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Ce que votre relation amoureuse révèle de votre santé cardiaque

Le 25 octobre 2017

Selon une étude publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health, plus la relation dans le couple est bonne, au mieux le cœur se porte. Explications.

Une étude qui touche en particulier les pères

Si vous êtes en couple et que votre relation avec votre conjoint n’est pas bonne, si vous passez beaucoup de temps à vous disputer, alors vous augmentez votre risque de souffrir un jour d’une maladie cardiaque. C’est ce qui ressort d’une vaste étude menée par une équipe de chercheurs britanniques. Selon ces travaux, la santé cardiovasculaire dépend en partie de la vie de couple.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont interrogé plusieurs centaines d’hommes mariés. Ces derniers devaient décrire leur vie de couple, plus de 6 ans après la naissance de leur premier enfant. Les chercheurs ont cherché à savoir si la relation s’était améliorée avec le temps ou, au contraire, si elle s’était détériorée, notamment avec l’arrivée des enfants.   

Une meilleure santé cardiaque chez les maris heureux

La santé cardiovasculaire des participants a par ailleurs été observée de près. Les auteurs de ces travaux ont suivi avec attention la pression artérielle, le rythme cardiaque, l’indice de masse corporelle (IMC), le taux de lipides et de sucre dans le sang de ces pères au moment de la naissance de leur premier enfant puis 19 ans plus tard. Ils ont estimé que c’est à cette période que peuvent apparaître les premiers signes d’une maladie cardiaque.

Ils ont ainsi pu constater que seuls les hommes qui avaient déclaré que leur relation s’était améliorée avec le temps avaient vu leur taux de mauvais cholestérol ainsi que leur poids chuter. Dans un mouvement inverse, les hommes qui déploraient une détérioration de leur vie de couple étaient aussi ceux chez qui les médecins avaient observé une augmentation de la pression artérielle. Les travaux ont également été réalisés auprès des épouses mais les résultats n’ont pas été aussi significatifs.

Marine Rondot

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Le cerveau sous LSD révélé pour la première fois par l’imagerie cérébrale

Pour la première fois, des chercheurs ont observé l’effet du LSD (acide lysergique diéthylamide), une puissante drogue hallucinogène, sur le cerveau.

Les résultats, publiés dans la revue Proceedings de l’Académie nationale des sciences (PNAS), révèlent ce qui se passe dans le cerveau lorsque les gens ont des hallucinations visuelles complexes et les changements qui sous-tendent l’état de conscience profondément modifié que la drogue peut produire.

Robin Carhart-Harris du département de neuropsychopharmacologie de l’Imperial College London et des collègues internationaux ont mené cette étude avec 20 volontaires en bonne santé ayant déjà expérimenté la drogue. Ils étaient assignés au hasard à recevoir un placebo ou une dose de 75 microgrammes de LSD.

Un résultat important est la découverte de ce qui se passe lorsque les gens ont des hallucinations oniriques complexes. Dans les conditions normales, l’information provenant des yeux est traitée dans le cortex visuel (situé à l’arrière du cerveau).

Le chercheur explique : « Nous avons observé des changements cérébraux qui suggéraient que les volontaires “voyaient les yeux fermés” – ils voyaient des choses de leur imagination plutôt que du monde extérieur. Comparativement à la normale, de nombreuses autres régions du cerveau contribuaient au traitement visuel – même si leurs yeux étaient fermés. L’ampleur de cet effet était corrélée avec l’évaluation que les volontaires faisaient de la complexité de leurs visions comparables au rêve. »

L’étude montre aussi ce qui se passe lorsque les gens rapportent un changement fondamental dans la qualité de leur conscience sous LSD.

« Normalement, explique le chercheur, notre cerveau est constitué de réseaux indépendants qui exercent des fonctions distinctes spécialisées, telles que la vision, le mouvement et l’audition – ainsi que des choses plus complexes comme l’attention. Toutefois, sous LSD la séparation de ces réseaux est rompue. »

« Nos résultats suggèrent que cet effet sous-tend l’état de conscience profondément modifié que les gens décrivent souvent au cours d’une expérience de LSD. Il est également lié à ce que les gens appellent parfois la “dissolution de l’ego”, ce qui signifie que le sens normal de soi est remplacé par un sentiment de reconnexion avec eux-mêmes, les autres et le monde naturel. Cette expérience est parfois conceptualisée d’une manière religieuse ou spirituelle – et semble être associée à des améliorations dans le bien-être après que les effets de la drogue ont diminué. »

Le groupe de recherche a aussi montré dans des expériences additionnelles, dont les résultats sont publiés dans la revue European Neuropsychopharmacology, que l’écoute de la musique sous LSD déclenchait des changements intéressants dans la signalisation du cerveau associée aux visions les yeux fermés.

