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Rhume : quelle efficacité du médicament « Échinacée pourpre Humexphyto » ? (Prescrire)

« On ne connait pas de médicament, phytothérapie ou autre, ayant une balance bénéfices-risques favorable pour réduire l’intensité ou la durée des symptômes d’un rhume », indique la revue Prescrire dans son numéro de septembre.

Le rhume est « en général d’origine virale et sans gravité ».

« Les manifestations cliniques, difficulté à respirer par le nez, écoulement nasal et éternuements, disparaissent spontanément en général en 1 à 2 semaines. Un écoulement nasal épais et purulent fait partie de l’évolution normale d’un rhume. »

« Les traitements de premier choix consistent à : boire régulièrement, éviter la fumée de tabac, humidifier ou dégager les voies nasales avec du sérum physiologique, et éventuellement prendre du paracétamol en cas de douleurs ou de fièvre. »

« Échinacée pourpre Humexphyto est un médicament à base de jus déshydraté des parties aériennes fleuries d’Echinacea purpurea. Il est autorisé en France sous forme de comprimés dans le traitement et la prévention du rhume chez les adultes et les enfants à partir de l’âge de 12 ans. »

« L’efficacité clinique de ce médicament par rapport au placebo n’est pas démontrée étant donné les limites de ces essais : faibles effectifs, résultats discordants, conflits d’intérêts, doute sur le respect du double aveugle dans un groupe, etc. »

« Les préparations à base d’Echinacea purpurea exposent à peu d’effets indésirables. Mais de rares réactions allergiques graves ont été rapportées, et sont à mettre en balance avec la bénignité du rhume et l’absence d’efficacité démontrée au-delà de celle d’un placebo. »

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Prescrire.
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Toux et rhume : les médicaments contenant codéine, hydrocodone et norméthadone déconseillés chez les enfants et ados (Santé Canada)

Santé Canada déconseille, par précaution, l’utilisation des médicaments contre la toux et le rhume qui contiennent des opioïdes tels que la codéine, l’hydrocodone et la norméthadone, chez les enfants et les adolescents (moins de 18 ans).

« Il y a très peu de données confirmant l’efficacité de ces produits chez les moins de 18 ans. »

« Bien que l’examen n’ait pas permis de trouver de preuves solides établissant un lien entre l’utilisation de produits contre la toux et le rhume qui contiennent des opioïdes et le risque de troubles liés à l’usage d’opioïdes chez les enfants et les adolescents, il en est quand même ressorti que la consommation de ces substances tôt dans la vie pouvait constituer un facteur de consommation problématique plus tard », indique le communiqué.

« Trois opioïdes d’ordonnance sont autorisés pour traiter les symptômes de la toux au Canada : la codéine, l’hydrocodone et la norméthadone. La codéine est également offerte sans ordonnance dans des formulations à faible dose pour traiter la toux et le rhume. »

« Au Canada, l’utilisation de médicaments d’ordonnance contre la toux et le rhume contenant des opioïdes a diminué chez les enfants et les adolescents au cours des cinq dernières années. Actuellement, l’utilisation de ces produits par les moins de 18 ans représente une faible proportion (4 %) de l’ensemble des ordonnances de médicaments opioïdes contre la toux et le rhume délivrés au Canada.

La plupart des médicaments contre la toux sont inefficaces et à éviter, selon “60 millions de consommateurs”

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Santé Canada.
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Ces médicaments contre le rhume désormais interdits de publicité

pixabay

Vous ne vous en êtes probablement pas aperçu mais pas moins de onze médicaments contre le rhume vendus sans ordonnance sont désormais interdits de toute publicité. Tous ont un point commun, ils contiennent de la pseudoéphédrine.

Selon les constatations de l’UFC Que Choisir, cette mesure a été prise dans la plus grande discrétion et est effective depuis le 18 décembre dernier. Les produits concernés ne peuvent plus bénéficier de publicités dans les médias mais aussi au sein des officines de pharmarcie.

