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Caries : le système immunitaire pourrait être responsable

Caries : le système immunitaire pourrait être responsable

Le 17 avril 2019

Des scientifiques ont démontré que le corps, en se défendant, cause aussi des dégâts. Un lien est ainsi établi entre système immunitaire et apparition des caries.

Les neutrophiles combattent les bactéries mais commettent des dégâts

Si jusqu’ici l’apparition de caries était associée à la présence de bactéries dans la bouche comme les Streptococcus mutans, une étude menée au Canada démontre un lien plus surprenant : « Que notre système immunitaire joue un rôle dans l’apparition des caries, c’est incroyable. Pourtant, nous avons désormais des preuves », selon Yoav Finer, de l’université de Toronto (Canada).

Quand des bactéries attaquent dans la bouche, des neutrophiles, qui constituent 65% des globules blancs du sang, viennent tenter de la défendre. S’ils parviennent généralement à détruire les bactéries indésirables, ils commettent également des dégâts. Le professeur illustre : « C’est comme si vous utilisiez un marteau pour tuer une mouche posée sur un mur ».

Une explication à la réapparition des caries

Les travaux des scientifiques ont donc mis en évidence que les neutrophiles causaient des dommages aux dents en quelques heures seulement. Et ce n’est pas tout : leurs enzymes s’attaqueraient, elles, aux résines composites utilisées pour obturer les dents. Voilà certaienement enfin l’explication de la réapparition fréquente des caries.

Pour rappel, une carie est une infection : des bactéries détruisent progressivement la dent. Elles s’attaquent d’abord à l’émail, puis à la dentine. C’est à ce stade, comme de nombreux nerfs traversent la dentine, que l’on peut ressentir une douleur au froid, au chaud, au sucré ou à l’acide. Pour s’en prémunir, une solution : se brosser les dents dès le plus jeune âge et ce, tout au long de sa vie, au moins 2 fois par jour, pendant 2 à 3 minutes, en prenant soin de brosser toutes les faces de chacune de vos dents.

Marie-Eve Wilson-Jamin

À lire aussi : Comment soigner une carie ?

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La mauvaise alimentation serait responsable d’un décès sur cinq

La mauvaise alimentation serait responsable d’un décès sur cinq

Le 4 avril 2019.

Selon une récente étude menée à travers le monde, un décès sur cinq serait dû à une mauvaise alimentation, notamment en raison d’une consommation trop importante de viande, de sucre et de sel.

11 millions de morts en 2017, causées par la mauvaise alimentation

Un décès sur cinq, dans le monde, serait dû à la mauvaise alimentation. C’est la conclusion d’une grande enquête sur les effets des risques alimentaires sur la santé, menée dans 195 pays entre 1990-2017 auprès de personnes âgées de 25 ans ou plus, et publiée dans la revue The LancetLes maladies cardiovasculaires ont été la principale cause de décès liés au régime alimentaire.

Selon l’étude, en 2017, 11 millions de décès seraient attribuables à des facteurs de risques liés à l’alimentation. Pour 3 millions d’entre eux, la cause serait un apport trop élevé en sel ; pour trois autres 3 millions, l’explication serait à chercher du côté d’un trop faible apport en céréales complètes ; 2 millions de décès étant par ailleurs attribués à une trop faible consommation de fruits. 

La consommation de boissons sucrées, de sel et de sucre est trop importante

Dans le détail, il ressort de l’étude qu’en 2017, « à l’échelle mondiale, la consommation de presque tous les aliments et nutriments sains était sous-optimale ». Parallèlement, « l’apport quotidien de tous les aliments et nutriments malsains dépassait le niveau optimal au niveau mondial ». La consommation de boissons sucrées, de 49 grammes par jour en moyenne, était « bien supérieure à l’apport optimal » ; tout comme celle de viande rouge, 18% supérieure à l’apport optimal ; celle de viande transformée, 90% supérieure à la quantité optimale, et la consommation de sel, 86% supérieure à la quantité optimale.

Autre donnée intéressante de l’étude : « Contrairement à de nombreux autres facteurs de risques, les risques alimentaires ont touché les personnes quels que soient leur âge, leur sexe et le développement sociodémographique de leur lieu de résidence ». Selon les chercheurs qui reconnaissent que leur étude a toutefois des limites, il est urgent de « coordonner les efforts mondiaux visant à améliorer la qualité du régime alimentaire humain », ce qui permettrait d’éviter potentiellement un décès sur cinq dans le monde.

