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Le gouvernement reprend la lutte contre le moustique tigre

Le gouvernement reprend la lutte contre le moustique tigre

Le 3 mai 2017.

Le moustique tigre est de retour et pour répondre à cette menace potentielle, le gouvernement a relancé son plan annuel de lutte contre ce nuisible vecteurs de maladies très graves comme le virus Zika, la dengue ou encore le chikungunya.

Une application pour signaler la présence de moustiques tigres

À l’approche de l’été, le moustique tigre fait de nouveau parler de lui. C’est l’occasion pour le gouvernement de relancer son dispositif de lutte contre cet insecte, scientifiquement baptisé Aedes Albopictus. Ce plan, inauguré chaque année le 1er mai, durera jusqu’au 30 novembre prochain.

Divisé en plusieurs chapitres, le dispositif gouvernemental doit permettre une surveillance accrue des populations de moustiques sur le territoire. Les Français sont d’ailleurs mis à contribution dans le cadre de cette lutte et sont invités à signaler la présence de moustiques tigres sur le site Signalement-moustique.fr, ainsi que sur l’application pour smartphone dédiée.

Le sud de la France, zone de prédilection du moustique tigre

Un autre volet de cette lutte passe également par la surveillance des individus infectés par un moustique tigre. Ce dispositif consiste à signaler tous les cas suspects afin de mettre en place des mesures de démoustication autour du domicile de la personne concernée, « ainsi que le renforcement de la protection individuelle autour des cas recensés pour éviter la transmission de la maladie à d’autres personnes », indique le ministère de la Santé.

Cela fait maintenant de nombreuses années que ce moustique venu d’Asie s’est implanté en France métropolitaine et 30 départements, principalement du sud de la France, sont concernés par ce nuisible qui peut transmettre, dans certaines conditions, des maladies telles que la dengue, le chikungunya, le virus Zika ou encore la fièvre jaune. Depuis 2010, plusieurs cas de ces maladies ont d’ailleurs été relevés en France, dans les régions Paca et Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon.

Sybille Latour

À lire aussi : Les pires virus propagés par les moustiques

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Ruby Graupera-Cassimiro reprend vie après 45 minutes d’arrêt cardiaque !

Ruby Graupera-Cassimiro, une femme âgée de 40 ans s’est réveillée après trois quarts d’heure d’arrêt cardiaque alors que les médecins s’apprêtaient à la déclarer morte auprès de la famille. Un miracle médical que la science ne parvient pas à expliquer. Ruby, cependant, s’appuie sur sa foi pour remercier Dieu pour sa survie et explique : « je ne sais pourquoi il m’a été donné une telle opportunité, mais je suis reconnaissante pour cela. Dieu a placé chaque personne à la bonne place au bon moment ».

Retour sur les évènements : Ruby Graupera-Cassimiro est accueilli le 23 septembre à l’hôpital de Boca Raton en Floride pour donner naissance à son deuxième enfant. Alors qu’elle subit une césarienne, des complications surviennent et entraînent l’arrêt de son coeur. Les médecins se battront pendant près de trois heures pour essayer de remédier à ces complications jusqu’à l’arrêt cardiaque. Du liquide amniotique est en effet passé dans le sang. Malgré tout leurs efforts, le coeur de Ruby finit par cesser de battre. 45 minutes plus tard, alors que les médecins font un massage cardiaque sans qu’aucune pulsation ne soit enregistré, alors que les médecins avaient réuni la famille pour déclarer le décès de la patiente, elle s’est subitement réveillée, sans aucune séquelle au niveau cérébral.

Les médecins, face à ce miracle, parlent de « providence divine » et ne parviennent à donner aucune autre explication pour le retour de Graupera-Cassimiro à la santé. Le porte-parole de l’hôpital Chakurda va jusqu’à parler de « résurrection » alors même que la jeune-mère allait être déclaré cliniquement morte à la famille.

Ruby en bonne santé qui est aujourd’hui entourée de ses deux enfants et de sa famille à la maison, avait déclaré en revenant de son arrêt cardiaque : « Je me souviens avoir senti comme une force intérieure me disant que ce n’était pas mon heure, que je ne devais pas mourir ».