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Nivea Care, une nouvelle révolution du soin multi-usage

En 1911, Nivea invente la première crème pour le visage et le corps. Nivea Creme avec sa petite boîte bleue et sa texture riche et enveloppante devient alors l’alliée de toute la famille de 7 à 77 ans.

Quand en 1996, Nivea crée Nivea Soft, c’est à l’extrême opposé une texture utra-légère que la marque propose, un dessert lacté frais que les ados, filles comme garçons, vont rapidement adopter.

Avec Nivea Care, Nivea fait encore avancer la science de la galénique et lance une nouvelle texture unique, aussi nourrissante que vite absorbée.

Cette crème visage et corps pénètre en effet à une vitesse incroyable sans laisser de film gras ou collant sur la peau tout en offrant beaucoup de confort.

L’innovation de cette texture à la fois légère et nourrissante réside dans l’hydrodispersion de cire, une nouvelle technologie signée Nivea qui, au lieu d’ajouter des agents émulsifiants pour les phases aqueuse et huileuse, permet de stabiliser la formule avec un agent épaississant.

Un autre secret de formule : sa phase huileuse est composée de cire de beurre de karité en suspension dans l’eau, un corps gras à l’état solide et non liquide qui se transforme en huile au contact de la chaleur de la peau pour la nourrir intensément mais sans laisser de film gras.

En l’absence d’émulsifiant et en présence de cire solide, les deux phases se séparent plus facilement au contact de la peau procurant alors une sensation fondante exquise.

Et plus concentrée en ingrédients nourrissants, grâce à l’absence d’agents émulsifiants, cette formule apporte une nutrition optimale à la peau.

Côté fragrance, Nivea Care diffuse un parfum floral et féminin s’ouvrant sur les notes de bergamote et nénuphar qui dévoilent un cœur de jasmin sur un fond d’ambre et de bois.

De quoi ravir les femmes pressées, quel que soit leur emploi du temps, et leur simplifier la vie avec un maximum d’efficacité et de plaisir.

(Nivea Care, Nivea. Disponible en GMS. En savoir plus sur www.nivea.fr. Pot 100ml et 200ml, ppi : 2,95 € et 3,95 €)


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Révolution technologique dans les pacemakers

Un stimulateur cardiaque a été implanté sans chirurgie par une équipe du CHU de Grenoble. Sa particularité: dépourvu de sonde, il est installé directement dans le ventricule du patient.

Le premier pacemaker a été implanté en 1958. «Depuis, il n’y avait pas eu de rupture technologique majeure, les principaux progrès étaient liés à la miniaturisation», explique le Dr Pascal Defaye, responsable de l’unité de rythmologie au CHU de Grenoble.

La révolution est en route avec le Nanostim, un stimulateur sans sonde implanté pour la première fois en France. D’ordinaire, un pacemaker est composé de deux éléments: un boîtier inséré dans la région pectorale, sous la peau ou le muscle, est chargé de générer des impulsions; celles-ci sont ensuite relayées à l’intérieur du cœur par une ou plusieurs sondes, qui partent du boîtier pour aboutir à la cavité cardiaque. «Ces sondes sont le maillon faible de la stimulation cardiaque, explique le Pr Jacques Mansourati, cardiologue au CHU de Brest. Elles peuvent se casser, entraîner une infection de type endocardite, ou se déplacer.» L’objectif des cardiologues était donc de pouvoir s’en passer. C’est chose faite, grâce à l’ultraminiaturisation des dispositifs. Pas plus grand qu’une pièce de un euro, Nanostim est installé directement à l’intérieur du ventricule, au moyen d’un cathéter introduit dans la veine fémorale. Le tout sans intervention chirurgicale ni cicatrice, et sans sensation de masse sous le thorax.

L’appareil a été développé par une start-up californienne, rachetée depuis par la société américaine St Jude Medical. Ce premier stimulateur sans sonde a été posé en une trentaine de minutes le 19 novembre au CHU de Grenoble. Le patient, un homme de 77 ans, a pu rentrer chez lui 24 heures plus tard. L’implantation est une première européenne depuis que l’appareil bénéficie d’un marquage CE. «Nous posons le prochain début janvier, puis cela va progressivement se développer dès l’an prochain dans des centres sélectionnés, (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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Médecine: la révolution dans les traitement ne vient pas

Où sont les traitements promis par les cellules souches, la thérapie génique et le génome humain? Le Dr. William Langston fait des recherches sur la maladie de Parkinson depuis vingt-cinq ans. Un bref moment, il a pensé qu’il allait lui falloir trouver une autre maladie pour poursuivre ses recherches, …
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