Avec la musique, le cortex visuel recevait plus d’information du parahippocampe, une région impliquée dans l’imagerie mentale et la mémoire personnelle. Plus cette région communiquait avec le cortex visuel, plus les gens rapportaient avoir eu des visions complexes, telles que des scènes de leur vie.

Les chercheurs espèrent que ces résultats ouvrent la voie à ce que ces composés puissent un jour être utilisés pour traiter des troubles psychiatriques. Ils pourraient être particulièrement utiles dans les conditions où des « patterns » de pensées négatives sont devenus enracinés comme dans la dépression ou la toxicomanie, estiment-ils.

« Nous dévoilons enfin les mécanismes cérébraux sous-jacents au potentiel du LSD, non seulement pour guérir, mais aussi pour approfondir notre compréhension de la conscience elle-même », dit Amanda Feilding, coauteure.

Psychomédia avec sources : Imperial College London, PNAS.
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Un compte Instagram qui nous révèle le sucre caché dans nos aliments

capture écran Dealer Sucre

capture écran Dealer Sucre

Sans que l’on s’en rende vraiment compte, nous consommons du sucre au quotidien. Car, et pour ceux qui ne le savent pas encore, le sucre est présent dans la quasi totalité de nos aliments. C’est surtout vrai pour les produits finis, ceux que nous achetons tous les jours. Et alors que l’OMS recommande une consommation maximale de 25 grammes/jour, soit l’équivalent de 5 sucres, un compte Instagram nous dévoile aujourd’hui que nous sommes bien au dessus de cette recommandation. Comment ? En nous montrant à combien de carrés de sucre correspondent nos produits de consommation courante.

Et si la teneur en sucre de certains produits ne devraient pas vous surprendre, on peut dire que certains cachent plutôt bien leur jeu. Nous vous laissons découvrir ce compte qui affiche pour le moment 64 publications en cliquant directement ICI.

« Je cherchais tout simplement une activité créative qui me ressemble. À l’époque où j’envisageais sujets et formes d’expression, je suis tombé sur un documentaire américain ‘FedUp’ qui dénonce la surconsommation de sucre aux États-Unis » a déclaré l’administrateur de ce compte à l’Huffington Post.


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Un vaccin contre la fièvre Ebola se révèle efficace à 100%

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vaccin contre Ebola existe bel et bien, et il serait efficace à 100% a annoncé aujourd’hui l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il a été testé en Guinée pendant quatre mois. Les médecins l’ont injecté à tous les proches – familles, amis ou soignants – de malades qui venaient tout juste d’être diagnostiqués.

A l’OMS, on retrouve de l’espoir. Sa sous-directrice, le docteur Marie-Paule Kieny, indique que « sur les 2 014 personnes vaccinées, aucune n’a développé la maladie » alors qu’elles avaient récemment été contaminées par le virus.

Plus de 11 000 morts

Le vaccin, développé en partenariat avec deux laboratoires américains doit maintenant faire ses preuves sur des patients « plus jeunes ». A l’Institut Pasteur, on y croit. « C’est un vaccin que l’on peut utiliser pendant que les épidémies sont en cours, ce qui est très important pour enclencher une stratégie vaccinale. On ne sait jamais où l’épidémie va sévir », explique à France 3 le professeur Jean-Claude Manuguerra. Depuis un an et demi, le virus Ebola a tué plus de 11 000 personnes en Guinée, en Sierra Leone et au Libéria.

Retrouvez cet article sur Francetv info

Ebola : un premier vaccin « efficace à 100% »
Ebola : l’OMS annonce la découverte d’un vaccin efficace à 100%
Cinq types de cancers de la prostate identifiés
Ebola : un vaccin protecteur à 100%
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Une cartographie en 3-D révèle les molécules présentes sur la peau

Notre peau en dit long sur ce que nous mangeons, buvons et utilisons comme produits cosmétiques. Des chercheurs américains ont réussi à isoler les différentes molécules présentes sur notre peau grâce à des images 3-D.

Notre peau, l’organe le plus étendu de notre corps, est une véritable mine d’informations sur notre hygiène de vie si l’on en croit la carte 3D élaborée par des chercheurs de l’Université de San Diego en Californie (Etats-Unis). La technique utilisée par les scientifiques permet d’identifier et de localiser les différentes bactéries et produits chimiques qui colonisent notre corps en fonction de ce que nous avalons et appliquons sur la peau. C’est la première fois que les molécules et bactéries trouvées sur la peau sont aussi précisément cartographiées sur tout le corps. Pour Pieter Dorrestein, le professeur de pharmacologie qui a mené cette étude, c’est une piste intéressante pour analyser le rôle de la peau dans la survenue de maladies.