Quels sont les médicaments concernés ?

Voici la liste des spécialités concernées  :Actifed Rhume, Actifed Rhume Jour et Nuit, Actifed LP Rhinite allergique, Dolirhume, Dolirhumepro, Fervex Rhume Jour et Nuit, Humex Rhume, Nurofen Rhume, Rhinadvil Rhume, Rhinureflex et Rhumagrip

Pour information sachez que ces médicaments contiennent de la pseudoéphédrine, un vasoconstricteur de la famille des amphétamines qui est utilisé pour diminuer la sensation de nez bouché, en cas de rhume. D

Sauf que ces médicaments peuvent être à l’origine d’effets indésirables graves au niveau cardiaque ou neurologique, notamment s’ils ne sont pas utilisés conformément à leur autorisation de mise sur le marché. Il est même préférable de ne pas les utiliser. Dans tous les cas, rappelons qu’ils sont réservés à l’adulte et à l’enfant à partir de 15 ans.

En les interdisant de publicité l’Agence nationale du médicament espère faire évoluer les comportements et favoriser ainsi leur bon usage.

Et de rappeler que le choix de ces médicaments en vente libre doit être effectué dans le cadre d’un dialogue entre le patient et le pharmacien qui est en mesure de délivrer le médicament le plus adapté.

Alors que faire en cas de rhume ?

Le rhume est une infection virale bénigne très fréquente qui affecte la muqueuse nasale (paroi interne dunez). Cette muqueuse sécrète un liquide dont le rôle est d’humidifier en permanence l’air inspiré et de lutter contre les agents infectieux. Lorsque cette muqueuse est irritée, elle gonfle et augmente sa sécrétion habituelle de liquide, de sorte que le nez « est bouché » ou que le nez « coule ».

Quelques conseils pour améliorer votre confort:

– humidifiez la muqueuse nasale avec des solutions de lavage adaptées (sérum physiologique, sprays d’eau thermale ou d’eau de mer);
– buvez suffisamment
– évitez de fumer ou de respirer la fumée des autres;
– dormez la tête surélevée;
– évitez les climatiseurs qui déshumidifient l’air et assèchent les muqueuses nasales ;
– veillez à maintenir une atmosphère fraîche (18-20°C) et aérez régulièrement les pièces.

Respectez certaines mesures d’hygiène comme :

– se moucher avec des mouc hoirs jetables et les jeter dans une poubelle immédiatement après utilisation, puis se laver les mains;
– se laver les mains régulièrement, en particulier avant les repas ou lors de leur préparation;
– se couvrir la bouche quand vous toussez ou éternuez.

Si malgré ces précautions, notamment l’utilisation des solutions de lavage, vous êtes particulièrement gêné par vos symptômes, vous pouvez recourir à un médicament. Pour cela, consultez votre médecin ou demandez conseil à votre pharmacien.

Les médicaments contenant des vasoconstricteurs ne sont en effet pas les seuls à pouvoir être utilisés dans les symptômes du rhume.

Dans tous les cas, le rhume guérit spontanément en 7 à 10 jours sans traitement.

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Un facteur psychologique qui influence la sévérité des symptômes du rhume

« La solitude augmente le risque de mortalité prématurée et de plusieurs maladies physiques », rapportent les auteurs d’une étude publiée dans la revue Health Psychology qui visait à vérifier si elle peut aussi affecter une maladie aiguë, mais temporaire, telle que le rhume.

Chris Fagundes et Angie LeRoy de l’Université Rice ont, avec leurs collègues, mené cette étude avec 159 personnes âgées de 18 à 55 ans.

Elles ont reçu des gouttes nasales contenant un virus commun du rhume et mises en quarantaine pendant cinq jours dans des chambres d’hôtel. Auparavant, le sentiment de solitude, la taille de leur réseau social ainsi que d’autres variables étaient mesurés.

