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Les activités du quotidien font une grande différence pour réduire les maladies cardiaques

La course ou la marche rapide ne sont pas les seules façons de réduire le risque de maladie cardiaque, soulignent les auteurs d’une étude publiée en février 2022 dans le Journal of the American Heart Association. Continuer la lecture de Les activités du quotidien font une grande différence pour réduire les maladies cardiaques

Cinq façons de réussir à faire plus d’exercice dans le quotidien

« Un peu plus de deux heures d’exercice modéré par semaine pourraient aider à prévenir une foule de problèmes médicaux, mais peu d’entre nous y arrivent. »

Dans The Guardian, le journaliste Nicolas Davis a recensé cinq façons de devenir plus actif dans la vie quotidienne suggérées par la littérature scientifique.

  1. Répartir l’exercice en mini-sessions

    Il est généralement recommandé de faire au moins 150 minutes d’exercice modéré à intense (ou 75 minutes d’activité intense) par semaine, par tranches d’au moins 10 minutes. Mais de nouvelles directives américaines indiquent que des périodes encore plus courtes sont bénéfiques. Ainsi, répartir l’exercice en mini-sessions d’une minute ou deux peut être utile et efficace. Aussi peu que cinq à dix minutes d’activité de haute intensité représentent une portion substantielle de l’exercice recommandé.

    Les bénéfices cardiovasculaires de lever des poids quelques minutes par semaine

  2. Faire des travaux domestiques

    « Peinturez cette clôture », suggère le journaliste. « L’activité physique qui fait partie de la vie quotidienne est de loin l’option la plus prometteuse pour renverser l’épidémie d’inactivité physique », selon le professeur Emmanuel Stamatakis de l’Université de Sydney. « Même les travaux d’entretien ménager et le lavage de la voiture à la main peuvent être pris en compte. Mais il ne suffit pas de se tenir debout », précise-t-il.

    L’exercice dans le quotidien (en voie de disparition dans les pays riches) réduit le risque de mortalité

  3. Faire un peu plus de ce que l’on fait déjà

    Charlie Foster, de l’Université de Bristol, suggère que la clé est simplement de faire un peu plus de ce que l’ont fait déjà, comme de rallonger votre promenade de magasinage ou de monter les escaliers mécaniques dans une gare. Examinez vos journées de semaine et de week-end et voyez ce que vous pouvez prolonger, recommande-t-il. Cela fait souvent plus de sens que de commencer quelque chose en nouveau, commente-t-il.

  4. Ne pas oublier la force et l’équilibre

    Porter des sacs à provisions lourds quelques centaines de mètres de plus à une voiture garée plus loin, monter des escaliers ou garder l’équilibre sur une jambe, porter un enfant ou creuser dans le jardin sont autant d’options.

  5. Utiliser le temps de travail

    Le fait d’être sédentaire pendant de longues périodes de temps a été associé à un risque accru de problèmes de santé, dont le diabète et les maladies cardiaques, ainsi qu’à un décès précoce. Mais une étude récente a montré que la réduction du risque ne consiste pas seulement à interrompre les périodes de sédentarité. Il est important de réduire le temps global de sédentarité par divers moyens : se lever et marcher en parlant au téléphone, aller voir ses collègues plutôt que d’envoyer des courriels et programmer des discussions en prenant une marche.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : The Guardian.
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Le traitement orthodontique au quotidien : comment le simplifier ?

Selon notre étude, suivre un régime (28%), se faire relooker (12%), suivre une thérapie ou un programme de coaching et corriger l’alignement des dents (9%)* sont, par ordre d’importance, les trois pas que les Français seraient prêts à franchir pour gagner en confiance en eux au quotidien. 

Cependant, suivre un traitement orthodontique peut sembler assez décourageant. Un brossage minutieux après chaque repas, renoncer à certains aliments et au grignotage…toutes ces restrictions peuvent paraître dissuasives.

Toutefois, il existe aujourd’hui une méthode orthodontique révolutionnaire combinant efficacité et simplicité. C’est le cas du traitement Invisalign, qui offre une alternative sur-mesure et discrète.

Pour un résultat optimal, les aligners doivent être portés 22 heures par jour, mais sont à retirer lorsque l’on mange, ce qui signifie que l’on peut manger tout ce que l’on souhaite sans s’en soucier, même mâcher un chewing-gum sans réfléchir, se rendre à un rendez-vous galant sans se retenir de sourire ou se brosser les dents comme à l’accoutumée sans y passer des heures, etc.

