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Se réveiller tôt le matin diminue le risque d’obésité

Se réveiller tôt le matin diminue le risque d’obésité

Le 7 mars 2017.

Pour rester en forme, mieux vaut vous lever tôt. Une bonne habitude qui se ressentirait sur votre poids, selon une récente étude finlandaise.

Sommeil, alimentation et poids seraient intimement liés

Plus vous vous levez tôt le matin, plus votre risque de devenir obèse diminue. C’est en tout cas ce que suggèrent des chercheurs finlandais, qui viennent de publier une étude sur le sujet dans la revue Obesity. Cette publication est la première à déterminer un lien entre rythme de sommeil et prise de poids.

Pour illustrer leur thèse, ces chercheurs de l’Institut national de santé et de bien-être d’Helsinki se sont penchés sur les données provenant d’une étude menée en 2007, et qui s’est intéressée à la santé de 1 854 personnes âgées de 25 à 74 ans. En observant les questionnaires auxquels avaient été soumis ces participants, les auteurs de l’étude ont tenté de recouper les informations liées au poids, à celles liées à l’alimentation et celles concernant le rythme de sommeil.

Se lever tard encourage moins à pratiquer une activité physique

Il s’est alors avéré que les personnes qui avaient l’habitude de se coucher et de se lever tôt, avaient en général une meilleure hygiène de vie. La proportion de personnes en surpoids ou obèses étaient par ailleurs nettement plus faible dans cette catégorie de participants. En revanche, c’est chez les participants dont les rythmes de sommeil impliquaient de se coucher plus tard pour se lever plus tard le matin, que la proportion de personnes en surpoids ou obèses était la plus forte.

Pour expliquer ce phénomène, les chercheurs avancent l’idée selon laquelle les lève-tôt auraient moins tendance à consommer d’aliments sucrés ou gras le matin et en fin de journée. Une habitude qui se ressentirait également sur le reste de leur journée. Les couche-tard seraient en outre moins disposés à pratiquer régulièrement une activité physique.

Sybille Latour

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Crèmes et gels au menthol contre la douleur : risque de brûlures graves (Santé Canada)

Santé Canada informe d’un « risque de brûlures cutanées graves » associé à des analgésiques topiques (crème, gel, liquide et timbre) contenant du menthol disponible en vente libre.

« Ces analgésiques sont appliqués sur la peau afin de créer une légère irritation ou une légère inflammation qui a pour but de soulager les douleurs musculaires et articulaires. Ils contiennent un ou plusieurs ingrédients actifs (…) »

« Bien qu’une légère éruption cutanée ou une légère sensation de brûlure soient des effets secondaires connus, l’utilisation de ces produits n’est généralement pas censée causer de réactions plus graves comme des brûlures cutanées, de la douleur, des cloques ou d’autres graves lésions cutanées.

Santé Canada a reçu 21 signalements d’effets secondaires graves mettant en cause des analgésiques topiques en vente libre contenant du menthol à des concentrations diverses (de 0,75 % à 11 % de menthol), comme seul ingrédient ou combiné à d’autres (généralement du salicylate de méthyle). Dans de nombreux cas, les produits ont été utilisés selon les indications, et les brûlures, enflures graves et cloques sont apparues dans les 24 à 48 heures suivant la première application.

Les données disponibles n’ont pas permis de déterminer si le risque de brûlures cutanées graves est lié à une marque, une formulation ou une concentration de menthol en particulier, ou à un ingrédient autre que le menthol. »

Santé Canada a aussi examiné le salicylate de méthyle et la capsaïcine. De graves brûlures cutanées ont aussi été signalées en lien avec des analgésiques topiques en vente libre contenant ces deux ingrédients, mais l’examen n’a pas permis de trouver suffisamment de données pour confirmer qu’ils présentent, comme seuls ingrédients, le même risque.

« Tous les analgésiques topiques contenant du menthol, du salicylate de méthyle ou de la capsaïcine procurent une sensation de chaleur ou de froid à l’endroit où ils sont appliqués », rappelle Santé Canada. Mais « ils ne devraient jamais causer de la douleur intense ni des lésions cutanées ».

« N’appliquez pas le produit sur une peau abîmée, endommagée ou irritée, et ne mettez pas de bandage serré ou de chaleur (par exemple, au moyen d’un coussin chauffant, d’une lampe ou d’une bouillotte) sur l’endroit traité », conseille l’agence.

« Cessez d’utiliser le produit et consultez un médecin sans tarder si vous présentez des réactions cutanées graves, comme de la douleur, de l’enflure ou des cloques. »

Psychomédia avec source : Santé Canada.
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Grossesse : avoir la grippe n'augmente pas le risque d'autisme du bébé

Le 30 novembre 2016.

