établissements et les cantines

Le protocole sanitaire dans les établissements scolaires est en application depuis plusieurs mois déjà. Il repose sur de grands principes :

  • respect des gestes barrière ;
  • port du masque pour les adultes et les élèves dès le CP ;
  • hygiène des mains ;
  • nettoyage et aération des locaux ;
  • limitation du brassage.

Depuis jeudi dernier, de nouvelles règles sont en vigueur également dans les cantines scolaires, pour éviter la fermeture des établissements, comme lors du premier confinement en France. La cantine est considérée comme « le maillon faible », favorisant le mélange des élèves de différentes classes. C’est pourquoi les enfants d’une même classe doivent désormais prendre leur repas chaque jour ensemble, sur la même table. Pour ce faire, le temps de service du déjeuner est allongé dans les écoles et pourra l’être dans les collèges. Par ailleurs, les activités sportives extra-scolaires et scolaires en intérieur sont suspendues pour quelques semaines.

Les tests de dépistage renforcés

Pour faciliter le dépistage de la Covid-19, les élèves et le personnel peuvent bénéficier d’un accès prioritaire aux tests RT- PCR en laboratoire de biologie médicale. Aussi, les tests antigéniques peuvent être réalisés au sein des structures scolaires ainsi que des campagnes, en cas d’apparition de cas, grâce à 1 million de tests qui leur sont dédiés. Le gouvernement a pour objectif de faire 300 000 tests par semaine pour les élèves et le personnel et d’arriver à 1 million d’ici la fin du mois de janvier.

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Rhume : quelle efficacité du médicament « Échinacée pourpre Humexphyto » ? (Prescrire)

« On ne connait pas de médicament, phytothérapie ou autre, ayant une balance bénéfices-risques favorable pour réduire l’intensité ou la durée des symptômes d’un rhume », indique la revue Prescrire dans son numéro de septembre.

Le rhume est « en général d’origine virale et sans gravité ».

« Les manifestations cliniques, difficulté à respirer par le nez, écoulement nasal et éternuements, disparaissent spontanément en général en 1 à 2 semaines. Un écoulement nasal épais et purulent fait partie de l’évolution normale d’un rhume. »

« Les traitements de premier choix consistent à : boire régulièrement, éviter la fumée de tabac, humidifier ou dégager les voies nasales avec du sérum physiologique, et éventuellement prendre du paracétamol en cas de douleurs ou de fièvre. »

« Échinacée pourpre Humexphyto est un médicament à base de jus déshydraté des parties aériennes fleuries d’Echinacea purpurea. Il est autorisé en France sous forme de comprimés dans le traitement et la prévention du rhume chez les adultes et les enfants à partir de l’âge de 12 ans. »

« L’efficacité clinique de ce médicament par rapport au placebo n’est pas démontrée étant donné les limites de ces essais : faibles effectifs, résultats discordants, conflits d’intérêts, doute sur le respect du double aveugle dans un groupe, etc. »

« Les préparations à base d’Echinacea purpurea exposent à peu d’effets indésirables. Mais de rares réactions allergiques graves ont été rapportées, et sont à mettre en balance avec la bénignité du rhume et l’absence d’efficacité démontrée au-delà de celle d’un placebo. »

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Prescrire.
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Quelle dose (en minutes) d’espace vert urbain pour une diminution optimale du stress ?

montrent une influence positive de l’exposition à la nature sur la santé et le bien-être, quelle quantité (la dose efficace) et quelles formes d’expérience de nature apportent le meilleur bénéfice pour les résidents des villes n’est pas encore connu, indiquent les auteurs d’une étude publiée dans la revue

.

En Amérique du Nord et en Europe, des médecins ont commencé à rédiger des ordonnances de nature, souvent appelées « comprimés de nature », rapportent-ils.

Ces « pilules de nature » pourraient être une solution peu coûteuse pour réduire les effets négatifs sur la santé de l’urbanisation croissante et des modes de vie intérieurs dominés par les écrans, estiment-ils.

MaryCarol R. Hunter de l’Université du Michigan et ses collègues ont mené cette étude avec 36 citadins afin d’étudier la relation entre la durée d’une expérience de nature et les changements de deux biomarqueurs du stress dans la salive : l’hormone cortisol et l’alpha-amylase.