Les aligners Invisalign sont quasi-transparents et se portent sans que presque personne ne le remarque, ce qui vous permet de sourire fièrement lors de vos rendez-vous galants et lorsque vous êtes entre amis.

Il existe « My Invisalign Smile », une app mobile dédiée maintenant disponible pour aider les patients à suivre la progression de leur traitement en leur permettant de télécharger leurs selfies et créer des vidéos time-lapse. C’est une façon ludique et visuelle de voir les progrès réalisés, ce qui fournit une bonne motivation pour suivre le traitement.

Après chaque visite, le patient reçoit un jeu d’aligners d’avance pour gagner du temps. Les grand(e)s pressé(e)s n’ont donc plus d’excuses pour ne pas aligner leur dentition. Align Technology a également pensé aux distraits qui oublient leurs rendez-vous en intégrant un système de rappel de rendez-vous à l’appli.

Enfin, tous ces avantages ne seraient rien si le traitement Invisalign n’était pas aussi confortable et facile d’utilisation, mais aussi si la sensation de ne quasiment rien porter n’était pas au cœur de l’innovation des aligners quasi-transparents Invisalign. La matière de pointe utilisée, appelée « SmartTrack », a été étudiée pour faire bouger votre dentition de façon plus précise et confortable**.

Dans ces conditions, avoir de belles dents devient un jeu d’enfant…

*Source : enquête réalisée en mars 2017 par l’institut YouGov pour Invisalign auprès d’un échantillon de 1009 personnes (487 hommes et 522 femmes) représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus qui déclarait que 43% des personnes interrogées avaient déjà évité de montrer leurs dents en souriant et que 54% d’entre eux souhaiteraient avoir des dents plus alignées.

**Comparé aux matériaux prêts à l’emploi, matériau uni-couche .030 in (.75 mm)

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70 % des allergiques aux acariens renoncent à leurs activités du quotidien

70 % des allergiques aux acariens renoncent à leurs activités du quotidien

Le 26 décembre 2017

Une vaste étude nationale a été réalisée pour comprendre les conséquences de l’allergie aux acariens sur le quotidien des personnes qui en souffrent.

Des symptômes handicapants dans la vie de tous les jours

Éternuements, maux de tête, démangeaisons et parfois asthme… Les manifestations d’une allergie aux acariens sont nombreuses. Le laboratoire ALK a souhaité savoir comment les conséquences de ces symptômes agissent sur le quotidien des patients. Il a donc commandé une enquête à l’institut OpinionWay. Et d’après cette étude, l’allergie aux acariens a un impact très concret sur la vie quotidienne des personnes concernées.  

Cette vaste étude nationale a été menée auprès de 4 800 Français. D’après les résultats, les personnes allergiques aux acariens présentent régulièrement des symptômes handicapants dans leur vie de tous les jours : des éternuements pour 71 % d’entre eux, des écoulements nasaux (pour 65 % des répondants), des démangeaisons (61 %) ou encore des yeux rouges et/ou gonflés (51 %). Et ce n’est pas tout, l’allergie aux acariens peut s’accompagner de difficultés à respirer chez 45 % des personnes interrogées, d’une toux chronique (36 %) ou de sifflements dans la poitrine (30 %).  

Une grosse fatigue et des performances au travail altérées

L’allergie aux acariens est ainsi difficile à vivre au quotidien : 62 % des personnes interrogées affirment être plus fatiguées durant la journée, 39 % ressentent de l’irritabilité et 37 % subissent des pertes de motivation et de concentration. Au travail, 76 % des patients voient leurs performances altérer. Les effets les plus manifestes sont une baisse de la productivité (40 %), une somnolence (39 %) et des difficultés à se concentrer (39 %).

Enfin, 70 % des malades doivent parfois renoncer à certains loisirs à cause de leurs allergies, ou par crainte de la déclencher. La pratique d’un sport et les activités qui impliquent la présence d’animaux sont les plus souvent évoquées, mais les sorties entre amis et les départs en vacances sont également source de problème. Pour rappel, en France, 20 millions de personnes souffrent d’une allergie, soit 30 % de la population nationale. Dans 1 cas sur 2, il s’agit d’une allergie aux acariens.

Marie-Eve Wilson-Jamin

À lire aussi : Comment prévenir les allergies aux acariens de la maison ?

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Mon coach douleur, une application pour améliorer son quotidien

Le 23/04/2016.