Une rumeur courait selon laquelle, contracter la grippe durant la grossesse augmentait le risque d’autisme de l’enfant. Une rumeur aujourd’hui contredite par une étude américaine.

Pas de risque pour l’enfant

Attraper la grippe pendant la grossesse n’est pas une bonne chose mais cela n’entraînera pas d’autisme chez l’enfant. C’est en tout cas ce que révèle une étude menée par une équipe de chercheurs du Kaiser Permanente Northern California, aux États-Unis. Selon ces travaux publiés dans la revue américaine JAMA Pediatrics, les infections grippales maternelles et le vaccin contre la grippe n’augmentent en aucun manière le risque d’autisme.

« Nos données indiquent qu’il n’existe pas de lien entre la grippe chez une femme enceinte et le développement du trouble du spectre de l’autisme chez son enfant », note Lisa Croen, qui a participé aux travaux. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont examiné les données médicales de près de 200 000 femmes ayant accouché en Californie entre 2000 et 2010, ainsi que celles de leurs enfants.

Attention à la grippe pendant la grossesse

Sur l’ensemble de ces femmes, 1 400 (0,7 %) ont contracté une grippe pendant la grossesse et 45 231 (23 %) ont été vaccinées. Et sur l’ensemble des enfants nés au cours de cette période, seul 1,6 % a été diagnostiqué comme autiste. Un chiffre trop faible pour être significatif. Même en créant des sous-groupes en fonction des trimestres durant lesquels les futures mères ont été infectées, ou vaccinées, les résultats n’étaient pas plus probants.

Ces résultats sont encourageants mais de nouvelles études seront nécessaires pour préciser les risques éventuels du vaccin pour l’enfant. Notons par ailleurs que contracter la grippe pendant la grossesse peut poser d’autres problèmes. Cela peut notamment augmenter les risques d’accouchement prématuré et d’anomalies congénitales.

À lire aussi : Grippe : symptômes et traitement des virus grippaux

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La colère et l’exercice intense multiplient le risque de crise cardiaque

La colère et l’effort physique intense peuvent déclencher une crise cardiaque (infarctus), selon une étude publiée dans la revue Circulation.

Andrew Smyth de l’Université McMaster (Ontario, Canada) et ses collègues ont analysé des données concernant 12 461 personnes (âgées en moyenne de 58 ans) participant à une étude internationale menée dans 52 pays auprès de personnes venant de subir une première crise cardiaque.

La colère ou le bouleversement émotionnel doublait le risque d’apparition des symptômes de crise cardiaque dans l’heure suivante. Il en était de même pour l’effort physique intense.

Mais le risque était triplé chez les participants qui rapportaient s’être engagés dans une activité physique intense en même temps qu’ils étaient en colère ou bouleversés.

Les déclencheurs émotionnels et physiques extrêmes ont des effets similaires sur le corps, explique le chercheur. « Les deux peuvent augmenter la pression artérielle et la fréquence cardiaque, changeant ainsi le débit sanguin dans les vaisseaux sanguins et réduisant l’approvisionnement en sang vers le cœur » dit-il. Ceci est particulièrement important lorsque les vaisseaux sont déjà rétrécis par la présence de plaque.

Les chercheurs recommandent aux gens qui veulent se défouler en faisant de l’exercice lorsqu’ils sont en colère ou contrariés de ne pas aller au-delà de leur routine normale dans l’intensité de leur activité.

Psychomédia avec source : American Heart Association.
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Risque cardiaque : l’importance du sport après 65 ans

Le 29 août 2016.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’université de Oulu, en Finlande, faire du sport, même de manière modérée, après 65 ans, réduirait de moitié le risque de décès de cause cardiovasculaire.

Une activité physique même modérée

Des chercheurs finlandais ont cherché à trouver quel lien il existait entre l’activité physique, les maladies cardiaques et les décès des personnes âgées. Pour cela, ils ont suivi près de 2 500 personnes âgées de 65 à 74 ans, de 2001 à fin 2013. Pendant ces 12 années, les personnes participantes à l’expérimentation devaient décrire leur activité physique et leurs habitudes de vie.

Sur ces 2 500 personnes, 197 personnes sont décédées à la suite de troubles ou d’accidents cardiovasculaires et 416 ont été victimes d’un événement cardiaque plus ou moins grave. Ce que les chercheurs ont en revanche pu constater, c’est que l’activité physique modérée réduisait le risque d’accident cardiovasculaire de plus de 30 %. Plus l’activité physique était importante, plus le risque était réduit.

Une réduction du risque de décès de cause cardiovasculaire

Par ailleurs, la pratique d’une activité physique de loisirs modérée et élevée était associée à une réduction du risque de décès de cause cardiovasculaire, respectivement de 54 % et 66 %.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les personnes âgées de 65 ans ou plus devraient pratiquer au moins 150 minutes d’activité d’endurance d’intensité modérée ou au moins 75 minutes d’activité d’endurance d’intensité soutenue, par semaine. L’activité d’endurance devrait être pratiquée par périodes d’au moins 10 minutes.