Aurélie Giraud

À lire aussi : Régime alimentaire pour maladies cardiovasculaires

 

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Le virus responsable de la mononucléose et le risque de schizophrénie seraient liés

Le virus responsable de la mononucléose et le risque de schizophrénie seraient liés

Le 16 janvier 2019.

Selon une récente étude américaine, le virus d’Epstein-Barr (EBV), responsable notamment de la mononucléose infectieuse, augmenterait le risque de schizophrénie.

Des niveaux d’anticorps contre le virus d’Epstein-Barr plus élevés chez les personnes souffrant de schizophrénie 

Dans une étude publiée le 20 novembre 2018 dans la revue Schizophrenia Bulletin, des chercheurs américains du Maryland ont mis en évidence un lien entre le virus d’Epstein-Barr (EBV), responsable notamment de la mononucléose infectieuse, et le risque de développer une schizophrénie. Pour mener leur étude, les chercheurs ont mesuré les niveaux d’anticorps anti-EBV chez 743 participants, divisés en deux groupes : le premier comptait 432 individus atteints de schizophrénie et le deuxième, 311 sujets ne présentant aucun problème de santé mentale.

Selon leurs conclusions, le premier groupe avait entre 1,7 à 2,3 fois plus de risques d’avoir des taux élevés d’anticorps anti-EBV dans leur organisme que le deuxième groupe. Par ailleurs, les analyses génétiques ont révélé que les personnes qui avaient à la fois des taux élevés d’anticorps anti-EBV et un risque génétique accru de schizophrénie présentent « un risque de diagnostic de la schizophrénie supérieur à 8,5 ».

La prévention contre la mononucléose infectieuse pour limiter le risque de schizophrénie

Selon le Dr Robert Yolken, principal auteur de l’étude, le lien de cause à effet entre mononucléose et schizophrénie n’est pas confirmé, mais l’étude « indique que la prévention et le traitement du virus d’Epstein-Barr pourraient représenter une approche de prévention et de traitement de troubles psychiatriques sévères comme la schizophrénie ».

Le problème, c’est que cette maladie très contagieuse touchant principalement le jeune enfant, l’adolescent et le jeune adulte, appelée aussi « maladie du baiser » en raison de son mode de transmission notamment par la salive, est très répandue et passe parfois inaperçue. Il convient donc d’adopter dès le plus jeune âge des règles d’hygiène très strictes, comme un lavage de mains régulier et rigoureux, ainsi que limiter les contacts rapprochés.

Aurélie Giraud

À lire aussi La réalité virtuelle pour comprendre la schizophrénie

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Complémentaire santé responsable : plus de restant à charge pour les Français

Complémentaire santé responsable : plus de restant à charge pour les Français

Mutuelle-land

Si l’idée de départ consistait à mieux rembourser les assurés français tout en limitant les dépassements d’honoraires, il semble qu’à l’heure du premier bilan des réformes du marché des complémentaires santé, ce ne soit pas concrètement ce qu’il s’est produit.

Baisse des remboursements des mutuelles

Le courtier en assurances collectives Mercer France vient faire un premier bilan des réformes autour de la complémentaire santé, basé sur 6 millions d’actes facturés par des médecins gérés par ses soins auprès d’1,3 million d’assurés. Pour ce premier bilan chiffré, le courtier fait un bilan mitigé des contrats de mutuelle responsable et de la généralisation de la complémentaire santé.

Ce manque de succès est notamment lié au contrat d’accès aux soins (CAS), qui avait pour but de limiter les dépassements d’honoraires des médecins qui adhéraient à ce contrat. Comment ? En limitant la prise en charge des dépassements par ces contrats responsables. Au total, seuls 27 % des médecins du secteur 2 ont signé le CAS. Le problème c’est que seuls 15 % des patients qui ont consulté un spécialiste non adhérant au CAS en 2015 ont aujourd’hui changé de médecin pour un moins cher. Des changements qui ont provoqué des hausses de tarifs des consultations des praticiens non CAS.

Par conséquent, les assurés sont victimes de davantage de restant à charge.

Le courtier soulève également la question de l’impact des contrats responsables sur la prise en charge de la part des complémentaires santé. Les remboursements baissent ainsi surtout pour les consultations de médecines généralistes (-5 %), de spécialistes (-10 %), pire encore pour les honoraires en hospitalisation (-53 %).