Pendant 8 semaines, les participants devaient avoir une expérience de nature (se promener, s’assoir) au moins trois fois par semaine, d’une durée de 10 minutes ou plus, dans un endroit extérieur de leur choix qui leur apporte un sentiment de contact avec la nature.

Ils fournissaient des échantillons de salive avant et après une de ces expériences à quatre moments au cours de l’étude.

Ces expériences produisaient une baisse de cortisol 21,3 % supérieure à celle de la baisse normale de 11,7 % de l’hormone au cours de la journée.

L’efficacité était la plus grande pour les expériences qui duraient entre 20 et 30 minutes, après quoi les bénéfices continuaient d’augmenter, mais à un taux réduit.

Dans le cas de l’alpha-amylase, une baisse de 28,1 % était observée après ajustement pour son augmentation diurne normale de 3,5 %, mais seulement pour les participants qui étaient les moins actifs, s’étant assis pendant leur expérience ou assis avec un peu de marche. Alors que le type d’activité n’influençait pas la réponse du cortisol.

« Ce champ d’études arrive à point nommé compte tenu de l’urbanisation croissante et de l’augmentation des coûts des soins de santé », soulignent les chercheurs.

« Notre approche expérimentale peut être utilisée comme un outil pour évaluer comment l’âge, les saisons, la capacité physique et la culture influencent l’efficacité des expériences de nature pour le bien-être. Cela permettra des prescriptions personnalisées de “pilules naturelles”, ainsi qu’une meilleure compréhension de la façon de concevoir des villes et des programmes pour le bien-être du public. »

Pour plus d’informations sur la nature et la santé mentale, l’écothérapie et la psychologie environnementale, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Frontiers, Frontiers in Psychology.
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Hépatite C : quelle est l’efficacité des nouveaux traitements pour réduire la mortalité ?

Une étude française, publiée en février dans le Lancet, montre les bénéfices des antiviraux à action directe dans le traitement de l’infection par le virus de l’hépatite C.

« Les traitements contre le virus de l’hépatite C (VHC) les plus récents, les antiviraux à action directe (AAD), ont une remarquable efficacité dans l’élimination du virus », souligne le communiqué des chercheurs.

« Ils permettent d’éliminer chez presque tous les patients traités (95 % en général), le virus en 8 à 12 semaines de traitement. Si l’efficacité virologique des AAD n’est plus à démontrer, il n’existait à ce jour que très peu de données prospectives sur leur efficacité clinique (c’est-à-dire leur impact sur l’évolution de la maladie hépatique liée à l’infection par le VHC au quotidien) et ces dernières portaient sur des patients très sélectionnés ou étaient issues d’enquêtes rétrospectives.

Les chercheurs de l’Inserm, Sorbonne Université, hôpitaux Cochin et Saint-Antoine de Paris, avec le soutien de l’Agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales (ANRS), ont comparé l’évolution clinique de patients infectés par le VHC et traités ou non par AAD en “en vie réelle”.

L’étude a été réalisée auprès de 9 895 patients infectés par le VHC, inclus entre 2012 et 2015 dans la cohorte ANRS CO22 HEPATHER et suivis 33 mois en médiane.

En France, les AAD ont commencé à être prescrits en 2014, dans un premier temps prioritairement aux patients présentant une hépatite C avancée, puis en janvier 2017 à l’ensemble des patients infectés de manière chronique par ce virus.

Après ajustement des différents facteurs individuels (âge, avancement de la maladie, présence d’autres pathologies…), les 7 344 patients traités par AAD avaient un risque de mortalité diminué de 52 % et un risque de développer un cancer du foie diminué de 33 % par rapport à ceux présentant un stade de la maladie similaire mais ne prenant pas d’AAD.

Nous pouvions nous attendre à ces résultats. En effet, il peut sembler logique que l’élimination du virus causant les dégâts soit liée à une amélioration clinique”, explique le Pr Fabrice Carrat.

“Nos résultats montrent que ces bénéfices sont obtenus rapidement après la guérison virologique et il ne s’agit plus de patients très sélectionnés comme dans les premiers essais. Notre analyse reflète l’efficacité sur le terrain pour tous les patients.”