L’étude qui n’a été mené que sur 2 sujets montre que la signature microbienne de chaque individu est unique, un peu comme les empreintes digitales. Elle abrite une combinaison spécifique de bactéries (850 ont été identifiées) et un mélange de molécules provenant de ce que nous mangeons et des médicaments que nous prenons.

Les cosmétiques particulièrement tenaces

Pour leur étude, les chercheurs ont demandé aux 2 cobayes de ne pas se laver et de ne pas appliquer de crème sur le corps, le visage et les cheveux pendant 3 jours. Le but était d’ « augmenter le nombre de microbes et de limiter la présence de produits cosmétiques » a expliqué le Dr Dorrestein à CNN.

En dépit de l’absence d’application de produits d’hygiène pendant plusieurs jours, 14% des molécules identifiées sur l’ensemble de la peau provenaient de cosmétiques. Quand on sait que notre peau se débarrasse de millions de cellules chaque jour (les peaux mortes) , on imagine combien elle est concentrée en produits chimiques juste après l’application d’un produit de beauté.

Même si cette étude n’a été menée que sur deux personnes, elle pourrait être menée à plus grande échelle pour comprendre comment la (…) Lire la suite sur Topsanté

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Alzheimer : le vécu de la maladie avant 60 ans révélé par une enquête

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La maladie d’Alzheimer est généralement diagnostiquée après 65 ans mais peut apparaître bien que rarement plus précocement. Pour les personnes chez qui elle survient avant 60 ans, cette pathologie qui entraîne une perte progressive des fonctions mentales et de la mémoire signifie un arrêt précoce de l’activité professionnelle. Voici ce que vient de mettre en évidence une étude de la Fondation Médéric Alzheimer.

Afin de réaliser cette enquête dans le cadre de la Journée Mondiale de la maladie d’Alzheimer qui se tiendra le 21 septembre, les chercheurs ont interrogé 42 personnes dont les symptômes de la maladie étaient apparus avant 60 ans. Parmi les participants, 62 % avaient été diagnostiqués Alzheimer, 5 % souffraient de démence mixte et 38 % souffraient de différentes sortes de démences.

Les résultats de cette enquête ont permis de montrer que l’apparition des symptômes est suivie, dans 9 cas sur 10, d’un arrêt rapide de toute activité professionnelle. En moyenne, les premiers troubles sont apparus vers 52 ans, avec un arrêt de l’activité vers 55 ans. Le diagnostic a été, en général, posé en moyenne un an après cet arrêt, qui fait place rapidement à une désocialisation rapide : en raison de la gêne vécue dans la vie quotidienne comme pour se lever, faire la cuisine ou gérer leur emploi du temps, les malades s’impliquent moins dans le bénévolat ou la vie associative.

Ils sont pourtant près de 50 % à avoir déclaré vouloir poursuivre leur activité professionnelle moyennant certains aménagements comme un emploi du temps adapté, un travail en équipe.

Si l’annonce de la maladie affecte le patient, 2 participants sur 3 évoquent aussi le fait qu’elle a bouleversé leur vie familiale. 60 % des proches jouent en effet le rôle d’aidant tout en devant poursuivre leur activité professionnelle.

Un conjoint sur trois a même dû aménager son rythme de travail en fonction des difficultés vécues par le malade, ce qui se traduit par des congés plus fréquents, la demande d’un temps partiel, voire même l’arrêt de l’activité.

Atteint de la maladie d'Alzheimer avant 60 ans, les personnes arrêtent de travailler

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Ebola : une enquête révèle comment s’est propagé le virus

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Une étude publiée dans le New England Journal of Medecine vient de mettre en lumière la chaîne de transmission du virus Ebola qui a fait 70 victimes en Guinée principalement ces derniers mois. Cette enquête a ainsi permis de remonter jusqu’à la première victime du virus, grâce à l’analyse de documentations hospitalières et aux questions posées aux personnes affectées et aux habitants des villages où plusieurs personnes été infectées.

Tout aurait commencé par la contamination d’un enfant de deux ans, mort en décembre 2013 à Meliandou, dans la préfecture de Guéckédou. Grâce aux investigations que les chercheurs ont mené, ils sont donc parvenu à identifier la première victime du virus. Toujours d’après cette enquête, le principal vecteur de contamination serait un professionnel de santé qui aurait propagé par ses déplacements le virus Ebola à Macenta, Nsérékoré et Kissidougou en février dernier. Un autre médecin de la même zone aurait également contaminé ses proches.

Outre l’analyse de différentes données hospitalières, l’interview des malades et de leur proche, mais également des villages où sévisait le virus, les scientifiques ont également demandé aux internautes de cartographier des villes sur lesquelles ont n’avait pratiquement aucune donnée. Ces cartes sont utiles dans la stratégie de lutte contre le virus et des informations très importantes pour les professionnels de santé sur place.

Ebola et comment s'est propagé le virus

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