Si nous savons combien est nécessaire une activité physique régulière, nous ne pensons pas toujours que cette activité ne doit pas se réduire avec l’âge. La sédentarité fait beaucoup de dégâts, notamment chez les personnes âgées.

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Alzheimer : certains aliments sont liés à un risque accru

Les facteurs de risque les plus importants pour la maladie d’Alzheimer semblent liés à l’alimentation, selon les auteurs d’une étude publiée dans le Journal of the American College of Nutrition (JACN).

Par exemple, rapportent-ils, lorsque le Japon est passé du régime alimentaire japonais traditionnel à l’alimentation occidentale, la prévalence de la maladie est passée de 1 % en 1985 à 7 % en 2008, avec un délai de 20 à 25 ans.

William B. Grant, du Sunlight, Nutrition and Health Research Center, a réalisé une revue de littérature et mené une nouvelle étude mettant en relation la prévalence de la maladie d’Alzheimer dans 10 pays (Brésil, Chili, Cuba, Égypte, Inde, Mongolie, Nigéria, Corée, Sri Lanka, États-Unis) avec les données concernant les aliments vendus dans ces pays, 5, 10 et 15 ans plus tôt que les données de prévalence.

Les ventes de viande et de produits d’origine animale (sans inclure le lait), 5 ans avant les données de prévalence de la maladie, étaient en plus fortes corrélations avec celles-ci.

Étaient également en corrélation, les produits sucrés et les produits laitiers à forte teneur en gras qui caractérisent l’alimentation occidentale. Les études montrent aussi que les fruits, les légumes, les grains, les produits laitiers faibles en gras, les légumineuses et les poissons sont associés à un risque réduit.

Les Américains semblent être particulièrement à risque, chaque personne ayant une probabilité d’environ 4 % de développer la maladie, probablement en partie à cause du régime alimentaire occidental qui tend à inclure une grande quantité de viande.

« Réduire la consommation de viande pourrait réduire de manière significative le risque de maladie d’Alzheimer, ainsi que de plusieurs cancers, de diabète de type 2, d’accident vasculaire cérébral (AVC), et, probablement, de maladie rénale chronique », souligne le chercheur.

« De plus en plus de données provenant d’études écologiques et observationnelles, ainsi que d’études portant sur les mécanismes par lesquels certains aliments peuvent contribuer à la maladie, indiquent que le régime alimentaire occidental – en particulier la grande quantité de viande de ce régime – est fortement associé à un risque de développer la maladie d’Alzheimer et plusieurs autres maladies chroniques », conclut-il.

« Bien que le régime méditerranéen traditionnel soit associé à environ la moitié du risque de maladie d’Alzheimer comparativement à l’alimentation occidentale, les régimes traditionnels des pays tels que l’Inde, le Japon et le Nigeria, avec leur très faible consommation de viande, sont associés à une réduction supplémentaire de 50 % du risque ».

Psychomédia avec sources : Taylor & Francis, JACN.
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Des chercheurs français mettent en garde contre des médicaments qui augmentent le risque de démence

Quand des chercheurs français mettent en garde contre des médicaments qui augmentent le risque de démence. Selon les conclusions d’une étude française, il existerait une association entre consommation de benzodiazépines et survenue d’une démence. Principalement visés les benzodiazépines à demi-vie longue (qui disparaissent de l’organisme en plus de 20 heures). Dans cette étude – elle a été menée par des chercheurs de l’Inserm (Unité Inserm 897 « Centre de recherche Epidémiologie et biostatistique » à l’Université de Bordeaux) – il apparaît que les personnes prenant des benzodiazépines à demi-vie longue ont un risque de démence augmenté de 60%.

CC0 Public Domain/Pixabay

CC0 Public Domain/Pixabay

Les benzodiazépines et les psychotropes sont les médicaments les plus consommés en France. On estime que 30% des personnes âgées de 65 et plus en consomment. Ils sont prescrits pour un large spectre de pathologies allant des troubles du sommeil aux symptômes dépressifs en passant par l’anxiété. Depuis qu’ils sont largement utilisés, les chercheurs se penchent sur leurs éventuels effets secondaires dans la mesure où ils interagissent avec des neurotransmetteurs du cerveau. Si de précédentes études avaient déjà suggérées une augmentation du risque de démence consécutive à la prise de psychotropes, beaucoup de questions restaient en suspens. L’une d’entre elles concernait la différence d’effets potentiels des benzodiazépines à demi-vie courte (qui disparaissent de l’organisme en moins de 20 heures) versus celles à demi-vie longue.