Les participants qui se sentaient plus seuls avant cette expérience n’étaient pas plus susceptibles de développer le rhume. Mais s’ils développaient le rhume, ils rapportaient une plus grande sévérité des symptômes. La taille réelle de leur réseau social n’avait pas d’impact sur la sévérité des symptômes.

« Des études précédentes ont montré que différents facteurs psychosociaux comme le sentiment de se sentir rejeté ou de se sentir exclus ou de ne pas avoir de liens sociaux font que les gens se sentent moins bien physiquement, mentalement et émotionnellement », souligne LeRoy.

Les personnes qui se sentent seules peuvent vivre différentes maladies et différents autres stress comme étant plus difficiles, soulignent les chercheurs.

Pour plus d’informations sur le rhume, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Rice University, APA, Health Psychology.
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Rhume : les 5 réflexes pour bien dormir

Rhume : les 5 réflexes pour bien dormir

Le 2 mars 2017.

L’hiver semble derrière nous et pourtant les changements de températures peuvent nous pousser à nous découvrir un peu trop tôt et à attraper un rhume. Nez bouché, toux, fatigue… Si nous dormons mal, le virus est encore plus difficilement supportable. Voici donc 5 astuces pour passer une bonne nuit quand on a un rhume.

1.     Se laver le nez avant de se coucher

La nuit, si votre nez est bouché, vous risquez de ronfler et d’assécher votre gorge, ce qui vous fera tousser. Pour éviter ces désagréments, il est donc important de se laver le nez avec du sérum physiologique. Penchez votre tête sur le côté et verser l’intégralité d’une ampoule dans votre narine. Recommencez la même opération en tournant la tête de l’autre côté. Parce qu’il est salé, le sérum physiologique aura un effet décongestionnant immédiat. Une fois le nez lavé, mouchez-vous.

Vous risquerez malgré tout de respirer davantage par la bouche que par le nez, pensez donc à placer une bouteille d’eau à côté de votre lit afin de vous rafraîchir si vous deviez vous réveiller en pleine nuit.

2.     Placer un humidificateur dans sa chambre

Pour une meilleure respiration, n’hésitez pas à investir dans un humidificateur. Il resservira c’est certain. On recommandera cet appareil notamment dans les chambres chauffées avec un radiateur électrique. Si vous le pouvez, achetez un humidificateur à vapeur froide, les appareils à vapeur chaude augmentent la température de la pièce. Pour que les voies respiratoires se dégagent bien, il faut que le taux d’humidité de la chambre soit autour de 50 %. Certains humidificateurs permettent de régler ce taux.

En revanche, cet appareil ne doit pas être utilisé sans un minimum de précautions : pensez notamment à changer l’eau tous les jours et le filtre assez régulièrement. Un humidificateur sale favorisera en effet la prolifération de bactéries et de germe dans l’air.

3.     Limiter la température de la chambre à 19°C

En cas de rhume, nous pouvons grelotter et craindre d’avoir froid la nuit. Mais il serait imprudent d’augmenter le chauffage. L’air ambiant ne doit pas dépasser les 19°C si on veut passer une bonne nuit. Mieux vaut se couvrir et mettre des chaussettes que d’augmenter le chauffage. Une pièce trop chaude augmentera, par ailleurs, le risque de prolifération des bactéries.

Au réveil, pensez à aérer votre chambre pendant 10 minutes environ afin d’assainir l’air. Vous pouvez également faire brûler du papier d’Arménie ou vaporiser des huiles essentielles (d’eucalyptus, notamment) pour désinfecter l’air. C’est très efficace et cela vous permettra de retrouver une chambre bien saine le soir. Évitez d’utiliser des huiles essentielles juste avant de vous coucher, car elles peuvent être irritantes.