Pour plus d’informations sur les hépatites, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : ANRS, The Lancet.
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Qualité de vie : les Français estiment qu’elle s’est dégradée en 20 ans

Qualité de vie : les Français estiment qu’elle s’est dégradée en 20 ans

Le 15 octobre 2018

Selon une récente étude menée de 1995 à 2016, les Français estiment que leur qualité de vie s’est dégradée en 20 ans. Des résultats à nuancer toutefois en fonction de l’âge.

Une enquête sur l’appréciation des patients de leur bien-être physique, social et psychologique

Une récente étude, publiée le 9 octobre dans le Journal of Epidemiology and Community Health et relayée par nos confrères du Figaro, révèle que les Français considèrent que leur qualité de vie s’est dégradée en 20 ans. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont utilisé le même questionnaire sur la qualité de vie 3 fois sur une période de 20 ans, en 1995, 2003 et 2016. 

La particularité de ce questionnaire est qu’il est basé sur « l’appréciation des patients et non sur des mesures purement médicales » explique au Figaro Joël Coste, professeur d’épidémiologie et de biostatistique à l’université Paris-Descartes et co-auteur de l’étude. Ce qui permet d’intégrer « des aspects physiques, psychologiques et sociaux » à cette étude basée sur la santé en général, précise-t-il. Les personnes sondées ont été interrogées sur leur état de fatigue, leur capacité à faire des mouvements physiques, les douleurs ressenties ou encore sur le fait d’être enthousiaste, nerveux ou heureux.

Les seniors seraient plus heureux que les jeunes travailleurs

Il ressort de cette étude que les travailleurs âgés de 35 à 54 ans seraient les plus touchés par cette dégradation de leur qualité de vie. Pour le professeur Coste, « On peut y voir un impact de la crise de 2008 qui a frappé de plein fouet ces catégories de la population. (…) Chez les jeunes, la dégradation déjà amorcée entre 1995 et 2003 s’accélère depuis ».

À l’inverse, les personnes âgées de 65 à 84 ans ont noté une amélioration globale de leur qualité de vie. « Chez les plus de 65 ans on voit plutôt une stagnation ou des évolutions positives selon les dimensions considérées » explique le professeur.

Aurélie Giraud

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Fibromyalgie : quelle évolution 25 ans après le diagnostic ?

Une étude finlandaise, publiée dans la revue Clinical Rheumatology, a évalué l’évolution de la fibromyalgie chez 28 femmes ayant reçu le diagnostic 26 ans plus tôt.

Risto Isomeri de l’Université de Helsinki et ses collègues (1) ont fait parvenir un questionnaire à 38 personnes qui, en 1986, ont reçu un diagnostic de fibromyalgie selon les critères de Yunus basés sur 18 points sensibles à la pression.

Parmi celles-ci, 28 (74 %) ont répondu. Trois (11 %) étaient guéries de la fibromyalgie. Chez les autres, tous les symptômes, sauf les douleurs, étaient légèrement aggravés. L’insomnie était particulièrement augmentée (65 % contre 27 % lors du diagnostic). Mais, dans l’ensemble, le score total des symptômes n’a pas changé de façon significative (11,1 par rapport à 10,8 lors du diagnostic).

Malgré le vieillissement et la fibromyalgie, le niveau de capacité fonctionnelle évalué par le Stanford Health Assessment Questionnaire (HAQ) est demeuré au même niveau.

Six participantes (22 %) ont déclaré avoir eu une ou plusieurs périodes d’au moins un an sans symptômes.

Les symptômes de la fibromyalgie ont persisté chez la plupart des patientes pendant deux décennies et demie sans détérioration significative de la capacité fonctionnelle rapportée, concluent les chercheurs. Environ un quart ont connu de longues périodes sans symptômes durant leur maladie.

Pour plus d’informations sur la fibromyalgie, voyez les liens plus bas.

(1) Marja Mikkelsson, Markku Partinen, Markku J. Kauppi.

Psychomédia avec source : Clinical Rheumatology.
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L’ibuprofène et le paracétamol (acétaminophène) liés à des pertes auditives : quelle durée d’utilisation ?