Pour essayer d’en savoir plus, les chercheurs de l’Inserm se sont basés sur les données issues de l’étude dites des 3 Cités (Bordeaux, Dijon Montpellier), soit 8240 personnes âgées de plus de 65 ans et suivies depuis plus de 8 ans. 830 nouveaux cas de démence ont été diagnostiqués lors du suivi. Une procédure de dépistage et le diagnostic de chaque cas de démence a été mise en place par un comité d’experts. Par ailleurs, l’enregistrement systématique de tous les médicaments consommés par les participants, à domicile, en confrontant avec les ordonnances a été possible.

« Il y a clairement une différence de signal entre benzodiazépines à durée de vie longue et celles à durée courte. Or les premières ont déjà été identifiées comme dangereuses chez les personnes âgées, notamment en raison du risque de chutes, et nous avons été étonnés de voir qu’elles étaient encore fréquemment consommées.» déclare Christophe Tzourio, neurologue, directeur du centre de recherche Inserm U897 et professeur d’épidémiologie à l’université de Bordeaux.

Les personnes âgées consommant des benzodiazépines de demi-vie longue ont un risque augmenté de 60 % de développer une démence (majoritairement de type de la maladie d’Alzheimer) et ce sans que cela ne soit explicable par d’autres facteurs.

Les auteurs ont fait des analyses statistiques en profondeur permettant d’écarter certains biais et notamment le fait que la prise de benzodiazépines ait été la conséquence de symptômes initiaux de démence.

Il s’agit néanmoins d’une étude observationnelle ne permettant pas d’analyser les mécanismes de cette association. Ceux-ci devraient faire l’objet d’études physiopathologiques, d’imagerie, sur des modèles animaux, etc.

Malgré l’absence de certitude sur le mécanisme « le doute est suffisant pour encourager médecins et patients à trouver des formes alternatives pour les troubles du sommeil des personnes âgées qui sont le motif principal de prescription de ces médicaments : conseils hygiéno-diététiques, produits non médicamenteux, et au maximum les médicaments les moins dangereux comme les benzodiazépines à demi-vie courte. »

« Nos résultats suggèrent au minimum une vigilance renforcée de tous, en particulier des médecins et des autorités de santé, pour éviter cette consommation de benzodiazépines à demi-vie longue chez les personnes âgées. » déclare Christophe Tzourio. « Le signal sur l’ensemble des psychotropes, comprenant les antidépresseurs, est à confirmer par d’autres études mais il amène lui aussi à une inquiétude sur l’ensemble de ces produits et pas uniquement les benzodiazépines. »

Crédits/Source : Inserm


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Les somnifères à longue demi-vie augmentent plus le risque de démence que ceux à courte demi-vie

Certains somnifères benzodiazépines et apparentés augmentent plus le risque de démence que d’autres, selon une étude française publiée dans la revue Alzheimer’s and Dementia.

Des études précédentes ont montré une augmentation du risque de démence liée aux benzodiazépines. La présente étude a analysé la différence entre celles à demi-vie courte (20 heures) et celles à demi-vie longue.

La demi-vie d’un médicament correspond au temps nécessaire pour que sa concentration dans le sang diminue de moitié.

Dalia Shash et Christophe Tzourio ont, avec leurs collègues de l’Inserm, analysé des données concernant 8240 personnes âgées de plus de 65 ans qui participaient à l’étude dite des 3 Cités (Bordeaux, Dijon, Montpellier). 830 nouveaux cas de démence ont été diagnostiqués pendant les 8 ans de suivi.

Dans l’ensemble, l’utilisation de benzodiazépines était liée à un risque de démence accru de 10 %. Mais, l’utilisation de celles à longue demi-vie était liée à un risque accru de 60 % comparativement à 5 % pour celles à courte demi-vie.

Les benzodiazépines à demi-vie longue ont déjà été identifiées comme dangereuses chez les personnes âgées, notamment en raison du risque de chutes, soulignent les chercheurs qui se disent étonnés de constater qu’elles soient encore fréquemment consommées.

Il s’agit d’une étude observationnelle ne permettant pas d’analyser les mécanismes de cette association. Malgré l’absence de certitude sur le mécanisme « le doute est suffisant pour encourager médecins et patients à trouver des formes alternatives pour les troubles du sommeil des personnes âgées qui sont le motif principal de prescription de ces médicaments : conseils hygiéno-diététiques, produits non médicamenteux, et au maximum les médicaments les moins dangereux comme les benzodiazépines à demi-vie courte. »

(1) Tobias Kurth, Marion Bertrand, Carole Dufouil, Pascale Barberger-Gateau, Claudine Berr, Karen Ritchie, Jean-Francois Dartigues, Bernard Bégaud, Annick Alpérovitch.

Psychomédia avec sources : Inserm, Alzheimer’s and Dementia.
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