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Mutuelle responsable et sur-complémentaire non responsable pour Solly Azar

Les travailleurs non salariés ont leur propre mutuelle

Solly Azar profite de la généralisation de la complémentaire santé pour parallèlement renforcer ses positions sur le marché de l’assurance individuelle en lançant deux contrats à destination de profils qui non concernés par l’ANI. Sa cible : les seniors et les travailleurs non salariés (TNS).

Une bonne couverture de santé…pour tous

Si les salariés du secteur privé sont automatiquement couverts par une mutuelle collective via leur entreprise, ce n’est pas le cas de tout le monde. Les retraités et les travailleurs non salariés ne sont pas concernés. C’est cette cible que Solly Azar vise avec le déploiement d’une complémentaire santé responsable et une sur-complémentaire non responsable.

Les TNS ont un restant à charge assez important et ont besoin d’une bonne couverture de santé. Pourtant seuls 53 % des TNS seraient couverts pas une mutuelle individuelle, un véritable marché s’ouvre à Solly Azar.

L’offre santé TNS de Solly Azar

L’offre santé responsable et éligible à la loi Madelin se compose d’ :

  • Une formule hospitalisation
  • 6 formules de garanties évolutives (soins courants, dentaire, optique)
  • 1 formule « excellence » intégrant des niveaux très élevés de couverture en optique, dentaire et prévention.

A cela, il est possible de rajouter une formule de sur-complémentaire non responsable en complément de la couverture de base ainsi qu’une assistance renforcé incluant la PJ santé et divers services à la personne en cas d’incapacité.

L’offre santé Senior de Solly Azar

Les seniors ne bénéficient pas non plus de la couverture des salariés. Slooy Azar s’adresse à cette cible avec une offre répondant aux besoins de santé de cette tranche e la population.  Soins courants, radiologie, optique, audition, cures thermales, autant de garanties incluses.

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L’alcool responsable de 7 cancers ?

Le 25 juillet 2016.

Selon une équipe de chercheurs de l’université d’Otago, en Nouvelle-Zélande, sept formes de cancers découleraient de la consommation d’alcool, même modérée. Explications.

Attention au tabac avec l’alcool

L’alcool doit être consommé avec modération. Tel est le slogan répété par les autorités sanitaires en France. Mais selon une étude néo-zélandaise, publiée dans la revue Addiction, même avec modération, l’alcool peut s’avérer dangereux pour la santé. Il interviendrait en effet directement sur le développement de sept types de cancers : le cancer du sein, du colon, du foie, de l’œsophage, du rectum, du larynx et de l’oropharynx.

« Plus la consommation est importante, plus les risques sont élevés, mais l’incidence de l’alcool sur les petits consommateurs reste considérable vue sa place dans la société », explique Jennie Connor, auteure de l’étude. Le cocktail le plus nocif serait l’association d’alcool et de tabac, qui augmenterait considérablement le risque d’attraper un cancer de la gorge ou de la bouche.

Non, le vin n’est pas bon pour le cœur !

Les femmes qui ne boivent que 70 à 140 grammes par semaine (1 à 2 verres par semaine) seraient 5 % plus à risque de cancer que les abstinentes. Mais que les petits buveurs ne s’alarment pas : arrêter de boire réduit de 15 % la probabilité de développer un cancer. Et après 30 ans de sevrage, le risque disparaît.

Selon les auteurs de l’étude, les autorités sanitaires ne devraient pas mettre en garde uniquement sur les excès, mais bien sur les risques liés à la consommation d’alcool quelle que soit la quantité. Par ailleurs, ils tiennent à condamner les études qui mettent en avant les bienfaits du vin sur la santé, notamment pour le cœur. Ces études ne seraient absolument pas fondées, selon les chercheurs néo-zélandais. « Cette étude examine également la connexion entre l’alcool et le bon fonctionnement du cœur, et pour l’instant les preuves sont plutôt faibles », précise Jennie Connor.

À lire aussi : Alcool et santé : de bonnes et de mauvaises nouvelles

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Découverte d’un nouveau virus responsable du décès d’un homme aux Etats-Unis

SANTE – Le virus se transmettrait par des tiques ou d’autres insectes…

Une découverte très inquiétante. Les autorités sanitaires américaines ont annoncé vendredi avoir découvert un nouveau virus qui serait responsable du décès d’un homme, par ailleurs en bonne santé, dans l’Etat américain du Kansas au printemps 2014.