L’ibuprofène (Advil) et l’acétaminophène (paracétamol, Tylénol, Doliprane…) sont associés à un risque accru de perte auditive, selon une étude publiée dans l’American Journal of Epidemiology (AJE).

Des études précédentes ont lié une utilisation fréquente de ces analgésiques à un risque plus élevé de perte auditive. Cependant, l’association entre la durée d’utilisation et le risque n’était pas claire.

Gary Curhan du Brigham and Women’s Hospital et ses collègues ont analysé des données concernant l’utilisation de l’aspirine, l’ibuprofène et l’acétaminophène chez 54 000 femmes âgées de 48 à 73 ans.

Une utilisation de l’ibuprofène pendant plus de six ans augmentait le risque de 10 % comparativement à une utilisation de moins d’un an. Une utilisation d’acétaminophène de plus de 6 ans augmentait le risque de 9 %.

Il n’y avait pas d’association entre l’aspirine à dose habituelle et la perte auditive. Celle-ci est un effet secondaire établi des doses élevées d’aspirine, mais ces dosages sont devenus rares au cours des deux dernières décennies, notent les chercheurs.

Jusqu’à deux tiers des femmes américaines de plus de 60 ans ont un certain degré de perte auditive. En assumant que le lien constaté est de cause à effet, 16,2 % de la perte auditive se produisant chez ces femmes pourrait être due à l’utilisation de l’ibuprofène ou d’acétaminophène, indique le chercheur.

Plusieurs types de médicaments peuvent causer des pertes d’audition

Psychomédia avec sources : Harvard Gazette, AJE.
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Quelle est la mutuelle préférée des Français ?

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L’Argus de l’Assurance a publié le classement des mutuelles santé préférées des Français sur la base des cotisations d’affaires directes en 2015. Voici donc le classement de 15 mutuelles que préfèrent les Français.

Top 15 des Mutuelles 2016 qui ont la préférence des Français

#1 – Harmonie Mutuelles           

#2 – Groupe Istya (MGEN)         

#3 – AG2R La Mondiale

#4 – Groupama

#5 – Axa France               

#6 – Malakoff Médéric Mutuelle             

#7 – Covéa (MAAF)        

#8 – BTP prévoyance     

#9 – Groupe Humanis

#10 – Allianz France

#11 – Swiss Life

#12 – Generali

#13 – La Mutuelle Générale

#14 – Eovi MCD Mutuelle

#15 – Macif Mutualité

Comment choisir sa mutuelle ?

Posséder une mutuelle en complément du remboursement de la Sécurité Sociale est primordial pour éviter d’avoir un restant à charge trop important. Pourtant, toutes les mutuelles ne se valent pas, aussi bien en termes de cotisations que de niveaux de couverture et de garanties.

Lorsque l’on choisit une mutuelle, il convient de le faire sur la base de ses besoins de santé. Un profil étudiant n’aura probablement pas les mêmes besoins de santé qu’un senior. Il convient donc de choisir les garanties selon ses besoins.

Pour se simplifier la tâche de la recherche d’une bonne mutuelle, il est préférable de passer par un comparateur de mutuelles.

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Quelle stratégie pour l'e-santé en France ?

L'e-santé en France, comment cela va-t-il se développer ?

La ministre de la Santé Marisol Touraine a récemment présenté la ligne stratégique nationale de l’e-santé pour 2020 dans les locaux de la start-up parisienne BePATIENT.

E-santé : 4 priorités

  • mettre le citoyen au cœur de l’e-santé, avec le développement de la télémédecine, la simplification des démarches administratives via une plateforme facilitant la consultation et la participation des usagers.
  • inclure les professionnels de santé dans cette démarche globale, en leur proposant des de cursus de formation sur le numérique en santé, des incitations aux actions d’innovation numérique
  • développer la médecine connectée via un plan dédié axé sur le Big Data en santé
  • renforcer la sécurité des systèmes d’information en santé, un point d’actualité à l’heure à laquelle les données de santé restent un tabou en France.

Un point sur lequel la ministre de la Santé est revenue en évoquant la mise en place du programme « Vitality » de Generali, un programme contre lequel se pose la ministre. Marisol Touraine estime que les data de santé doivent être encadrées par des règles précises.

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