4.     Surélever son oreiller

L’idée n’est pas de dormir assis mais de surélever la tête pour réduire l’inflammation de vos voies respiratoires et la pression sur les sinus. Par ailleurs, grâce à cette position, vous tousserez moins et vous vous réveillerez moins encombré que si vous aviez dormi sans oreiller. Cette méthode est aussi recommandée pour les bébés qui ont un rhume. Mais pour éviter tout risque d’étouffement, placez les coussins sous le matelas.

5.     Boire une tasse de lait avec du miel

Dernier conseil pour une nuit encore plus paisible : faites-vous une tasse de lait chaud et ajoutez une bonne cuillère à café de miel dedans. Le lait et le miel ont en effet des vertus adoucissantes et réparatrices. En boire juste avant de dormir vous permettra de tousser moins et d’être moins irrité. Sain et naturel, ce remède est LA solution contre les quintes de toux nocturnes.

Si vous avez de la fièvre, vous pouvez prendre du paracétamol avant de vous coucher. Mais évitez, dans la mesure du possible, les médicaments contre le rhume. La plupart d’entre eux contiennent de la pseudoéphédrine, un vasoconstricteur, qui peut s’avérer dangereux, notamment chez les personnes qui présentent des risques cardio-vasculaires. Selon l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), cette substance peut par ailleurs entraîner des tachycardies, de l’hypertension artérielle, des nausées, des convulsions, des hallucinations, mais aussi des insomnies. 

Marine Rondot

À lire aussi : 13 conseils pour soigner un rhume

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Voyez comment votre durée de sommeil influence le risque d’attraper le rhume au contact du virus

Les personnes qui manquent de sommeil ont un risque beaucoup plus élevé de contracter le rhume que celles qui dorment plus, selon une étude publiée dans la revue Sleep.

Le psychiatre Aric Prather et le psychologue Sheldon Cohen, respectivement des universités de Californie à San Francisco et Carnegie Mellon, ont, avec leurs collègues, mené cette étude avec 164 volontaires âgés de 18 à 55 ans, qui ont accepté d’être exposés à un virus du rhume. Ils ont répondu à différents questionnaires et leur sommeil était mesuré au moyen d’un actigraphe porté au poignet et d’un journal quotidien durant la semaine précédant l’étude.

Ils sont ensuite restés cloîtrés pendant cinq jours dans une chambre d’hôtel où le virus du rhume leur a été administré par le biais de gouttes nasales. Des échantillons étaient prélevés quotidiennement pour mesurer la réponse au virus.

Voici la proportion des participants qui ont eu le rhume selon leur temps de sommeil :

  • plus de 7 heures : 17,2 % ;
  • 6 à 7 heures : 22,7 % ;
  • 5 à 6 heures : 30 % ;
  • moins de 5 heures : 45,2 %.

Le manque de sommeil était un facteur plus déterminant que tout autre facteur considéré dans l’étude : âge, niveau d’anticorps au début de l’étude, variables psychologiques, stress, éducation, revenus, tabagisme, indice de masse corporelle…

Psychomédia avec sources : UC San Francisco, Sleep.
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Grippe et symptômes : comment différencier le rhume de la grippe ?

Selon les prévisions du réseau Sentinelles, l’épidémie de grippe saisonnière continue de progresser dans l’Hexagone. Mais comment savoir si l’on a la grippe ? et comment la différencier d’un gros rhume ? Explications.

Plus de 500.000, c’est le nombre de victimes que l’épidémie de grippe a fait au cours des 3 dernières semaines en France, d’après le réseau Sentinelles. Un chiffre qui ne laisse plus aucune doute : l’épidémie s’est bel et bien installée dans l’Hexagone et continue de s’étendre. Certaines régions sont toutefois plus touchées que d’autres, notamment dans le sud-est. Mais comment distinguer la grippe d’un gros rhume ?