«Thogotovirus»

Le virus baptisé «Bourbon» du nom du comté où vivait le patient, fait partie d’un groupe de virus appelés thogotovirus, ont précisé les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

C’est la première fois qu’un virus de cette famille a causé une maladie mortelle chez un humain aux Etats-Unis, et seulement le huitième cas connu d’infection par un thogotovirus qui provoque des symptômes chez des personnes.

Dans la mesure où des virus de ce groupe d’agents viraux (thogotovirus) ont été liés à des tiques ou des moustiques dans certaines parties d’Europe, d’Asie et d’Afrique, le virus «Bourbon» pourrait aussi se propager par des tiques ou d’autres insectes.

Technologie moléculaire avancée de détection

L’homme en question était âgé de plus de 50 ans et il avait été mordu de multiples fois par des tiques dans les jours avant de tomber malade, indiquent les CDC. C’est le seul cas connu.

Les résultats de nombreux tests pour un grand nombre de maladies infectieuses étant négatifs, un échantillon de sang du malade a été envoyé à un laboratoire des CDC pour des analyses supplémentaires.

Les tests initiaux ont détecté la présence d’un virus non-identifié. Les chercheurs des CDC ont déterminé qu’il s’agissait d’un nouveau virus, après avoir utilisé une technologie moléculaire avancée de détection (AMD).

Les médecins qui ont soigné l’homme dans le Kansas ont trouvé une tique pleine de sang accrochée sur son épaule. Il est tombé malade quelques jours après avec de la fièvre et des maux de tête, selon l’étude publiée dans la revue des (…) Lire la suite sur 20minutes.fr

Maladie génétique: Les Etats-Unis mettent en vente un autotest
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Un atlas de la viande pour encourager une consommation responsable

L’association Friends of the Earth Europe (les Amis de la Terre) et la Fondation Heinrich Böll (avec l’aide financière d’un fonds de l’Union européenne) viennent de publier un «Meat Atlas», un Atlas de la viande, pour sensibiliser les gens aux enjeux collectifs de la consommation de viande.

L’objectif est clairement partisan, il s’agit d’encourager une consommation plus responsable. «La production intensive de viande ne signifie pas seulement faire souffrir des animaux. Cela détruit l’environnement et engloutit une grande quantité de nos matières premières que nous importons du Sud pour les nourrir», a déclaré dans un communiqué Barbara Unmüssig, présidente de la Fondation Heinrich-Böll, proche des Verts allemands, signale Challenges.

On trouve des infographies intéressantes (certes illustrant un document engagé, mais issues de données produites par des organismes nationaux et internationaux comme la FAO ou l’OCDE) dans cet atlas, en voilà quelques-unes:

15.500 litres d’eau pour un kilo de viande de bœuf

Selon l’asso, on peut produire 1kg de blé avec 1.300 litres, ou 1kg de carottes avec 131 litres. Et 1kg de boeuf avec 15.500 litres, quantité pas négligeable… Ce qui fait 1.500 litres pour un steak, c’est le chiffre donné par les diverses agences de l’ONU.

Tout le monde n’est pas d’accord: Interbev (Organisation interprofessionnelle pour le bétail et la viande) souligne qu’une observation de la bibliographie internationale montre que les chiffres varient largement selon les études, et son directeur général contestait clairement ces calculs l’année dernière dans une contribution au Plus du Nouvel Obs.  

Capture d’écran de Meat Atlas, CCLicence

On abat plus de poulets

«On a coupé le lien entre les animaux vivants et les produits emballés», écrivent les auteurs de l’Atlas. Voilà de quoi imaginer le nombre d’animaux abattus pour une consommation humaine dans le monde, les poulets arrivent donc largement en tête:

Capture d’écran de Meat Atlas, CCLicence

Alerte aux antibiotiques

L’Atlas condamne aussi l’usage massif d’antibiotiques et d’hormones sur les animaux destinés à être mangés, et craint que cela n’engendre la prolifération de bactéries (du genre salmonelle) bien plus résistantes. L’Union européenne encourage déjà la réduction de l’utilisation de ces médicaments pour éviter le développement de «l’antibio-résistance». En décembre dernier, les Etats-Unis ont dévoilé un plan visant à réduire voire éliminer certains antibiotiques chez les animaux d’élevage. On voit ici les ventes d’antibiotiques pour l’élevage d’animaux en Europe:

Capture d’écran de Meat Atlas, CCLicence

La demande va augmenter de Rio à Shanghai 

Dans les pays développés, «la demande en viande a atteint des sommets, elle commence à décliner doucement. Les inquiétudes des consommateurs sur la sécurité alimentaire sont renforcées par les scandales dans l’industrie agroalimentaire». On voit ici la consommation moyenne par personne en 2010-2012, et la prévision pour 2022.