Accompagner les personnes qui souffrent d’un cancer, c’est la mission que s’est donnée le laboratoire Takeda, qui a lancé une nouvelle application mobile pour gérer la douleur au quotidien.

Venir apaiser les patients

Le nombre de personnes victimes de cancer ne cesse d’augmenter : en 2015, le nombre de nouveaux cas de cancer en France a été estimé à 385 000. Et 1 patient sur 2 souffre de douleurs cancéreuses. C’est pourquoi le laboratoire Takeda a lancé une nouvelle application mobile, pour permettre aux patients d’être accompagnés face à cette douleur. Objectif : éviter l’isolement, la dépression et le stress liés à la maladie.

1ère application destinée aux patients souffrant de douleurs cancéreuses, et aux professionnels qui les prennent en charge, « Mon coach douleur » peut devenir un outil très utile. Le patient peut décrire sa douleur, sa durée, ses répercussions sur son quotidien, noter la prise de traitements, gérer ses rendez-vous médicaux et obtenir des informations sur la douleur liée au cancer ou sur les cancers eux-mêmes.

Une application gratuite

Cette application gratuite a été pensée par des médecins, des cancérologues, des radiothérapeutes et des spécialistes de la douleur, afin de répondre aux mieux aux demandes des patients. Grâce à cet outil, le patient pourra décrire avec précision à son médecin la douleur qu’il a ressentie, il pourra même imprimer la synthèses de ce qu’il a vécu pour analyser avec précision son état jour après jour.

Souffrir quand on est malade peut aggraver une situation déjà compliquée, ne pas comprendre sa douleur peut provoquer beaucoup d’anxiété et être extrêmement nuisible à terme. L’idée de cette application est donc plutôt intéressante et permettra à de nombreux malades de se sentir moins seuls et mieux accompagnés dans leur parcours du combattant.

À lire aussi : Quand on a mal tout le temps…

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Vidéo : Josef Schovanec, autiste Asperger, auteur et voyageur, témoigne de son quotidien

« Docteur et chercheur en philosophie et sciences sociales, parlant sept langues », Josef Schovanec est autiste Asperger, résumait France TV Info à l’occasion de la parution de son troisième livre, « De l’Amour en Autistan ».

Son premier livre « Je suis à l’Est », en 2012, l’a fait connaître du grand public. Il a été suivi de l’« Éloge du voyage à l’usage des autistes et de ceux qui ne le sont pas assez », toujours chez Plon.

Une équipe de France 2 a recueilli, en 2015, son témoignage.

Psychomédia avec sources : France TV Info, Youtube.
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Quelle quantité de sucre mange-t-on au quotidien sans le savoir ?

Le 19 novembre 2015C’est un compte Instagram, celui de @dealerdesucre, qui révèle en images l’équivalent en morceaux de sucre de nombreux produits consommés dans notre quotidien. Un compte qui a le mérite de nous en apprendre beaucoup sur notre alimentation en quelques coups d’œil !

C’est un utilisateur d’Instagram qui a eu l’idée très simple de photographier des aliments que nous consommons au quotidien, avec à côté leur équivalence en morceaux de sucre.

Une façon claire et rapide d’informer les internautes sur leur consommation souvent excessive de sucre et de prendre conscience que le sucre est omniprésent dans notre alimentation quotidienne.

Des exemples qui surprennent ? Une canette d’oasis représente l’équivalent de 6 morceaux de sucre. Un muffin au chocolat équivaut à 5 morceaux de sucre. Et n hamburger qu’on imagine salé représente 2 sucres et demi.

Pour rappel, la consommation excessive de sucre entraîne des risques de surpoids et d’obésité, facteurs de maladies cardiovasculaires et de diabète.

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Le quotidien de Charles, 12 ans, atteint du syndrome de Williams

Ce samedi 28 février est la journée internationale des maladies rares. Quatre millions de Français en sont atteints. Charles, 12 ans, et l’un d’eux. Il vit à Thiviers (Périgord).

Charles souffre du syndrome de Williams, qui touche 3 000 personnes en France. Parmi ses symptômes, Charles a eu du mal à acquérir les capacités de concentration et d’équilibre. Il a également des difficultés d’élocution et de vision et accuse un retard intellectuel et moteur.

A l’âge de deux ans, le diagnostic tombe. Sa maman Stéphanie raconte à France 2 : « C’est bien de savoir quel est le problème mais ça ne l »efface pas. Le couperet tombe et tout s’écroule ».