La grippe est une maladie infectieuse bien moins anodine qu’un rhume. Elle s’attaque au système respiratoire avant de se répercuter sur tout l’organisme. Contagieuse, elle est très fréquente et touche aussi bien les hommes que les femmes. Elle peut de même survenir à tout âge, chez les bébés comme chez les personnes âgées. A l’instar du rhume (ou rhinite virale), la grippe est causée par un virus qui se transmet facilement d’un individu à l’autre.

Quels sont les premiers symptômes ?

Les premiers signes apparaissent 24 à 48 heures après que le virus a pénétré dans l’organisme. Ils sont alors généralement plus sérieux que ceux liés à un rhume. Les premiers symptômes sont une apparition soudaine de frissons, de douleurs musculaires voire articulaires, de fatigue, de maux de tête, de maux de gorge ou encore d’éternuements. Provoquant souvent un malaise général, la grippe se manifeste aussi par une fièvre élevée, supérieure à 38,5°C.

Les signes d’atteintes respiratoires peuvent être complétés par de la toux sèche, des écoulements nasaux ou un nez bouché, ainsi que par une perte d’appétit. Les symptômes durent entre 24 heures et un peu plus d’une semaine. Néanmoins, la fièvre peut connaitre une baisse et remonter ensuite.

Au mois de Juin, le rhume des foins !

Crédit photo : © gezondheidsnet.nl / Flick

Les beaux jours sont de retour après un début de printemps particulièrement maussade et qui fait dire à certains tout et n’importe quoi sur ce « supposé » été pourri qui nous attend.

Oui mais le retour du soleil et de la chaleur, enfin tout est relatif, est aussi synonyme du retour des allergies. Cette semaine il va falloir faire avec la pollinose aux graminées plus communément appelée « le rhume des foins ».

Au programme de nombreuses manifestations oculaires et respiratoires importantes : yeux rouges et larmoyants, nez qui coule, éternuements, gênes respiratoires ….

Grâce à ce mauvais temps qui recule enfin, les graminées sont plus que jamais prêtes à « pourrir » la vie des plus allergiques.

Et durant tout la semaine leur production et leur dispersion seront importantes sur l’ensemble du territoire métropolitain !

Pour le reste, pas grand chose à signaler une majorité d’arbres ayant fini leur floraison. Il faudra toutefois encocore compter sur de fortes quantités de pollens de chêne surtout dans le Sud Est et l’arrivée des pollens d’olivier en Provence.

Quant aux pollens de pin, s’ils très visibles, ils n’ont heureusement aucun caractère allergisant.

N’oubliez pas que le Réseau National de Surveillance Aérobiologique vous offre la possibilité de recevoir chaque semaine par e-mail les prévisions du risque allergique des départements de votre choix. Pour cela vous pouvez vous inscrire en cliquant ici

A noter également la possibilité de consulter les prévisions à 3 jours de la pollinisation des pollens de graminées en France. Il vous suffit de cliquer ici

Suivez vos symptômes d’allergies en remplissant le questionnaire journalier sur www.pollendiary.com

Source : Bulletin Allergo Pollinique – Réseau National de Surveillance


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Rhume de printemps : 4 solutions pour s’en débarasser rapidement

Le bain de pieds aux plantes est un remède efficace dès les premiers signes de rhume. Il aide à combattre l’infection et à fluidifier et éliminer le rhume.

Les ingrédients de votre bain de pieds anti-rhume:
3 cuillerée à café de fleurs fraîches (ou 2 cuillerées à café de fleurs séchées) de : menthe poivrée, échinacée, millefeuille, ail et capucine.
Versez 1,25 litre d’eau bouillante sur les plantes et laissez infuser pendant 30 mn au moins pour obtenir une infusion forte. Filtrez.
Versez cette infusion dans une bassine et baignez vos pieds dedans pendant 15 mn. Répétez l’opération 2 à 3 fois par jour.

>> A découvrir aussi : les 3 remèdes naturels contre le rhume des foins


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