Capture d’écran de Meat Atlas, CCLicence

En parallèle, il y va y avoir «un demi-milliard de consommateurs de classes moyennes en plus, de Rio à Shanghai». La demande de viande dans les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) va bien augmenter. 

Capture d’écran de Meat Atlas, CCLicence

Insectes plein de protéines

Face à la pollution et à la grosse consommation d’eau engendrés par l’élevage, les insectes sont une des alternatives envisagées, comme source de protéines plus respectueuse de l’environnement… On voit ici le pourcentage de parties «comestibles» dans différents animaux. On jette donc moins de déchets avec un cricket:

Capture d’écran de Meat Atlas, CCLicence

Et ici, le nombre d’espèces d’insectes comestibles selon les pays. D’ici 2050, la Chine et le Mexique vont-ils se lancer dans ce grand business en profitant de leur faune de bestioles très variées?

Capture d’écran de Meat Atlas, CCLicence
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Les hommes mangent de plus en plus de viande
La viande artificielle indispensable pour nourrir l’humanité
Oui, les insectes peuvent être très appétissants


A votre santé! – Slate.fr

Natura Ekos, toujours plus loin pour un bien-être responsable

Lorsqu’elle lance sa gamme Ekos au Brésil en 2000 puis en 2005 en France, Natura fait figure de pionnier par sa volonté déterminée de s’investir dans le développement durable et de valoriser la biodiversité brésilienne.

Innovante tant dans son concept que dans son modèle économique, la gamme Ekos relève un nouveau défi en 2013 avec une nature plus que jamais présente dans ses formules, des packagings au nouveau design, toujours plus recyclés et recyclables et des traditions toujours mieux respectées.

Le nouvel objectif de Natura est en effet de passer en un an de 78 à 147 tonnes d’ingrédients achetés aux communautés pour augmenter la proportion d’ingrédients dans chaque formule et générer ainsi plus de bénéfices à ces communautés.

Parmi ces ingrédients issus de la biodiversité brésilienne et apportant leurs bienfaits à la peau, on trouve la castanha aux vertus nourrissantes, le buriti protecteur ou encore le cacau et le maracuja dont les propriétés hydratantes exceptionnelles sont mises en valeur dans des produits de soin pour le corps.

A découvrir aussi dans cette nouvelle gamme Ekos : des eaux de toilettes Frescores, des huiles et des gels de douches mais aussi des soins pour les cheveux.

En conclusion, avec cette gamme Ekos version 2013, Natura propose une démarche responsable dans laquelle tout le monde est gagnant : la biodiversité est préservée, les cultures locales ne tombent pas dans l’oubli, les populations peuvent se remettre à rêver, les conseillères Natura gagner leur vie et les clients Natura prendre soin de leur peau tout en soignant la planète et ses populations.

(La gamme Ekos est disponible à la Maison Natura, 2 place Michel Debré, 75006 Paris, sur le site www.naturabrasil.fr et en ateliers Natura à domicile. Pour contacter une conseillère Natura, appelez le n°azur 0 810 62 88 72)


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté

Le « nouveau coronavirus » responsable d’un onzième décès

GENEVE (Reuters) – Un Emirati de 73 ans a succombé à un nouveau virus proche de celui du Syndrome respiratoire aigu sévère (sras) identifié il y a six mois et dont le bilan s’élève désormais à onze morts, annonce mercredi l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le dernier décès imputé à ce « nouveau coronavirus » est survenu mardi à Munich où le malade avait été transféré.

Dix-sept cas ont été recensés depuis l’alerte de l’OMS, en septembre. L’organisation signalait alors qu’un Qatari, qui s’était rendu en Arabie peu de temps auparavant, avait contracté le virus jusqu’alors inconnu.

Il appartient à la même famille que le sras, apparu en Chine en 2002, qui a coûté la vie à 10% environ des 8.000 malades répertoriés dans le monde. Comme lui, il provoque fièvre, toux et difficultés respiratoires.

Robert Evans; Jean-Philippe Lefief pour le service français, édité par Danielle Rouquié


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