Débute alors un combat pour que Charles ait la vie la plus normale possible. Aujourd’hui, il va au collège dans une classe spécialisée et essaye d’avoir le plus d’activités possibles. Le syndrome de Williams ne se soigne pas, mais il n’écourte pas la durée de vie.

Au sein de sa famille, on refuse de parler de « maladie ». On préfère le terme de « différence ». Charles, qui se verrait bien devenir plus tard « aiguiseur de bois », fait la fierté de sa maman en martelant : « On est tous différents ».

Des molécules toxiques dans la plupart des produits du quotidien

©Inserm

Les molécules toxiques sont partout ! « Aliments, cosmétiques, détergents… tous peuvent contenir des ingrédients indésirables, dont le contact répété peut avoir un impact réel sur la santé » indique le magazine « 60 millions de consommateurs dans son numéro du mois de septembre.

A titre d’exemple, le magazine a dressé une liste d’une centaine de produits courants de grandes marques qui en contiennent.

Cela se passe par le caramel E150D, le sulfite de sodium (E221), différents colorants, l’anti-oxydant BHA (hydroxyanisole butylé), l’agent antibactérien triclosan, le conservateur phénoxyéthanol très souvent utilisé dans les produits destinés aux enfants et bien sûr les fameux parabens que l’on ne présente malheureusement plus.

Ainsi et dans cette liste non exhaustive, on retrouve de grandes marques de sodas, de confiseries, de soupes, ou de purées; des dentifrices, gels de rasage mais aussi des lingettes pour bébé suspectées contenant du phénoxyéthanol, un produit « suspecté d’être à forte doses, toxique pour la reproduction et pour le développement ».

Sont également visées lessives, liquides vaisselle.

Plus de détails dans la nouveau numéro du magazine « 60 millions de consommateurs ». Actuellement en kiosques !


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Le magnésium combat le stress quotidien

Le stress est l’un des défis et des fardeaux quotidiens. L’organisme doit faire face au stress et combattre ses effets négatifs, tant sur le coup, que sur le long terme. Une solution à portée est un apport élevé en magnésium.

Le magnésium est l’un des minéraux vitaux pour de nombreuses fonctions métaboliques, mais son plus important rôle est celui de maintenir plate la surface intérieure des artères. Il intervient dans le réglage de la tension artérielle dans des situations spéciales causées par le stress.

L’apport en magnésium est rapporté à l’âge, genre et état de santé. Pour les adultes, les spécialistes recommandent un apport journalier de 300-350 mg pour les hommes et 280 mg pour les femmes. La quantité peut augmenter jusqu’à 355 mg dans le cas des femmes enceintes.

Les nouveaux-nés âgés de moins de six mois ont besoin de 40 mg magnésium et ceux qui ont entre six mois et un an – 60 mg. Les enfants de 1 à 3 ans ont besoin de 80 mg, de 4 à 6 ans, 120 mg et de 7 à 10 ans, 170 mg. La consommation augmente progressivement durant la vie pour atteindre la quantité de 300 mg, à 18 ans.

L’idéal, c’est que le magnésium provienne exclusivement des aliments. Voilà donc quels sont les aliments les plus riches en magnésium: les légumes (épinards, brocoli, pommes de terre, chou), les fruits (bananes, avocat), les céréales, les graines de courge et de tournesol, les noix, le beurre d’arachides, les fruits confiés, le lait, le poisson, le cacao.

Même s’il est un minéral fondamental pour le bon fonctionnement de l’organisme et de la cellule nerveuse, 90% de la population souffre d’un déficit en magnésium. Ces carences peuvent provoquer: manque d’énergie, insomnie, sensation de fatigue, anxiété, attaques de panique, spasme laryngé, mais aussi des problèmes du système cardiovasculaire, asthme et fragilité des os.

Les déficits en magnésium ont plusieurs explications: le stress, la consommation de l’alcool et du tabac, transpiration excessive, consommation de drogues, hypothyroïdie, diabète.

Le magnésium intervient directement dans la métabolisation de la vitamine C, du calcium, phosphore, potassium et sodium. Il empêche les dépôts de calcium et la création des calculs bilieux et rénaux. Le magnésium fortifie l’émail dentaire et intervient dans la métabolisation des glucides, lipides et protéines. C’est l’un des principaux « libérateurs » d’énergie et, à côté du calcium, un calmant naturel.

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